lundi 18 février 2019

Que disent Jésus, Einstein, Voltaire, Soljenitsyne, Goethe, Liszt sur l'antisémitisme ?


Pour Einstein : « L’antisémitisme n’est rien d’autre que l’attitude antagoniste produite par les non-juifs face aux agissement de la juiverie. C’est une réaction sociale tout à fait normale. » Dans un article de Colliers Magazine, 26 novembre 1938, Einstein poursuit : « La juiverie a prospéré sur l’oppression et l’antagonisme qu’elle a toujours rencontré de par le monde. »
Alors que les MSM (Médias Super Menteurs) se déchainent en France contre les Gilets Jaunes parce que certains manifestants ont osé traiter Filkencrotte de juif sioniste, ce qui est d'une navrante banalité, il est utile de lire ce que disent certains grands savants et philosophes à propos de « l’antisémitisme ». Naturellement, le fait que le même Filkencrotte stigmatise les musulmans français, dont beaucoup font partie intégrante des GJ, ne choque nullement les MSM.
H. Genséric


EINSTEIN-ANTI-SEMITISM-QUOTE 
Les Nazis ont donné de l’antisémitisme une mauvaise image. Peut-être était-ce là leur intention.
Leur propagande grossière, leur racisme et leur génocide l’ont rendu méprisable. Mais l’antisémitisme est issu d’une longue et importante tradition qui remonte bien plus loin que le Nazisme. L’antisémitisme a toujours représenté la résistance à une domination politique, culturelle et économique d’essence étrangère. Cette notion mérite réflexion.
Je commencerai par établir deux hypothèses
1.     La vérité est si simple, nous lui faisons face, pourtant nous refusons de la voir. La plupart des Juifs et des Chrétiens ne sont pas conscients que le Judaïsme n’est pas une religion, mais un culte satanique dissimulé derrière une façade religieuse respectable.
Le Judaïsme n’est pas défini par l’Ancien Testament mais par la Kabbale prêchant que Dieu est sans forme et inconnaissable. Ceci est l’essence même du Satanisme. La base de toute religion véritable est que Dieu est connaissable. Autrement comment peut-on obéir à sa voix présente au sein de notre âme/conscience ? Le kabbaliste déclare que Dieu est inconnaissable parce qu’il veut lui-même être Dieu. « Les Juifs » sont la manifestation physique de Dieu. Le Dieu « inconnaissable » est filtré jusqu’à que ce que sa volonté se manifeste par l’intermédiaire du Rabbin. La Kabbale est la base du Satanisme et de toute la pratique Occulte au travers de l’histoire. De plus en plus, le Satanisme remplace le Christianisme comme référence morale au sein de la société.
Le but des Juifs kabbalistes (Illuminati) a toujours été de détruire la civilisation Chrétienne, et ils y ont réussis. Aucun Juif vivant aujourd’hui ne devrait encourir le blâme pour la crucifixion du Christ. Mais cependant, depuis la crucifixion jusqu’à nos jours, le but de la juiverie organisée contrôlée par les kabbalistes, continue d’être l’éradication de la Chrétienté. Ils ont défini la résistance Chrétienne à leur propre décadence, comme de « l’antisémitisme », ne faisant en cela qu’invertir le bien et le mal tout comme bon Sataniste se doit de le faire.
Les Illuminati prévoient de créer un « super état mondial » voué à l’extension de leur fortune, de leur pouvoir et de leurs perversions. Avec l’aide des Francs-maçons non-Juif, ils se sont emparés de l’Occident et intronisent peu à peu l’humanité à leur culte satanique. J’ai démontré de manière multiple comment l’humanité est sataniquement possédée.
2.     Comme je l’ai fait remarquer, au sein d’un culte Satanique, le commun des adeptes ne sait rien de la véritable feuille de route. Ces derniers sont manipulés et dégradés par des arguments fallacieux et des platitudes (ex : la « tolérance », la « diversité », la « libération sexuelle »). Au sein d’un culte satanique les gens sont contraints et gardés sous surveillance. Les gens faisant preuve de conscience sont calomniés et traités de « haineux ». De plus en plus, les gens deviennent Juifs ou « haineux » s’ils ne parviennent pas à adhérer à leur ordre du jour. Dans un tel culte, la vérité ne compte pour rien. Seul le politiquement correct a de l’importance. Notre société ressemble de plus en plus à ce culte.
Lorsque je parle de faire revivre « l’antisémitisme », je ne parle pas en faveur d’une discrimination des individus Juifs comme moi-même. Je parle de s’opposer à quiconque – Juif ou non-Juif – représentant l’ordre du jour kabbaliste (Illuminati), qui est à présent embrassé par l’ensemble de l’establishment politique, économique et culturel Occidental, qui est entièrement contrôlé par la juiverie organisée et la Franc-maçonnerie. Que cela soit Desmond Tutu, Michael Gorbatchev, les participants aux réunions du Bilderberg. Beaucoup sont Juifs. La plupart ne le sont pas. Mais tous sont des kabbalistes, des satanistes et des vendus.
