Les Shabbos-Goyim

La défunte sainte du calendrier communiste, Rosa Luxemburg, qualifiait souvent ses adversaires de « shabbos-goyim », c'est-à-dire de serviteurs des Juifs. Un shabbos-goy est un non-Juif qui se plie aux moindres désirs et caprices des Juifs, notamment en politique, ou un non-Juif qui soutient fermement Israël, précise le dictionnaire. Ils constituent une espèce à part.

On peut débattre de la réussite des Juifs à gouverner les pays qu'ils dirigent. Il existe des exemples plus ou moins réussis. Généralement, le pouvoir juif est bénéfique pour le roi et sa clique, et néfaste pour le commun des mortels. Les politiques d'une élite cosmopolite étrangère peuvent rencontrer la résistance de la majorité de la population de n'importe quel pays, mais une fois qu'une classe de shabbos-goyim  s'est développée, personne ne peut échapper à la domination juive, ce qui conduit inévitablement le pays à sa ruine.

C'est ce qui s'est produit avec la Pologne ; c'était un royaume puissant qui avait combattu avec succès la Russie et la Turquie. Mais les Polonais ont laissé les Juifs diriger leur pays, et en un rien de temps, la Pologne s'est effondrée et a été divisée. C'est ce qui s'est produit avec la Russie ; une forte influence juive l'avait conduite au bord de l'effondrement en 1991, et Poutine n'a réussi qu'avec beaucoup de difficulté à stabiliser le pays. Depuis le coup d'État américain de 2014, l'Ukraine est dirigée par des Juifs, et elle est maintenant en voie de destruction.

Les États-Unis sont un pays gouverné par des shabbos-goyim , à commencer par LB Johnson, c'est-à-dire après Nixon. Donald Trump, homme imposant en apparence, d'âge, de taille et de poids respectables, s'est également révélé être un shabbos-goy . Il l'a lui-même admis lors d'un discours à la Knesset. Il s'avère qu'il rencontrait le plus souvent des juifs américains, propriétaires de casinos, qui ont financé son accession à la Maison Blanche. Même le jeune Kushner, son gendre, et le père de ce dernier, Charles Kushner, est un escroc notoire et condamné (comme la plupart des hommes d'affaires juifs), puis gracié par Trump, est aujourd'hui ambassadeur des États-Unis à Paris, déterminent les actions de Trump. Leur plan (à Trump et aux Kushner) est de détruire Gaza et de construire un country club pour les riches juifs  sur ses ruines, afin d'en tirer une fortune.

Les Américains n'ont pratiquement pas le choix : tous les politiciens en compétition sont des shabbos-goyim . Sur 535 députés américains, un seul, Thomas Massie, refuse les pots-de-vin juifs. Mais que peut-il faire seul ? À terme, les États-Unis s'effondreront, car un pays dirigé par des shabbos-goyim  doit fatalement s'effondrer, car le gouvernement ne représente pas le peuple américain. Le pouvoir de l'AIPAC sur le Congrès américain prouve que les États-Unis sont dirigés par des donateurs juifs. Entre les oligarques juifs et leurs shabbos-goyim , ils ont mis la main sur la quasi-totalité des médias. Le plus extraordinaire est qu’une grande partie de ces largesses juives provient directement du Trésor américain.

« Le soutien inconditionnel à Israël est un test décisif d'acceptabilité par les principaux médias américains. Les experts en devenir gagnent leurs galons en affichant leur attachement à Israël (et, vraisemblablement, à d'autres questions juives). Il semble difficile d'expliquer cette forte préférence pour Israël en l'absence d'un facteur de sélection déterminant, résultant d'attitudes individuelles. Et il est évident que, si les Juifs figurant sur cette liste doivent être considérés comme des acteurs ethniques, les non-Juifs font assurément un excellent choix de carrière en adoptant les positions qu'ils adoptent », a écrit Kevin Macdonald.

Quelles sont les caractéristiques intrinsèques d'une société gouvernée par des shabbos-goyim  ? La première est le fossé entre les riches et les citoyens ordinaires. Les riches sont récompensés et s'enrichissent, tandis que le citoyen moyen s'appauvrit de plus en plus. Dans tout pays, il existe des disparités de richesse, mais pas d'une telle ampleur. Cela s'explique par le fait que les Juifs favorisent outrageusement leurs amis  et étranglent leurs ennemis. Ils sont très cohérents sur ce point. Lorsqu'ils prennent le dessus, ils s'emparent du trésor et partagent librement les richesses du pays avec leurs compatriotes shabbos-goyim . Si vous êtes pro-juif, vous et votre famille serez glorifiés dans les médias et couverts de contrats lucratifs. Si vous traînez les pieds, vous serez cloués au pilori et appauvris. C'est la leçon qu'ils enseignent, et ils n'ont pas peur de le dire et de l’appliquer.

