"Qu'est-ce qu'un traître? Un homme qui vend , pour un peu d'or, sa propre estime, celle de ses concitoyens, celle de l'homme qui l'emploie. " Pensées et maximes [ de Malesherbes ]
Introduction
Médaillon du goumier |
Ceux qui, gamins comme moi, ont connu ces goumiers, ne peuvent que revivre les pires cauchemars. Aujourd'hui, toute honte bue, les Français refusent d'en parler, tellement ils étaient atroces et leur conduite dégradante. Tous les goumiers étaient des volontaires. La plupart étaient des Marocains, dressés spécialement pour "casser" de l'Algérien et du Tunisien, mais il y avait aussi des goumiers Tunisiens et Algériens.
Tel père tel fils ?
Après les indépendances, le Maroc a été
le seul pays à ne pas les poursuivre en justice pour trahison, et en a intégré un certain nombre dans
l’armée royale. Il a même accordé la nationalité marocaine à des Tunisiens et des Algériens qui ne voulaient pas retourner dans leur pays de peur d'y être jugés. Ainsi,
le papa de Moncef, resta au Maroc où il aurait obtenu la nationalité
marocaine, ses enfants aussi. Donc Moncef, notre président, serait Marocain
(tout comme Ghannouchi serait détenteur d'un passeport Soudanais), ce qui est , théoriquement, contraire à
notre Constitution. Le jeune Moncef a suivi ses études secondaires à Tanger
jusqu’à l’obtention de son baccalauréat au lycée Regnault en 1964. Et pendant
qu’il poursuivait ses études de médecine en France, en tant que marocain, sa
sœur continua ses études de droit au Maroc, pour devenir avocate au barreau de
Casablanca. Lors de sa visite récente au Maroc, Moncef est allé se recueillir sur la tombe de son
père à Marrakech.
Comme son papa goumier, Marocain d’adoption
et de cœur, ce pseudo-président déteste aussi bien l’Algérie que la Tunisie. Entre
le fils d’un traître et un sous-fifre du Qatar, agent du MI6 britannique, la
Tunisie est en de « bonnes mains », des mains sales.
Les Goumiers « marocains »
Les goumiers étaient des soldats appartenant
à des goums, unités d’infanterie légères de l'armée française d'Afrique composées de
troupes autochtones maghrébines (Tunisiens, Algériens, mais surtout Marocains), sous commandement
français. Ces unités ont existé de 1908 à 1956. On les appelait goumiers
marocains, car l’écrasante majorité de ces soldats étaient des Marocains.
Les goums se sont particulièrement
illustrés lors de la Seconde Guerre mondiale, notamment lors de la campagne
d'Italie au sein du Corps expéditionnaire français du Maréchal Juin, puis lors
des campagnes de France et d'Allemagne. En Italie, l'exploit le plus
retentissant des goumiers a lieu en mai 1944 lors de la bataille du Monte
Cassino, où ils sont arrivés à battre les Allemands grâce à leur courage sans limite.
Ils ont été ensuite largement engagés en
Indochine de 1948 à 1954, afin de mater, sans succès, l’insurrection vietminh. Ils ont également participé aux répressions des révoltes anti coloniales maghrébines
jusqu'en 1956. Ils ont finalement été dissous et intégrés à l'Armée Royale
Marocaine au moment de l'indépendance du Maroc, en 1956.
Faits et méfaits de goumiers
Mais ces soldats « sans peur »
n'étaient pas sans reproches. C'étaient des satrapes et des « gibiers de potence », des
violeurs, des voleurs et des assassins.
Cette
vraie histoire de viols débute en Sicile. C'est Mariangela Profeta Fiore,
réfugiée à Montegrande (au sud de la route nationale Licata-Gela) qui rapporte
des premiers kidnappings de jeunes femmes italiennes par des Goumiers Marocains
qui "considéraient ces femmes comme leur butin de guerre. Ils les emmenaient en ricanant et
en les traitant de tous les noms, comme des prostituées. » Le deuxième (lourd)
épisode on le retrouve à Capizza, entre Nicosia et Troina: ici les goumiers se donnèrent à plusieurs viols collectifs. Mais ce fut pendant
l'avancée vers la Ligne Gustav, et ensuite vers la Toscane que les Goumiers se déchaînèrent. Ils violèrent par milliers des fillettes, des
vieillardes, des femmes enceintes, sans oublier les hommes ! Ils agissaient en bandes
: ceux d'entre eux qui tâchaient de s'y opposer étaient invariablement abattus.