Le Nouvel Ordre Mondial est vraiment constitué de deux camps : les kabbalistes (les Illuminati, leurs agents et leurs électeurs) contre le reste de l’humanité. (Tout le reste n’est qu’un écran de fumé). Les kabbalistes comprennent les Francs-maçons de gauche comme de droite, les libéraux comme les socialistes, les féministes radicaux, les Néocons, les Communistes, les Sionistes, les activistes homosexuels – je pense que vous avez compris. Comme vous l’aurez probablement remarqué, ces mouvements ont tous été créés et sont perpétués par des Juifs.
3.     Je pense sincèrement que les Juifs se sentiraient libérés s’ils parvenaient à se dissocier du Judaïsme. Beaucoup ont déjà sauté le pas. C’est le Judaïsme qui est la source de l’antisémitisme. De surcroit, sur un plan personnel, le Judaïsme conduit à la dysfonction. Le projet de la juiverie organisée, vérifiable par tous ses méfaits à ce jour, est de reprogrammer l’humanité pour la mettre au service des Illuminati. Ils accomplissent cette monstruosité en détruisant les quatre piliers de notre identité humaine : la religion (Dieu), la nationalité, la race et la famille (théorie du genre). Leur but est qu’il n’y ait plus qu’une seule race, une religion, un seul genre et un monde uni au service des Illuminati. Un exemple récent de leur mondialisme exacerbé est la manière dont la juiverie organisée s’oppose frénétiquement aux mouvements nationalistes en Europe.
LE PREMIER ANTISÉMITE
Le premier antisémite fut Dieu lui-même. Lorsque Moïse lui déclara que les Juifs vénéraient un veau d’or : « Le Seigneur dit à Moïse : J’ai contemplé ce peuple et vu qu’ils étaient un peuple obstiné. Maintenant laisse-moi seul afin que je les détruise… » (Exode 32: 9-10)
Je ne sais pas ce qu’Abe Foxman (président de l’ADL) dirait des tendances génocidaires de Dieu. Dans tous les cas, les adorateurs de Baal sont aujourd’hui au pouvoir et Dieu devrait faire face à un Tribunal des Droits de l’homme pour sa déclaration sans équivoque.
Les grands prophètes de l’Ancien Testament étaient aussi tous antisémites. Jérémie a déclaré que les Juifs : « ne disent pas la vérité ; tant ils ont exercé leur langue à l’art du mensonge… » (Jérémie 9:5). Isaïe a expliqué que le Seigneur châtiera « les filles de Sion qui sont pleines d’arrogance, et marchent d’un port hautain en jetant des regards lascifs… » (Isaïe 3:16)
Jésus a rejoint le noble rang des antisémites lorsqu’il déclara aux Pharisiens : « Vous êtes de votre père le diable, et vous faites les désirs de votre père. Il était un meurtrier depuis le commencement, et n’était pas dans la vérité, parce qu’il n’y a aucune vérité en lui. Lorsqu’il prononce un mensonge, il parle seulement de lui-même : car il est un menteur et le père du mensonge. » (Jean 8:44)
Tout au long de l’histoire, les Juifs ont été critiqué par tout le Who’s Who de la Civilisation Occidentale. L’historien romain Tacite les condamna pour être à l’origine de la subversion de la religion, du pays et de la famille et déclara qu’ils étaient « les ennemis de toutes les races à part la leur. » George Bernard Shaw déclara : « Les Juifs devraient plutôt cesser d’être Juifs et commencé à devenir des êtres humains. »
Le musicien hongrois Franz Liszt déclara : « Ils vendent… les outils et les projectiles qui servent à détruire les fondation de la foi et de la morale. »
Le grand poète allemand Goethe dit : « Cette race industrieuse obéit à un grand principe directeur : tant que l’ordre règne, il n’a rien à gagner. »
Voltaire, le philosophe français, déclara : « la nation Juive ose faire montre d’une haine irréconciliable contre toutes les nations, se révolter contre tous les maitres ; toujours superstitieuse, toujours avide du bien-être d’autrui, toujours barbare – servile dans le malheur et insolent dans la prospérité. » [1]
On ne peut pas généraliser sur tous les Juifs mais le critique américain H. L. Mencken était particulièrement dur envers la plupart. Il a déclaré que les Juifs « constitue la race la plus déplaisante qu’il est jamais vu. Ils sont dépourvus de la plupart des qualités qui définissent l’homme civilisé : le courage, la dignité, l’incorruptibilité, la simplicité, la confiance. Ils font montre de vanité dénuée de fierté, de volupté sans le moindre bon goût, de connaissance dénuée de toute sagesse… leur charité est principalement une forme mondaine de se faire valoir. »
