Pour Einstein : « L’antisémitisme
n’est rien d’autre que l’attitude antagoniste produite par les non-juifs face
aux agissement de la juiverie. C’est une réaction sociale tout à fait normale. » Dans un article de Colliers Magazine, 26 novembre 1938,
Einstein poursuit : « La juiverie
a prospéré sur l’oppression et l’antagonisme qu’elle a toujours rencontré de
par le monde. »
Alors que les MSM
(Médias Super Menteurs) se déchainent en France contre les Gilets Jaunes parce
que certains manifestants ont osé traiter Filkencrotte de juif sioniste, ce qui
est d'une navrante banalité, il est utile de lire ce que disent certains grands
savants et philosophes à propos de « l’antisémitisme ». Naturellement, le fait que le même
Filkencrotte stigmatise les musulmans français, dont beaucoup font partie
intégrante des GJ, ne choque nullement les MSM.
H. Genséric
Les Nazis ont donné de
l’antisémitisme une mauvaise image. Peut-être était-ce là leur intention.
Leur propagande grossière, leur
racisme et leur génocide l’ont rendu méprisable. Mais l’antisémitisme est issu
d’une longue et importante tradition qui remonte bien plus loin que le Nazisme.
L’antisémitisme a toujours représenté la résistance à une domination politique,
culturelle et économique d’essence étrangère. Cette notion mérite réflexion.
Je commencerai par établir deux
hypothèses
1. La vérité
est si simple, nous lui faisons face, pourtant nous refusons de la voir. La
plupart des Juifs et des Chrétiens ne sont pas conscients que le Judaïsme n’est
pas une religion, mais un culte satanique dissimulé derrière une façade
religieuse respectable.
Le Judaïsme n’est pas défini par
l’Ancien Testament mais par la Kabbale prêchant que Dieu est sans forme et
inconnaissable. Ceci est l’essence même du Satanisme. La base de toute religion
véritable est que Dieu est connaissable. Autrement comment peut-on obéir
à sa voix présente au sein de notre âme/conscience ? Le kabbaliste déclare
que Dieu est inconnaissable parce qu’il veut lui-même être Dieu. « Les
Juifs » sont la manifestation physique de Dieu. Le Dieu
« inconnaissable » est filtré jusqu’à que ce que sa volonté se
manifeste par l’intermédiaire du Rabbin. La Kabbale est la base du Satanisme et
de toute la pratique Occulte au travers de l’histoire. De plus en plus, le
Satanisme remplace le Christianisme comme référence morale au sein de la
société.
Le but des Juifs kabbalistes
(Illuminati) a toujours été de détruire la civilisation Chrétienne, et ils y
ont réussis. Aucun Juif vivant aujourd’hui ne devrait encourir le blâme pour la
crucifixion du Christ. Mais cependant, depuis la crucifixion jusqu’à nos jours,
le but de la juiverie organisée contrôlée par les kabbalistes, continue d’être
l’éradication de la Chrétienté. Ils ont défini la résistance Chrétienne à leur
propre décadence, comme de « l’antisémitisme », ne faisant en cela
qu’invertir le bien et le mal tout comme bon Sataniste se doit de le faire.
Les Illuminati prévoient
de créer un « super état mondial » voué à l’extension de leur
fortune, de leur pouvoir et de leurs perversions. Avec l’aide des Francs-maçons
non-Juif, ils se sont emparés de l’Occident et intronisent peu à peu l’humanité
à leur culte satanique. J’ai démontré de manière multiple comment l’humanité
est sataniquement possédée.
2. Comme je
l’ai fait remarquer, au sein d’un culte Satanique, le commun des adeptes ne
sait rien de la véritable feuille de route. Ces derniers sont manipulés et
dégradés par des arguments fallacieux et des platitudes (ex : la
« tolérance », la « diversité », la « libération sexuelle »).
Au sein d’un culte satanique les gens sont contraints et gardés sous
surveillance. Les gens faisant preuve de conscience sont calomniés et traités
de « haineux ». De plus en plus, les gens deviennent Juifs ou
« haineux » s’ils ne parviennent pas à adhérer à leur ordre du jour.
