«Le culte des Gentils envers les Juifs, leurs courbettes
obséquieuses, leur déférence servile envers eux et leur désir d'être menés par
eux comme des moutons me déconcertent. La haine maniaque, frénétique, écumante à
la bouche et la cruauté sanguinaire des Juifs, leurs Gros Mensonges sans fin,
je n’arrive pas à m’y faire. »"~ Douglas Reed
(1895-1976), correspondant en chef pour le
London Times, et auteur du classique et politiquement incorrect "La controverse de
Sion".
Lecture essentielle pour comprendre la genèse du
sionisme et ses méfaits passés, présents et à venir. H. Genséric
Dans sa préface à l’édition de 1985 du livre de Douglas Reed,
l’écrivain Ivor Benson décrit à quel point la période de 1956 (date
d’achèvement du livre) à 1985 a confirmé l’interprétation reedienne
des derniers deux mille ans de notre Histoire. L’ouvrage représente le rôle du
Moyen-Orient comme celui d’une perpétuelle poudrière capable de déclencher la
prochaine guerre mondiale, et expose la censure continuelle et les
représentations tendancieuses des médias pour tout ce qui a trait aux
nouvelles et aux discussions sur ce point du Globe.
Ceux-là seuls qui connaissaient les fondements du sionisme talmudique
et du communisme avaient quelque chance de comprendre des éléments aussi
décisifs que la soi-disant « Guerre des six jours » ainsi que, plus tard,
l’invasion massive du Liban en 1982. Invasion qui devait – disait-on –
éradiquer l’OLP, mais qui était, en fait tout simplement une partie du plan de
création du Grand Israël (« Eretz Israël »). Tout comme l’invasion de l’Irak.
L’image dispensée par les
mass-médias pro-israëliens d’un Israël petite démocratie inoffensive
constamment en manque d’aide devint de moins en moins crédible. Aussi peu de
gens furent surpris lorsque l’Institut d’Études Stratégiques anglais put
rapporter qu’Israël était devenu la quatrième puissance militaire mondiale
après les États-Unis, l’URSS et la Chine, mais largement en tête de nations
comme l’Angleterre ou la France. Après la chute de l’Union soviétique, ce pays
avec une population comparable à celle du petit Danemark est peut-être même
monté d’un cran dans la liste des quatre plus puissants !
A cette époque (1982)
le changement dans les réactions des juifs eux-mêmes fut significatif. Après le
massacre de 1.500 hommes, femmes et enfants dans deux camps de réfugiés à
Beyrout, alors que 350.000 habitants de Tel-Aviv protestaient contre leur
propre gouvernement, les médias occidentaux s’abstinrent timidement de tout
commentaire.
Douglas Reed paraît
avoir également prévu cette évolution. En effet, nous pouvons lire, dans les
dernières lignes de son livre (de 1956 !) : « Je pense que les juifs dans le
monde commencent à réaliser le mal fondé du sionisme révolutionnaire, jumeau de
cet autre mouvement de destruction qu’est le communisme et que vers la fin du
XXème siècle, ils auront finalement décidé de rallier les rangs de l’humanité
».
Le livre commence par une
citation de 1789 du philosophe Edmund Burke qui, dans ses « Réflexions sur
la révolution », émit une attaque littéraire sur la Révolution française :
« Il s’est produit
quelque chose dont il est difficile de parler mais qu’il est impossible de
taire. »
Révolution
mondiale, sionisme et gouvernement mondial
La révolution mondiale,
qui a détruit, au cours de ce siècle, la civilisation humaine à un point
inconcevable à ce jour, ne fut que l’un de deux mouvements révolutionnaires
qui se répandirent sur le monde comme une épidémie de peste, cette même
semaine d’octobre 1917. Les deux mouvements furent initiés par les
juifs de l’Est guidés par le Talmud. La révolution mondiale correspond
aujourd’hui à l’apogée de la conquête judaïque du
monde. La défaite de la révolution n’est qu’apparente. Cette
dernière continue à ressortir ses effets en sous-main, sans les soviétiques,
mais toujours avec la Chine, exemple de société d’esclaves menés par la
terreur, avec des agents du judaïsme solidement positionnés aux postes les plus
importantes du monde. La promotion des « valeurs spirituelles » continue,
notamment dans la Communauté européenne.
