Cette information black-listée n'est pas diffusée sur les médias mainstream, immense toile d'araignée tissée au-dessus de nos têtes pour nous désinformer, nous manipuler et nous conditionner. Elle est par contre publiée et largement partagée sur Internet depuis quelques mois, mais il est important d'y revenir pour que les citoyens comprennent ce qui se joue dans l'ombre. Le monde réel, celui qui échappe à notre vision et à notre compréhension est d'une horreur absolue et beaucoup, prisonniers de la matrice, ont du mal à le croire.
Cette année, bien des coups durs ont été portés à l’Israël torve et méprisant :
– La Cour internationale des Droits de l’homme accepte de poursuivre
ce pays pour ses crimes commis depuis 2014 en territoires occupés et à Gaza. Comme le publie le blog de Mediapart,
« observons la réalité en face : pour la première fois depuis le
démembrement de l’empire Ottoman les Palestiniens vont pouvoir faire
entendre leur voix devant une cour pénale ».
– La campagne BDS se poursuit avec un certain succès, au moins
médiatique. Les grosses cibles sont Carterpillar et JCB, qui fournissent
les bulldozer servant à raser les habitations palestiniennes. Et les
ciments français Lafarge ont largement contribué au terrorisme applaudi
par Israël en Syrie, c’est reconnu depuis 2018. C’est une campagne populaire,
qui rebondit devant le Conseil de l’Europe, quoique M. Macron, valet
s’il en est, fasse son possible pour y mettre fin judiciairement, avec
l’aide de son ministre de la Justice soi-disant de gauche.
– « Apartheid israélien » est devenu un terme courant en Israël même,
validé par l’autorité du journaliste senior Gideon Levy. Et le
quotidien Haaretz, dans sa version digitale et son blog,
surprend par la vigueur croissante de son révisionnisme critique contre
une partie des dogmes israéliens.
– Israël reste le seul pays au monde à avoir légalisé la torture. Et
ne se prive pas d’abattre des enfants palestiniens, tel Saïd Youssef
Oudeh, 16 ans, le « Pelé palestinien », près de Naplouse, le 5 mai
dernier, nouveau héros qui rappelle le petit martyr Faris Odeh qui avait
lancé une pierre sur un tank, en 2000, immortalisé par sa célèbre
photo, puis fut abattu d’une balle dans le dos le 8 novembre 2000. Il
avait quatorze ans.