Dans un tel culte, la vérité ne compte pour rien. Seul le politiquement correct a de l’importance.
Notre société ressemble de plus en plus à ce culte.
Lorsque je parle de faire revivre
« l’antisémitisme », je ne parle pas en faveur d’une discrimination des
individus Juifs comme moi-même. Je parle de s’opposer à quiconque – Juif ou
non-Juif – représentant l’ordre
du jour kabbaliste (Illuminati), qui est à présent embrassé par l’ensemble de
l’establishment politique, économique et culturel Occidental, qui est
entièrement contrôlé par la juiverie organisée et la Franc-maçonnerie.
Que cela soit Desmond Tutu, Michael Gorbatchev, les participants aux réunions
du Bilderberg. Beaucoup sont Juifs. La plupart ne le sont pas. Mais tous sont
des kabbalistes, des satanistes et des vendus.
Le Nouvel Ordre Mondial
est vraiment constitué de deux camps : les kabbalistes (les Illuminati, leurs agents et
leurs électeurs) contre le reste de l’humanité. (Tout le reste n’est qu’un
écran de fumé). Les kabbalistes comprennent les Francs-maçons de gauche comme
de droite, les libéraux comme les socialistes, les féministes radicaux, les
Néocons, les Communistes, les Sionistes, les activistes homosexuels – je pense
que vous avez compris. Comme vous l’aurez probablement remarqué, ces mouvements
ont tous été créés et sont perpétués par des Juifs.
3. Je pense
sincèrement que les Juifs se sentiraient libérés s’ils parvenaient à se
dissocier du Judaïsme. Beaucoup ont déjà sauté le pas. C’est le Judaïsme qui
est la source de l’antisémitisme. De surcroit, sur un plan personnel, le
Judaïsme conduit à la dysfonction. Le projet de la juiverie organisée,
vérifiable par tous ses méfaits à ce jour, est de reprogrammer l’humanité pour
la mettre au service des Illuminati. Ils accomplissent cette monstruosité en
détruisant les quatre piliers de notre identité humaine : la religion
(Dieu), la nationalité, la race et la famille (théorie du genre). Leur but est
qu’il n’y ait plus qu’une seule race, une religion, un seul genre et un monde
uni au service des Illuminati. Un exemple récent de leur mondialisme exacerbé
est la manière dont la juiverie organisée s’oppose frénétiquement aux
mouvements nationalistes en Europe.
LE PREMIER ANTISÉMITE
Le premier antisémite fut Dieu
lui-même. Lorsque Moïse lui déclara que les Juifs vénéraient un veau
d’or : « Le Seigneur dit à Moïse : J’ai contemplé ce peuple
et vu qu’ils étaient un peuple obstiné. Maintenant laisse-moi seul afin que je
les détruise… » (Exode 32: 9-10)
Je ne sais pas ce qu’Abe Foxman
(président de l’ADL) dirait des tendances génocidaires de Dieu. Dans tous les
cas, les adorateurs de Baal sont aujourd’hui au pouvoir et Dieu devrait faire
face à un Tribunal des Droits de l’homme pour sa déclaration sans équivoque.
Les grands prophètes de l’Ancien
Testament étaient aussi tous antisémites. Jérémie a déclaré que les Juifs : « ne
disent pas la vérité ; tant ils ont exercé leur langue à l’art du
mensonge… » (Jérémie 9:5). Isaïe a expliqué que le Seigneur châtiera
« les filles de Sion qui sont pleines d’arrogance, et marchent d’un
port hautain en jetant des regards lascifs… » (Isaïe 3:16)
Jésus a rejoint le noble rang des
antisémites lorsqu’il déclara aux Pharisiens : « Vous êtes de
votre père le diable, et vous faites les désirs de votre père. Il était un
meurtrier depuis le commencement, et n’était pas dans la vérité, parce qu’il
n’y a aucune vérité en lui. Lorsqu’il prononce un mensonge, il parle seulement
de lui-même : car il est un menteur et le père du mensonge. »
(Jean 8:44)
Tout au long de l’histoire, les
Juifs ont été critiqué par tout le Who’s Who de la Civilisation Occidentale.