Et son frère jumeau, le
sionisme révolutionnaire continue de monter en puissance en vue de la mise en
place du Grand Israël (« Eretz Israël ») qui doit s’étendre, du Nil à
l’Euphrate, sur l’ensemble du « territoire originel » avec le rassemblement en
cet endroit de l’ensemble des « juifs » du monde ; Jérusalem
devenant la capitale du monde et le centre de « la Paix mondiale et du Gouvernement
mondial ».
L’ensemble repose sur
le Pentateuque de l’Ancien Testament, complété par le Talmud, qui
instituent la
prédestination du « peuple élu » pour l’extermination ou la soumission de
toutes les autres nations. Les chefs sionistes ne doutent pas un
instant de cette prédestination. Comme pour une opération militaire, les deux
groupes [révolutionnaires] travaillent de conserve avec un degré de
synchronisation incroyable en vue de cette domination totale par un
Gouvernement mondial. Le temps de sa réalisation n’est plus très éloigné. Nous
le voyons progresser chaque jour : l’ONU , l’OTAN, l’UE, l’OMC, les traités et
les conventions internationaux, les Cours internationales dotées de
juridictions supra-étatiques et les centaines – pour ne pas dire les milliers –
de fusions internationales et de prises de contrôle dans le monde des affaires.
L’idée d’un
Gouvernement mondial trouve aussi son fondement dans l’Ancien Testament et dans
le Talmud. C’est le « peuple élu » qui arrange les choses selon les textes, avec le reste
du monde pour esclave. Les succès les plus magistraux des deux mouvements
eurent lieu dans les périodes de désordre vers la fin des deux guerres
mondiales et tout après celles-ci ; périodes de désordres initiées par les
chefs de ces deux mouvements. Les seuls à sortir vainqueurs des deux conflits
mondiaux furent la Révolution et le sionisme, au milieu des souffrances
inconcevables qui en découlèrent.
Les
vainqueurs du premier conflit mondial…
A l’issue de la
première guerre mondiale, la Révolution fut mise en place en Russie par la
terreur et l’extermination de toutes les « classes » jusque et y-compris le
koulak, simple fermier possesseur de trois vaches. Le gouvernement qui
répandait cette terreur était pratiquement exclusivement composé de juifs. [1] Cette Révolution allait durer quelque soixante
dix années avec un « palmarès » d’environ 20
millions de morts sur la conscience (100
millions dans le monde entier).
L’antienne sur l’«
antisémitisme » des soviétiques, régulièrement reprise par les medias
occidentaux, en particulier dès 1952, ne fut qu’un bluff, les dirigeants juifs
ayant pris peur à mesure que le règne de terreur commença d’être étiqueté «
Empire du Mal ». Cet « antisémitisme » n’était en réalité rien de plus que la
manifestation de guerres intestines entre les différents groupes. Les
représentants « juifs » les plus reconnaissables furent écartés du pouvoir,
mais la structure du pouvoir, en particulier la police secrète [2] qui détenait le pouvoir décisif, demeura «
juive ». L’« antisémitisme » était sévèrement réprimé (et cela jusqu’à la chute
de l’Union soviétique... et peut être est-ce toujours le cas de nos jours) il
était de ce fait impensable.
Juste après la
révolution, la possession des « Protocoles de Sion » [3] – apparemment une des stratégies
développées par les « juifs » en vue de la conquête du monde par la révolution
et pour désagréger les pays chrétiens – était punie de mort.
A la même époque, le
sionisme, en remerciement d’avoir rallié les États-Unis à la guerre mondiale,
avait obtenu, par la « déclaration Balfour », la promesse d’obtention pour les
juifs d’une « terre d’accueil nationale » en Palestine.
