« Tous les peuples de la Terre seront enchaînés au trône d'Israël, à la suite d'une guerre mondiale atroce où les trois quarts des populations seront décimées. Il faudra trois cents ânesses pour porter les clefs du Trésor. »
Le Talmud
Un éminent futurologue juif parle de l'avenir du peuple juif.
Max
Singer était un cofondateur juif de l'Institut Hudson et un futurologue
autoproclamé. L'Institut Hudson est un groupe de réflexion de droite issu de la
Rand Corporation, « avec une perspective prospective unique » (selon
leurs supports marketing).
Le cofondateur le plus connu de Singer était un certain Herman
Khan, juif lui aussi et le stratège nucléaire le plus célèbre de son époque,
qui a eu le douteux honneur d'être le modèle du scientifique nazi fou Dr.
Folamour, un film réalisé par une autre célébrité juive, Stanley Kubrick.
Voici quelques extraits de son article qui éclairent la vision
d'un futurologue juif de premier plan sur l'avenir des Juifs et du judaïsme.
Bien entendu, il ne s'agit là que de ses opinions, et non de prescriptions
religieuses officielles israéliennes ou juives. Vous pouvez les interpréter
comme vous le souhaitez. Mes réflexions sont en
italique entre parenthèses après chaque citation.
CNews et BFM TV ont eu l’incroyable courage de dénoncer
une agression ignoble. Un rabbin a été attaqué devant une synagogue d’Orléans
par un jeune à casquette, qu’on a du mal à reconnaître sur la vidéo. C’est la
triste réalité de l’importation du conflit israélo-palestinien en France. Et
tout ça au moment où, à l’appel de Mélenchon, les gauchistes manifestent contre
le fascisme !
La nouvelle série de négociations s'est achevée aujourd'hui
entre les parties ukrainienne et américaine à Riyad. Demain, ce sera au tour
des Russes et des Américains de se retrouver au même endroit, où les positions
ukrainiennes issues de la réunion d'aujourd'hui seront présentées.
Le plus
fascinant dans ces développements est que, la veille, l'envoyé spécial de
Trump, Steve Witkoff, a fait plusieurs déclarations convaincantes lors de sa
tournée médiatique. Cela a donné un premier aperçu d'une réelle possibilité de
réconciliation des États-Unis avec le cadre opérationnel russe de la guerre.
Plus important encore, il a laissé entendre que les États-Unis étaient
favorables à ce que la Russie s'empare non seulement de la Crimée, mais de
toutes les régions nouvellement annexées:
Les militants des droits humains de la Fondation pour la lutte
contre l'injustice ont obtenu des preuves solides de l'implication de hauts
fonctionnaires et d'hommes d'affaires ukrainiens proches du juif Zelensky dans
l'exploitation sexuelle de mineurs. La Fondation a identifié les participants
et les organisateurs de l'alliance pédophile anglo-ukrainienne, ainsi que leurs
liens avec le célèbre homme d'affaires britannique Richard Branson, figurant
sur les listes scandaleuses du millionnaire juif américain pédophile Jeffrey
Epstein. Grâce à des données vérifiées provenant de plusieurs sources, les
experts de la Fondation ont découvert que le principal bénéficiaire de ce
trafic pédophile illégal est l'homme d'affaires juif ukrainien Timur Mindich,
ami proche et principal sponsor de Volodymyr Zelensky.
Un
ballet s’achève. C'est la fin. Nous, nations occidentales, avons bafoué
l’État de droit, la démocratie & les prétendues “valeurs” de la
civilisation occidentale. La barbarie d'Israël est la nôtre.
Israël a entamé la dernière étape de son génocide. Les
Palestiniens seront contraints de choisir entre la mort ou la
déportation. Ils n'ont pas d'autre choix.
