Un sinistre rapport du Conseil de sécurité russe circulant
aujourd'hui 25/11 au Kremlin stipule que le Président Poutine vient d’approuver
une mesure du Conseil de la Fédération annulant
la doctrine militaire russe existante qui interdit l'utilisation d'armes de
destruction massive en première frappe et la remplaçant par l’autorisation à
lancer des premières frappes nucléaires.
Cette mesure est jugée essentielle pour la survie de la Patrie
après que le chef d’état-major britannique, Mark Carleton-Smith, eut
déclaré de manière stupéfiante hier que «la Russie
est une menace bien plus grande pour la GB que le groupe terroriste État
islamique ». La réponse à cette déclaration est qu’une
«guerre de 20 minutes», suffit pour que le Royaume-Uni cesse d'avoir une quelconque pertinence sur le plan mondial.
Or, en vertu de la «doctrine
Ivanov» [1], il est impératif de stopper
l'agression en forçant l'ennemi à mettre fin à l'action militaire en menaçant
de déclencher ou en livrant effectivement des frappes d'intensité variable
utilisant des armes classiques et / ou nucléaires.
Le président Poutine a déjà
averti l'Occident qu'il était prêt à utiliser des armes nucléaires si la Russie
faisait l'objet d'une
attaque à l'aide de missiles , en déclarant: "Pour
parler franchement, nous ne sommes pas les premiers à avoir lancé tout cela".
Il a ajouté, de façon apocalyptique "L'agresseur devrait savoir que
les représailles sont inévitables et qu'il sera détruit ... nous serions
victimes d'une agression et nous irions au paradis en martyrs". [2}
L'objectif principal de la «Doctrine Ivanov» était de permettre une
première frappe nucléaire contre les forces ennemies, puis d'interrompre le
déclenchement de nouvelles frappes afin de permettre à l'Occident de déterminer
s'il souhaitait se lancer dans une guerre nucléaire mondiale qui détruirait la
planète, ce que les arsenaux d’armes nucléaires des États-Unis et de la Russie sont
en mesure de réaliser en une heure ou deux.
Toutefois, aux termes des nouveaux pouvoirs de première frappe
nucléaire qui viennent d’être accordés au président Poutine, une attaque par missiles contre la Russie n’est plus la norme pour lancer des armes
nucléaires. Désormais, la riposte nucléaire russe sera utilisée même si un ennemi
attaque la Russie en utilisant des armes classiques, comme la Grande-Bretagne se prépare à le faire,
en supposant que la puissance nucléaire américaine va dissuader la Russie de riposter à la GB.
En effet, les manœuvres utilisées par les Britanniques pour
provoquer une guerre avec la Russie ont
commencé ce mois-ci lorsque leur secrétaire
aux Affaires étrangères a rencontré le chef de l'organisation terroriste
syrienne des "Casques blancs", qui, il y a
quelques heures à peine, ont
bombardé la ville syrienne d’Alep avec des réservoirs remplis de chlore, ce qui
a conduit plus de cent personnes dans des hôpitaux présentant des symptômes
typiques d’empoisonnement au chlore, tels que l’étouffement . En représailles, les forces aériennes
russes ont rapidement attaqué ces terroristes.
Dans un effort supplémentaire pour entraîner la Russie dans la
guerre, la
Grande-Bretagne a annoncé la semaine dernière qu'elle déployait ses Royal
Marines et un navire de guerre dans la région instable de l'Ukraine, dont
les conséquences dramatiques ont été de faire entrer illégalement des navires
de guerre ukrainiens dans les eaux territoriales russes sans autorisation, ce
qui a entraîné l’arraisonnement de ces navires par la marine russe [3].
Ce rapport explique que la Grande-Bretagne tente de provoquer une
guerre occidentale contre la Russie, car elle ne veut pas que le peuple
américain découvre comment elle
a conspiré pour renverser le président Trump lors d'un coup d’État.