La pression sur les
hommes politiques occidentaux fut lentement accentuée de manière à faire de
cette promesse une réalité. En particulier sur les États-uniens qui furent
assiégés de « conseillers » juifs. De plus, au cours de l’entre-deux guerres,
l’immigration dans cette « terre d’accueil nationale » fut énormément accrue
par le remède-miracle constitué par la combinaison de l’« antisémitisme » et de
l’appui des magnats juifs et des dirigeants occidentaux pro-sionistes.
Enfin, la Société des
Nations (SDN), infiltrée de sionistes aux postes élevés qui tiraient les
ficelles, constitua le premier noyau du Gouvernement mondial.
Et du conflit
mondial suivant...
De même, ces trois
mouvements – le
communisme, le sionisme et le Gouvernement mondial – furent les
seuls à tirer profit des souffrances et de la destruction de la seconde guerre
mondiale. Les puissances de l’Ouest aidèrent la Révolution mondiale à
s’implanter fermement en Europe.
Le général Eisenhower
ordonna aux généraux occidentaux de s’arrêter sur la ligne Vienne-Berlin. A la
conférence de Yalta, tous les pays de l’Est européen, dont la « libération »
était censée constituer la justification de cette guerre, furent livrés à la
terreur révolutionnaire. Aidé par une presse hésitante, voire même servile, le
sionisme commença par soutenir Hitler. Puis, en 1933, il déclara la Guerre
Sainte contre celui-ci.
A la suite de la
persécution des juifs et de la très spectaculaire utilisation médiatique des
exterminations, les sionistes bénéficièrent d’une si grande compassion que les
puissances mondiales et les populations occidentales acceptèrent la division de
la Palestine et la « re-colonisation » des juifs dans ces territoires. Les Arabes furent délibérément
sacrifiés, ce qui eut pour effet d’initier l’une des plus
dangereuses vague de haine contre les occidentaux. Haine qui s’est perpétuée
depuis sans faiblir.
Reed donne de multiples
exemples de « souffrances particulières » subies par les juifs durant la guerre
qui se révélèrent n’avoir été que des mensonges fabriqués par les médias.
Par rapport à leur nombre, les juifs ne souffrirent ni plus, ni moins, que les
autres peuples, mais c’était l’illustration de ce phénomène voulant que tout
soit focalisé sur eux. En chiffres absolus, d’autres ont beaucoup plus
souffert. A l’issue de la guerre et immédiatement après celle-ci, les sionistes
reçurent d’énormes quantités d’armement de l’Union soviétique. Et quelques
centaines de milliers de juifs émigrèrent d’un pays que personne d’autre ne
pouvait quitter, si bien qu’ils constituèrent une majorité bien armée apte à
chasser la population originelle par une terreur en phase avec l’Ancien
Testament. Il en résulta 600.000 pitoyables réfugiés palestiniens.
Les Nations Unies, organisation
planifiée et structurée par Alger Hiss et le juif Harry Dexter White – qui se
révélèrent tous deux être des communistes et des espions – allaient
constituer, pour un temps, le point culminant d’un Gouvernement mondial dominé
par les juifs. Ses multiples ramifications avaient toutes en commun pour
but primordial la réduction des nations souveraines à la condition de simples
municipalités, donnant ainsi un pouvoir sans limites à l’organisation
elle-même. Bien entendu, sous prétexte d’« assurer la paix »... tout comme pour
la SDN. L’organisation fut dominée par les communistes durant de nombreuses
années et jamais ses condamnations de la terreur israélienne ne furent
suivies d’effet.
