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Manifestation contre la détention de Mahmoud Khalil à New York |
Mahmoud Khalil a été arrêté samedi soir dernier à son appartement près de l'université de Columbia, où il a récemment obtenu un diplôme d'études supérieures. Le crime de Mahmoud Khalil - désolé, pas de crime, je recommence - l'infraction de Mahmoud Khalil - non, toujours pas - Mahmoud Khalil a simplement exercé son droit à la liberté d'expression en participant à des manifestations, à partir du printemps 2024, contre la campagne terroriste du sioniste Israël à Gaza. Mahmoud Khalil est palestinien, né et élevé dans un camp de réfugiés en Syrie. Il est officiellement citoyen algérien.
Après son arrestation, la famille de Mahmoud Khalil n'a pas pu le contacter avant un certain temps, et ne savait pas où il se trouvait. Maintenant, la famille le sait, mais ne peut pas le voir. S'il s'agissait de l'une des dictatures latino-américaines des années 1970 et 1980 (Pinochet au Chili, Videla et sa junte de colonels en Argentine), nous dirions que Mahmoud Khalil est porté “disparu”. Au moment où j’écris ces lignes, il n'a toujours pas été autorisé à consulter son avocat.
Voici ce que le président Trump a publié sur Truth Social, son réseau social sulfureux, juste après l'arrestation de Mme Khalil :
“C'est la première arrestation d'une longue série. Nous savons que d'autres étudiants de Columbia et d'autres universités du pays se sont engagés dans des activités pro-terroristes, antisémites et anti-américaines, et l'administration Trump ne le tolérera pas”.
Et voici Michelle Goldberg, la “gauchiste” prétentieuse du New York Times, dans une tribune parue dans les éditions de mardi sous le titre “La plus grande menace à la liberté d'expression depuis la chasse aux rouges” :
“Si un citoyen légalement établi aux États-Unis peut être arrêté chez lui pour avoir participé à une activité politique protégée par la Constitution, alors nous vivons dans un pays radicalement différent de celui que nous connaissions avant l'investiture de Trump”.
On ne peut qu'approuver. Mme Goldberg a immédiatement fait suivre cette observation d'une citation tirée d'un entretien avec Brian Hauss, avocat à l'American Civil Liberties Union :
“Il semble que ce soit l'une des plus grandes menaces, si ce n'est la plus grande [sic] depuis 50 ans, pour les libertés du Premier Amendement. C'est une tentative directe de réprimer la liberté d'expression pour le point de vue défendu”.
Ces deux éléments confèrent à l'arrestation de M. Khalil l'ampleur qu'elle mérite, même si Mme Goldberg devrait nous dire de quelle “menace rouge” elle parle : la première, dans les années 20, ou la version des années 50, née de la paranoïa maccarthyste de la guerre froide ? L'arrestation et le placement en détention de Mahmoud Khalil dépassent de loin les nombreux excès de Trump. Tous les avocats des libertés civiles de New York et de Washington devraient s'occuper de cette affaire. Si Trump met effectivement Mahmoud Khalil dans un avion pour on ne sait où, sans parler des nombreuses autres expulsions promises, nous sommes dans un pétrin bien plus grave que George H. W. ne l'avait imaginé lorsqu'il a inventé cette expression au milieu de ses périls politiques à la fin des années 1980. Nous assistons en temps réel à un abus de pouvoir flagrant de la part du pouvoir exécutif, qui bafoue ouvertement la loi et les institutions fondamentales chargées de l'interpréter et de la faire respecter. J'espère que l'affaire Khalil sera la goutte d'eau qui fera déborder le vase pour Trump et marquera le début de la fin pour un incompétent aussi détestable.
Mais s'opposer à la réaction brutale et draconienne du régime Trump contre Mahmoud Khalil, c'est comme tirer en l'air. Cela rappelle l'idée fasciste que se faisait le Reich de l'application de la loi dans les années 30, ou celle des Israéliens en Cisjordanie à l'heure actuelle. Ce qui est bien est bien, ce qui est mal est mal : nous en sommes témoins. L'ambivalence n'a pas sa place ici. L'affaire est claire.
