La
presse française évoque un simple "homme d'affaires" : découvrez en
détail le profil effarant de l'escroc financier multirécidiviste et basé
en Israël qui a recruté Alexandre Benalla.
Incroyable mais vrai : concentrée ce jeudi 27 décembre sur le scandale du "passeport diplomatique" de Benalla, la presse hexagonale passe totalement à côté (pour ne pas dire qu'elle passe sous silence) du véritable coeur de l'affaire.
Ancien
bras droit (aux multiples et troubles fonctions) du président Macron,
Alexandre Benalla, connaisseur des arcanes de
l'État, travaille désormais pour un gangster financier dont la plaque
tournante est Israël.
Mieux encore : ce mentor est étroitement lié au renseignement militaire israélien.
Panamza
vous propose de découvrir, après le rappel ci-dessous du dossier
Benalla, les principaux éléments d'information (sources à
l'appui) faisant état des nombreuses condamnations (en France, aux
États-Unis et jusqu'à Hong-Kong) de ce personnage véreux
franco-centrafricain-israélien né en 1955, arrêté en 1998 pour
blanchiment d'argent dans un casino possédé par Trump et
auparavant installé comme joaillier à la place Vendôme (même tranche
d'âge, même secteur d'activité et même quartier qu'un certain Meyer Habib…).
Flashback, avant d'aller plus loin, sur les zones d'ombre -exposées par Panamza- de l'affaire Benalla :
Benalla
: son rendez-vous avec un milliardaire israélien (03.10.18)
Benalla
: son coach est un franc-maçon lié au Crif (27.09.18)
Benalla
: son attaché de presse est lié au Mossad (19.09.18)
Benalla
: son coffre-fort, sa compagne et son bébé ont disparu (24.08.18)
Affaire
Benalla : le « fichage politique » est supervisé par une proche de
Macron (10.08.18)
Benalla,
messager de Macron auprès du Crif (03.08.18)
Benalla
a été recruté par un ex-agent secret pro-israélien (02.08.18)
Benalla
dissimule aux policiers les coordonnées de sa mystérieuse compagne (02.08.18)
Quand
Benalla frimait sur Tinder (02.08.18)
Benalla
franc-maçon : la photo censurée (02.08.18)
Affaire
Benalla : le mensonge du ministre de l’Intérieur (23.07.18)
Pistonné
par l'israélomane Valls, Benalla pratique le sport favori des extrémistes juifs
(22.07.18)
Police/islam/sionisme
: Benalla fréquentait les clans Chalghoumi et Achoui (21.07.18)
Affaire
Benalla : son co-équipier de l’Élysée avait espionné Mélenchon (19.07.18)
Benalla. La rumeur policière le présente comme l’amant de Macron
Un proche d’Emmanuel Macron confie à « L’Opinion » qu’Alexandre Benalla « vivait dans l’intimité du couple présidentiel », confirmant sa proximité avec le président.
Jusqu’où allait la proximité entre Emmanuel Macron et Alexandre Benalla ? C’est une question à laquelle devra répondre le président de la République, alors que s’enchaînent les révélations sur son ancien collaborateur.
Depuis les révélations du Monde sur sa présence lors des
manifestations du 1er mai, Alexandre Benalla apparaît de plus en plus
comme un émissaire de l’ombre d’Emmanuel Macron et surtout un proche
parmi les proches.Un proche d’Emmanuel Macron confie à « L’Opinion » qu’Alexandre Benalla « vivait dans l’intimité du couple présidentiel », confirmant sa proximité avec le président.
Jusqu’où allait la proximité entre Emmanuel Macron et Alexandre Benalla ? C’est une question à laquelle devra répondre le président de la République, alors que s’enchaînent les révélations sur son ancien collaborateur.
Il a obtenu de nombreux privilèges, que son statut de collaborateur ne justifiait pas. Le Parisien révélait il y a quelques jours qu’Alexandre Benalla bénéficiait d’un logement de fonction depuis le 9 juillet quai Branly, une annexe de l’Élysée, et un badge lui donnant accès à l’ensemble des locaux de l’Assemblée nationale.
Le quotidien révélait également que son traitement mensuel avoisinait les 10 000 euros mensuel et qu’il possédait une voiture de fonction.
« Il avait un statut réel auprès du président »
L’Opinion confirme
ce lundi 23 juillet qu’Emmanuel Macron plaçait une grande confiance en
son collaborateur, allant jusqu’à lui confier les clés de la villa du
Touquet, dont sa femme est propriétaire.
Une résidence secondaire et familiale qui tient de l’intime et dans
laquelle le couple se rend régulièrement. C’est ce que confie au
quotidien un proche d’Emmanuel Macron : « Ses compétences ne sont sans
doute pas la bonne explication : Benalla avait des fonctions
subalternes, mais il vivait dans l’intimité du couple présidentiel.Il a donc eu à connaître des choses qui font qu’il avait un statut réel auprès du président, bien supérieur à son statut sur le papier. » Alexandre Benalla a en effet été de tous les voyages du couple Macron : il était présent lors de leurs vacances à Marseille en août 2017, mais aussi pendant leur séjour à La Mongie, dans les Pyrénées, en décembre 2017.