Pour les victimes il n'y avait aucun salut : certaines, après pareil
traumatisme, se suicidèrent.
Le
journaliste Giovanni Minoli, grâce à des témoignages des victimes qui ont
survécu, reconstituera un événement que, affirmera-t-il avec raison,
«L'histoire officielle n'a jamais voulu raconter » C'est en effet rarissime de
trouver dans les livres d'histoire ne fusse qu'une rapide allusion à ces crimes
qui ont profondément marqué la libération de l'Italie dans le printemps de 1944
où des milliers de femmes furent violées et tuées avec une fureur inhumaine.
L'historien belge Pierre Moreau, pourtant, est sur la même longueur d'onde que
Minoli quand il affirme que: « Jamais ces tragiques évènements ne furent
mentionnés par la littérature historique de la deuxième guerre mondiale. Il y
a, au contraire, des preuves que ces violences ne se limitèrent pas à la
population des Arunci, pendant les cinquante heures de prime"
offertes par le général Juin à ses troupes, méritoires d'avoir réussi à percer
le barrage ennemi au Mont Cassino. Ce « phénomène » débuta en juillet 1943 en
Sicile, traversa la région de Rome (le Latium) et la Toscane pour s'achever en
octobre 1944. En mai 1944, en cette partie du Latium dénommée Ciociaria, les
libérateurs alliés déchaînèrent les troupes marocaines du général Juin, les
Goumiers, sur la population locale : 3.500 fillettes, adolescentes et femmes
entre 8 et 85 ans furent violées, 800 hommes sodomisés et tués. Parmi eux le
père Alberto Terrilli (curé de Santa Maria di Esperia). Selon la source italienne la plus récente, un projet de
loi du sénat italien daté de 1996, plus de 2.000 femmes ont été violées (de 11
ans pour la plus jeune, à 86 ans), ainsi que 600 hommes.
En Sicile, les goumiers auraient eu des
heurts très sévères avec la population pour cette raison : on parle de
quelques soldats qu'on aurait retrouvé tués avec les parties génitales coupées.
Avec l'avancée des alliés le long de la péninsule, des événements de ce genre
sont aussi rapportés dans le Nord du Latium et le Sud de la Toscane où les
goumiers violèrent, et parfois tuèrent, des femmes et des enfants après la
retraite des troupes allemandes, sans épargner des membres de la résistance italienne.
Ces viols commis par les goumiers, en majorité marocains, ont donné naissance
au terme « marocchinate » (littéralement « marocanisés »,
dans le sens de « violé(e)s par des Marocains »).
« Marocchinare » (« marocaniser »), a pris la signification
de « violer » dans l'expression populaire italienne.
Les mêmes méfaits se sont répétés lors de la
prise de Freudenstadt, en Allemagne, les 16 et 17 avril 1945, quand au
moins 600 femmes ont été violées par les troupes françaises, dont une partie de
goumiers.
La pacification du Maroc, de l’Algérie, et de la Tunisie
Dien Bien Phu et la fin de la guerre
d’Indochine ont un retentissement psychologique et politique considérable au
Maghreb. Pourtant, les goumiers, et notamment ceux qui sont rapatriés
d’Indochine au Maroc, conservent leur cohésion et leur attachement à l’armée
française. Ils vont participer à la répression brutale et inhumaine menée par
le colonialisme français contre les révoltes maghrébines dans les trois pays.
La pacification est un terme du vocabulaire militaire et
colonial français. La France a souvent utilisé ce mot comme prétexte pour
pouvoir légitimer ses interventions militaires coloniales. Il est en effet plus
facile pour convaincre l'opinion française et internationale de la nécessité
d'entrer en guerre pour de nobles raisons (libérer, protéger, pacifier) plutôt
que d'en avouer ouvertement les véritables motifs (intérêts financiers, désirs de
conquêtes). Cela nous rappelle les guerres menées récemment contre l’Irak
et la Libye, et actuellement contre la Syrie, pour
« la démocratie » et « contre la tyrannie », alors qu’en
réalité, c’est l’odeur nauséabonde du gaz et du pétrole qui les motive.