Les Juifs ne sont pas au courant du projet suprématiste de leurs dirigeants kabbalistes. À la place, on leur dit qu’ils sont « haïs sans raison » ou parce que les gens ont besoin d’un bouc émissaire innocent à blâmer pour leur souffrance. L’antisémitisme serait une « maladie irrationnelle  présente au sein de l’esprit des goyim. » De plus en plus, dans ce Nouvel Ordre Mondial sataniste, les gens sains sont dépeints comme malades.
Il est grand temps que les Juifs réalisent que le Judaïsme n’est pas du côté des anges, mais qu’il n’est pas trop tard pour s’en extraire.
Il est grand temps que les Chrétiens réalisent qu’ils se sont fait avoir par les plus grands tricheurs auxquels le monde a jamais donné naissance. Les Juifs ne sont pas « le peuple élu ». Leurs dirigeants sont des mégalomanes qui détruisent les nations, tuent des millions d’innocents et menacent le futur de l’humanité.
Il est temps pour nous tous de réaliser que d’être capable de critiquer les Juifs constitue une forme de test de notre propre liberté. L’antisémitisme fut banni et sévèrement puni dans la Russie Soviétique. Est-ce donc le genre de société au sein de laquelle nous voulons vivre ?
LA MESURE DE LEUR SUCCÈS
La conquête politique, économique et culturelle du monde par les Juifs kabbalistes et leurs alliés constitue en fait la véritable histoire des 500 dernières années, voire plus. (Les banquiers Illuminati sont à l’origine de l’impérialisme) Pourtant leur contrôle de la culture est tel que les gens sont complètement ignorant que cette conquête se soit produite. L’étiquette « antisémite » est une malédiction qui provoque la paralysie.
Si vous n’êtes pas antisémite, à la manière dont je viens de le décrire, vous êtes un opportuniste, une dupe ou bien les deux.
Les gens ne sont pas conscients du fait que toutes les guerres ont été conçues par les banquiers Juifs francs-maçons pour augmenter leur pouvoir et leur richesse, détruire leurs rivaux et faire avancer leur projet de gouvernement mondial.
Les gens ne sont pas conscients du fait que leurs « dirigeants » ne sont que des marionnettes et que les médias de masses sont des prostitués. Ils ne comprennent pas que les Illuminati ont sponsorisé le féminisme, l’homosexualité, la promiscuité et la pornographie, de manière à déchirer le tissu social (le mariage et la famille) et tout cela afin de diminuer toute résistance à leur tyrannie. Ils ne savent pas que le 11/09 et le reste ne sont que des attentats sous faux drapeau pour s’emparer de nos droits civiques et qu’ils persistent à mettre en scène de faux attentats pour confisquer nos armes.
En tant que Juif ethnique, le fils de survivants de l’holocauste qui ont perdu leurs parents, je reconnais qu’il existe des raisons fondées à l’antisémitisme passé et présent. Je fais partie de ces juifs ordinaires qui refusent de servir de bouclier humain, ni de victime sacrificielle, ni de bouc émissaire par la faute du projet secret démentiel et satanique de la juiverie organisée.
Publié par henrymakow le janvier 31, 2019 
Henry Makow, Docteur en Philosophie de l’Université de Toronto, se définit ainsi 
« Je suis un juif assimilé, un Canadien qui a vécu en Israël en 1972-73 et qui était autrefois sioniste. Je ne crois plus que le peuple Juif a besoin d’une patrie.» Il a écrit aussi : Ce qu’être Juif signifie pour moi 
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Des députés français veulent que « Citer le nom d’Israël » soit reconnu comme un délit
Des députés membres du groupe d’études de l’Assemblée nationale sur l’antisémitisme veulent pénaliser le simple fait de citer le mot « Israël », une proposition qui suscite des réserves dans les rangs du gouvernement mais qui recueille le soutien de plus de 7.000 signatures sur une pétition en ligne à cet effet. Le député Sylvain Maillard, président du groupe d’étude, a annoncé samedi que « le groupe porterait une initiative forte pour que citer le nom de l’état hébreu soit reconnu et puni en France pour ce qu’il est: de l’antisémitisme ». Il sera néanmoins possible de citer le nom de l’état à condition d’avoir demandé un permis de citation qui devra être signé par Benjamin Netanyahou.
Le groupe d’études, qui compte une trentaine de membres, doit se réunir mardi pour décider du véhicule législatif adéquat, potentiellement une proposition de loi, une proposition de résolution (sans valeur contraignante) ou une note affichée au siège social des Illuminatis
Source


