En plus de tuer des centaines de personnes et d’en
blesser des milliers, Israël a bombardé les lignes électriques de Gaza,
plusieurs gratte-ciels, des bureaux de médias, des écoles de l’UNRWA,
la plus grande bibliothèque et maison d’édition de Gaza, et endommagé
six hôpitaux et huit cliniques, dont le seul laboratoire Covid-19 de
Gaza. Pour récompenser, voire encourager ces crimes de guerre, l'Amérique envoie vers Israël plus d'argent et plus d'armes.
Comment expliquer cela ?
Un article
récent intéressant de l'avocat international John Whitbeck suggère que les
milliards de dollars que les États-Unis donnent à Israël chaque année ne sont
pas techniquement une «aide étrangère» car l'État juif est, compte tenu du PIB
par habitant, le 19e pays le plus riche du monde, devant des pays comme l'Allemagne. Il
s'agit plutôt d'un «tribut», qui est défini comme le «paiement effectué
périodiquement par un État ou un dirigeant à un autre, en particulier comme
signe de dépendance/soumission».
Le fait que les États-Unis aient cédé des aspects essentiels de leur souveraineté nationale au contrôle israélien a été observé par beaucoup. Whitbeck note que cette soumission a été effective depuis l'attaque israélienne contre l'USS Liberty en juin 1967, au cours de laquelle 34 membres d'équipage sont morts et 172 ont été blessés dans une tentative de couler le navire et de tuer tout l'équipage. Pour protéger Israël, le président Lyndon B. Johnson et son secrétaire à la Défense Robert McNamara ont lancé une opération de camouflage qui a persisté jusqu'à ce jour. Le meurtre d'un grand nombre de militaires américains sans aucune punition ou conséquence de la part des États-Unis a signalé aux différents gouvernements israéliens depuis lors qu'ils pouvaient faire n'importe quoi à Washington sans aucune conséquence, y compris l'espionnage de son bienfaiteur, l'implication de Washington dans ses propres guerres et l'exploitation du Trésor américain comme une inépuisable ressource israélienne.
Les États-Unis ont favorisé Israël par-dessus toutes les autres nations, tandis qu'une série d'administrations républicaines et démocrates ont accepté que les États-Unis soient le partenaire junior dans la relation pratiquement sans hésitation, aboutissant à l'arrangement sans précédent de Barack Obama selon lequel Israël recevrait 38 milliards de dollars au cours de dix ans, automatiquement et sans conditions posées aux actions de l'Etat juif vis-à-vis des intérêts régionaux américains. Et maintenant, alors que les effusions de sang se poursuivent sans relâche à Gaza, l'honnête Joe Biden a accepté de «vendre» aux Israéliens pour 735 millions de dollars de nouvelles armes pour reconstituer leur arsenal pour massacrer plus d’Arabes.
L’analyse de Whitbeck est convaincante, mais on peut aussi voir un élément plus personnel dans la manière dont Israël a acquis sa domination. Tout homme politique américain qui cherche à s'opposer au statut d'Israël de «nation la plus favorisée» risque de ne pas être élu la prochaine fois qu'il se présente aux élections. Ainsi, la liste des politiquement morts comprend les sénateurs Chuck Percy et William Fulbright ainsi que les membres du Congrès Paul Findley, Pete McCloskey, Cynthia McKinney et James Traficant. Aux États-Unis, la seule clé pour vaincre les titulaires d'un poste électoral est toujours l'argent, qui permet d’acheter le pouvoir et l’accès au pouvoir. Israël et son réseau de soutien de 600 organisations juives pro-sionistes ont des milliards de dollars avec lesquels ils peuvent faire et défaire les carrières. Ils incluent également dans leurs rangs des juifs et des sympathisants goyim achetés qui contrôlent le contenu éditorial et journalistique des médias imprimés, télévisés et radiophoniques américains [1]. Les membres du Congrès qui font une démonstration de leur soutien ferme à Israël sont récompensés par des dons de campagne, des médias amicaux et une clé virtuelle pour leur réélection. Ceux qui ne le font pas s «disparaissent» rapidement.