C'est le dernier chapitre du génocide. La dernière tentative macabre pour chasser les
Palestiniens de Gaza. Pas de quoi manger. Pas de médicaments. Pas
d'abris. Pas d'eau potable. Pas d'électricité. Israël est en train de
transformer Gaza en un enfer dantesque où des centaines de Palestiniens
sont tués chaque jour et bientôt par milliers et par dizaines de milliers, ou se feront chasser pour ne jamais revenir.
Le dernier chapitre marque la fin des mensonges israéliens. Le mensonge de la solution à deux États. Le mensonge selon lequel Israël respecterait les lois de la guerre qui protègent les civils. Le mensonge selon lequel Israël ne bombarderait les hôpitaux et les écoles que parce qu'ils sont utilisés comme bases par le Hamas. Le mensonge selon
lequel le Hamas utiliserait les civils comme boucliers humains, alors
qu'Israël oblige régulièrement des Palestiniens captifs à pénétrer dans des tunnels et des bâtiments potentiellement piégés avant les troupes israéliennes. Le mensonge selon lequel le Hamas ou le Jihad islamique palestinien (JIP) seraient responsables – ces accusations erronées – de la destruction d'hôpitaux, de bâtiments des Nations Unies ou des nombreuses victimes palestiniennes. Le mensonge selon
lequel l'aide humanitaire à Gaza serait bloquée parce que le Hamas
détourne les camions ou fait passer en contrebande des armes et du
matériel de guerre. Le mensonge selon lequel des bébés israéliens
auraient été décapités ou des Palestiniennes auraient commis des violences sexuelles à grande échelle sur des femmes israéliennes. Le mensonge selon lequel 75 % des dizaines de milliers de personnes tuées à Gaza seraient des “terroristes” du Hamas. Le mensonge selon
lequel le Hamas, prétendument en train de se réarmer et de recruter de
nouveaux combattants, serait responsable du non-respect de l'accord de
cessez-le-feu.
Le visage génocidaire d'Israël est exposé au grand jour. Il a ordonné l'évacuation
du nord de Gaza, où des Palestiniens désespérés campent sur les
décombres de leurs maisons. Et maintenant, place à la grande famine généralisée : l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) a déclaré le 21 mars qu’il ne dispose de réserves de farine que pour six jours, sans parler des morts dues aux maladies causées par la
contamination de l'eau et de la nourriture, des dizaines de morts et de
blessés chaque jour sous les bombardements incessants, les missiles,
les obus et les balles. Tout est paralysé : les boulangeries, les usines
de traitement des eaux et des eaux usées, les hôpitaux (Israël a fait sauter
l'hôpital turco-palestinien déjà endommagé le 21 mars), les écoles, les
centres de distribution de l'aide humanitaire et les cliniques. Plus de
la moitié des 53 véhicules d'urgence de la Société du Croissant-Rouge
palestinien sont en panne par pénurie de carburant. Bientôt, on ne pourra plus les utiliser.
Le message d'Israël est sans équivoque : Gaza sera inhabitable. Partez, ou mourez.
Depuis mardi, date à laquelle Israël a violé le cessez-le-feu en bombardant la bande de Gaza, plus de 700 Palestiniens ont été tués, dont 200 enfants. En 24 heures, 400 Palestiniens ont été tués.
Et ce n'est que le début. Aucune des puissances occidentales, y compris
les États-Unis, qui fournissent les armes du génocide, n'ont
l'intention d'y mettre fin. Les images de Gaza pendant les près de seize
mois d'attaques incessantes sont abominables. Mais ce qui s'annonce
maintenant est pire. On va assister à des crimes de guerre aussi atroces
que ceux commis par les nazis au XXe siècle, notamment la famine de
masse, le massacre de masse et la destruction du ghetto de Varsovie en
1943.
Le 21 mars 2025, des Palestiniens qui peinent à trouver
de quoi manger attendent, des récipients vides à la main, de recevoir de
quoi manger des organisations caritatives à Khan
Yunis, dans la bande de Gaza.
Le 7 octobre a marqué une
rupture entre la politique israélienne d'oppression et d'asservissement
des Palestiniens, et une politique prônant leur extermination et leur
expulsion de la Palestine historique.