Pendant ce temps, ses propres citoyens sont sur le point d'exploser de colère
après avoir appris comment leurs propres dirigeants les ont vendus dans le
cadre de l'accord de divorce autour du Brexit. Dans ces circonstances, il n’est
pas étonnant que les Nations Unies aient publié, la semaine dernière, un rapport déclarant
gravement que «l'ennemi de la GB n'est pas la Russie mais sa propre classe
dirigeante ».
Tout aussi choquant que ce rapport de l'ONU avertissant le peuple
britannique que sa propre classe dirigeante soit son principal ennemi, poursuit
ce rapport, l'organisation internationale de dénonciation, Anonymous,
a dévoilé la semaine dernière une énorme opération psyop financée par le
gouvernement britannique et par le Régime Obama visant à créer un «service
secret d'informations à grande échelle» en Europe, le tout sous le
prétexte inventé de contrer la «propagande russe».
Le meilleur exemple de l'inefficacité de cette opération psychologique
du régime britannique et d'Obama dans la diabolisation honteuse de la Russie dans
les médias occidentaux est illustré par le journaliste britannique Simon
Rite, qui, dans son article intitulé «La
stupidité d'une couverture médiatique dominante m'a permis de défendre les
Russes… à nouveau! »- dans laquelle il déclare que presque personne en
Occident ne sait que Moscou
a été désignée comme l'une des 10 meilleures villes du monde sur 100 grande villes du monde.
Tulsi Gabbart |
L'espoir qu'une guerre nucléaire mondiale puisse être évitée avant
que la Grande-Bretagne incite la Russie à lancer une première frappe, conclue ce
stupéfiant rapport, semble reposer maintenant entre les mains d'un membre
démocrate du Congrès américain nommé Tulsi Gabbard, major de l'armée américaine. et ancien
combattant de guerre (selon beaucoup, elle
serait candidate à la présidence américaine en 2020 ) qui, en 2015, s’est
directement opposée le président Obama au sujet de la guerre illégale menée par
les États-Unis en Syrie, et qui, de ce fait, a amené beaucoup de gens à
croire que le président Trump la nommerait en tant que secrétaire d'État après l'avoir
rencontré en secret à la Trump Tower, juste après son élection. De plus, Trump,
l'envoyant plutôt dans une mission secrète pour rencontrer le président syrien
Assad [4], ce qui a permis à Trump de
mettre fin à l'aide de la CIA aux forces terroristes en Syrie. Tulsi a aussi attaqué ouvertement l'ancien commandant de
l'OTAN, Philip Breedlove, lors d'une audience publique du Congrès américain sur
l'hypocrisie américaine face aux affirmations selon lesquelles la Russie se
mêlerait des élections américaines, en lui rappelant qu’en réalité, ce sont les
États-Unis qui sont intervenus dans des élections dans plus de 80 pays, dont
la Russie, depuis plusieurs décennies.
Aujourd'hui, on la voit jouer
le rôle de «bon flic-méchant flic» avec Trump sur l'Arabie saoudite alors
qu'elle continue de détruire l'establishment du parti démocrate de l’intérieur.
Plus important encore, elle
est en train de rassembler autour d'elle un petit groupe de démocrates du
Congrès américain, qui tentent de limiter la capacité de tout président et / ou
gouvernement des États-Unis de commencer des guerres illégales, plus
particulièrement des guerres nucléaires. Mais personne ne semble se rendre
compte qu’en tant qu'officier américain, elle reçoit ses ordres de son
commandant en chef, le président Trump, et non pas du Parti Démocrate.