Le dernier président qui a réussi à faire reculer Israël a été Dwight D. Eisenhower, qui a contraint Israël, la France et la Grande-Bretagne à cesser leur tentative de s'emparer du canal de Suez en 1956. George HW Bush a été le président le plus récent à essayer de faire pression sur Israël, lorsqu'il a refusé de garantir les prêts qu'Israël avait l'intention d'utiliser pour étendre ses colonies illégales, une décision que Bush a correctement perçue comme étant mauvaise pour les relations américaines à travers la région. Les médias pro-juifs [pléonasme] se sont ensuite ligués contre Bush lorsqu'il s'est présenté pour un second mandat, découvrant qu'il y avait quelque chose de «faux» dans l'économie, ce qui n'était pas vrai. Cela et d’autres histoires artificielles ont conduit à la perte de Bush contre le sioniste Bill Clinton. Le fils de Bush, George W., a tiré la leçon de la perte de son père, n’ayant même pas enquêté sur le rôle possible d’Israël dans le 11 septembre pour ne pas irriter ses maîtres à Tel-Aviv [2]. W a également embauché en cours de route une foule de conseillers juifs néo-conservateurs au Pentagone et au Conseil de sécurité nationale qui étaient les architectes de la désastreuse guerre en Irak et de la guerre mondiale contre le terrorisme (GWOT) qui nous tourmente encore à ce jour.[3]
Le pouvoir d’Israël de contrôler les développements aux États-Unis s’est récemment manifesté dans sa capacité d’influencer la prise de décision du gouvernement, aussi bien au niveau de l’État et qu’au niveau local. Un nombre croissant d'écoles publiques proposent désormais un enseignement obligatoire sur l'Holocauste, qui, dans le Wisconsin par exemple, comprend à la fois les niveaux primaire et secondaire et s'applique également aux écoles privées.[4]
En outre, trente-trois États ont maintenant des lois punissant les citoyens qui encouragent ou participent au boycott des produits israéliens, l'option non violente dite du Boycott Désinvestissement et Sanction (BDS). De nombreux États ont des accords commerciaux spéciaux avec Israël qui sont conçus pour bénéficier de l'importation de produits et de services de l'État juif sans imposer aucune réciprocité, tandis que le gouvernement fédéral permet également à Israël de soumissionner sur des contrats, y compris ceux relatifs à la défense, au renseignement et à la sécurité nationale.
Les Israéliens profitent de leur accès facile aux infrastructures américaines en espionnant à la fois le gouvernement américain et les organisations privées qu'il considère comme hostiles. L'année dernière, un certain nombre de dispositifs d'intrusion électroniques ont été découverts près des bâtiments fédéraux à Washington. Ils ont été plantés par les Israéliens mais rien n'a jamais été fait à ce sujet. On se souvient également comment des espions israéliens enregistraient des appels téléphoniques à la Maison Blanche sous Bill Clinton, dont certains étaient des conversations avec Monica Lewinsky, à l'époque du matériel de chantage potentiel.[5]
Une autre partie du plan d'action sioniste est l'utilisation agressive de l'étiquette d'antisémitisme pour faire taire les critiques ainsi que l'exploitation du soi-disant holocauste avec son affirmation de la victimisation perpétuelle du peuple juif pour créer une sympathie éternelle pour Israël. Bien sûr, cela aide d'avoir un média prêt à soutenir de telles absurdités plutôt que de les exposer pour ce qu'elles sont, mais c'est ce que signifie une surreprésentation flagrante des sionistes en tant que propriétaires et éditeurs de médias.[6]
Tout cela nous amène au présent, dans lequel une campagne de terreur israélienne contre les Palestiniens a consisté à chasser des familles de leurs maisons et à envahir les rues arabes restantes de Jérusalem par des foules fanatiquement racistes de colons armés scandant «mort aux Arabes» tout en appelant à «brûler» et «pendre» les résidents locaux. Les Palestiniens en ont finalement assez et ripostent et les forces armées israéliennes ont réagi de manière caractéristique en attaquant des cibles, notamment des immeubles à appartements à Gaza, tuant de nombreux enfants.[7]
Et un peu de contexte est nécessaire. Israël a nié pendant de nombreuses années les droits humains fondamentaux des Palestiniens tout en volant leurs maisons, leurs terres et leur eau.[8] Des maisons et même des villages ont été démolis et des millions d'oliviers productifs ont été brûlés ou détruits. Les Palestiniens ne sont pas libres de voyager en Cisjordanie, sont arrêtés et incarcérés sans raison, y compris des enfants, et sont abattus sans conséquences pour l'armée israélienne, pour les snipers et les colons, ou les tireurs de la police.
Les médias américains tentent de dépeindre la violence qui se déroule actuellement comme une sorte de lutte impartiale, ce qui n'est pas le cas. Israël contrôle la Palestine historique depuis plus de cinquante ans. Elle possède l'armée la plus puissante du Moyen-Orient et les Palestiniens sont fondamentalement non armés, frappant Israël avec des «roquettes» qui sont en grande partie artisanales et inefficaces, comme le montre la disparité du nombre de victimes. Human Rights Watch, qui a été timide sur la façon dont il traite Israël, a finalement rapporté avec des piles de preuves comment Israël est un État d'apartheid qui commet de nombreuses violations des droits humains et des crimes de guerre occasionnels, comme il le fait actuellement. L’intention de tout cela est de rendre la vie des Palestiniens si misérable qu’ils partent tous. Israël préférerait ne pas avoir à faire le travail en les tuant tous,[9] une voie néanmoins approuvée par un certain nombre d’éminents responsables politiques israéliens, mais préférerait de loin qu’ils partent volontairement.