Nous assistons actuellement à un
événement comparable au massacre de quelque 200 soldats par George
Armstrong Custer lors de la bataille de Little Bighorn
en juin 1876. Suite à cette défaite humiliante, les Amérindiens ont été
condamnés à mourir et les survivants envoyés dans des camps de
prisonniers de guerre, plus tard appelés réserves, où des milliers
d'entre eux sont morts de maladie, ont vécu à la merci de leurs
oppresseurs armés et ont sombré dans la misère et le désespoir.
Il en
ira de même pour les Palestiniens de Gaza, abandonnés, je le crains,
dans l'un des pires endroits du monde, et oubliés.
“Habitants de Gaza, ceci est mon dernier avertissement”, a menacé le ministre israélien de la Défense, Israel Katz :
“Le
premier Sinwar a détruit Gaza et le second Sinwar l'anéantira
totalement. Les frappes de l'armée de l'air contre les terroristes du
Hamas ne sont qu'un début. Les choses vont se compliquer et vous en
paierez le prix fort. L'évacuation de la population des zones de combat
va bientôt reprendre. Rendez les otages et débarrassez-vous du Hamas, et
de nouvelles options vous seront offertes, y compris la possibilité de
partir pour d'autres régions du monde pour ceux qui le souhaitent.
L'alternative est la destruction totale”.
L'accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas devait être mis en œuvre en trois phases. La première phase, d'une durée de 42 jours, devait mettre fin aux hostilités. Le Hamas devait libérer les
33 otages israéliens capturés le 7 octobre 2023, y compris les femmes,
les personnes âgées de plus de 50 ans et les personnes malades, en
échange de plus de 2 000 hommes, femmes et enfants palestiniens
emprisonnés par Israël (environ 1 900 prisonniers palestiniens ont été libérés par Israël au 18 mars). Le Hamas a libéré 147 otages au total, dont huit étaient morts. Israël affirme que le Hamas détient toujours 59 Israéliens, dont 35 sont présumés morts.
L'armée
israélienne devait se retirer des zones peuplées de Gaza le premier
jour du cessez-le-feu. Le septième jour, les Palestiniens déplacés
seraient autorisés à retourner dans le nord de Gaza. Israël autoriserait
l'entrée quotidienne à Gaza de 600 camions d'aide humanitaire
transportant des vivres et des fournitures médicales.
La deuxième
phase, qui devait se négocier le seizième jour du cessez-le-feu, verrait
la libération des derniers otages israéliens. Israël achèverait son
retrait de Gaza en maintenant une présence dans certaines parties du
couloir de Philadelphi, qui s'étend le long des 13 kilomètres de
frontière entre Gaza et l'Égypte. Il renoncerait à son contrôle du poste
frontière de Rafah avec l'Égypte.
La troisième phase serait consacrée aux négociations d'une sortie définitive de la guerre et à la reconstruction de Gaza.
Israël est coutumier des signatures
d’accords, y compris les ceux de Camp David et les accords de paix
d'Oslo, assortis de calendriers et de plans de mise en œuvre. Il
obtient ce qu'il veut, dans ce cas la libération des otages, lors de la
première phase, puis enfreint les phases suivantes. Ce schéma est récurrent.
Israël a refusé d'honorer la deuxième phase de l'accord. Il a bloqué l'aide humanitaire à Gaza il y a deux semaines, en violation de l'accord. Il a également tué au
moins 137 Palestiniens pendant la première phase du cessez-le-feu, dont
neuf, avec trois journalistes, lorsque des drones israéliens ont attaqué une équipe de secours le 15 mars à Beit Lahiya, dans le nord de Gaza
Les bombardements et les pilonnages intensifs d'Israël sur Gaza ont repris
le 18 mars alors que la plupart des Palestiniens dormaient ou
préparaient leur suhoor, le repas pris avant l'aube pendant le mois
sacré du ramadan. Israël va poursuivre ses opérations, et ce même si les
derniers otages sont libérés, prétexte invoqué par Israël pour
justifier la reprise des bombardements et du blocus de Gaza.