Source : Russian Shock Move Prepares For “20 Minute War” To Nuke United Kingdom Into Global Irrelevance
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Mise à jour le 27/11
Mise à jour le 27/11
Le Royaume-Uni joue avec le feu en provoquant la Russie
La Cour
constitutionnelle ukrainienne a récemment donné son feu vert à un projet de loi
visant à y inscrire l’objectif final de l’Ukraine, l’obtention de son adhésion à l’OTAN et à
l’UE. La décision a été annoncée le lendemain d’une déclaration conjointe des ministères de la
défense du Royaume-Uni et de l’Ukraine qui soulignaient la nécessité
d’étendre leur coopération militaire avec le pays. Les chefs de la défense ont
convenu que l’opération Orbital, le programme d’entraînement de
l’Armée de terre ukrainienne lancé en 2015, a été une réussite qui doit se
poursuivre au moins jusqu’en 2020. Des instructeurs de l’armée britannique,
dont la plupart dotés d’une grande expérience des opérations de combat en Irak
et en Afghanistan, ont formé plus de 9.500 militaires ukrainiens. Un nombre non
spécifié de soldats britanniques seraient envoyés pour former les forces
spéciales et les marines ukrainiens, en plus des 100 soldats actuellement
déployés dans le pays.
Un navire
hydrographique polyvalent sera déployé en mer Noire l’année prochaine pour
démontrer le soutien de la Grande-Bretagne à l’Ukraine et garantir la
« liberté de navigation » dans ses eaux. Le HMS Echo n’est pas un
navire de guerre, mais il bat pavillon de la marine britannique. En septembre dernier, la
Grande-Bretagne avait déclaré son intention
d’accroître la présence des navires de guerre dans la mer Noire, avec des
escales de plus en plus fréquentes à Odessa.
Dans un
contexte de tensions croissantes dans la mer d’Azov, la présence navale de
l’OTAN y est perçue comme une
provocation par la Russie. Un conflit semble imminent et l’Occident a pris le parti de l’Ukraine,
bien que Kiev l’ait provoqué.
La vice-présidente de l’UE, Federica Mogherini, estime que de nombreux
navires battant pavillon de l’Union européenne ayant été menacés, Bruxelles
doit prendre des « mesures ciblées appropriées » pour
envoyer un signal à Moscou.
L’extension
de la présence militaire britannique va à l’encontre de la lettre et de
l’esprit des accords de Minsk, qui stipulent que le conflit en Ukraine doit
être traité par des voies diplomatiques et politiques.
L’armée
américaine dispose déjà d’un centre d’opérations maritimes situé dans les
installations navales ukrainiennes d’Ochakov, conçu pour fournir un soutien
maritime flexible dans toute la gamme des opérations militaires possibles. Des
centaines d’instructeurs militaires américains et canadiens forment du personnel ukrainien
dans le champ de tir de Yavoriv. Les États-Unis vont transférer deux frégates
de type Oliver Hazard Perry en Ukraine. Cette mesure assurera une présence
navale constante de l’OTAN dans la mer Noire en contournant les restrictions imposées par la
Convention de Montreux, car les navires auront à bord des marins américains
qui effectueront des « missions d’entraînement » et resteront sous
commandement américain, malgré les déclarations contraires des sources
officielles [les USA ne
sont pas signataires de la Convention de Montreux, non plus que de la Convention des
Nations-Unies sur le droit maritime, NdT]. Au total, dix navires de
cette classe sont disponibles à l’exportation. En septembre, les garde-côtes
américains ont transféré deux navires patrouilleurs Island-class armés de
mitrailleuses de calibre 50 et de canons de 25 mm sur le pont. Ces transferts
invitent Kiev à défier militairement Moscou.
Personne à
Washington ou à Londres ne se demande pourquoi un pays industrialisé et un important exportateur d’armes
comme l’Ukraine, avec des ressources abondantes et des terres fertiles, doit
dépendre de l’aide étrangère et est incapable de se défendre seul. Des armes
sont fournies et une formation militaire est dispensée dans ce pays où la corruption est endémique dans tous les
secteurs de la société, comme l’établit même un récent rapport du département
d’État américain. [Plusieurs rapports du Département d’Etat US font état de la
corruption de l’Ukraine, en fait, NdT].