Une personne ayant contribué à la campagne d’En marche ! est allée dans le même sens auprès de L’Opinion, expliquant que « Macron a dix mecs autour de lui dans lesquels il a toute confiance, et c’est tout » : « Et côté vie privée, lorsqu’il s’agit de Brigitte, de ses petits-enfants, de ses amis, etc., il est hyper méfiant, pour ne pas dire parano.
Il ne veut pas faire les sacrifices auxquels ont consenti ses prédecesseurs ni retrouver sa vie privée à la une de Closer comme Hollande. » Ces différentes révélations sur le traitement confortable d’Alexandre Benalla interpellent et font s’interroger certains proches du président sur les connaissances de son ancien collaborateur.
Allez, mettons les pieds dans le plat
puisque aucun média n’a osé formuler ce qui se dit vraiment dans le
milieu policier (et même dans la presse parisienne), et en particulier
dans les services de protection.
Voici le cas de Libération (groupe Drahi Altice comme BFM): “Maintenant
c’est Libération qui, à son tour, bénéficie de l’aide providentielle de
« Gorge Profonde ». Il faut lire attentivement l’éditorial que Laurent
Joffrin consacre à l’affaire. Il note – et c’est l’évidence » –
qu’Emmanuel Macron est protégé par des dizaines de policiers
spécialisés. Quel besoin avait-il d’un Alexandre Benalla ? Sauf à ce qu’il rende des services particuliers…
Une preuve parmi d’autres : le boulet de l’Élysée habite dans une résidence appartenant à la présidence de la République. Une autre preuve : il accompagne toujours Macron dans ses déplacements privés, à la mer, à la montagne…“. Bref les allusions sont… lourdes et macron aura beaucoup de difficultés à s’en défaire. Voici un an, le Telegraph de Londres avait rappelé les propos de Frédéric Mitterrand: “French former culture Frederic Mitterrand has suggested that President Macron fired the head of state radio to end rumours the pair had a homosexual affair“, lire ici.
Une preuve parmi d’autres : le boulet de l’Élysée habite dans une résidence appartenant à la présidence de la République. Une autre preuve : il accompagne toujours Macron dans ses déplacements privés, à la mer, à la montagne…“. Bref les allusions sont… lourdes et macron aura beaucoup de difficultés à s’en défaire. Voici un an, le Telegraph de Londres avait rappelé les propos de Frédéric Mitterrand: “French former culture Frederic Mitterrand has suggested that President Macron fired the head of state radio to end rumours the pair had a homosexual affair“, lire ici.
Un policier des “services”: “depuis
plus d’un an je n’entends que ça… les collègues en parlent à mots
couverts, mais là, vu tous les privilèges que Macron a donné à Benallia,
ça dépasse l’entendement! C’est même du jamais vu, vu qu’il n’est ni un
ex du GIGN, ni de la PN, ni des CRS, ou même militaire. De plus, ce
petit cowboy a jeté le discrédit sur tous les policiers“.
Un autre policier m’a expliqué, à propos de la vidéo, “si j’avais fait seulement le quart de ce qu’il (Benalla) a fait, je serais au trou.”
D’autres policiers se sont exprimés sur les réseaux sociaux, en
particulier à propos de la voiture donnée à Benalla, une Renault
Talisman “version police” avec des lumineux bleus installés derrière la calandre: “On
roule dans des voitures qui ont 300.000 kms au compteur, et lui qui
n’est même pas sorti d’une école de police ou gendarmerie, à droit à une
voiture neuve. On se sent insultés, on est clairement des sous-fiffres
pour l’Elysée, des moins que rien“.
Sur le même sujet, un gendarme m’a confié: “j’ai
une voiture tellement pourrie que je ne peux poursuivre que des vélos,
tellement j’ai peur qu’une roue puisse me lâcher en cours de route.”
Si vous regardez les tweets ci-dessous, vous allez voir qu’il n’y a pas que les policiers qui associent “intimement”
Benallia à Macron (notez ma diplomatie). C’est aussi le cas sur les
réseaux sociaux et le mariage annulé de Mr Benalla (ex collaborateur du
groupe de sécurité Marocain avec la député En Marche Aurore Bergé (alias
“Girouette” parce que ex-Sarkozy, ex-Juppé, ex- JF Poisson, ex-Natkalie
Kozkuzio, ex-Fillon et même ex-président Raymond Poincaré et
dernièrement pour Macron) et surtout mêmbre très actif du groupe
parlementaire d’amitié France-Israel. Je ne peux hèlas vous rapporter
ici ce que j’ai entendu à propos de cette cérémonie…
Gilets jaunes « antisémites » dans le métro? C’est vrai selon un intégriste juif
INFO
PANAMZA. Seul témoignage à corroborer le récit d'une prétendue
agression antisémite commise par des Gilets jaunes dans le métro
parisien : celui d'un fondamentaliste juif engagé pour Israël.