En particulier, la pacification de
l'Algérie française au XIXe et XXe a consisté en la répression des
mouvements indépendantistes organisés en guérilla, par les moyens de la guerre
non conventionnelle comme l'usage de la torture ou encore des enfumades. Cette
dernière technique consiste à asphyxier les personnes réfugiées ou enfermées
dans une grotte en allumant devant l'entrée des feux qui consomment l'oxygène
disponible et remplissent les cavités de fumée. Des « tribus »
entières auraient été ainsi anéanties. Un tiers de la population algérienne
aurait été anéanti, c’est ce qu’on appelle un génocide. Comme pour les goumiers,
peu de gens en parlent.
En Tunisie, les troubles qui commencent en 1954 ne sont pas
étrangers à cette situation. Pour y faire face un tabor tunisien est créé sur
le modèle des goums marocain. Le père de Moncef Marzouki s’y engage volontairement.
Fin septembre 1954, les 3e, 8e, et 10e Tabors marocains arrivent successivement
en Tunisie pour y participer aux opérations de « maintien de
l’ordre ». Ils seront rapatriés au Maroc en avril 1956, accompagnés des
goumiers tunisiens. Deux d’entre eux, les 8e et 10e, décidément inséparables,
participent « aux opérations » en Algérie, essentiellement dans les
Aurès, le 8e à partir de janvier 1955, le 10e à partir de mars 1955.
Le rôle complice du commandement français
Bien que
l'original n'ait pu être retrouvé, on connaît la traduction d'une feuille
volante en français et en arabe qui aurait été distribuée par le commandement
français parmi les Goumiers :
« Soldats ! Cette fois-ci ce n'est pas
seulement la liberté de vos pays que je vous offre si vous êtes vainqueurs dans
cette bataille. Derrière l'ennemi vous trouverez des femmes, des maisons, un
vin parmi les meilleurs du monde, vous trouverez de l'or. C'est tout cela qui sera
à vous si vous gagnez. Il vous faudra tuer les Allemands jusqu'au dernier homme
et passer quel que soit le prix. Ce que je vous ai dit et promis, je le
maintiens. Pendant cinquante heures vous serez les maîtres absolus de ce que
vous trouverez derrière les lignes ennemies. Personne ne vous punira pour ce
que vous aurez fait, ni ne vous demandera des comptes pour ce que vous aurez
pris »
Même si
on nie l'existence de cette feuille volante, le consentement du
haut-commandement et des officiers, ainsi que le caractère systématique des
violences, n'en a pas moins conduit à croire qu'une certaine liberté d'action
avait été accordée aux soldats à l'encontre des civils. À ces soldats, en
somme, on aurait accordé le droit de se comporter en criminels.
Rappelons
aussi que la liberté de vol et de viol sur les villes et villages pris était
l'argument majeur des recruteurs Français en Afrique du Nord : ils
faisaient miroiter aux candidats goumiers tous les bénéfices des razzias à
venir, que l’on croyait disparues depuis les invasions hilaliennes. On leur
décrivait les belles femmes italiennes et allemandes, avec forces photos
aguichantes à l’appui, pour recruter «cette chair à canons » que sont les Maghrébins. Ceci nous
rappelle les recrutements actuels de jeunes djihadistes tunisiens pour aller se
faire massacrer en Syrie, avec, à la clé, les mêmes promesses : vol, viol,
et , en cas de décès, paradis plein de houris.
Ces Goumiers d'hier ressemblent aux Djihadistes d'aujourd'hui : le sens immoral, le look et la motivation sont les mêmes |
De plus,
les goumiers d’hier étaient, comme les djihadistes d’aujourd’hui, pour la plupart illettrés. C'étaient des montagnards
frustres qui étaient encadrés par des officiers français à qui ils obéissaient
aveuglément. L'état major français fermait les yeux sur leurs exactions : c'était
une forme de récompense pour ces soldats d'élite. Il n’est guère étonnant, pour
celui qui n’oublie jamais les faits historiques, que ces exactions (viols,
vols, assassinats impunis, etc.) se soient de nouveau répandues aujourd’hui sous
le pouvoir islamiste. Ce sont les mêmes méthodes de recrutement et d’endoctrinement
qui donnent les mêmes résultats sur le terrain.