Et puis l'esprit commence à envisager toutes les nuances de gris et s'aventure dans cette ambivalence familière.
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Vendredi dernier, la veille de l'arrestation de Mahmoud Khalil, un autre article d'opinion publié dans le New York Times a attiré mon attention. La préoccupation d'Erwin Chemerinsky, professeur de droit constitutionnel et doyen de la faculté de droit de l'université de Californie à Berkeley, concernait, et concerne certainement toujours, l'état du système judiciaire américain. Aujourd'hui plus encore qu'à l'époque où il l'a écrit, c'est une question qui mérite toute notre attention. Le texte s’intitule “La seule question pertinente : si Trump défie les tribunaux, que se passera-t-il ensuite ?”
C'est une bonne question. Et elle est encore plus pertinente aujourd'hui qu'elle ne l'était vendredi dernier, car l'arrestation de M. Khalil, ainsi que le programme d'expulsion de Trump récemment annoncé, ont déjà été portés devant les tribunaux. Que Trump ignore les autorités judiciaires américaines dans cette affaire montre à quel point cette question pèse sur la plus essentielle de toutes nos institutions gouvernementales. L'affaire Khalil, compte tenu de l'illégalité apparente de la décision de Trump, nous fait prendre conscience de cette vérité.
Mais un instant, doyen Chemerinsky. Que Trump respecte ou non la loi et les tribunaux américains n'est pas “l'unique question”, la seule question “pertinente”. Je m'oppose vivement à ces affirmations. Dans quel état était notre système judiciaire avant l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, il y a à peine deux mois ? Comment le doyen des juristes ose-t-il omettre cette question ? Comment et grâce à qui notre système judiciaire en est-il arrivé là avant Trump ? Voilà une question qui ne devrait pas être négligée. Cela fait trois questions en plus de celle de Chemerinsky.
Et maintenant, voyons ce que Michelle Goldberg a à dire sur l'affaire Khalil. Relisez l'extrait cité plus haut de sa chronique : “[...] nous vivons dans un pays radicalement différent de celui que nous connaissions avant l'investiture de Trump”. Ah bon ? Si différent que ça, Mme Goldberg ? Et puis, selon l'avocat de l'ACLU : la décision de Trump concernant M. Khalil est l'attaque la plus grave contre le Premier Amendement depuis un demi-siècle. Un demi-siècle ? Rien de fâcheux ne se serait produit entre-temps, disons pendant le premier mandat de Trump, et le premier et dernier de Joe Biden ?
Voici trois cas, parmi d'innombrables autres comme eux, relevant du pur sophisme. On entend aujourd'hui beaucoup de choses de ce genre de la part de la classe libérale, le syndrome de l'aliénation de Trump ayant fait son retour parmi nous. Le président Trump fait des choses très inquiétantes, c'est certain. Et s'il n'y avait pas Trump, tout irait pour le mieux - ce que nous sommes du moins invités à croire - et nous devons le croire, car personne n’a jamais rien fait d’inquiétant avant l'arrivée de Trump.
On retrouve ce type de glissement malhonnête et cynique sur l'histoire récente, et dans toutes sortes de contextes. Le recours standard des libéraux. La Russie a déclenché la guerre en Ukraine, qui n'a commencé qu'en 2022 : voilà un exemple qui brille dans le noir. Chemerinsky, Goldberg et consorts, et on peut multiplier les consorts à l'infini, tentent le même coup, bien que de manière plus subtile, lorsqu'ils font remonter la menace qui pèse sur le pouvoir judiciaire américain et les agissements de Donald Trump.
Le doyen Chemerinsky est suffisamment influent pour faire la une de la page d'opinion du Times, harmonieusement cadrée, dont voici le premier paragraphe :
“L'avenir de la démocratie constitutionnelle américaine ne repose plus que sur une seule et unique question : le président Trump et son administration vont-ils défier les décisions de justice ?”
L'avenir de la démocratie constitutionnelle américaine ? Non, rien d'exagéré à suggérer que c'est la question clé, abstraction faite de la prétention histrionique de Chemerinsky à la gravité. Deux mois à peine après son entrée en fonction, Trump fait à nouveau preuve d'un mépris effarant du droit, de la procédure judiciaire et, plus généralement, de la Constitution. Elon Musk, le monstre crypto-fasciste que Trump laisse se pavaner comme secrétaire d'État lors des réunions du cabinet, ne fait qu'accroître la crainte des direction prise par l'Amérique.