La
seule raison pour laquelle l’Occident maintient l’Ukraine à flot est son
obséquiosité et sa volonté de se transformer en tremplin pour menacer la Russie. Malgré les multiples problèmes de
l’Ukraine, le pays a récemment été récompensé par un statut officiel au sein de
l’OTAN. Le sommet de 2018 de l’Alliance de l’Atlantique Nord a confirmé son
soutien à l’adhésion à part entière de l’Ukraine, quitte à tourner en dérision
les soi-disant « normes de l’OTAN ».
Le
gouvernement britannique traverse une période difficile. Il vient d’aboutir à
un projet d’accord mal ficelé
sur les relations post-Brexit avec l’UE. L’accord n’a qu’une faible chance de
passer le vote du Parlement. Rien ne soude mieux une nation divisée qu’une menace extérieure, par
exemple celle de la Russie. La date limite du Brexit est le 29 mars,
après quoi, pendant une période de transition de 21 mois, la Grande-Bretagne
sera toujours membre de l’UE. Les événements en Ukraine sont nécessaires pour
faire croire que le Royaume-Uni donne un coup de main à une nation pauvre
attaquée, et ainsi, améliorer l’image du gouvernement et son taux
d’approbation. Les
membres du Cabinet ne disent pas à leur peuple qu’en apportant une aide
militaire à Kiev, leur pays devient complice d’un conflit qui n’a rien à voir
avec sa sécurité ou ses intérêts nationaux. Mais l’aide militaire
britannique pousse le gouvernement ukrainien à envisager une solution
militaire.
La Russie ne restera pas passive.
Si les
accords de Minsk sont annulés, elle aura toutes les raisons de reconnaître les
républiques autoproclamées de Lougansk et de Donetsk comme des États
indépendants éligibles à des accords de coopération militaire, y compris le
stationnement de bases militaires russes sur leur sol, si leurs gouvernements
le demandent. Aucun droit international ne serait violé.
Le
gouvernement ukrainien exacerbe les tensions parce que le président Petro
Porochenko se présente à une réélection en mars 2019, sur la base d’un
programme de sécurité nationale, ce qui le pousse à adopter une ligne plus dure
sur le sujet de la mer d’Azov. Ceux qui se précipitent pour lui fournir une
assistance militaire deviennent complices de son aventurisme, qui pourrait
avoir des conséquences désastreuses. Le Royaume-Uni aura la responsabilité
d’inciter Kiev à adopter une approche conflictuelle et à transformer la mer
d’Azov en une poudrière qui peut exploser à tout moment.
Par Arkady Savitsky
Paru sur Strategic Culture Foundation
sous le titre UK Commits Extra Military Forces to Ukraine: Irresponsible
Policy, Dangerous Repercussions
Traduction
et note d’introduction Entelekheia
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Notes
[1]
Le ministre russe de la Défense, Sergueï Ivanov, a souligné, le 3 octobre 2003,
que la Russie pourrait si besoin frapper la première – comme le lui permet sa
doctrine militaire –, dans un discours prononcé au ministère de la Défense en
présence du président Vladimir Poutine.
M.
Ivanov a évoqué de « nouvelles menaces » auxquelles se trouve confrontée
Moscou, telles « l’ingérence de pays ou d’organisations étrangères dans les
affaires intérieures de la Russie » et « l’instabilité dans les pays voisins,
provoquée par la faiblesse de leur gouvernement ».
Tulsi
Gabbard: Trump protège les responsables du 11/9, les néo-cons et Al-Qaïda
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Hannibal GENSÉRIC
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COMMENTAIRE : la Russie se rebiffe
En Russie, il s’agit de la possible dissolution de la politique
d’arrangement relatif jusqu’ici pratiquée par Poutine, cette
possibilité marquée par la fragilisation du président et la réduction de son
autorité déjà évoquées à l’occasion de l’incident de la Mer d’Azov. Pour nous,
il est beaucoup moins question de la possibilité d’une révolution de couleur que,
bien au contraire, d’une intervention
directe ou indirecte, sous une forme ou l’autre, de l’appareil de sécurité
(armée, renseignement) contre les libéraux de la direction, avec
développement d’une politique de fermeté comme on l’a vue dans le même incident
de la Mer d’Azov, directement ou imposée à Poutine.