Le fait est que les États-Unis autorisent le comportement d’Israël en écoutant lamentablement la mise en garde de Netanyahou de ne pas intervenir. Il a déjà bloqué plusieurs résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies pour arrêter les combats parce qu'elles sont trop critiques envers Israël. Le fait que Washington, comme un disque rayé, continue d'exprimer son soutien à Israël, victime perpétuelle, même quand il est clairement l'agresseur, est honteux. Si vous voulez savoir dans quel genre de pays nous vivons actuellement, les Américains, Jen Psaki, porte-parole de la presse à la Maison Blanche, a fourni la réponse. Elle a annoncé que la position de notre gouvernement sur la violence en cours au Moyen-Orient est que «le soutien du président à la sécurité d’Israël, à son droit légitime de se défendre et de défendre son peuple, est fondamental et n’y renoncera jamais. Nous condamnons les attaques à la roquette en cours par le Hamas et d'autres groupes terroristes contre Jérusalem. »
Excusez-moi, mais même une compassion minimale pour les enfants arabes morts semble manquer dans la déclaration de Biden, bien que sa cruauté soit inévitablement dépassée par le bêlement de Donald Trump. “Lorsque j’étais en fonction, nous étions connus sous le nom de Présidence de la paix [10], car les adversaires d’Israël savaient que les États-Unis se tenaient fermement aux côtés d’Israël et qu’il y aurait des représailles rapides si Israël était attaqué. Sous Biden, le monde devient de plus en plus violent et instable parce que la faiblesse de Biden et le manque de soutien à Israël mènent à de nouvelles attaques contre nos alliés. L’Amérique doit toujours se tenir aux côtés d’Israël et dire clairement que les Palestiniens doivent mettre fin à la violence, à la terreur et aux attaques à la roquette, et indiquer clairement que les États-Unis soutiendront toujours fermement le droit d’Israël à se défendre. ”
La «présidence de paix de Donald Trump?» Inclut-il ses attaques contre la Syrie et son assassinat d'un haut responsable iranien? Un autre aspirant aux aspirations présidentielles du GOP, en Floride, Ron DeSantis, autoproclamé «gouverneur d’Israël», le dit autrement: «Le Hamas est une organisation terroriste et Israël a le droit de se défendre contre les attaques terroristes.» Est-ce un croquis de Monty Python? Israël a été attaqué et se défend? Il est temps de réveiller l'Amérique. Israël, la victime, prépare un génocide et le fait que personne à Washington ne soit prêt à dire «non» lui donne le feu vert pour aller de l'avant. Le sang sera sur nos mains cette fois-ci car Joe Biden et sa société auraient pu prendre la décision d'arrêter la folie qui se développe au cours du mois dernier en faisant pression sur Israël pour qu'il arrête les expulsions des Palestiniens de leurs maisons et les émeutes des colons nazisionistes, mais ce n'est clairement pas le cas et ça n'arrivera pas. Et quand tout explosera et que peut-être des dizaines de milliers de personnes mourront, nous entendrons probablement le même disque rayé de Washington: «Israël a le droit de se défendre».
Il serait approprié de conclure par un autre commentaire de John Whitbeck concernant son désir de voir les États-Unis recouvrer leur souveraineté. Il écrit: «Pendant de nombreuses années, j'ai eu un rêve récurrent mais jusqu'ici non partagé: un jour, lors d'une audience de confirmation du Sénat, un candidat répondra aux demandes de… prêter allégeance à [Israël] par une simple affirmation de patriotisme pur et authentique: «Sénateurs, avec tout le respect que je vous dois, je dois mon allégeance aux États-Unis d'Amérique et à aucun autre pays. Si cela vous pose un problème, ne votez pas pour me confirmer. »»
Par Philip M. Giraldi, Ph.D., est directeur exécutif du Council for the National Interest, une fondation éducative qui cherche une politique étrangère américaine davantage axée sur les intérêts. au Moyen-Orient.
Source : Netanyahou Warns Biden Not to Get Involved
-------------------------------
NOTES de H. Genséric
[1] Les juifs jouent à "la vierge effarouchée" parce que Van Morrison chante «Ils contrôlent les médias»
- USA.
Le rôle miraculeux de l’argent juif dans l'ascension d'un candidat
[3] Liste des juifs dans l’équipe de George
W. Bush :
Elliott Abrams :Director of the National Security
Council's Office for Democracy, Human Rights and International Operations
Jeffrey Berkowitz (2005-2006) :White House Liaison to the
Jewish Community and then office of presidential scheduling
Stuart Bernstein :Ambassador to Denmark
Brad Blakeman:White House Director of Scheduling
Josh Bolten (2006- ) :Chief of Staff
Nancy Brinker:Ambassador to Hungary and then chief of
protocol for the State Department
Michael Chertoff:Head of the Justice Department's criminal
division
Douglas Feith (2001-2005 ):Under Secretary of Defense
for Policy
Ari Fleischer (2001-2003):White House Press Secretary
David Frum (2001-2002):Speechwriter
Chris Gersten:Principal Deputy Assistant Secretary, Administration for Children
and Families at HHS
Adam Goldman (2001-2003):White House Liaison to
the Jewish Community
Blake Gottesman:President's personal aide
Jeremy L. Katz (2007- ) :White House Liaison to the Jewish Community
Daniel Kurtzer (2001-2005) :Ambassador to Israel
Frank Lavin :Ambassador to Singapore
Jay Lefkowitz (2001-2004):Deputy Assistant to the President and Director of the
Domestic Policy Council
I. Lewis Libby (2001-2005):Chief of Staff to the Vice
President
Ken Mehlman:White House Political Director
John Miller:Director, State Departement Office
to Monitor and Combat Trafficking in Persons
Michael Mukasey (2007- ) :Attorney General
Noam Neusner (2004-2005):White House Liaison to the Jewish Community
Mel Sembler :Ambassador to Italy
Martin Silverstein :Ambassador to Uruguay
Cliff Sobel :Ambassador to the Netherlands
Tevi Troy:Deputy Secretary, Health & Human
Services Department and Assistant to the President, Domestic Policy
Mark D. Weinberg :Assistant Secretary of Housing and Urban Development for
Public Affairs
Ron Weiser :Ambassador to Slovakia
Paul Wolfowitz (2001-2005):Deputy Secretary of Defense
Dov Zakheim (2001-2004):Undersecretary of Defense
(Controller)
Jay Zeidman (2006-2007) :White House Liaison to the
Jewish Community
Source: News reports, Republican
Jewish Coalition
[4] Plus
on est éduqué et intelligent, plus on est antisémite !