Les medias ont appliqué la bonne vieille règle maçonnique du silence médiatique autour de ce livre d'Alexandre Soljenitsyne, Deux siècles ensemble, tome 2, Juifs et Russes pendant la période soviétique, Fayard Paris 2002. Une œuvre documentaire fondée sur les archives accessibles après la perestroïka.
Deux siècles ensemble, 1917-1972, tome 2 : Juifs et Russes pendant la période soviétique
Aucune critique dans la presse quotidienne n'a transpiré, pas plus dans les grands Hebdos, encore moins sur les grandes radios.... et bien sûr RIEN dans les émissions TV (Vol de Nuit , Guillaume Durand , Yves Calvi, Serge Moati etc..).
Pourquoi ?? Pourquoi l'ensemble des media a-t-il occulté la sortie d’un ouvrage de 1200 pages (Tome I et II) d’un prix Nobel, grande conscience actuelle vivante ?
Voici ce que j'ai trouvé sur internet au sujet de ce livre interdit.
Le crime de Soljenitsyne est d'aborder la place et le rôle des Juifs russes dans les institutions et le mouvement bolchévique. Sujet hérétique frappé d'interdit !
On y apprend (tome 2 couvrant la période allant de 1917 à 1972) que plus de 50% des organes essentiels au fonctionnement du Bolchevisme naissant étaient composés de Juifs (Comité Central-Commissaires Politiques - NKVD etc..) Or si l’on rapproche ces informations au fait avéré que les Bolcheviques ont assassiné 20 Millions de Russes, cela équivaut presque à 4 Shoahs, ce qui d’ailleurs n’enlève rien à l’horreur absolu de la Shoah ni ne condamne les Juifs en tant que tels mais qui démontre à la fois la cruauté humaine et le fait que les Juifs n’ont pas le monopole de la victimisation et que le devoir de mémoire devrait aussi s’appliquer aux Russes. Que le livre de Soljenitsyne puisse être boycotté est une forme élaborée et hypocrite de négationnisme et ceux qui liront le livre ont le devoir de la faire connaitre au maximum afin qu’une page de l’histoire ne soit pas passé par pertes et profits.
Déjà en 1921, un Journaliste Anglais du nom de WILTON (correspondant du Time à Moscou) avait publié un livre (lui aussi boycotté...déjà) intitulé " La Fin de Romanovs". Wilton avait moins d’érudition et de talent qu’A.S., mais il dit exactement la même chose. Le chercheur au CNRS Pierre André Taguieff a cité l’ouvrage de Soljénitsyne en référence et a écrit que Deux siècles ensemble était un monument d’érudition et que Fayard avait eu grand mérite de le publier.
Autre crime impardonnable : Soljenitsyne tente de montrer que les pogroms sont fomentés par les révolutionnaires (p. 228) et non par des partisans du tsar.
Soljenitsyne : Les Protocoles de Sion se réalisent sous nos yeux 