L’historien romain Tacite les condamna pour être à l’origine de la
subversion de la religion, du pays et de la famille et déclara qu’ils étaient
« les ennemis de toutes les races à part la leur. » George
Bernard Shaw déclara : « Les Juifs devraient plutôt cesser
d’être Juifs et commencé à devenir des êtres humains. »
Le musicien hongrois Franz Liszt
déclara : « Ils vendent… les outils et les projectiles qui servent
à détruire les fondation de la foi et de la morale. »
Le grand poète allemand Goethe
dit : « Cette race industrieuse obéit à un grand principe
directeur : tant que l’ordre règne, il n’a rien à gagner. »
Voltaire, le philosophe français,
déclara : « la nation Juive ose faire montre d’une haine
irréconciliable contre toutes les nations, se révolter contre tous les
maitres ; toujours superstitieuse, toujours avide du bien-être d’autrui,
toujours barbare – servile dans le malheur et insolent dans la prospérité. » [1]
On ne peut pas généraliser sur tous
les Juifs mais le critique américain H. L. Mencken était
particulièrement dur envers la plupart. Il a déclaré que les Juifs « constitue
la race la plus déplaisante qu’il est jamais vu. Ils sont dépourvus de la
plupart des qualités qui définissent l’homme civilisé : le courage, la
dignité, l’incorruptibilité, la simplicité, la confiance. Ils font montre de
vanité dénuée de fierté, de volupté sans le moindre bon goût, de connaissance
dénuée de toute sagesse… leur charité est principalement une forme mondaine de
se faire valoir. »
Les Juifs ne sont pas au courant du
projet suprématiste de leurs dirigeants kabbalistes. À la place, on leur dit
qu’ils sont « haïs sans raison » ou parce que les gens
ont besoin d’un bouc émissaire innocent à blâmer pour leur souffrance.
L’antisémitisme serait une « maladie irrationnelle présente
au sein de l’esprit des goyim. » De plus en plus, dans ce Nouvel Ordre
Mondial sataniste, les gens sains sont dépeints comme malades.
Il est grand temps que les Juifs
réalisent que le Judaïsme n’est pas du côté des anges, mais qu’il n’est pas
trop tard pour s’en extraire.
Il est grand temps que les Chrétiens
réalisent qu’ils se sont fait avoir par les plus grands tricheurs auxquels le
monde a jamais donné naissance. Les Juifs ne sont pas « le peuple
élu ». Leurs dirigeants sont des mégalomanes
qui détruisent les nations, tuent des millions d’innocents et menacent le futur
de l’humanité.
Il est temps pour nous tous de
réaliser que d’être capable de critiquer les Juifs constitue une forme de test
de notre propre liberté. L’antisémitisme fut banni et sévèrement puni dans la
Russie Soviétique. Est-ce donc le genre de société au sein de laquelle nous
voulons vivre ?
LA MESURE DE LEUR SUCCÈS
La conquête politique, économique et
culturelle du monde par les Juifs kabbalistes et leurs alliés constitue en fait
la véritable histoire des 500 dernières années, voire plus. (Les banquiers
Illuminati sont à l’origine de l’impérialisme) Pourtant leur contrôle de la
culture est tel que les gens sont complètement ignorant que cette conquête se
soit produite. L’étiquette « antisémite »
est une malédiction qui provoque la paralysie.
Si vous n’êtes pas antisémite, à la
manière dont je viens de le décrire, vous êtes un opportuniste, une dupe ou
bien les deux.
Les gens ne sont pas conscients du
fait que toutes les guerres ont été conçues par les banquiers Juifs
francs-maçons pour augmenter leur pouvoir et leur richesse, détruire leurs
rivaux et faire avancer leur projet de gouvernement mondial.