- G.B.
Les Juifs émettent "dix commandements '' que tous les politiciens doivent
suivre pour mieux servir les intérêts juifs
- An
de grâce 2019. L’Inquisition Sioniste est imposée légalement au monde chrétien
- ESSENTIEL.
Vérité de l'Holocauste: Six millions ? Chambres à gaz ? par Ernst Zundel et
Joseph G. Burg
- G.B.
Une femme emprisonnée pour avoir qualifié l'Holocauste de "vache à
lait"
- HOLOCAUSTE.
Lettre du Dr juif français Roger Dommergue à Steven Speilberg
- La
croyance en «l'Holocauste» s'effrite dans le monde
- LA
RELIGION DE L’HOLOCAUSTE : LA SHOAH OU LE CHAÎNON MANQUANT DE LA TORAH
- Le
martyr et l'holocauste des Noirs par les Juifs trafiquants esclavagistes
- LECTURE
ESSENTIELLE. La Controverse de Sion
- Liste
des personnes persécutées pour avoir contesté les données de l'Holocauste
- Quelques
mensonges évidents dans la Shoah - Par le professeur R.Dommergue
- USA
(et UE). La loi sur l’antisémitisme va rendre le christianisme illégal
- USA.
Cours obligatoire de catéchisme pour les flics sur la religion de l’Holocauste
- USA.
Un directeur d’école secondaire congédié pour avoir dit qu’il «ne peut pas dire
que l’Holocauste est un événement factuel et historique»
[5]
USA.
Qui sont les auteurs des cyberattaques ?
- USA.
Pédophilie: Bill Clinton, Epstein et le "Lolita Express"
- Mega
Group, Maxwell et Mossad : l’histoire d’espionnage au cœur du scandale Epstein
- USA.
Qui est Jeff Epstein, ce milliardaire proche des puissants accusé de « trafic
sexuel » de mineures ?
[6] Les juifs jouent à "la vierge effarouchée" parce que Van Morrison chante «Ils contrôlent les médias»
[7]
Gaza
: « De nuit comme de jour, ce que nous vivons est effroyable »
- Tandis
que des colons israéliens scandent « Mort aux Arabes » à Jérusalem, Washington
assure que l’aide à Israël restera inconditionnelle
- La
hideuse injustice envers la Terre Sainte causée par l'élite britannique (et
occidentale)
- Cette
guerre coloniale qu’il faut nommer
[8] Le
Talmud révélé. Voici comment les juifs doivent traiter les Goyim :
Abhodah Zarah 20a: Ne jamais faire la louange d'un goy,
de peur qu'il ne
la croie.
Abhodah Zarah 22a: Ne pas fréquenter les goyim; ils versent le sang.
Abhodah Zarah 22b : Les goyim sont impurs parce qu'ils
n'étaient pas là
au Mont Sinaï.
Abhodah Zarah 25b: Se méfier des goyim quand on voyage avec eux
à l'étranger.
Abhodah Zarah 26a: Ne pas recourir à une sage femme non-juive, qui une fois seule pourrait
tuer le bébé. Même si elle était surveillée, elle pourrait lui écraser la
tête sans que personne ne puisse le voir.
Abhodah Zarah 26b T. : Même le meilleur des goy devrait être abattu.
Abhodah Zarah 35b : toutes les filles des incroyants sont
niddah (sales,
impures) depuis leur naissance.
Abhodah Zarah 35b: Ne pas boire du lait tiré par un goy.
Abhodah Zarah 4b: Vous pouvez tuer un goy avec vos propres
mains.
Abhodah Zarah 54a: L'usure peut être pratiquée sur les goyim,
ou sur les
apostats.
Abhodah Zorah 26b: Ceux qui voudraient changer de religion doivent être jetés au fond
d'un puits, et oubliés.
Baba Mezia 24a: si un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n'est pas tenu de le
lui rendre
Babha Bathra 54b : La propriété d'un goy appartient au premier juif qui la réclame.
Babha Kama 113a : Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c'est pour tromper ou faire
condamner un goy.