La dernière prise d’armes.
Le 3 mars 1956, le Maroc devient indépendant.
La Tunisie le devient le 20 mai suivant. De 1908 à 1956 la saga des Goums
marocains aura duré 48 ans. Pendant près d’un demi-siècle, l’uniforme des
Goumiers, à mi-chemin entre le vêtement traditionnel maghrébin et la tenue de
combat moderne, aura été vu, craint et toujours détesté par les populations
civiles des tous les pays : Algérie, Tunisie, Indochine, Italie,
Allemagne. Et pendant cette longue période de combats quasi ininterrompus, les
Goumiers seront restés des fidèles serviteurs du colonialisme contre leurs
propres frères de sang. Traîtres à leurs origines, fidèles à leurs chefs
français. Tout comme son père, Moncef Marzouki trahit les Tunisiens. Pour une poignée de dollars, il n'obéit qu'au Qatar.
استمعت منذ اشهر لى شهادة معتمد سابق بدوز ثم اصبح لا حقا واليا على فبلي
يقول فيها ان اعيان دوز ذكرو له ان والد المرزوقي وشى الى الشرطة الفرنسية
بمفاوم تونسي كان يحمل سلاحا وعندما ارادت قيادة حزب الدستور محاكمته هرب
الى المغرب الكوميه أو القوميه هم البوليس والبوليس السياسي الذي نشرته
فرانسا في تونس ايام الإحتلال لتصيد المقاومين
Nous avons vu, ci-dessus, que le père de Moncef, en fuyant la Tunisie, a obtenu la nationalité marocaine en tant que « bon goumier ». Mais il y a un autre argument qui a facilité son acquisition de la nationalité marocaine : sa première épouse, la mère de Moncef, a toujours été de nationalité marocaine, puis une seconde épouse marocaine.
- A contraint, sous la menace, un juge du tribunal de première instance de Grombalia, a modifier la nationalité de la mère de Marzouki, pour la rendre tunisienne. En effet, le 6 décembre 2011, le juge H.G. (à ne pas confondre avec Hannibal Genseric !!), dont la réputation de juge corrompu est connue depuis l’ancien régime, a été contraint de modifier la nationalité de cette dame décédée depuis belle lurette. Après avoir fait voter les morts et les absents, voilà maintenant qu’on peut changer la nationalité des morts.
La Tunisie islamiste fait des miracles :
Témoignage vidéo (en arabe) : ici
استمعت منذ اشهر لى شهادة معتمد سابق بدوز ثم اصبح لا حقا واليا على فبلي
يقول فيها ان اعيان دوز ذكرو له ان والد المرزوقي وشى الى الشرطة الفرنسية
بمفاوم تونسي كان يحمل سلاحا وعندما ارادت قيادة حزب الدستور محاكمته هرب
الى المغرب الكوميه أو القوميه هم البوليس والبوليس السياسي الذي نشرته
فرانسا في تونس ايام الإحتلال لتصيد المقاومين
والد المرزوقي كان منهم...أما المرزوقي فهو ماسوني مشبوه عينته مدام كورين كومار من رؤوس الماسونية منذ 1998
Moncef Marzouki est marocain de père et de mère
Tunisie-Secret a écrit : "Rappelons que le père de Moncef Marzouki ... n’a pas
quitté la Tunisie parce qu’il était youssefiste. En 1956, année de
l’indépendance, le conflit entre Bourguiba et Salah Ben Youssef était
encore tout à fait à son début et il se limitait à une polémique, par
presse et meetings interposés, entre les deux leaders. Il n’y avait pas
encore des bourguibistes d’un côté et des youssefistes de l’autre, mais
uniquement des destouriens. C’est à partir de 1957 que les bourguibistes
et les youssefistes ont commencé à s’affronter de façon violente.