Les gens ne sont pas conscients du fait que leurs « dirigeants »
ne sont que des marionnettes et que les médias de masses sont des prostitués. Ils ne comprennent pas que les
Illuminati ont sponsorisé le féminisme, l’homosexualité, la promiscuité et la
pornographie, de manière à déchirer le tissu social (le mariage et la famille)
et tout cela afin de diminuer toute résistance à leur tyrannie. Ils ne savent
pas que le 11/09 et le reste ne sont que des attentats sous faux drapeau pour
s’emparer de nos droits civiques et qu’ils persistent à mettre en scène de faux
attentats pour confisquer nos armes.
En tant que Juif ethnique, le fils
de survivants de l’holocauste qui ont perdu leurs parents, je reconnais qu’il
existe des raisons fondées à l’antisémitisme passé et présent. Je fais partie
de ces juifs ordinaires qui refusent de servir de bouclier humain, ni de
victime sacrificielle, ni de bouc émissaire par la faute du projet secret
démentiel et satanique de la juiverie organisée.
Henry Makow,
Docteur en Philosophie de l’Université de Toronto, se définit ainsi
« Je suis un
juif assimilé, un Canadien qui a vécu en Israël en 1972-73 et qui était
autrefois sioniste. Je ne crois plus que le peuple Juif a besoin d’une patrie.»
Il a écrit aussi : Ce qu’être Juif signifie pour moi
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Des députés français veulent que « Citer le nom d’Israël »
soit reconnu comme un délit
Des députés
membres du groupe d’études de l’Assemblée nationale sur l’antisémitisme veulent
pénaliser le simple fait
de citer le mot « Israël », une proposition qui suscite des
réserves dans les rangs du gouvernement mais qui recueille le soutien de plus
de 7.000 signatures sur une pétition en ligne à cet effet. Le député Sylvain
Maillard, président du groupe d’étude, a annoncé samedi que « le
groupe porterait une initiative forte pour que citer le nom de l’état hébreu
soit reconnu et puni en France pour ce qu’il est: de l’antisémitisme ».
Il sera néanmoins possible de citer le nom de
l’état à condition d’avoir demandé un permis de citation qui devra être signé
par Benjamin Netanyahou.
Le groupe d’études, qui compte une
trentaine de membres, doit se réunir mardi pour décider du véhicule législatif
adéquat, potentiellement une proposition de loi, une proposition de résolution
(sans valeur contraignante) ou une note affichée au siège social des
Illuminatis
Source
Aucune critique dans la
presse quotidienne n'a transpiré, pas plus dans les grands Hebdos, encore moins
sur les grandes radios.... et bien sûr RIEN dans les émissions TV (Vol de Nuit
, Guillaume Durand , Yves Calvi, Serge Moati etc..).
Pourquoi ?? Pourquoi
l'ensemble des media a-t-il occulté la sortie d’un ouvrage de 1200 pages (Tome
I et II) d’un prix Nobel, grande conscience actuelle vivante ?
Voici ce que j'ai
trouvé sur internet au sujet de ce livre interdit.
Le crime de Soljenitsyne est d'aborder la place et le
rôle des Juifs russes dans les institutions et le mouvement bolchévique. Sujet hérétique
frappé d'interdit !
On y apprend (tome 2
couvrant la période allant de 1917 à 1972) que plus
de 50% des organes essentiels au fonctionnement du Bolchevisme naissant étaient
composés de Juifs (Comité Central-Commissaires Politiques - NKVD etc..) Or
si l’on rapproche ces informations au fait avéré que les Bolcheviques ont
assassiné 20 Millions de Russes, cela équivaut presque à 4 Shoahs, ce qui
d’ailleurs n’enlève rien à l’horreur absolu de la Shoah ni ne condamne les
Juifs en tant que tels mais qui démontre à la fois la cruauté humaine et le
fait que les Juifs n’ont pas le monopole de la victimisation et que le devoir
de mémoire devrait aussi s’appliquer aux Russes. Que le livre de Soljenitsyne puisse être boycotté est
une forme élaborée et hypocrite de négationnisme et ceux qui liront
le livre ont le devoir de la faire connaitre au maximum afin qu’une page de
l’histoire ne soit pas passé par pertes et profits.