[1] Voltaire et Schopenhauer

Tout un esprit des Lumières n’est pas seulement anti-biblique, mais bien anti-judaïque. Le rationalisme et l’universalisme des Lumières rejettent violemment l’Ancien Testament et sa vision du monde. Voltaire et Schopenhauer illustrent l’un et l’autre cette position. Mais derrière les controverses religieuses et métaphysiques, c’est un véritable rapport au monde que ce rejet de l’Ancien Testament exprime.
Ce qui est très révélateur chez ces deux auteurs, c’est leur haine des horreurs écrites dans la Bible. C’est plus que de la haine, c’est de l’obsession, chez chacun d’eux. Voltaire y revient sans cesse. Je cite quelques phrases, mais on peut ouvrir le Dictionnaire philosophique ou l’Essai sur les mœurs, cela revient souvent, vraiment : « On ne voit au contraire, dans toutes les annales du peuple hébreu, aucune action généreuse. Ils ne connaissent ni l'hospitalité, ni la libéralité, ni la clémence. Leur souverain bonheur est d'exercer l'usure avec les étrangers ; et cet esprit d'usure, principe de toute lâcheté, est tellement enraciné dans leurs cœurs, que c'est l'objet continuel des figures qu'ils emploient dans l'espèce d'éloquence qui leur est propre. Leur gloire est de mettre à feu et à sang les petits villages dont ils peuvent s'emparer. Ils égorgent les vieillards et les enfants ; ils ne réservent que les filles nubiles ; ils assassinent leurs maîtres quand ils sont esclaves ; ils ne savent jamais pardonner quand ils sont vainqueurs : ils sont ennemis du genre humain. Nulle politesse, nulle science, nul art perfectionné dans aucun temps, chez cette nation atroce  » (Essai sur les mœurs, VI). « Nous ne croirions pas qu’un peuple si abominable eût pu exister sur la terre : mais, comme cette nation elle-même nous rapporte tous ces faits dans ses livres saints, il faut la croire  » (Essai sur les mœurs, introduction). « Les Juifs seuls sont en horreur à tous les peuples chez lesquels ils sont admis  » (Essai sur les mœurs, CII).
Et chez Schopenhauer c’est à peine plus léger, il en parle moins, mais à chaque fois qu’il le fait c’est avec une hargne étonnante : « Un petit peuple de rien du tout, isolé, bizarre, gouverné sacerdotalement c’est-à-dire par la folie, parfaitement méprisé d’ailleurs de toutes les grandes nations de l’Orient et de l’Occident, ses contemporaines, je veux parler du peuple juif  » (Le Monde comme volonté et comme représentation, II, 49).
Le dictionnaire philosophique portatif, écrit par Voltaire en 1764, attaque les juifs dans des termes d’une extrême violence dans une trentaine d’articles sur six cent quatorze. On peut y lire « Vous ne trouverez en eux qu’un peuple ignorant et barbare, qui joint depuis longtemps la plus sordide avarice à la plus détestable superstition et à la plus invincible haine pour les peuples qui les tolèrent et qui les enrichissent ».

