Le lieutenant Aristote Rivera, aumônier de la marine pour la deuxième division de
marine à Camp Lejeune en Caroline du Nord, a publié un sermon de Pâques
intitulé « De
quoi les gens ont-ils parlé lors de la première Pâques ? » sur un
site Web de l'armée américaine. L'article, publié le 30 mars 2021, traitait de
la question de savoir de quoi parlaient les premiers chrétiens [à Pâques] :
« Ont-ils parlé de l'amour de Dieu, ou de la façon dont Dieu nous aime
inconditionnellement ? Ont-ils mentionné comment Dieu nous aide dans les
moments difficiles ? Les apôtres ont-ils incité les autres à se souvenir de
Jésus et à suivre ses enseignements ? Se sont-ils réunis dans des synagogues
pour discuter des implications éthiques d'aimer vos ennemis et de prier pour
ceux qui vous persécutent ? » et,
Pierre a-t-il " donné des instructions sur la manière de mémoriser des
versets bibliques, d'aller à l'église le dimanche, d'être gentil avec les gens,
d'arrêter de dire de gros mots et de commencer à devenir de meilleures
personnes ?"
Rivera répond en affirmant qu'ils ont discuté du rejet de Jésus par les Juifs ; plus précisément, que Pierre s'est adressé aux "hommes d'Israël", en disant "vous avez crucifié et tué" Jésus.
« Une façon de résumer le premier message de Pâques était ceci : ‘Jésus a vécu. Vous l'avez tué. Dieu l'a ressuscité. Nous l'avons vu. dites pardon.'"
La
Military Religious Freedom Foundation (MRFF),
un groupe qui défend les soldats et les anciens combattants qui signalent la
discrimination dans l'armée, a immédiatement envoyé
une lettre aux services du siège de Washington qui géraient le site Web. Dirigé par le fondateur et président du MRFF, Mikey
Weinstein, 32 militaires de haut rang et employés civils du DoD dans
le grand Washington, D.C. région, dont 24 sont
juifs, ont signé sur la lettre [suivante] :
"Alors que l'Amérique est encore sous le choc quotidien de l'horrible choc de
la haine extrémiste de tous les coins de notre pays, vient
maintenant cet article étonnamment antisémite imprimé, il n'y a même
pas un mois, en apparente célébration de Pâques par le ministère officiel de la
Défense (DoD), Service du siège de Washington.
Cette
saleté putride, crachant et enfonçant les fondations de l'ancien peuple juif
détesté en tant que "Christ Killers", est tout simplement l'une des
ordures diffamatoires les plus antisémites et antijuives de la vieille école
que nous ayons vues ici au MRFF depuis très longtemps.
Pourtant, une fois de plus, le Vaisseau Mère du christianisme fondamentaliste dresse sa
tête répugnante, cette fois dans une publication Internet officielle
du siège du DoD écrite par un officier/aumônier de la marine américaine pour
que TOUT le monde puisse la voir.
Et quel est son principal thème ou sa thèse sale ?
Il s'agit, littéralement, de blâmer UNIQUEMENT le peuple juif
("Hommes d'Israël") pour l'horrible exécution de Jésus-Christ sur la
croix.
Mme Meiners, cette chape misérable est absolument vile, diabolique, du fanatisme
haineux et du racisme rapace vomi de la bouche de cet officier
militaire / aumônier / auteur des États-Unis et entièrement approuvé par votre
point de presse officiel de haut niveau du DoD, le service du siège du DoD à
Washington.
La Military Religious Freedom Foundation exige que l'aumônier de
la marine (lieutenant) Rivera, qui est également diplômé de West Point, et toute autre
personne directement ou indirectement responsable de cette
publication époustouflante, déshonorante et malveillante de préjugés abjects, fassent
l'objet d'une enquête agressive et qu’ils soient immédiatement et visiblement punis
par le ministère de la Défense.
De plus, le MRFF exige en outre des excuses immédiates et sincères par écrit de la
part du service du siège du DoD à Washington, que vous dirigez et supervisez
actuellement. »
L'article incriminé a été retiré mais les Anciens combattants juifs des États-Unis d'Amérique (JWV) ont exigé des mesures disciplinaires à l'encontre du Lt. Rivera.