Babha Kama 113a: Les incroyants ne bénéficient pas de la loi et
Dieu a mis leur
argent à la disposition d'Israël.
Babha Kama 113b: Le nom de Dieu n'est pas profané quand le mensonge a été fait à un goy.
Bammidber Raba c 21 & Jalkut 772: Tout juif qui verse le
sang de goyim
revient à la même chose qu'une offrande à Dieu.
Chagigah 15b : Un juif est toujours considéré comme bon, en
dépit des péchés
qu'il peut commettre. C'est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre.
Choschen Ham 156, 5: Les clients goyim possédés par un juif, ne
doivent pas être
démarchés par un autre juif.
Choschen Ham 183, 7: Des juifs qui trompent un goy doivent se partager le bénéfice
équitablement.
Choschen Ham 226, 1: Les juifs peuvent garder sans s'en
inquiéter les
affaires perdues par un goy.
Choschen Ham 26, 1: Un juif ne doit pas être poursuivi devant
un tribunal goy,
par un juge goy, ou par des lois non-juives.
Choschen Ham 34, 19: Les goyim et les serviteurs ne peuvent pas
témoigner lors
d'un procès.
Choschen Ham 386, 10: Celui qui voudrait avouer les secrets d'Israël aux goyim, doit être
tué avant même qu'il ne leur dise quoi que ce soit.
Choschen Ham 388, 15: Il faut tuer ceux qui donneraient
l'argent des
Israélites à des goyim.
Choschen Ham 425, 5 : Il est permis de tuer indirectement un
goy, par exemple,
si quelqu'un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve
une échelle, il faut vite retirer l'échelle.
Chullin 91b: Les juifs possèdent la dignité dont même un ange
ne dispose pas.
Eben Haezar 44, 8: Sont nuls, les mariages entre les goyim et
les juifs.
Emek Haschanach 17a: L'âme des goyim vient de la mort et de l'ombre de la mort.
Ereget Rashi Erod.22 30 : Un goy est comme un chien. Les Ecritures nous apprennent
qu'un chien mérite plus de respect qu'un goy.
Hilkhoth goy X, 1 : Ne passez aucun accord avec un goy, ne manifestez jamais de pitié
envers un goy. Il ne faut pas avoir pitié des goyim car il est dit: "tu
ne jetteras pas sur eux un regard de pitié".
Hilkhoth Maakhaloth: Les goyim sont des idolâtres, il ne faut
pas les
fréquenter.
Hilkhoth X, 2 : Les juifs baptisés doivent être mis à mort.
Hilkhoth X, 6: On peut aider les goyim dans le besoin, si cela nous évite des ennuis par la
suite.
Hilkhoth X, 7: Où les juifs sont fortement installés, il ne
faut plus tolérer
la présence des idolâtres.
Hilkkoth X, 1 : il ne faut pas sauver les goyim en danger de
mort.
Ialkut Simoni 245c : Répandre le sang des impies est un
sacrifice agréable
à Dieu.
Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés
"hommes", pas les goyim.
Iore Dea 120, 1: La vaisselle achetée à des goyim doit être
jetée.
Iore Dea 146, 15: Leurs idoles [c'est à dire les objets du
culte] doivent
être détruites, ou appelées par des noms méprisants.
Iore Dea 147, 5: Il faut railler les objets du culte goy, il
est interdit de
souhaiter du bien à un goy.
Iore Dea 148, 12 H: On peut prétendre se réjouir avec les goyim
pendant leurs
fêtes, si cela permet de cacher notre haine.
Iore Dea 151, 11: Il est interdit de faire un présent à un goy,
cela encourage
l'amitié.
Iore Dea 151, 14: Il est interdit de concourir à la gloire d'un
goy.
Iore Dea 153, 1: Les nourrices non-juives conduisent les
enfants à
l'hérésie.
Iore Dea 154, 2: Il est interdit d'enseigner un métier à un
goy.
Iore Dea 157, 2 hagah: Si un juif a la possibilité de tromper
un goy, il peut
le faire.
Iore Dea 159, 1: Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de
l'argent à un goy
avec intérêt. Toutefois, certains des anciens n'ont pas reconnu ce droit dans des cas
de vie ou de mort. Aujourd'hui, ce droit est accordé dans n'importe quelle
circonstance.
Iore Dea 198, 48 : Les femmes Juives sont contaminées par la simple rencontre de goyim.
Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs goyim morts,
comme les vaches,
ou les ânes perdus. Il ne faut pas montrer de sympathie pour le juif qui les emploie.
Iore Dea 81, 7 Ha: Un enfant ne doit pas être allaité par une nourrice non-juive, car son
lait lui donnera une nature maléfique.
Jalkut Rubeni Gadol 12b: Les âmes des goyim proviennent
d'esprits impurs
qu'on nomme porcs.
Kallah 1b, 18: Le juif peut se parjurer la conscience claire.
Kerithuth 6b p. 78 : Les juifs sont des humains, non les goyim,
ce sont des
animaux.
Kethuboth 110b : Pour l'interprétation d'un psaume un rabbin dit : " le psalmiste
compare les goyim à des bêtes impures ".