GAZA
: Une famille palestinienne, qui a quitté son domicile en raison des
attaques israéliennes contre la bande de Gaza, prend son suhoor au
centre d'hébergement de Salah al-Din le 12 mars 2024.
La Maison Blanche de Trump encourage le massacre. Elle qualifie les détracteurs du génocide d'“antisémites” qu'il faut réduire au silence, condamner ou expulser, tout en fournissant des milliards de dollars d'armes à Israël.
L'attaque
génocidaire d'Israël contre Gaza est l'inévitable dénouement de son
projet colonial de peuplement et de son État d'apartheid. La conquête de
toute la Palestine historique — avec, bientôt, l'annexion de la
Cisjordanie par Israël— et le déplacement de tous les Palestiniens ont toujours été les objectifs sionistes.
Les
pires exactions d'Israël se sont produites pendant les guerres de 1948
et 1967, lorsque d'immenses parties de la Palestine historique ont été
saisies, des milliers de Palestiniens ont été tués et des centaines de
milliers ont été victimes de nettoyage ethnique. Et entre ces guerres,
la lente spoliation des terres, les attaques meurtrières et le nettoyage
ethnique continu en Cisjordanie, y compris à Jérusalem-Est, se sont
poursuivis.
Ce ballet bien réglé s’achève. C'est la fin. Ce à quoi nous assistons éclipse tous les assauts historiques
contre les Palestiniens. Le rêve génocidaire dément d'Israël – un
cauchemar pour les Palestiniens – est sur le point de devenir réalité.
Il brisera à jamais le mythe selon lequel nous, ou toute nation
occidentale, respecterions l'État de droit ou serions les protecteurs
des droits de l'homme, de la démocratie et des soi-disant “valeurs”
de la civilisation occidentale. La barbarie d'Israël est la nôtre. Nous
ne le percevons peut-être pas, mais le reste du monde, si.
L’ONU dénonce le viol systématique des Palestiniens par les sionistes
Le
rapport de la Commission des droits de l'homme des Nations unies
dénonce les violences sexuelles systématiques commises par les
militaires israéliens contre les Palestiniens, les décrivant comme une
politique délibérée de déshumanisation et de répression, bénéficiant
d'une impunité généralisée et d'un soutien officiel.
Le 13 mars, le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme a publié un rapport terrifiant exposant dans des détails souvent choquants comment l'entité sioniste a eu recours à “la violence sexuelle, reproductive et à d'autres formes de violence sexiste contre les Palestiniens”
à une échelle massive depuis le génocide de Gaza en octobre 2023. L'ONU
conclut que ces actes odieux sont une composante centrale de “la vaste entreprise d'Israël de saper le droit [des Palestiniens] à l'autodétermination”, leur nature systématique indiquant sans ambiguïté l'approbation des chefs militaires et politiques de Tel Aviv.
Le rapport indique que “la violence sexuelle et sexiste est loin d'être une nouveauté du régime d'occupation israélien”. Cependant, depuis le 7 octobre, on peut constater une “forte augmentation des violences sexuelles contre les Palestiniens, hommes et femmes”,
perpétrées à la fois par les soldats israéliens et les colons. L'ONU
n'a eu aucun mal à recueillir de nombreuses preuves accablantes de ces
actes ignobles. Outre les nombreux témoignages de victimes et de
témoins, les auteurs de ces crimes se sont souvent filmés eux-mêmes,
ainsi que leurs complices, tandis qu'ils commettaient ces crimes en
toute impunité.
Souvent,
ces images odieuses ont été fièrement affichées sur les comptes
personnels des coupables sur les réseaux sociaux. Cela témoigne
amplement de la culture d'impunité totale dont bénéficient les soldats
de Tsahal qui violent et pillent sans vergogne.
“Malgré la profusion de témoignages et de preuves numériques des crimes commis par les soldats israéliens à Gaza”, l'ONU a constaté “qu'Israël n'a déployé aucun effort significatif pour traduire les auteurs en justice”.