Son antijudaïsme est largement exprimé dans deux de ses livres : « Essais sur les mœurs des Nations » et son « Dictionnaire philosophique portatif ».

VOLTAIRE : Citations tirées du Dictionnaire philosophique portatif :

Article "Abraham" : "Tous les royaumes de l’Asie étaient très florissants avant que la horde vagabonde des Juifs possédât une ville, des lois et une religion fixe. Lors donc qu’on voit un rite, une ancienne opinion établie en Égypte ou en Asie, et chez les Juifs, il est bien naturel de penser que le petit peuple nouveau, ignorant, grossier, toujours privé des arts, a copié, comme il a pu, la nation antique, florissante et industrieuse."

Article "Anthropophage" : "Les Juifs anthropophages ? C’eût été la seule chose qui eût manqué au peuple de Dieu pour être le plus abominable peuple de la terre."

Article «Juifs» : "Vous ne trouverez en eux qu’un peuple ignorant et barbare, qui joint depuis longtemps la plus sordide avarice aux plus détestables superstition et haine pour tous les peuples qui les tolèrent et qui les enrichissent. Il ne faut pourtant pas les brûler."

Article «Job» : "Leur profession fut le brigandage et le courtage ; écrivains par hasard."

Article «Tolérance» : "Le juif, un peuple barbare, égorgeant sans pitié tous les habitants d’un malheureux pays sur lequel il n’a pas plus de droit qu’il n’en a sur Paris ou Londres."

Article « Salomon » : «Nous avons les Juifs en horreur mais voulons que ce qui a été écrit par eux et recueilli par nous porte l’empreinte de Dieu. Il n’y a jamais eu contradiction si palpable… Un peuple ignorant et barbare, qui joint depuis longtemps la plus sordide avarice à la plus détestable superstition, et à la plus invincible haine pour tous les peuples qui les tolèrent et qui les enrichissent. Il ne faut pourtant pas les brûler

Citations tirées de l'édition 1805 de l' Essai sur les Mœurs et l'esprit des Nations

"Si nous lisions l'histoire des Juifs écrite par un auteur d'une autre nation, nous aurions peine à croire qu'il y ait eu en effet un peuple fugitif d'Égypte qui soit venu par ordre exprès de Dieu immoler sept ou huit petites nations qu'il ne connaissait pas ; égorger sans miséricorde les femmes, les vieillards et les enfants à la mamelle, et ne réserver que les petites filles ; que ce peuple saint ait été puni de son Dieu quand il avait été assez criminel pour épargner un seul homme dévoué à l'anathème. Nous ne croirions pas qu'un peuple si abominable (les Juifs) eut pu exister sur la terre. Mais comme cette nation elle-même nous rapporte tous ses faits dans ses livres saints, il faut la croire."

(Tome 1, page 158-159)

"Toujours superstitieuse, toujours avide du bien d'autrui, toujours barbare, rampante dans le malheur, et insolente dans la prospérité, voilà ce que furent les Juifs aux yeux des Grecs et des Romains qui purent lire leurs livres."

(Tome 1, page 186)

"Si Dieu avait exaucé toutes les prières de son peuple, il ne serait restés que des Juifs sur la terre ; car ils détestaient toutes les nations, ils en étaient détestés ; et, en demandant sans cesse que Dieu exterminât tous ceux qu'ils haïssaient, ils semblaient demander la ruine de la terre entière."

(Tome 1, page 197)

" N'est-il pas clair (humainement parlant, en ne considérant que les causes secondes) que si les Juifs, qui espéraient la conquête du monde, ont été presque toujours asservis, ce fut leur faute ? Et si les Romains dominèrent, ne le méritèrent-ils pas par leur courage et par leur prudence ? Je demande très humblement pardon aux Romains de les comparer un moment avec les Juifs."