Jusqu’en 1957, un youssefiste n’avait pas à craindre pour sa vie. C’est
donc pour d’autres raisons que le père de Moncef Marzouki, décédé à
Marrakech en 1988, est parti au Maroc en 1956, l’année de l’indépendance
de la Tunisie. "
PHOTO DE FAMILLE
De passage au Maroc (06/08/2015), Moncef Marzouki a présenté sa famille marocaine sur sa page Facebook.
L’ancien président tunisien, qui était à Marrakech pour assister au congrès de la jeunesse du PJD, parti islamiste, tendance DAECH, puis à Rabat où il a donné une conférence, a profité de sa présence dans le royaume pour rendre visite à ses frères, sa sœur et ses neveux près de l’Oued Ourika.
Son père, Mohammed Bédoui Marzouki, tunisien, a été contraint à s’exiler en 1956 au Maroc, où il s’est marié avec une Marocaine, écrit M3 sur sa page.
PHOTO DE FAMILLE
De passage au Maroc (06/08/2015), Moncef Marzouki a présenté sa famille marocaine sur sa page Facebook.
L’ancien président tunisien, qui était à Marrakech pour assister au congrès de la jeunesse du PJD, parti islamiste, tendance DAECH, puis à Rabat où il a donné une conférence, a profité de sa présence dans le royaume pour rendre visite à ses frères, sa sœur et ses neveux près de l’Oued Ourika.
Son père, Mohammed Bédoui Marzouki, tunisien, a été contraint à s’exiler en 1956 au Maroc, où il s’est marié avec une Marocaine, écrit M3 sur sa page.
Nous avons vu, ci-dessus, que le père de Moncef, en fuyant la Tunisie, a obtenu la nationalité marocaine en tant que « bon goumier ». Mais il y a un autre argument qui a facilité son acquisition de la nationalité marocaine : sa première épouse, la mère de Moncef, a toujours été de nationalité marocaine, puis une seconde épouse marocaine.
Or, selon l’article 40 de la Constitution
tunisienne version 2009, « Peut se porter candidat à la présidence de la
République tous tunisiens jouissant exclusivement de la nationalité tunisienne,
de religion musulmane, de père, de mère, de grands pères paternels et maternels
tunisiens, demeurés tous de nationalité tunisienne sans discontinuité ».
Ainsi donc, pour pouvoir accéder à la présidence de
la république, la mafia islamiste :
- A délibérément
caché au peuple tunisien que le père de Moncef avait acquis la nationalité
marocaine - A contraint, sous la menace, un juge du tribunal de première instance de Grombalia, a modifier la nationalité de la mère de Marzouki, pour la rendre tunisienne. En effet, le 6 décembre 2011, le juge H.G. (à ne pas confondre avec Hannibal Genseric !!), dont la réputation de juge corrompu est connue depuis l’ancien régime, a été contraint de modifier la nationalité de cette dame décédée depuis belle lurette. Après avoir fait voter les morts et les absents, voilà maintenant qu’on peut changer la nationalité des morts.
La Tunisie islamiste fait des miracles :
سبحان من يحيي العظام وهي رميم !!
Hannibal Genséric
Mise à jour 19/11/2014
Un soutien qui en dit long sur les fréquentations et l’évolution du Président tunisien sortant Moncef Marzouki !
Logo de Hizb ut-Tahrir : sur le drapeau
noir, flottant, figure la profession de foi islamique ; la même qui
figure, mais en abrégé, sur le drapeau, aussi noir, du sinistre Daesch
[acronyme de al-Dawla al-Islamiya fi Iraq wa ash-Sham (État Islamique en
Irak et au Levant)].
Ridha Belhaj, porte-parole du Parti islamiste Hizb Ettahrir, parti- succursale tunisienne du mouvement panislamiste Hizb ut-Tahrir, né
d'une scission avec la confrérie des Frères musulmans, parti le plus
fondamentaliste de la scène politique officielle tunisienne, dont les
orientations reposent sur le califat et la Sharia comme constitution*, a
déclaré**, lors d’une conférence de presse tenue ce samedi 15 novembre
2014, que son parti soutient la candidature aux élections
présidentielles du Président sortant Moncef mazouki qui « bénéficie d’une bonne marge de popularité » (dixit Ridha Belhaj), sous-entendu, cela va de soi, auprès des fous de Dieu de Hizb Ettahrir !
Voir aussi :
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