Déjà en 1921, un
Journaliste Anglais du nom de WILTON (correspondant du Time à Moscou) avait
publié un livre (lui aussi boycotté...déjà) intitulé " La Fin de
Romanovs". Wilton avait moins d’érudition et de talent qu’A.S., mais il
dit exactement la même chose. Le chercheur au CNRS Pierre André Taguieff a cité
l’ouvrage de Soljénitsyne en référence et a écrit que Deux siècles
ensemble était un monument d’érudition et que Fayard avait eu grand mérite
de le publier.
Autre crime
impardonnable : Soljenitsyne tente de montrer que les pogroms sont fomentés
par les révolutionnaires (p. 228) et non par des partisans du tsar.
Soljenitsyne
: Les Protocoles de Sion se réalisent sous nos yeux
[1] Voltaire et
Schopenhauer
Tout un esprit des Lumières n’est pas seulement
anti-biblique, mais bien anti-judaïque. Le rationalisme et l’universalisme des
Lumières rejettent violemment l’Ancien Testament et sa vision du monde.
Voltaire et Schopenhauer illustrent l’un et l’autre cette position. Mais
derrière les controverses religieuses et métaphysiques, c’est un véritable
rapport au monde que ce rejet de l’Ancien Testament exprime.
Ce qui est très révélateur chez ces deux auteurs, c’est
leur haine des horreurs écrites dans la Bible. C’est plus que de la haine,
c’est de l’obsession, chez chacun d’eux. Voltaire y revient sans cesse. Je cite
quelques phrases, mais on peut ouvrir le Dictionnaire philosophique ou
l’Essai sur les mœurs, cela revient souvent, vraiment : « On
ne voit au contraire, dans toutes les annales du peuple hébreu, aucune action
généreuse. Ils ne connaissent ni l'hospitalité, ni la libéralité, ni la
clémence. Leur souverain bonheur est d'exercer l'usure avec les
étrangers ; et cet esprit d'usure, principe de toute lâcheté, est
tellement enraciné dans leurs cœurs, que c'est l'objet continuel des figures
qu'ils emploient dans l'espèce d'éloquence qui leur est propre. Leur gloire est
de mettre à feu et à sang les petits villages dont ils peuvent s'emparer. Ils
égorgent les vieillards et les enfants ; ils ne réservent que les filles
nubiles ; ils assassinent leurs maîtres quand ils sont esclaves ; ils
ne savent jamais pardonner quand ils sont vainqueurs : ils sont ennemis du
genre humain. Nulle politesse, nulle science, nul art perfectionné dans aucun
temps, chez cette nation atroce » (Essai sur les mœurs,
VI). « Nous ne croirions pas qu’un peuple si abominable eût pu exister
sur la terre : mais, comme cette nation elle-même nous rapporte tous ces
faits dans ses livres saints, il faut la croire » (Essai sur
les mœurs, introduction). « Les Juifs seuls sont en horreur à tous
les peuples chez lesquels ils sont admis » (Essai sur les
mœurs, CII).
Et chez Schopenhauer c’est à peine plus léger, il en
parle moins, mais à chaque fois qu’il le fait c’est avec une hargne
étonnante : « Un petit peuple de rien du tout, isolé, bizarre,
gouverné sacerdotalement c’est-à-dire par la folie, parfaitement méprisé
d’ailleurs de toutes les grandes nations de l’Orient et de l’Occident, ses
contemporaines, je veux parler du peuple juif » (Le Monde
comme volonté et comme représentation, II, 49).
Le dictionnaire philosophique portatif,
écrit par Voltaire en 1764, attaque les juifs dans des termes d’une extrême
violence dans une trentaine d’articles sur six cent quatorze. On peut y lire « Vous ne trouverez en eux qu’un peuple
ignorant et barbare, qui joint depuis longtemps la plus sordide avarice à la
plus détestable superstition et à la plus invincible haine pour les peuples qui
les tolèrent et qui les enrichissent ».