Makkoth 7b : On est innocent du meurtre involontaire d'un Israélite, si l'intention
était de tuer un goy ; tout comme on est innocent du meurtre accidentel
d'un homme, quand l'intention était d'abattre un animal.
Orach Chaiim 20, 2 : Les goyim se déguisent pour tuer les
juifs.
Orach Chaiim 225, 10 : Les goyim et les animaux sont utilisés
de manière
équivalente dans une comparaison.
Orach Chaiim 57, 6a : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les goyim que pour les
cochons, quand ils sont malades des intestins.
Peaschim 25a : Il faut éviter l'aide médical des goyim.
Pesachim 49b : Il est permis de décapiter les goyim le jour de l'expiation des péchés, même
si cela tombe également un jour de sabbat. Rabbin Eliezer : "Il est
permis de trancher la tête d'un idiot, un membre du peuple de la Terre
(Pranaitis), c'est-à-dire un animal charnel, un Chrétien, le jour de
l'expiation des péchés et même si ce jour tombe un jour de sabbat ". Ses
disciples répondirent : " Rabbi ! Vous devriez plutôt dire "de
sacrifier" un goy. " Mais il répliqua : " En aucune façon ! Car lors d'un
sacrifice, il est nécessaire de faire une prière pour demander à Dieu de
l'agréer, alors qu'il n'est pas nécessaire de prier quand tu décapites quelqu'un."
Rosch Haschanach 17a : L'âme d'un goy descend en enfer pour toutes les générations.
Sanhédrin 52b: L'adultère n'est pas défendu avec la femme d'un goy, parce que Moïse n'a
interdit que l'adultère avec "la femme de ton prochain", et les goy s
ne sont pas des prochains.
Sanhedrin 57a: si un juif tue un goy, il ne sera pas condamné à
mort. Ce qu'un
juif vole d'un goy, il peut le garder.
Sanhedrin 57a: Un juif n'est pas obligé de payer le salaire redevable à un goy.
Sanhedrin 58b : Si un goy frappe un juif, il faut le tuer, car c'est comme frapper Dieu.
Sanhedrin 59a : Les goyim qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d'Israël
commettent un crime qui réclame la peine de mort.
Sanhedrin 90a: Ceux qui lisent le nouveau testament (chrétiens)
n'auront pas de
place dans le monde à venir.
Schabbath 145b : Les goyim sont impurs parce qu'ils mangent de
la nourriture
impure.
Schabbouth Hag. 6d: Les juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double
sens, ou tout autre subterfuge.
Schene Luchoth Haberith p. 250b : Bien qu'un goy ait la même apparence qu'un juif, il se
comporte envers les juifs de la même manière qu'un singe envers un
homme.
Sepher Ikkarim III c25: Il est permis de prendre le corps et la
vie d'un goy.
Sepher Ou Israël 177b : Si un juif tue un goy, ce n'est pas un péché.
Shabbath 116a (p. 569): Les juifs doivent détruire les livres
des goyim
(nouveau testament).
Tosaphot, Jebamoth 94b: Lorsque vous mangez en présence d'un goy c'est comme ci vous
mangiez avec un chien.
Yebamoth 98a : Tous les enfants des goyim sont des animaux
Zohar I, 131a : Les goyim souillent le monde. Le juif est un
être supérieur
Zohar I, 160a: Les juifs doivent en permanence tenter de
tromper les
goyim.
Zohar I, 219b: Les princes goyim sont des idolâtres, ils
doivent mourir.
Zohar I, 25a : Les goyim doivent être exterminés car ce sont
des idolâtres.
Zohar I, 25b: Ceux qui font du bien à un goy, ne se relèveront pas des morts.
Zohar I, 28b, 39a : Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les
idolâtres.
Zohar I, 28b: Les goyim sont les enfants du serpent de la
Genèse.
Zohar I, 46b, 47a : L'âme des goyim est d'une origine
théologique impure.
Zohar II 64b : Les goyim sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes.
Zohar II, 19a: La captivité des juifs prendra fin lorsque les princes goyim seront morts.
Zohar II, 43a : L'extermination des goyim est un sacrifice agréable à Dieu.
Zohar II, 64b : Le taux de naissance des goyim doit être
diminué matériellement.
- LE
TALMUD révélé. Une littérature de la haine raciste. 1. Introduction La Torah et
le Talmud
- LE
TALMUD révélé. 2. La haine raciste envers les non-juifs et envers Jésus et
Marie
- L'Amérique
gouvernée par le Talmud: est-ce une bonne chose ?
- De
la réalité d’un complot juif, ou la domination talmudique vue par des « juifs »
dissidents
- Que
dit le judaïsme rabbinique sur ce qui différencie les Juifs et les Gentils?
[9] LES
SIONISTES avec leurs propres mots :
«À chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me
dites que l'Amérique fera ceci ou fera cela... Je veux vous dire une chose très
claire: ne vous inquiétez pas des pressions américaines sur Israël. Nous, le
peuple juif, contrôlons l'Amérique, et les Américains le savent.» Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à Shimon Pères, comme
cela a été rapporté sur Kol Yisrael Radio.