Révélations.
Le 24.12.2018 à 17h27
C'est le buzz du weekend, évidemment amplifié par Europe 1 (radio cofondée par le raciste franco-israélien Jean Frydman) et Apolline de Malherbe, journaliste ouvertement judéophile de BFM TV (assistée par Simone Rodan-Benzaquen, directrice radicale de l'antenne européenne du lobby sioniste américain AJC).
Samedi soir, sur un parcours comprenant 7 stations de métro (de Réaumur-Sébastopol à Montparnasse-Bienvenue), un incident à caractère antijuif se serait produit dans l'intervalle selon Thibaut Chevillard, "journaliste police" de 20minutes (vite relayé par le trouble ministre de l'Intérieur…) qui défenda
(en juin dernier) Israël en écartant séchement (contrairement à la
presse britannique) la piste du Mossad dans la tuerie de Chevaline.
Présentée
initialement par le jeune homme (via Twitter) comme une rescapée de la
Shoah PUIS -le lendemain en vidéo, via son site 20minutes- comme la
fille d'un déporté, une dame anonyme de 74 ans (qui déclare ne pas
vouloir porter plainte) aurait subi la vindicte de manifestants Gilets
jaunes éméchés par l'alcool.
Détail à souligner : il n'existe aucune vidéo capturée par la RATP puisque l'incident allégué se serait produit dans les rares rames du métro parisien (ligne 4) à NE PAS disposer de vidéosurveillance.
Détail
croustillant : le seul individu à venir accréditer -à visage découvert-
le récit (dénué de toute preuve) de Chevillard n'a pas exactement un
profil neutre sur la question de l'antisémitisme…
4 JOURS SEULEMENT AVANT l'incident supposé "antisémite"
de la ligne 4, l'homme venu à la rescousse de Chevillard (un jeune
rédacteur web raillé sur les réseaux sociaux pour sa curieuse inaptitude
à apporter la moindre capture photographique, vidéo ou sonore de
l'altercation alléguée) donnait une conférence sur l'histoire…de
l'antisémitisme.
Son nom selon Franceinfo : Raphaël de Lev.
Ce dernier a tenté de corroborer l'histoire de Chevillard en prétendant sur Facebook (en écrit puis en vidéo) que la victime présumée était sa tante.
Misère du "journalisme" à la française : Franceinfo rapporte le nom de cet individu en passant totalement sous silence sa spécificité politique pourtant étroitement liée au sujet.
Comme en témoigne abondamment sa page Facebook, de Lev est un rabbin fondamentaliste et un militant exalté de la cause d'Israël.
Le
mardi 18 décembre, entre deux voyages mémoriels et deux excursions en
mode scouts sionistes, ce patron de l'association de jeunesse religieuse
Relev -qui a vécu 9
ans en Israël- donnait ainsi une conférence sur l'évolution de
l'antisémitisme, depuis (sans rire) l'Égypte ancienne jusqu'à
l'Allemagne nazie.
Plus troublant : dimanche soir, à 23h28 exactement, "l'anticomplotiste" de Lev a voulu démontrer la véracité de son propre récit en publiant une capture d'écran de ses prétendus sms échangés avec sa tante (qu'il aurait accompagné pour son départ en métro) dans la soirée de samedi.
Outre
le sigle i24 (application de la chaîne israélienne, en haut à gauche),
on remarque un curieux détail sur cette image partiellement censurée :
le dernier sms prétendument rédigé 24 heures plus tôt indique 23h22,
soit l'heure exacte de la capture d'écran.
En
clair : si l'on en croit de Lev, le jeune homme aurait échangé avec sa
tante jusqu'à 23h22 samedi puis capturé l'image du dernier sms 24 heures
plus tard très exactement (dimanche 23h22, horaire du smartphone) et
publié l'image sur Facebook six minutes plus tard (dimanche 23h28).
Autre version alternative : ces sms sont totalement bidons.
Ils
auraient très bien pu être rédigés dans la soirée de dimanche avec un
complice (dont le nom ou le numéro est barré en noir) puis affichés
-trop précipitamment- sur Facebook. De Lev se serait ainsi trahi en
laissant apparaître l'horaire de la capture d'écran (identique à
celui dernier sms censé avoir été envoyé la veille).
Évidemment, vous pourrez compter sur les théoriciens de la coïncidence de
tous bords pour tenter de vous convaincre que cette anomalie (23h22
dimanche pour la capture d'écran et 23h22 samedi pour le dernier sms : 1
chance sur 3600) soit un pur hasard.
VOIR AUSSI :
Pas très clair ton truc...même si on y croit.
RépondreSupprimerLa France est, il y a bien longtemps, est une "colonie sioniste" non déclarée!
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