Son antijudaïsme
est largement exprimé dans deux de ses livres : « Essais sur les mœurs des
Nations » et son « Dictionnaire philosophique portatif ».
VOLTAIRE : Citations
tirées du Dictionnaire philosophique portatif :
Article
"Abraham" : "Tous les royaumes de l’Asie étaient très florissants
avant que la horde vagabonde des Juifs possédât une ville, des lois et une
religion fixe. Lors donc qu’on voit un rite, une ancienne opinion établie en
Égypte ou en Asie, et chez les Juifs, il est bien naturel de penser que le
petit peuple nouveau, ignorant, grossier, toujours privé des arts, a copié,
comme il a pu, la nation antique, florissante et industrieuse."
Article
"Anthropophage" : "Les Juifs anthropophages ? C’eût été la seule chose
qui eût manqué au peuple de Dieu pour être le plus abominable peuple de la
terre."
Article
«Juifs» : "Vous ne trouverez en eux qu’un peuple ignorant et barbare, qui joint depuis
longtemps la plus sordide avarice aux plus détestables superstition et haine
pour tous les peuples qui les tolèrent et qui les enrichissent. Il ne faut
pourtant pas les brûler."
Article
«Job» : "Leur profession fut le brigandage et le courtage ; écrivains par hasard."
Article
«Tolérance» : "Le juif, un peuple barbare, égorgeant sans pitié tous les habitants d’un
malheureux pays sur lequel il n’a pas plus de droit qu’il n’en a sur Paris ou
Londres."
Article «
Salomon » : «Nous avons les Juifs en horreur mais voulons que ce qui a été écrit par eux
et recueilli par nous porte l’empreinte de Dieu. Il n’y a jamais eu
contradiction si palpable… Un peuple ignorant et barbare, qui joint depuis
longtemps la plus sordide avarice à la plus détestable superstition, et à la
plus invincible haine pour tous les peuples qui les tolèrent et qui les
enrichissent. Il ne faut pourtant pas les brûler.»
Citations tirées
de l'édition 1805 de l' Essai sur les Mœurs et l'esprit des Nations
"Si nous lisions l'histoire des Juifs écrite par un auteur d'une autre
nation, nous aurions peine à croire qu'il y ait eu en effet un peuple fugitif
d'Égypte qui soit venu par ordre exprès de Dieu immoler sept ou huit petites
nations qu'il ne connaissait pas ; égorger sans miséricorde les femmes, les
vieillards et les enfants à la mamelle, et ne réserver que les petites filles ;
que ce peuple saint ait été puni de son Dieu quand il avait été assez criminel
pour épargner un seul homme dévoué à l'anathème. Nous ne croirions pas qu'un
peuple si abominable (les Juifs) eut pu exister sur la terre. Mais comme cette
nation elle-même nous rapporte tous ses faits dans ses livres saints, il faut
la croire."
(Tome 1,
page 158-159)
"Toujours superstitieuse, toujours avide du bien d'autrui, toujours barbare,
rampante dans le malheur, et insolente dans la prospérité, voilà ce que furent
les Juifs aux yeux des Grecs et des Romains qui purent lire leurs livres."
(Tome 1,
page 186)
"Si Dieu avait exaucé toutes les prières de son peuple, il ne serait restés
que des Juifs sur la terre ; car ils détestaient toutes les nations, ils en
étaient détestés ; et, en demandant sans cesse que Dieu exterminât tous ceux
qu'ils haïssaient, ils semblaient demander la ruine de la terre entière."
(Tome 1,
page 197)
" N'est-il pas clair (humainement parlant, en ne considérant que les causes
secondes) que si les Juifs, qui espéraient la conquête du monde, ont été
presque toujours asservis, ce fut leur faute ? Et si les Romains dominèrent, ne
le méritèrent-ils pas par leur courage et par leur prudence ? Je demande très
humblement pardon aux Romains de les comparer un moment avec les Juifs."