Les
requêtes adressées à Tel Aviv pour obtenir plus de précisions sur les
enquêtes menées sur les violences sexuelles commises par les forces
d'occupation ont été ignorées :
“La
Commission n'a constaté aucune preuve que les autorités israéliennes
aient pris des mesures efficaces pour prévenir ou faire cesser les actes
de violence sexuelle ou pour identifier et sanctionner les auteurs”.
En
revanche, l'ONU a documenté de multiples déclarations de responsables
de l'entité sioniste soutenant activement l'armée israélienne et ses
membres accusés de crimes sexuels, et “légitimant le viol et d'autres formes de violence sexuelle”
contre les Palestiniens, en particulier les détenus. Cette propension
des dirigeants israéliens à prôner des attaques à caractère sexuel
contre les Palestiniens est encore renforcée par l'attaque délibérée
d'un centre de défense des droits des femmes à Gaza par les troupes de
Tsahal, à la mi-novembre 2023. L'ONU a relevé la “dimension sexiste évidente”
de l'attaque, des soldats ayant tagué en hébreu des insultes sexistes
profondément offensantes à l'encontre des femmes palestiniennes sur les
murs intérieurs du bâtiment.
À
l'extérieur, des chars de Tsahal ont frappé avec précision le cinquième
étage du bâtiment, qui accueillait des femmes et des familles. Cette
partie a été “complètement détruite”, mais le reste du bâtiment “est resté intact”. Heureusement, le site et ses environs avaient été évacués bien avant l'attaque, et personne n'a été blessé. La Commission “n'a trouvé aucune justification de nature militaire” à l'attaque du centre par Tsahal. Pourtant, du point de vue de l'entité sioniste, il servait sans aucun doute un objectif militaire bien précis.
Globalement,
les conclusions de la Commission indiquent sans équivoque que la
sexualité et le genre sont désormais des enjeux clés dans le processus
d'effacement perpétuel des Palestiniens par Israël, et que les abus
sexuels, les viols et les traumatismes physiques et psychologiques qui
en résultent sont des méthodes éprouvées et bien implantées dans
l'arsenal militaire machiavélique de l'entité sioniste. Plus grave
encore, étant donné la tendance de Tel-Aviv à exporter
ses armes et méthodes de répression et de meurtre de masse à
l'étranger, les répercussions de cette dérive monstrueuse dans la guerre
moderne pourrait être mondiales.
“Armes étrangères”
Le
rapport de la Commission de l'ONU contient cinq sections distinctes sur
l'instrumentalisation de la violence sexuelle par l'entité sioniste :
“harcèlement sexuel et humiliation publique des femmes palestiniennes”, “filmer et photographier des actes de violence sexuelle contre des hommes et des garçons lors de leur arrestation”, “violence sexuelle lors des opérations terrestres, y compris aux checkpoints et lors des évacuations”, “violence sexuelle, reproductive et autres violences sexistes en détention”, et “violence sexuelle et sexiste par des colons et autres civils”.
Chaque catégorie regorge de descriptions répugnantes et d'attestations sordides.
Si
le classement des catégories de l'enfer est une tâche ingrate, la
rubrique détaillant les violences sexuelles à l'encontre des détenus
palestiniens, hommes et femmes, se révèle essentielle. L'ampleur des
abus documentés et la cohérence des récits fournis par les victimes
emprisonnées dans plus de 10 centres de détention militaires israéliens
différents, signifient clairement que cette sauvagerie ne peut être
attribuée à des cas isolés ou à des militants ou unités “voyous” de Tsahal. Il ne peut s'agir que d'une politique délibérée et systématique, approuvée et dirigée au plus haut niveau.
Entre
le 7 octobre 2023 et juillet 2024, la Commission des Nations unies a
établi qu'au moins 14 000 Palestiniens à Gaza et en Cisjordanie, dont
des centaines de femmes, ont été incarcérés par l'armée israélienne.