Mais il n'est pas non plus exagéré de dire que Chemerinsky se livre au tour de passe-passe insidieux mentionné ci-dessus : l'omission de l'histoire, qui (comme Hannah Arendt nous l'a rappelé à de nombreuses reprises) se résume toujours à une forme de mensonge. Et même les doyens des facultés de droit s’avèrent être des idéologues plus enclins au réflexe qu'à la réflexion. Même eux peuvent être enclins à détourner la responsabilité de ce qui a mal tourné afin de soustraire le monstre que constitue l'élite libérale à tout examen minutieux (et parfois pour éviter que certains de ses éminents membres ne soient mis en cause).
Les Démocrates – et bien que le bilan de Dean Chemerinsky comporte quelques éléments louables, car il est sans aucune ambiguïté un Démocrate conventionnel – font grand bruit autour de Donald Trump en le présentant comme une menace pour la démocratie américaine depuis leurs tentatives avortées de le mettre en prison, et le flop de poursuites judiciaires très peu convaincantes. Ces manœuvres dégagent une forte odeur de supercherie intellectuelle. C'est sournoisement malhonnête, la vérité n'y apparait que partiellement. Je n'aime pas ce terme, mais, par souci de concision : le Parti démocrate et ses alliés institutionnels ont instrumentalisé le pouvoir judiciaire ces dix dernières années, et tant que les personnes prétendument autorisées affirmeront que ce problème n’a commencé que le 20 janvier, l'indispensable travail de reconstruction n'aboutira pas.
Les Américains méritent des réponses aux questions posées ci-dessus. Et le premier impératif veut que les individus occupant des postes influents, comme Chemerinsky, s'abstiennent de faire de la politique dans le cadre de notre débat public sur la question, et agissent de manière responsable au nom de notre république en lambeaux plutôt que de leurs affinités idéologiques.
La corruption de nos tribunaux et de nos organes chargés de l'application de la loi au cours des dernières années est très préoccupante. Voilà une conclusion qui ne manque pas de pertinence. Voici pourquoi. Et ce, pour deux raisons.
Premièrement, l'élite du Parti démocrate a soumis les plus hautes institutions judiciaires et policières du pays à des abus sans vergogne dès que Donald Trump a annoncé, en 2015, qu'il se présenterait à la présidence. En peu de temps, les Démocrates ont fait cause commune avec l'appareil du renseignement, le ministère de la Justice lui-même et le Federal Bureau of Investigation. (Laissons de côté pour l'instant l’auto-dégradation pitoyable des grands médias.)
Du fatras du Russiagate à l'enquête Mueller, en passant par les opérations illégales de la CIA sur le sol américain, et la complicité manifeste de hauts responsables du FBI au profit de la campagne d'Hillary Clinton : autant d’opérations qui ont compromis l'impartialité du système judiciaire américain, et les dégâts ne vont pas être simples à réparer. Une fois Trump élu, cette cabale diabolique s'est mise à subvertir le pouvoir exécutif au point qu’on aurait parfois cru à un coup d'État sans effusion de sang. Les Américains ont notamment été témoins de vastes opérations de censure déguisées en “modération de contenu”. Les défenseurs du Premier Amendement ont été qualifiés d'“absolutistes de la liberté d'expression”, la toute nouvelle dénomination.
Puis vinrent les années Biden, du même acabit. Ce qui n'était au départ qu'une opération de sabotage visant à renverser un président a viré à l’opération soutien du successeur, dont le niveau de corruption était criant, tout en instrumentalisant la loi, pour maintenir le prédécesseur-concurrent à l'écart de la politique. Avant que le pourrissement ne soit complètement maîtrisé, il a atteint Merrick Garland, le procureur général de Biden, et Christopher Wray, le directeur du FBI. L'opération de censure, finalement révélée dans les Twitter Files et ailleurs, s'est étendue de la Maison Blanche aux bureaux de direction de la Silicon Valley en passant par le ministère de la Justice et le FBI.