«Il y a un immense fossé entre nous [les Juifs] et
nos ennemis - pas seulement dans la capacité, mais aussi dans la moralité, la
culture, le caractère sacré de la vie, et la conscience. Ils sont nos voisins
ici, mais c'est comme si à une distance ....., il y a une population qui
n'appartient pas à notre continent, à notre monde, mais en fin de compte à une
autre galaxie.» Le Président israélien Moshé
Katsav. The Jerusalem Post, 10 mai 2001.
«Les
Palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez de la viande,
plus ils en veulent.» Ehud Barak, ancien
premier Ministre d'Israël. 28 août 2000. Cité par The Jerusalem Post, 30 août
2000.
«Tout le monde doit bouger, courir, et s'emparer
d'autant de collines qu'il est possible pour agrandir les colonies parce que
tout ce que l'on prendra maintenant restera à nous... Tout ce que nous ne
prendrons pas par la force, ira à eux.» Ariel
Sharon, Premier Ministre israélien, lors d'un meeting de militants du
parti d'extrême droite Ts omet. AFP, 15 novembre 1998.
«Nous ne savions pas ce qu'il fallait
faire d'eux [les prisonniers de guerre égyptiens en 1956]. Il n'y avait pas d'autre choix que de les tuer. Ce
n'était pas une telle affaire si vous prenez en considération que je dormais
bien après avoir échappé aux fours crématoires d'Auschwitz.» L'ex Brigadier général israélien Arieh Biro. The New York Times, 21 août 1995.
«Les Palestiniens devraient
être écrasés comme des sauterelles... leurs têtes fracassées contre les rochers
et les murs.» Le Premier Ministre israélien Yitzhak
Shamir s'adressant aux colons juifs. New York Times, 1 avril 1988.
«Nous
devons tuer tous les Palestiniens à moins qu'ils ne soient résignés à vivre ici
comme esclaves.» Le président Heilbrun,
du comité pour la réélection du Général Shlomo Lahat au poste de maire de Tel
Aviv, en octobre 1983.
«Nous déclarons ouvertement que les Arabes n'ont
pas le droit de s'installer sur ne fut-ce qu'un centimètre d'Eretz Israël... La
force est le seul langage qu'ils comprennent ou ne comprendront jamais. Nous
utiliserons la force ultime jusqu'à ce que les Palestiniens viennent en rampant
vers nous à quatre pattes.» Rafael Eitan,
Chef d'État Major des Forces israéliennes de Défense - Gad Becker, Yediot
Aharonot, 13 avril 1983. New York Times, 14 avril 1983.
«Lorsque nous
aurons colonisé le pays, tout ce que les Arabes seront capables de faire, sera
de détaler tout autour comme des cafards drogués dans une bouteille.» Rafael Eitan,
Chef d'État Major des Forces israéliennes de Défense. New York Times, 14 avril
1983.
«Les Palestiniens sont des bêtes marchant sur deux
pattes.» Ménahem Begin, discours à la
Knesset, cité par Amnon Kapeliouk, «Begin et les Bêtes». New Statesman, 25 juin
1982.
«C'est le devoir des leaders israéliens d'expliquer
à l'opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits
qui ont été oubliés avec le temps. Le premier est qu'il n'y a pas de sionisme,
de colonisation ou d'État Juif sans l'éviction des Arabes et l'expropriation de
leurs terres.» Yoram Bar Porath. Yediot Aharonot, 14 juillet 1972.
«Comment
pouvons-nous rendre les Territoires occupés? Il n'y a personne à qui les
rendre.» Golda Meir, Premier Ministre israélien. 8 mars 1969.
«Il n'existait rien de tel que des Palestiniens,
ils n'ont jamais existé.» Golda Meir, Premier Ministre israélien, le 15
juin 1969
«Des villages juifs furent construits à la place
des villages arabes. Vous ne pouvez même pas connaître le nom de ces villages
arabes, et je ne vous en blâme pas parce que les livres de géographie
n'existent plus. Non seulement les livres n'existent pas, les villages arabes
ne sont pas là non plus. Nahlal s'élève à la place de Mahlul; Kibbutz Gvat à la
place de Jibta; Kibbutz Sarid à la place de Huneifis; et Kefar Yehushua à la
place de Tal al-Shuman. Il n'y a pas un seul endroit construit dans ce pays qui
n'ait pas eu une ancienne population arabe.» Moshé Dayan, discours au
Technion, Haïfa, cité par Haaretz le 4 avril 1969.
«Nous devons tout faire pour nous assurer qu'ils
[les Palestiniens] ne reviendront jamais dans leurs maisons. (...) Les vieux
mourront et les jeunes oublieront.» David Ben Gourion dans ses mémoires,
le 18 juillet 1948, cité par Michael Bar Zohar, «Ben-Gurion: The Armed
Prophet», Prentice-Hall, 1967, p. 157
«Le terme annexion est déplacé. Les mesures adoptées
ont trait à l'intégration de Jérusalem dans les sphères administratives et
fournissent une base légale pour la protection des lieux saints de Jérusalem.»