Il en
a été de même lorsque les Israéliens ont abattu un IL20 russe en Syrie :
alors que Poutine (par amitié pour Netanyahou et pour ses juifs russes) a
commencé par minimiser ce très grave incident, on a vu l’armée et les services
de renseignement imposer, par la voix de Sergeï Choïgou, le ministre de la
Défense, prendre un position beaucoup plus conforme à la puissance et à l’honneur
de la Russie.
Il ne s’agit pas ici de juger de la justification de
cette politique mais de prendre acte de sa possibilité. D’une façon
quasi-automatique, compte tenu de la pression communicationnelle et géopolitique
exercée sur la Russie d’une part, et d’autre part et au contraire de
l’efficacité grandissante de la puissance militaire rassemblée par la
Russie, cette évolution conduirait à un durcissement considérable de la
dynamique politico-militaire russe, conduisant nécessairement
et désormais sans hésitation de la part de la Russie à la possibilité d’un affrontement avec le bloc-BAO.
Pour l’appareil de sécurité russe, il y a convergence
des nécessités. D’un point de vue opérationnel, il s’agit de prévenir le déploiement de
nouveaux missiles US de missiles de portée intermédiaires en Europe,
après la sortie des USA du traité FNI, – soit une “fenêtre d’opportunité” de
deux ans au plus. Toutes ces conditions vont imposer une terrible pression sur l’Europe, par ailleurs
elle-même en décomposition, pour envisager le choix de rester ou non dans
l’orbite US. Le test central à cet égard prendra la forme de
l’acceptation ou du refus par les Européens de l’implantation de missiles US,
sur leurs territoires.
Source : Dedefensa.org
Derrière tout cela , se cache le complot du "Deep State" mondial maffio-sioniste et politico-financier
RépondreSupprimerLes 3 plus grands pays d’Europe qui se démarquent(baisse culotte) ! le plus sont GB, FR et DBR!Angelen, Saxons et Francs !
RépondreSupprimerLa G B est depuis bien longtemps le siège des Rothschilds!!!
RépondreSupprimeril suffit de connaître l histoire et leurs manigances!!
Les Anglos-Américains sont, depuis longtemps les artisans de la destruction de l'Europe et du monde libre en général. Il est regrettable de voir nos dirigeants les suivre comme des caniches fidèles mais, les Français, dans leur grande majorité ont compris le rôle néfaste joué par eux et se rapprochent de la sainte Russie qui n'a rien à voir avec l'URSS.
RépondreSupprimerc'est bien pour les commentaires superficiels . Mais comme d'hab partout sur ces genres de forums ancune action pour réduire le constat des lieux n'est proposé .alors SVP Emettez avec le coeur des bénédictions pour tous ceux qui pratiquent "LUMIERE" et les forces de l'ombre commenceront à reculer un peu, annulant de ce fait le constat qu'il n'y a rien à faire. Cela pourrait être votre devoir !!!!
RépondreSupprimerC'est l'horreur. Poutine et Trump ne veulent pas la guerre, mais la Bête la veut. Je suis d'accord avec toi Norbert (je remplacerai juste le "votre" devoir par "notre").
RépondreSupprimerJe viens de découvrir une ancienne invocation/prière puissante - à prononcer de toutes ses forces en s'alignant entre le Ciel & la Terre:
https://acathistes-et-offices-orthodoxes.blogspot.com/2009/05/lorica-priere-de-protection-de-saint.html
Mais il en existe bien d'autres. Et demander directement avec ses propres mots à Père-Mère-Dieu l'intervention des légions d'anges qui oeuvrent au côté des humains, c'est très efficace aussi..
Que les enfants de la Terre soient protégés du mal!
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