Deuxièmement, ses guerres. Les Juifs adorent les guerres, tout comme leurs shabbos-goyim . Ils n'aiment pas les guerres au point d'y participer, mais juste assez pour les provoquer et en savourer les conséquences. Leur oiseau national est le chickenhawk (NdT. le faucon, mais il désigne ici le   politicien favorable à la guerre mais qui ne s'est jamais engagé dans le combat lui-même), telle est l'attitude juive typique envers les guerres. Les Juifs étaient en première ligne pour inciter à la Première Guerre mondiale, à la Seconde Guerre mondiale, aux guerres d'Irak et d'Iran, et à toutes les guerres régionales de moindre envergure, mais ils se retirent en arrière-garde et laissent leurs shabbos-goyim  mener les hostilités une fois le conflit déclenché. Si la guerre devient impopulaire, ce sont les shabbos-goyim  qui en assument la responsabilité. Les shabbos-goyim  les plus célèbres aux États-Unis, comme Lindsey Graham, n'ont jamais participé à une guerre, mais ont toujours voté pour. Récemment, notre principal shabbos-goy, le président Trump, a promis de renforcer la campagne électorale de Graham, le soutenant parce qu'il est néoconservateur (et nous savons tous ce que cela signifie). Même les Juifs les plus belliqueux, les Israéliens, préfèrent tuer des agriculteurs palestiniens désarmés ou déverser leurs missiles sur leurs ennemis à distance. Aujourd'hui, les Juifs américains poussent leur administration de shabbos-goyim  à combattre la Russie en soutenant les shabbos-goyim  ukrainiens dans leur guerre. Ils savent pertinemment que Russes et Ukrainiens ont vécu des siècles en parfaite union, jusqu'à l'arrivée de Mme Nuland, armée de milliards de dollars pour fomenter son coup d'État juif et sa guerre juive.

Les shabbos-goyim  qui gouvernent le pays au nom de leurs maîtres juifs n'ont aucune empathie pour leurs sujets. Absolument aucune. C'est le dogme religieux juif : il est interdit à un Juif d'éprouver de la compassion pour un Goy. Et en même temps, tous les Juifs sont tenus d'aider tous les autres Juifs. Ainsi, ils complotent contre les goyim. Impossible de contourner cela. Dans 2001 de Stanley Kubrick, HAL 9000 était accompagné d'une directive de méfiance envers l'équipage, ce qui a finalement entraîné la destruction de l'équipage et de la mission. De même, on apprend aux Juifs à se méfier des goyim, même de leurs propres shabbos-goyim . Lorsque la méfiance juive se transforme en révolution juive, même les collaborateurs en paient le prix fort. Les Juifs religieux haïssent les goyim « à cause du Talmud ». Les Juifs non religieux haïssent les goyim « à cause de leur race ». Il est tout simplement impossible de les raisonner.

Mais le marqueur le plus important d'une société gouvernée par les shabbos-goyim  est une politique publique opposée au Christ. C'est la norme sur laquelle repose tout l'édifice juif. De fait, l'Église et le Christ ont été mis à l'écart par les politiques gouvernementales aux États-Unis et chez tous ses alliés. Ils interdisent toute référence à Noël, préférant les fêtes d'hiver. Au lieu des Béatitudes du Christ, les écoles et les administrations américaines affichent le Décalogue, les Dix Commandements de l'Ancien Testament. Dans la conception juive, « Tu ne tueras point » signifie simplement « Tu ne tueras point un Juif ». Selon la loi juive, tuer un goy est une infraction mineure, voire inexistante. La plupart des chrétiens ne comprennent pas que les lois noahides sont destinées à remplacer le christianisme.

« Les sept lois noahides constituent un ensemble de principes moraux et éthiques issus de la tradition juive, considérés comme contraignants pour toute l'humanité, et pas seulement pour le peuple juif. » [1]

Les fidèles laïcs qui promeuvent les lois noahides comme œcuméniques et tournent en dérision les principes du christianisme, les jugeant source de divisions, pourraient tout aussi bien être qualifiés de juifs. Ils haïssent tellement le Christ qu'ils préfèrent vivre dans un « État laïc » sous domination juive. À l'instar de l'expression « Christ est Roi », les États chrétiens et musulmans sont par définition interdits, simplement parce que de telles choses ne peuvent leur appartenir.