Je ne suis pas très fan des âges d'or, et je ne prétends pas que le système judiciaire américain ait jamais été irréprochable. Là n'est pas la question. Ce que je veux dire, c'est qu'en refusant de reconnaître les dérives des Démocrates et de leurs alliés dans un passé récent, ceux qui s'émeuvent aujourd'hui des abus de la justice par Trump font et feront obstacle à tout effort de réforme ou de reconstruction. Cette attitude témoigne de l’irresponsabilité flagrante de ceux qui se targuent de la droiture des anciens prédicateurs de la Nouvelle-Angleterre.
Une seule question doit être posée, “La seule question pertinente” ? Non, celles qui comptent vraiment, et au pluriel, commencent par ce que des individus du genre de Chemerinsky ont déclenchés il y a dix ans. Ils veulent un système judiciaire propre et irréprochable, mais refusent d'admettre qu'ils ont contribué à le corrompre.
Deuxièmement, on peut y voir un enjeu plus étendu. J'ai appris, il y a bien longtemps, que lorsque le système judiciaire d'une nation sombre lentement dans le chaos, cette nation fonce tout droit vers l’état de faillite. J'ai développé cet argument dans un livre après avoir été rapporteur spécial au Sri Lanka pour une commission asiatique des droits de l'homme. C'était dans les années 2000, lorsque les juges et les tribunaux de cette nation insulaire avaient troqué leur déontologie pour une corruption inouïe. Lorsque le pouvoir judiciaire s'effondre et que les institutions de médiation disparaissent, le chaos est inévitable : tel était l'argument présenté dans Conversations in a Failing State.
Ainsi dérive notre siècle, et ce que je considérais autrefois comme un mal propre aux nations les plus défavorisées du Sud – présomption tout à fait injuste – a fini par gagner le Nord. C'est l’argument que j’ai avancé, il y a deux ans, en voyant les Démocrates intenter ces poursuites bidon pour empêcher Trump de se lancer en politique, donc de concurrencer Biden aux élections de 2024. Ce fut une nouvelle étape dans l'instrumentalisation abusive de la justice, comme celle que j'ai observée il y a bien des années, lorsque les avocats et les procureurs se terraient dans leurs cabinets à Colombo.
Encore un de ces moments où l'on se dit que ça ne peut pas arriver ici, quand même ? Chassez cette pensée, si tant est qu’elle vous effleure. Même pour ceux qui n'ont que faire de Donald Trump, assister à la instrumentalisation de la loi par le ministère de la Justice pour attaquer un candidat à la présidence est déjà suffisamment grave. Et maintenant, nous devons affronter la dure réalité : ces années d'abus institutionnels ont permis à Trump et ses collaborateurs de se livrer à des excès de pouvoir en matière judiciaire. L'affaire Khalil, aussi choquante soit-elle, ne représente pas tant une nouvelle tendance que la conséquence effroyablement logique des abus passés. L'élite Démocrate d'hier, autrement dit, sert aujourd'hui les intérêts de Trump. Le pas est franchi.
À cet égard, nombreux sont ceux qui louent la détermination affichée par Pam Bondi et Kash Patel, respectivement procureure générale adjointe et nouveau directeur du FBI, à faire le ménage au sein du ministère de la Justice et du FBI. Paul Street, l'essayiste de Chicago à l'œil affûté, qualifie ces personnes de “Trumpistes de gauche” - merveilleuse formule... On peut concevoir la tentation d'approuver le projet de l'administration, même si Paul Street ne le soutient pas, mais il ne faut pas. Les partisans de Trump s'attaquent clairement à l'instrumentalisation de la justice pour la réinstrumentaliser à leurs propres fins. Pour l'instant, RAS.
L'un des livres que nous lisons actuellement chez nous est tout à fait singulier, et je vais terminer là-dessus. Il se passe à une autre époque, dans un autre lieu et dans d'autres circonstances, mais attendez.