"Lt. Rivera a inclus ce que JWV considère comme un message antisémite dans un article de Pâques qu'il a écrit pour le service du siège du ministère de la Défense à Washington », a écrit l'organisation au service du siège du ministère de la Défense à Washington. "En plus des excuses et de l'aveu d'actes répréhensibles du lieutenant Rivera, nous demandons également au ministère de la Défense de publier une déclaration reconnaissant la nature antisémite de l'article. ”
Nulle part dans le sermon de l'aumônier de la Marine, il n'a utilisé le mot "Juif" - pas plus que Pierre - et il est présomptueux pour les Juifs de penser que l'expression "hommes d'Israël" a quoi que ce soit à voir avec eux - parce que de leur propre aveu ils ne sont pas Israël.
Ancienne photo de juifs ashkénazes/Khazars |
Selon l'Almanach juif de 1980, "à proprement parler, il est incorrect d'appeler un ancien Israélite un Juif ou d'appeler un Juif contemporain un Israélite ou un Hébreu".
Les ancêtres de nombreux Juifs d'aujourd'hui ont rompu tout lien légitime qu'ils auraient pu avoir avec le peuple israélite il y a 2000 ans — après que les vrais Israélites ont cloué Christ sur la croix - comme en témoigne Pierre dans Actes 2: 22-23 - il y en avait beaucoup qui ne s'en sont pas repentis.
Ces
Juifs impénitents, dirigés
par les Pharisiens, ont fomenté une révolution en Judée qui a abouti à la
destruction du temple en 70 après JC - le tournant où les Juifs ont
complètement rompu avec la religion des Hébreux et leur réfutation
d'inspiration babylonienne de la Torah, connue sous le nom de Talmud est devenu
le fondement
de leur nouvelle religion — le judaïsme :
Depuis [la destruction du temple], le judaïsme
s'est développé entièrement à partir des enseignements des pharisiens.
Comme le note Joachim Jeremiah, « le rôle sadducéen s'est terminé avec la
chute de Jérusalem, et la tradition [religieuse] [par la suite] qui nous a été
transmise et fixée par la parole écrite [sous la forme de la Mishna] à partir
du deuxième siècle, est venue exclusivement de leurs ennemis — les pharisiens
» (Jérusalem au temps de Jésus, p. 243).
En effet, comme cité plus tôt dans The Jewish Encyclopedia, « le pharisaïsme a façonné le caractère du judaïsme ainsi que la vie et la pensée du Juif pour tout l'avenir » (« Pharisiens »). Dans le même ordre d'idées, George Robinson écrit : « L'importance des pharisiens ne saurait être surestimée. Au lendemain de la destruction du Second Temple, ce n'est que grâce aux efforts des rabbins, les héritiers de la vision du monde pharisaïque, que le judaïsme [plutôt, le pharisaïsme, car le judaïsme n'avait pas encore complètement fusionné] a pu survivre à tous » (Essential Judaism, p. 321).
Avec ce rejet du Christ comme le messie légitime et promis d'Israël, les Juifs de la diaspora sont naturellement tombés dans l'anarchie, contestant sans cesse toute la Torah - et remplaçant la parole de Dieu par la sagesse des rabbins. Et la preuve de cette anarchie est leur rejet des règles d'Israël sur l'ascendance patrilinéaire - et leur remplacement par l'ascendance matrilinéaire - vers 200 après JC, selon leur propre histoire.
Ce fut un tournant crucial dans la création du peuple juif tel que nous le connaissons aujourd'hui - les rabbins ont approuvé le mélange des races - le père n'avait plus besoin d'être israélite tant que la mère l'était - en contradiction directe avec Deutéronome 23:2 - et détruisant ainsi toute revendication de légitimité d'identité israélite.
Selon Shaye D. Cohen, professeur Littauer de littérature hébraïque et de philosophie à l'Université de Harvard, à cette époque entre la destruction du temple et 200 après JC, les sages juifs - ou Tannaim - ont peut-être développé la rationalisation de la descendance matrilinéaire en observant le mélange dans l'élevage dans le règne animal.
Malgré l'interdiction biblique de l'élevage d'animaux d'espèces différentes, soutient Cohen, les sages juifs ont émis l'avis dans la Mishnah (Kilaiim 8: 4) qu'un mulet dont la mère était un cheval et dont le père était un âne devrait être autorisé à s'accoupler avec les chevaux - ce qui implique que la «cavalerie» est transmise par la mère, quelle que soit l'espèce du père - un concept que les rabbins ont ensuite extrapolé pour opérer au-delà du règne animal.