(Tome 1, page 226)

"Si ces Ismaélites [les Arabes] ressemblaient aux Juifs par l'enthousiasme et la soif du pillage, ils étaient prodigieusement supérieurs par le courage, par la grandeur d'âme, par la magnanimité : leur histoire, ou vraie ou fabuleuse, avant Mahomet, est remplie d'exemples d'amitié, tels que la Grèce en inventa dans les fables de Pilade et d'Oreste, de Thésée et de Pirithous. L'histoire des Barmécides n'est qu'une suite de générosités inouïes qui élèvent l'âme. Ces traits caractérisent une nation.

On ne voit au contraire, dans toutes les annales du peuple hébreu, aucune action généreuse. Ils ne connaissent ni l'hospitalité, ni la libéralité, ni la clémence. Leur souverain bonheur est d'exercer l'usure avec les étrangers ; et cet esprit d'usure, principe de toute lâcheté, est tellement enracinée dans leurs coeurs, que c'est l'objet continuel des figures qu'ils emploient dans l'espèce d'éloquence qui leur est propre. Leur gloire est de mettre à feu et à sang les petits villages dont ils peuvent s'emparer. Ils égorgent les vieillards et les enfants ; ils ne réservent que les filles nubiles ; ils assassinent leurs maîtres quand ils sont esclaves ;ils ne savent jamais pardonner quand ils sont vainqueurs : ils sont ennemis du genre humain. Nulle politesse, nulle science, nul art perfectionné dans aucun temps, chez cette nation atroce."

(Tome 2, page 83)

" Lorsque, vers la fin du quinzième siècle, on voulut rechercher la source de la misère espagnole, on trouva que les Juifs avaient attiré à eux tout l'argent du pays par le commerce et par l'usure. On comptait en Espagne plus de cent cinquante mille hommes de cette nation étrangère si odieuse et si nécessaire. (...)

Les Juifs seuls sont en horreur à tous les peuples chez lesquels ils sont admis (...).
On feignait de s'alarmer que la vanité que tiraient les Juifs d'être établis sur les côtes méridionales de ce royaume long-temps avant les chrétiens : il est vrai qu'ils avaient passé en Andalousie de temps immémorial ; ils enveloppaient cette vérité de fables ridicules, telles qu'en a toujours débité ce peuple, chez qui les gens de bon sens ne s'appliquent qu'au négoce, et où le rabbinisme est abandonné à ceux qui ne peuvent mieux faire. Les rabbins espagnols avaient beaucoup écrit pour prouver qu'une colonie de Juifs avait fleuri sur les côtes du temps de Salomon, et que l'ancienne Bétique payait un tribut à ce troisième roi de Palestine ; il est très vraisemblable que les Phéniciens, en découvrant l'Andalousie, et en y fondant des colonies, y avaient établi des Juifs qui servirent de courtiers, comme ils en ont servi partout ; mais de tout temps les Juifs ont défiguré la vérité par des fables absurdes. Ils mirent en œuvre de fausses médailles, de fausses inscriptions ; cette espèce de fourberie, jointe aux autres plus essentielles qu'on leur reprochait, ne contribua pas peu à leur disgrâce.
"

(Tome 5, page 74-76)

" Ils ont même été sur le point d'obtenir le droit de bourgeoisie en Angleterre vers l'an 1750 et l'acte du parlement allait déjà passer en leur faveur. Mais enfin le cri de la nation, et l'excès du ridicule jeté sur cette entreprise la fit échouer. Il courut cent pasquinades représentant mylord Aaron et mylord Judas séants dans la chambre des pairs. On rit, et les Juifs se contentèrent d'être riches et libres ; (...)