En Angleterre, pays précurseur dans sa marche vers un univers ordonné par le judaïsme, il est interdit de faire référence au saint patron de l'Angleterre, saint Georges, et de nombreux Britanniques ont été arrêtés pour avoir brandi cette bannière. Voici la ruse employée par les shabbos-goyim  anglais : ils prétendaient agir ainsi pour les immigrants musulmans, et non pour les Juifs. C'est un mensonge : les musulmans adorent le Christ, sa mère et saint Georges (ils l'appellent « Al Hadr », et de nombreux sanctuaires portent son nom glorieux). Ce mensonge a pour effet bénéfique de monter les musulmans et les chrétiens les uns contre les autres. Voici le résumé historique jusqu'à présent : premièrement, les shabbos-goyim  reçoivent l'ordre de bombarder les pays musulmans pour les ramener à l'âge de pierre ; deuxièmement, le clergé juif prêche qu'il est de leur devoir moral chrétien d'accueillir des réfugiés musulmans ; troisièmement, chrétiens et musulmans sont entraînés à s'affronter dans leurs prisons urbaines, pour le plus grand plaisir des juifs et de leurs shabbos-goyim .

Existe-t-il une méthode particulière utilisée par les Juifs et les shabbos-goyim  pour gérer les pays qui tombent sous leur domination ? Absolument. Premièrement, détruire l'indépendance de leurs sujets, les obligeant ainsi à dépendre de l'aide gouvernementale. Deuxièmement, instaurer des contrôles stricts afin que personne ne puisse s'en échapper. L'origine de ce système est attribuée dans la Bible à Joseph, qui (1) a appauvri les paysans égyptiens et (2) les a rendus dépendants de la bienfaisance du souverain. En bref, la méthode juive habituelle de gouvernement consiste à contrôler les populations par le démantèlement de l'économie (capitalisme vautour) et par des injections de fonds publics, de haut en bas, aux shabbos-goyim  coopératifs et aux districts qu'ils gouvernent.

La Palestine est une terre prospère, où les paysans peuvent vivre modestement, mais convenablement, de la terre et de la mer. La première chose que les Juifs ont faite à Gaza a été de détruire tous les moyens de subsistance des autochtones, que ce soit la pêche ou l'agriculture, puis d'assiéger l'enclave à la manière médiévale. Ils ont également déraciné leurs anciennes oliveraies, car les oliviers fournissent de l'huile à leurs propriétaires, ce qui leur permet de vivre indépendamment de l'économie juive. Cela est interdit sous le régime juif.

Le massacre de Gaza était censé ouvrir les yeux de tous ceux qui n'étaient pas encore pleinement conscients de la nature génocidaire du paradigme juif. Ce n'est pas le premier massacre en Palestine : je me souviens du génocide déclenché lors de la deuxième Intifada, de 2000 à 2005, qui fut tout aussi terrible que celui de Gaza. La méthode est toujours la même : réduire les pauvres à la pauvreté, puis remettre les leviers du pouvoir entre les mains des Juifs.

Hochez la tête sagement, mais devinez quoi : les États-Unis suivent le même chemin que la Palestine. Leur classe moyenne s’évapore sous les lourdes taxes, les riches shabbos-goyim s’enrichissent et paient peu ou pas d’impôts ; pendant ce temps, les pauvres font la queue pour de la soupe gratuite. Bientôt, la République américaine s’effondrera, comme tous les États gouvernés par des juifs. L’État juif d’Israël se serait effondré depuis longtemps, mais son grand frère, les États-Unis, le soutient sans relâche. Rien qu’au cours des deux derniers mois, les États-Unis ont accordé 40 milliards de dollars à Israël.

Ce n'est pas la première fois que les Juifs et leurs shabbos-goyim  prennent le contrôle d'un État. Je suis convaincu que le résultat sera le même. Mais ne désespérez pas ! Notre ami Gilad Atzmon a récemment publié ce commentaire encourageant :

La Nouvelle Droite américaine s'éveille, libérée des partis politiques et de toute forme de rectitude. Les principaux agitateurs de MAGA n'ont pas tardé à se retourner contre leur leader, réalisant qu'il n'avait aucun plan à mettre en œuvre. Ils ont vite compris que le sujet tabou était de nature casher, et ce depuis longtemps. Si le « pouvoir juif » est un sujet tabou dans les cercles de gauche et les groupes de solidarité avec la Palestine (ils iront jusqu'à parler de « pouvoir sioniste »), personne au sein de la droite américaine ne semble hésiter à évoquer le mot commençant par J et la domination de la tribu sur la vie américaine.