Cette rationalisation du mélange racial est typique de la mentalité talmudique - ils savent que la Bible interdit le mélange - mais au lieu de simplement se soumettre à la loi de Dieu, ils fabriquent une justification pour enfreindre la loi.
Leur rejet de la loi morale interdisant le mélange s'accompagnait d'une licence et d'une confusion sexuelles - l'identité du père serait toujours mise en doute avec les femmes en promiscuité - de sorte que l'identité juive d'un enfant ne pouvait être confirmée que par la mère - l'identité matrilinéaire - et après-coup, la justification talmudique d'un comportement anarchique.
Un
article de 1956 du New York Times soulevait la question de savoir si les
Juifs constituaient ou non un groupe racialement identifiable, et le rabbin
Samuel Silver – rédacteur en chef du American
Judaism
et directeur de l'information de l'Union of American Hebrew Congregations –
niait catégoriquement que la «race» avait quelque conséquence quant à ce que
sont les Juifs :
“ Les caractéristiques raciales sont secondaires
par rapport aux valeurs morales et spirituelles qui s'acquièrent par
l'éducation et l'héritage religieux. L'idée que tous les Juifs sont racialement
semblables est contraire aux récits de la Bible qui parlent d'un mélange de
Juifs avec de nombreuses autres souches."
Bien sûr, la Bible ne dit rien de tel - les seuls peuples avec lesquels les Israélites étaient autorisés à "se mêler" étaient les purs peuples adamiques des nations originelles de Genèse 10 - dont Jacob et ses fils prirent leurs femmes.
Ces Juifs apostats à la suite de la destruction du temple en 70 après JC étaient ceux qui ignoraient les lois bibliques du mariage pour les Israélites - et "se mêlaient" à qui ils voulaient - Arabes, Perses, Khazars, Mongols, Turcs - puis les rabbins concoctaient une rationalisation élaborée et fantaisiste pour le justifier.
Dans
son livre de 1953 Israel Between East And West, l'ethnologue juif Dr. Raphael Patai l'a confirmé
à propos de la diversité ethnique des Juifs dans le monde,
"On a ainsi l'impression que les Juifs n'appartiennent pas à un seul
groupe racial homogène."
Dr. Camille Honig, rédacteur en chef de la California
Jewish Voice, a conclu ce qui suit sur la composition raciale des Juifs sur
la base du travail de Patai,
"Si vous avez étudié les types et les communautés juives sur les cinq
continents, comme cet écrivain [Patai] a eu l'occasion de le faire, vous auriez
réalisé que c'est un pur non-sens, et un non-sens très dangereux, ainsi qu'un
non-scientifique de parler d'une race juive. ”
Les Juifs d'aujourd'hui sont composés de trois grands groupes - les Ashkénazes, les Séfarades et les Juifs "orientaux" - et tous les trois ont une ascendance raciale très distincte basée sur les pays d'accueil avec lesquels ils se sont "mêlés" - c'est pourquoi les Juifs ont des types raciaux si divergents.
Compte tenu de cette confusion raciale, il est absolument absurde pour les Juifs de prétendre être des "hommes d'Israël" - ils ont renoncé au droit de s'appeler "Israël" au pied de la croix - puis en rejetant les lois strictes du mariage, se mélangeant dans l'oubli au point où ils n'ont même pas le droit de prétendre qu'ils sont plus un peuple discernable - à l'exception de leur seul point commun - leur haine pour - et leur rejet - du Christ.
Non, les juifs ne s'excuseront jamais d'avoir crucifié le Christ - mais ils exigent des excuses de tout chrétien qui mentionne qu'ils l'ont crucifié – Et il est sûr qu'ils le referaient s'ils en avaient l'occasion: Vidéo
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gouvernée par le Talmud: est-ce une bonne chose ?
Hannibal
Genséric
Alors selon ces juifs là, les chrétiens ont interdiction de prêcher leur foi !
RépondreSupprimerExactement, comme ils l'ont fait aux USA, où les sectes des "évangélistes/sionistes" sont plus juifs que les talmudistes.
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