Vous êtes frappés de cette haine et de ce mépris que toutes les nations ont toujours eus pour les Juifs. C'est la suite inévitable de leur législation : Il fallait, ou qu'ils subjugassent tout, ou qu'ils fussent écrasés. Il leur fut ordonné d'avoir les nations en horreur, et de se croire souillés s'ils avaient mangé dans un plat qui eût appartenu à un homme d'une autre loi. Ils appelaient les nations vingt à trente bourgades leurs voisines qu'ils voulaient exterminer, et ils crurent qu'il fallait n'avoir rien de commun avec elles. Quand leurs yeux furent un peu ouverts par d'autre nations victorieuses qui leur apprirent que le monde était plus grand qu'ils ne croyaient, ils se trouvèrent, par leur loi même, ennemis naturels de ces nations, et enfin du genre humain. Leur politique absurde subsista quand elle devait changer ; leur superstition augmenta avec leurs malheurs : leurs vainqueurs étaient incirconcis ; il ne parut pas plus permis à un Juif de manger dans un plat qui avait servi à un Romain que dans le plat d'un Amorrhéen ; ils gardèrent tous leurs usages, qui sont précisément le contraire des usages sociables. Ils furent donc avec raison traités comme une nation opposée en tout aux autres ; les servant par avarice, les détestant par fanatisme, se faisant de l'usure un devoir sacré. Et ce sont nos pères ! "

(Tome5, page 82-83)

 

L. F. Céline :

"Albert Zbinden : "Disons le mot, vous avez été antisémite ?"

L.F. Céline : "Exactement. Dans la mesure où je supposais que les sémites nous poussaient dans la guerre. Sans ça je n'ai évidemment rien - je ne me trouve nulle part en conflit avec les sémites ; il n'y a pas de raison. Mais autant qu'ils constituaient une secte, comme les Templiers, ou les Jansénistes, j'étais aussi formel que Louis XIV. Il avait des raisons pour révoquer l'édit de Nantes, et Louis XV pour chasser les Jésuites... Alors voilà, n'est-ce pas : je me suis pris pour Louis XV ou pour Louis XIV, c'est évidemment une erreur profonde. Alors que je n'avais qu'à rester ce que je suis et tout simplement me taire. Là j'ai péché par orgueil, je l'avoue, par vanité, par bêtise. Je n'avais qu'à me taire... Ce sont des problèmes qui me dépassaient beaucoup. Je suis né à l'époque où on parlait encore de l'affaire Dreyfus. Tout ça c'est une vraie bêtise dont je fais les frais."
Entretien avec Albert Zbinden, 1957
"Ce sont les esprits pervers qui rendent la vie insupportable. Ils trouvent des intentions partout. Moi je me sens devenir si pervers que ça me tourne en folie raciste. Et pas qu’un petit peu ! Raciste 100 pour 100 ! autant que communiste, sans les Juifs ! À l’heure où nous sommes, dans les circonstances si tragiques, l’indifférence n’est plus de mise. Il faut choisir, il faut opter pour un genre de perversion, ça suffit plus de se dire méchant, il faut avoir une foi terrible, une intolérance atroce, y a pas beaucoup de choix, c’est l’aryenne ou la maçonnique, juive ou anti-juive. Ça va nous donner vingt ans de rigolade. Je ressens, tellement je suis drôle, des choses encore bien plus perverses. Des véritables sadismes. Je me sens très ami d’Hitler, très ami de tous les Allemands, je trouve que ce sont des frères, qu’ils ont bien raison d’être si racistes. Ça me ferait énormément de peine si jamais ils étaient battus. Je trouve que nos vrais ennemis c’est les Juifs et les francs-maçons. Que la guerre qui vient c’est la guerre des Juifs et des francs-maçons, que c’est pas du tout la nôtre. Que c’est un crime qu’on nous oblige à porter les armes contre des personnes de notre race, qui nous demandent rien, que c’est juste pour faire plaisir aux détrousseurs du ghetto. Que c’est bien la dégringolade au dernier cran de dégueulasserie."
extrait de "L'ÉCOLE DES CADAVRES
"
LOUIS FERDINAND CÉLINE

 

VOIR AUSSI :


 Hannibal GENSERIC

1 commentaire:

  1. Complément d'information :

    http://temple-hermes-thoth.blogspot.com/2019/02/lignoble-fonds-de-commerce-des-anti.html

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