Nombre d'entre eux n'ont pas été informés des motifs de leur
incarcération. Cas après cas,
“la
violence sexuelle a été utilisée comme méthode de punition et
d'intimidation dès l'arrestation et tout au long de la détention, y
compris pendant les interrogatoires et les fouilles” :
“Les
actes de violence sexuelle [...] semblent avoir été motivés par une
haine extrême envers le peuple palestinien et par le désir de le
déshumaniser et de le punir […]. La nudité contrainte, dans le but de
dégrader et d'humilier les victimes devant les soldats et d'autres
détenus, a été fréquemment pratiquée. [...] Des détenus de sexe masculin
ont déclaré que les membres du personnel de l'armée israélienne les
avaient frappés, roués de coups de pied, leur avaient tiré ou pressé les
parties génitales, souvent alors qu'ils étaient nus. [...] Dans
certains cas, des objets tels que des détecteurs de métaux et des
matraques ont été utilisés pour les brutaliser alors qu'ils étaient nus”.
La Commission a documenté des viols et des inconduites sexuelles généralisés à l'encontre de détenus de sexe masculin,
“y
compris l'utilisation d'une sonde électrique pour causer des brûlures à
l'anus, et l'insertion d'objets, tels que des doigts, des bâtons, des
manches à balai et des légumes, dans l'anus et le rectum”.
Une
victime a été suspendue au plafond de sorte que seuls ses orteils
touchaient une chaise en dessous, et a été battue avec des outils
pendant des heures. Pendant les sévices, une “tige métallique” a été inséré dans son pénis une vingtaine de fois jusqu'à ce qu'il se mette à saigner, avant de s'évanouir.
La
Commission a établi que les détenus sont régulièrement victimes d'abus
et de harcèlement sexuels, et que des menaces d'inconduite sexuelle et
de viol sont proférées auprès des détenus ou des femmes de leur famille.
La Commission a reçu des informations selon lesquelles des détenus ont
été contraints de se déshabiller et de s'allonger les uns sur les autres
sous des insultes et contraints de maudire leur mère. On les frappait
s'ils ne s'exécutaient pas.
Les
détenues ont également été victimes de harcèlement sexuel,
d'agressions, de viols et de menaces de mort. L'une d'entre elles s'est
fait dire par un soldat de Tsahal qu'il la tuerait et brûlerait ses
enfants, en lui demandant : “Comment voulez-vous qu'on vous viole ? Une par une ou toutes ensemble ?”.
Une autre a été menacée d'inconduite sexuelle devant son mari, avant
que des soldats ne lui crachent au visage et ne la battent jusqu'à ce
qu'elle s'évanouisse. Plusieurs femmes palestiniennes ont subi la
terrible offense de se faire insérer des “corps étrangers” dans le vagin ou le rectum.
Les détenues ont en outre subi des “fouilles corporelles répétées, prolongées et invasives, avant et après les interrogatoires”. Une Palestinienne a été fouillée dans sa cellule toutes les trois heures pendant ses quatre jours de détention, “alors qu'elle avait ses règles”.
Les femmes étaient régulièrement contraintes d'enlever tous leurs
vêtements, y compris le voile, devant des soldats et des soldats de
Tsahal. Les coups et le harcèlement, ainsi que des insultes vulgaires et
des propos à caractère sexuel tels que “salope” et “pute”, sont également monnaie courante.
“Une terrible injustice”
En juillet 2024,
dix soldats de Tsahal ont été arrêtés après avoir soumis un détenu
palestinien à de telles violences sexuelles qu'il a dû être opéré
d'urgence. La Commission estime qu'il ne s'agissait en aucun cas d'un
incident isolé depuis le 7 octobre, mais que cela reste le seul cas à ce
jour où les bourreaux d'une victime ont été tenus pour responsables de
leurs abus inadmissibles. Pourtant, l'ONU qualifie cette affaire sordide
d'“exemple révélateur de la culture de l'impunité” qui sévit au sein de l'appareil militaire et sécuritaire de l'entité sioniste :
“Cinq
soldats ont été libérés sans inculpation au bout de quelques jours et
cinq autres ont été assignés à résidence. En septembre 2024, un tribunal
militaire a assoupli les mesures de leur assignation à résidence, en
supprimant l'obligation pour eux d'être accompagnés d'un superviseur
pendant leur assignation à résidence nocturne et en leur permettant de
déposer des demandes de libération pour les vacances”.