Abba Eban, ministre israélien des Affaires étrangères, devant l'Assemblée des
Nations Unies le 4 juillet 1967.
«Nous devons réduire la population arabe à une
communauté de bûcherons et de garçons de café.» Description par Rabin de
la conquête de Lydda après l'achèvement du Plan Dalet. Uri Lubrani, conseiller
spécial de Ben Gourion sur les Affaires Arabes, 1960. Cité par Sabri Jiryas
dans «The Arabs in Israel».
«Je jure que si j'étais juste un civil israélien et
que je rencontre un Palestinien, je le brûlerais et je le ferais souffrir avant
de le tuer. J'ai tué 750 Palestiniens d'un seul coup (à Rafah en 1956). Je
voulais encourager mes soldats à violer les filles arabes, car la femme
palestinienne est une esclave pour les Juifs, et nous leur faisons de toute
façon ce que nous voulons et personne ne nous dit ce que devons faire, mais
nous disons aux autres ce qu'ils doivent faire.» Ariel Sharon, dans une
interview avec le Général Ouze Merham, 1956.
«Je ne connais pas cette chose appelée Principes
Internationaux. Je jure que je brûlerai tout enfant palestinien qui sera né
dans ce secteur. La femme palestinienne et son enfant est plus dangereuse que
l'homme, parce que l'existence des enfants palestiniens implique que des
générations continueront, mais l'homme cause un danger plus limité.»
Ariel Sharon, dans une interview avec le Général Ouze Merham en 1956.
«L'événement le plus spectaculaire dans l'histoire
contemporaine de la Palestine - plus spectaculaire dans un sens que la création
de l'État Juif - est l'évacuation en masse de sa population arabe qui a
entraîné avec elle également des milliers d'Arabes de régions menacées et/ou
occupées par nous en dehors de nos frontières.» Moshé Shertok [Sharett],
ministre israélien des Affaires étrangères, dans une lettre à Goldmann, 15 juin
1948.
«La Terre
promise s'étend du Nil à l'Euphrate. Elle comprend des parties de la Syrie et
du Liban.» Rabbi Fischmann, membre de l'Agence Juive pour la Palestine,
dans son témoignage devant la Commission d'Enquête de l'ONU en 1947
«Entre nous, il doit être clair qu'il n'y a pas de
place pour deux peuples dans ce pays... Il n'y a pas d'autre solution que de
transférer les Arabes dans les pays voisins, de les transférer tous; pas un
village, pas une tribu ne doit subsister.» Yosef Weitz du Fonds National
Juif. Journal, 1940.
«Ne nous racontons pas d'histoire... Politiquement,
nous sommes les agresseurs et ils se défendent... C'est leur pays, parce qu'ils
y habitent, alors que nous voulons venir ici et coloniser, et de leur point de
vue, nous voulons nous emparer de leur pays.» Discours de David Ben
Gourion en 1938, cité dans Simha Flapan, «Zionism and the Palestinians», 1979.
«Nous devons
utiliser la terreur, l'assassinat, l'intimidation, la confiscation de terres,
et la suppression de tous les services sociaux pour débarrasser la Galilée de
sa population arabe.» Israel Koenig, «The Koenig Mémorandum», non daté
Comment a-t-il pu se faire que les dirigeants palestiniens, Arafat en tête,
ainsi que tous ceux qui militent pour la paix et la réconciliation des deux
peuples, n’aient pas suivis les lucides conseil de Ben Gourion ? : «Si j'étais un leader arabe, je ne signerais jamais un
accord avec Israël. C'est normal; nous avons pris leur pays. Il est vrai que
Dieu nous l'a promis, mais comment cela pourrait-il les concerner? Notre Dieu
n'est pas le leur. Il y a eu l'antisémitisme, les Nazis, Hitler, Auschwitz,
mais était-ce leur faute? Ils ne voient qu'une seule chose: nous sommes venus
et nous avons volé leur pays. Pourquoi devraient-ils accepter cela?» David Ben
Gourion, cité par Nahum Goldmann dans «Le Paradoxe Juif», p. 121.
[10] Si
vous preférez Israël à votre pays, votez Trump
«
Business as usual ». Les pardons impardonnables de Trump: une autre performance
honteuse du "président d'Israël"
Hannibal GENSÉRIC
L'Etat d'Israël n'est pas tout Israël à cause de la décision de Ben Gourion de refuser le nom de Judée. Il s'agit de deux tribus Juda et Lévi sur les douze des Hébreux. Un peu comme si Paris était toute la France. Vu la dangerosité du vaccin Pfizer administré à 70% de la population d'Israël, cette chimie risque de faire d'ici peu plus de dégâts que les roquettes du Hamas.
RépondreSupprimerMais que foutent-ils les Israéliens en Palestine?et que foutent les Palestiniens en Israël? Solution: Un seul Etat: La Palestisrael avec un Drapeau blanc comme neige ... au milieu de ce
RépondreSupprimerbout d'étoffe un joint...sorte de calumet de la paix ...tous gagnant-gagnant..