(Tome 1,
page 226)
"Si ces Ismaélites [les Arabes] ressemblaient aux Juifs par l'enthousiasme
et la soif du pillage, ils étaient prodigieusement supérieurs par le courage,
par la grandeur d'âme, par la magnanimité : leur histoire, ou vraie ou
fabuleuse, avant Mahomet, est remplie d'exemples d'amitié, tels que la Grèce en
inventa dans les fables de Pilade et d'Oreste, de Thésée et de Pirithous.
L'histoire des Barmécides n'est qu'une suite de générosités inouïes qui élèvent
l'âme. Ces traits caractérisent une nation.
On ne voit au contraire, dans toutes les annales du
peuple hébreu, aucune action généreuse. Ils ne connaissent ni l'hospitalité, ni
la libéralité, ni la clémence. Leur souverain bonheur est d'exercer l'usure
avec les étrangers ; et cet esprit d'usure, principe de toute lâcheté, est
tellement enracinée dans leurs coeurs, que c'est l'objet continuel des figures
qu'ils emploient dans l'espèce d'éloquence qui leur est propre. Leur gloire est
de mettre à feu et à sang les petits villages dont ils peuvent s'emparer. Ils égorgent
les vieillards et les enfants ; ils ne réservent que les filles nubiles ; ils
assassinent leurs maîtres quand ils sont esclaves ;ils ne savent jamais
pardonner quand ils sont vainqueurs : ils sont ennemis du genre humain. Nulle
politesse, nulle science, nul art perfectionné dans aucun temps, chez cette
nation atroce."
(Tome 2,
page 83)
" Lorsque, vers la fin du quinzième siècle, on voulut rechercher la source de
la misère espagnole, on trouva que les Juifs avaient attiré à eux tout l'argent
du pays par le commerce et par l'usure. On comptait en Espagne plus de cent
cinquante mille hommes de cette nation étrangère si odieuse et si nécessaire.
(...)
Les Juifs seuls sont en horreur à tous les peuples
chez lesquels ils sont admis (...).
On feignait de s'alarmer que la vanité que tiraient les Juifs d'être établis
sur les côtes méridionales de ce royaume long-temps avant les chrétiens : il
est vrai qu'ils avaient passé en Andalousie de temps immémorial ; ils
enveloppaient cette vérité de fables ridicules, telles qu'en a toujours débité
ce peuple, chez qui les gens de bon sens ne s'appliquent qu'au négoce, et où le
rabbinisme est abandonné à ceux qui ne peuvent mieux faire. Les rabbins
espagnols avaient beaucoup écrit pour prouver qu'une colonie de Juifs avait
fleuri sur les côtes du temps de Salomon, et que l'ancienne Bétique payait un
tribut à ce troisième roi de Palestine ; il est très vraisemblable que les
Phéniciens, en découvrant l'Andalousie, et en y fondant des colonies, y avaient
établi des Juifs qui servirent de courtiers, comme ils en ont servi partout ;
mais de tout temps les Juifs ont défiguré la vérité par des fables absurdes.
Ils mirent en œuvre de fausses médailles, de fausses inscriptions ; cette
espèce de fourberie, jointe aux autres plus essentielles qu'on leur reprochait,
ne contribua pas peu à leur disgrâce."
(Tome 5,
page 74-76)
" Ils ont même été sur le point d'obtenir le
droit de bourgeoisie en Angleterre vers l'an 1750 et l'acte du parlement allait
déjà passer en leur faveur. Mais enfin le cri de la nation, et l'excès du
ridicule jeté sur cette entreprise la fit échouer. Il courut cent pasquinades
représentant mylord Aaron et mylord Judas séants dans la chambre des pairs. On
rit, et les Juifs se contentèrent d'être riches et libres ; (...)