Ella Lingens-Reiner était médecin en Autriche. Elle a passé deux ans et deux mois au camp d’Auschwitz-Birkenau, arrêtée pour avoir tenté de mettre des Juifs à l’abri. Prisoners of Fear, son récit magnifiquement écrit de son temps en captivité, a été publié en 1948 par Victor Gollancz, une petite maison d'édition littéraire et politique londonienne. (Il n'a malheureusement pas survécu longtemps à son fondateur, décédé en 1967.) Le livre de Lingens-Reiner est aujourd'hui une rareté et nous l'avons découvert récemment.
L'autre soir, nous sommes tombés sur un passage d'une pertinence stupéfiante et inattendue pour ce qu'est devenu, ou, pour garder un brin d'optimisme, ce vers quoi dérive le système judiciaire américain. Il est éloquent :
“Ma propre incarcération dans une prison de la police nazie confirme une condamnation généralisée corroborée par des centaines de cas. Jamais auparavant on n'avait autant parlé de ‘la loi et la justice proches du peuple’. Jamais auparavant la loi et la justice n'ont été aussi détournées, aussi profondément coupées des valeurs morales du peuple, et jamais auparavant elles ne se sont aussi exclusivement soumises aux intérêts d'une clique au pouvoir et de ses objectifs de guerre…”
Par Patrick Lawrence pour ScheerPost, le 15 mars 2025
Voilà une bonne occasion pour ce monsieur de revenir en Palestine ou en Algérie faire bénéficier l'une ou l'autre de ses compétences acquises aux USA....Pourquoi vouloir tenacement comme une moule à son rocher s'accrocher à un pays qui ne veut pas de vous?
RépondreSupprimerCela fait des décennies que cette population américaine de base est conditionnée, hypnotisée par les pires couches d'obscurité véhiculée par: le gouvernement lui-même, les médias, les pasteurs protestants au service de l'idéologie d'asservissement volontaire distillée par la fange sioniste fasciste, auto déifiée. On les surnomme aujourd'hui les "patriotes", la mafia khazare a même réussi à créer des patriotes idolâtres aux quatre coins du globe. La profession de foi de cette "mafia khazare qui se déifie comme satan" est, dans les faits, parfaitement reconnaissable: le mensonge permanent et le crime. La population des "patriotes", maintenant aux ordres, se prosterne devant le veau d'or fabriqué par les juifs. C'est stupéfiant de voir le grand blond à la canne de golf, parler: il essaie lui-même de se convaincre des mensonges qu'il déverse à l'attention des idolâtres internationaux, mais ses yeux le trahissent. On ne peut que valider les propos de Robert De Niro, le concernant, voir plus…
RépondreSupprimerCette base idolâtre, "les patriotes", est une création indispensable à la propagande israélienne, sans quoi le grand blond ne pourrait pas jouer très longtemps sur son terrain de golf.
Ahhhh si en plus vous prenez De Niro comme référence.... .Ce type qui a la "chiasse" continue à l'idée que certaines infos et vidéos liées à ses accointances particulières avec Puff Daddy ne sortent? Ils sont quelques centaines de grosses" marmites" hollywoodiennes qui ne dorment plus depuis l’événement de Trump (Dont aussi beaucoup de politiques) TRUMP tient au dessus de leurs têtes ces vidéos/Infos comme autant d'épées de Damoclès....( il se dit sur sites anglophones que NIRO fait dans la PÉDOPHILIE.....)
RépondreSupprimerLe fait que les dossiers Epstein n’aient pas été publiés malgré les promesses, montre que l’on veut que les personnalités pédocriminelles piégées ne soient pas sacrifiées à la vindicte populaire, mais soient toujours tenues sous la menace de chantage.
SupprimerL’expérience montre que les gouvernements des « démocraties » occidentales sont de pire en pire. Ce coup-ci, les patriotes américains ont élu un juif qui utilise la force américaine pour protéger Israël et lui permettre de poursuivre le génocide des Palestiniens, en bombardant le Yémen qui veut empêcher Israël de le faire.
Machin
Un site anglophone sur De Niro et la pédophilie : https://enigmose.com/enigmose_political/robert-deniro-pedophile.html
SupprimerA traduire avec un logiciel comme deepl.com ou reverso, ou google translate....
Vous voulez dire, le temps des sophistes qui pratique la sophistique.
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