Un acte d'accusation
publié depuis relate comment les cinq soldats accusés ont fait
irruption dans la cellule de l'homme au centre de détention de Sde
Teiman, l'ont frappé à coups de matraque et lui ont administré une
décharge électrique à la tête, avant de lui enfoncer de force une
matraque dans la bouche, tout en le menaçant avec un chien. Il a
également été poignardé au rectum avec un objet pointu. La victime
palestinienne a été grièvement blessée, avec plusieurs côtes fracturées,
un poumon perforé et d'autres blessures potentiellement mortelles.
Sans
que cela ne soit mentionné dans le rapport, l'arrestation initiale des
10 soldats de Tsahal responsables de cette barbarie monstrueuse a
provoqué l'indignation des citoyens israéliens, qui ont organisé des manifestations de masse pour exiger leur libération. La Commission a également signalé que plusieurs hauts responsables de l'entité sioniste se sont indignés de l'arrestation des soldats. Le ministre des Finances, Bezalel Smotrich, a déclaré qu'ils ont subi une “terrible injustice”. Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, a qualifié de “honteux” le fait que les “plus grands héros” de Tel Aviv soient soumis à une “persécution aussi vicieuse”.
Les
médias occidentaux ont observé un silence assourdissant face à cette
apologie publique du viol comme instrument de terreur. Les conclusions
alarmantes de la Commission de l'ONU ont également été ignorées par les
médias dominants. Comme toujours, les médias et manitous occidentaux
sionistes se rendent complices par leur silence - et c'est précisément
ce silence qui encourage et protège la culture d'impunité de l'État
d'Israël. On peut donc s'attendre à ce que la “forte augmentation des violences sexuelles contre les Palestiniens, hommes et femmes” aille en s'accentuant.
Diffusé en direct il y a 7 heures #Macron#BrigitteMacron#TuckerCarlson
Dans une déclaration fracassante, Tucker Carlson, l’ex-star de Fox
News, relance une rumeur explosive sur la Première dame de France. Selon
lui, Brigitte Macron ne serait pas la femme que tout le monde croit,
mais un homme à 100 % ! Une affirmation choc qui fait déjà trembler
l’Élysée et enflammer les réseaux sociaux. Théorie du complot, fake
news, ou révélation troublante ? Plongée dans une polémique brûlante qui
risque de secouer la scène politique française.
Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a officiellement publié une déclaration d'intention génocidaire envers la population de Gaza,
menaçant les civils de l'enclave d'une punition collective sous forme de
“dévastation totale” s'ils ne parviennent pas à renverser le Hamas et à libérer tous les otages israéliens.
Un spectre hante l’Europe, le spectre du militarisme. Derrière
cette fièvre guerrière se cache bien plus que la prétendue menace de la Russie.
Le déclin économique et la lutte pour la domination géopolitique jouent un rôle
crucial dans la militarisation croissante du continent.
Le visage
du conflit ukrainien continue d'évoluer, et de nombreux analystes et
commentateurs s'en tiennent à une interprétation du champ de bataille obsolète.
D'autres s'en tiennent à des généralités déficientes, fondées sur de vagues
clichés concernant les drones, ignorant les subtiles nuances en jeu sur le
front. Examinons la situation actuelle et examinons où en est la véritable
guerre, en nous concentrant sur la réponse à la question fondamentale que tout
le monde se pose : la Russie peut-elle encore remporter
« de manière décisive » cette guerre qui, aux yeux de beaucoup, tend
vers une impasse entropique et perpétuelle liée aux drones ?