Vous êtes frappés de cette haine et de ce mépris que
toutes les nations ont toujours eus pour les Juifs. C'est la suite inévitable
de leur législation : Il fallait, ou qu'ils subjugassent tout, ou qu'ils
fussent écrasés. Il leur fut ordonné d'avoir les nations en horreur, et de se
croire souillés s'ils avaient mangé dans un plat qui eût appartenu à un homme
d'une autre loi. Ils appelaient les nations vingt à trente bourgades leurs
voisines qu'ils voulaient exterminer, et ils crurent qu'il fallait n'avoir rien
de commun avec elles. Quand leurs yeux furent un peu ouverts par d'autre
nations victorieuses qui leur apprirent que le monde était plus grand qu'ils ne
croyaient, ils se trouvèrent, par leur loi même, ennemis naturels de ces
nations, et enfin du genre humain. Leur politique absurde subsista quand elle
devait changer ; leur superstition augmenta avec leurs malheurs : leurs
vainqueurs étaient incirconcis ; il ne parut pas plus permis à un Juif de
manger dans un plat qui avait servi à un Romain que dans le plat d'un Amorrhéen
; ils gardèrent tous leurs usages, qui sont précisément le contraire des usages
sociables. Ils furent donc avec raison traités comme une nation opposée en tout
aux autres ; les servant par avarice, les détestant par fanatisme, se faisant
de l'usure un devoir sacré. Et ce sont nos pères ! "
(Tome5, page
82-83)
L. F. Céline :
"Albert
Zbinden : "Disons le mot, vous avez été antisémite ?"
L.F.
Céline : "Exactement.
Dans la mesure où je supposais que les sémites nous poussaient dans la guerre.
Sans ça je n'ai évidemment rien - je ne me trouve nulle part en conflit avec
les sémites ; il n'y a pas de raison. Mais autant qu'ils constituaient une
secte, comme les Templiers, ou les Jansénistes, j'étais aussi formel que Louis
XIV. Il avait des raisons pour révoquer l'édit de Nantes, et Louis XV pour
chasser les Jésuites... Alors voilà, n'est-ce pas : je me suis pris pour Louis
XV ou pour Louis XIV, c'est évidemment une erreur profonde. Alors que je
n'avais qu'à rester ce que je suis et tout simplement me taire. Là j'ai péché
par orgueil, je l'avoue, par vanité, par bêtise. Je n'avais qu'à me taire... Ce
sont des problèmes qui me dépassaient beaucoup. Je suis né à l'époque où on
parlait encore de l'affaire Dreyfus. Tout ça c'est une vraie bêtise dont je
fais les frais."
Entretien avec Albert Zbinden,
1957
"Ce sont les esprits pervers
qui rendent la vie insupportable. Ils trouvent des intentions partout. Moi je
me sens devenir si pervers que ça me tourne en folie raciste. Et pas qu’un petit
peu ! Raciste 100 pour 100 ! autant que communiste, sans les Juifs ! À l’heure
où nous sommes, dans les circonstances si tragiques, l’indifférence n’est plus
de mise. Il faut choisir, il faut opter pour un genre de perversion, ça suffit
plus de se dire méchant, il faut avoir une foi terrible, une intolérance
atroce, y a pas beaucoup de choix, c’est l’aryenne ou la maçonnique, juive ou
anti-juive. Ça va nous donner vingt ans de rigolade. Je ressens, tellement je
suis drôle, des choses encore bien plus perverses. Des véritables sadismes. Je
me sens très ami d’Hitler, très ami de tous les Allemands, je trouve que ce
sont des frères, qu’ils ont bien raison d’être si racistes. Ça me ferait
énormément de peine si jamais ils étaient battus. Je trouve que nos vrais
ennemis c’est les Juifs et les francs-maçons. Que la guerre qui vient c’est la
guerre des Juifs et des francs-maçons, que c’est pas du tout la nôtre. Que
c’est un crime qu’on nous oblige à porter les armes contre des personnes de
notre race, qui nous demandent rien, que c’est juste pour faire plaisir aux
détrousseurs du ghetto. Que c’est bien la dégringolade au dernier cran de
dégueulasserie."
extrait de "L'ÉCOLE DES CADAVRES"
LOUIS FERDINAND CÉLINE
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSERIC
Complément d'information :
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