Le changement que nous observons actuellement au sein de la droite américaine pourrait bien être bien plus significatif que des décennies de solidarité palestinienne de gauche, pour la simple raison que la droite américaine et la droite chrétienne ont pris conscience de la véritable nature morbide de l'État juif et de la théologie qui l'a façonné. La théologie juive, ou la religion en général, dépassent l'entendement de la gauche.

Comme le dit E. Michael Jones, nous devons briser le tabou juif. En nous censurant, nous empêchons toute discussion sur le sujet tabou. Sun Tzu a dit : « Sans la connaissance de vos forces et de vos faiblesses (se connaître soi-même) et sans la compréhension des capacités et des intentions de votre ennemi (se connaître lui-même), vous ne pouvez remporter la victoire et êtes voué à la défaite. » En fermant volontairement les yeux sur une élite étrangère antichrétienne parmi nous, nous assurons sa victoire. Nous ne sommes prêts à mener la guerre culturelle qu'après avoir délibérément mis des œillères, de peur de l'offenser. Notre ennemi (que nous devons tolérer charitablement) n'a aucun scrupule ; il est comme Abimélek qui poursuit son attaque contre la ville jusqu'à ce qu'il la prenne, tue ses habitants, détruise la ville et finisse par y jeter du sel.

Tel est l'avenir de chaque ville américaine qui refuse d'ouvrir les yeux sur la réalité. Les cartes sont déjà distribuées : les moteurs économiques traditionnels de chaque ville américaine ont été démantelés et exportés en Chine. Pendant ce temps, les seules villes américaines prospères sont celles qui obtiennent de lucratifs contrats fédéraux pour soutenir les campagnes de réélection des shabbos-goyim coopératifs. La méthode de la carotte et du bâton est un moyen efficace de former des populations captives, mais jusqu'à présent, les États-Unis ont été suffisamment grands pour résister aux pires de leurs ravages. Lorsque l'Est est sous pression, la population fuit vers l'Ouest. Lorsque la côte Ouest est sous pression, la population fuit vers l'Idaho. Comme le boa constrictor, chaque fois que nous trouvons de l'espace, ils resserrent leur emprise.

La plupart des gens croient que les villes sont déjà perdues. Ce qu'ils ne comprennent pas, c'est que la ville la plus pauvre est plus libre que la plus riche, car les richesses des villes riches sont distribuées par les shabbos-goyim  pour plaire à leurs maîtres. C'est finalement autodestructeur, et je suppose qu'ils obtiennent ce qu'ils méritent. Le plus triste, c'est de voir les villes américaines pauvres rivaliser pour attirer les faveurs du judaïsme international. Elles se prostituent au lieu de se livrer à un travail honnête. Le joyau au cœur de MAGA est l'industrie manufacturière américaine. Sans industrie, MAGA n'est que du vent et des subventions gouvernementales. Si Trump renforce l'industrie manufacturière américaine, il fera le bonheur des électeurs de MAGA, mais le mécontentement du judaïsme international. Si Trump évite les « implications étrangères », il fera le bonheur des électeurs de MAGA, mais le mécontentement du judaïsme international. Je me demande ce qu'il fera ?

Israël Shamir • 23 octobre 2025

--------------------------------------------

[1] Racisme anti chrétien. « La loi de sensibilisation à l’antisémitisme de 2023 »
-  La pandémie Noahide
-  Connaissez-vous le noachisme ?
-  Patrick O'Carroll - Le Sanhédrin honore Trump comme « Antéchrist préparatoire »
-  L'Amérique gouvernée par le Talmud: est-ce une bonne chose ?
-  LE TALMUD révélé. 2. La haine raciste envers les non-juifs et envers Jésus et Marie
-  Donald Trump reconnaît le faux messie du judaïsme hassidique, « Rabbi » Menahem Mendel Schneerson, et le qualifie de « roi ».
-  Pourquoi les États-Unis honorent-ils un rabbin raciste, Menachem M. Schneerson, prônant le génocide des non juifs ?
-  Que dit le judaïsme rabbinique sur ce qui différencie les Juifs et les Gentils?

Hannibal Genséric