L’appui inconditionnel des dirigeants occidentaux à
l’intention d’un Grand-Israël en perpétuelle expansion conduit à un
Gouvernement Mondial qu’il y ait ou non une troisième guerre mondiale. Le nationalisme et
le racisme patents d’Israël ne sont jamais sérieusement critiqués par une «
opinion publique » dominée par le sionisme. L’Ouest a entamé le déclin de
ses propres États, qu’il qualifie de « désuets » et qui tombent de plus en plus
sous le contrôle d’organisations internationales, dominées par des agents «
juifs », qui ne cessent de prendre de l’importance. La stratégie consistant à
mettre en conflit les puissances occidentales les unes contre les autres pour les
rendre exsangues a désormais été poussée à sa perfection et s’est pratiquement
érigée au rang de science exacte. [On voit
comment, aujourd’hui, Trump traite l’UE d’ennemie, ce à quoi les euronouilles
répondent en s’abaissant encore plus bas et en s’exécutant comme des larbins].
Les « agents juifs » de
l’Ouest, qui travaillent à la victoire du sionisme ou du communisme, œuvrent
désormais à la destruction des « Nations chrétiennes » en trahissant en toute
liberté, tout à fait selon les principes des « Protocoles de Sion ». Une
troisième guerre mondiale pourrait être le troisième acte estimé nécessaire par
ces forces pour gagner le contrôle total à la faveur de la confusion et de la
détresse qui en résulteraient.
Dans le but de
conserver un gouvernement fondé sur la peur et aussi afin de peupler Israël
grâce à un « antisémitisme » fabriqué, il a toujours été acceptable, voire
nécessaire, pour les sionistes, de sacrifier nombre des « leurs ».
Et ainsi nous aurons la
guerre… sauf si suffisamment de gens, dans le monde entier, se réveillent et
balayent du bouton fatal le doigt des fauteurs de guerre.
L’Histoire
des derniers 2000 ans
L’auteur étaye son
argumentation par la citation d’écrits rédigés par les « juifs », et les
actions par eux commises. Ainsi, par exemple, sa description du développement
du sionisme au cours du siècle dernier, trouve-t-elle son centre de gravité sur
la personne de Chaïm Weizmann, personnage-clef des intrigues politiques
sionistes qui allait devenir le premier Président d’Israël. Une source
privilégiée est constituée par l’autobiographie de Weizmann : « Trial and
error » (1949).
L’essence juive du
communisme et de la Révolution mondiale est un fait, et d’immenses sommes
d’argent ont été dépensées pour tâcher de le camoufler. Il n’est probablement
pas de secret qui ait nécessité autant d’argent. Et il existe des sources
juives qui le reconnaissent. Tant les historiens juifs que les dirigeants communistes,
les articles de presse et les reportages datant de la Révolution constituent
sont utilisés comme sources d’information.
Pour ce qui est de
l’analyse historique sur une plus longue période, Reed étaye son argumentation
en faisant référence, en particulier, au docteur Josef Kastein,
historien et sioniste confirmé, dont le livre : « Histoire et destinée des
juifs » fut publié en 1933. Reed n’en utilise pas moins cependant de
nombreuses autres sources, toutes mentionnées dans la bibliographie de son
propre ouvrage. Le livre de Kastein couvre une période identique à celle
couverte par « la Controverse de Sion » et de nombreuses informations
issues de son livre servent à étayer directement les conclusions de Reed.
La Race des
Maîtres
Le supplice commença en
-458, lorsqu’une petite tribu de l’antique Judée adhéra à une croyance basée sur la race. C’est en raison
d’un tel racisme que la tribu avait déjà été chassée par les habitants
d’Israël. Cet évènement
d’apparence anodine a probablement causé plus de ravages à l’humanité que
l’usage des explosifs et les épidémies combinés. Pour « La » tribu
cette certitude d’être la Race des Maîtres n’était rien de moins que « La Loi
».
Les judéens n’étaient
qu’une petite tribu soumise au roi de Perse. Contrairement à ce qui a été
prétendu et colporté, la croyance judaïque ne fut pas à l’origine du
monothéisme. Le monothéisme trouve sa source initiale dans le « Livre des
Morts » égyptien en -2 600, voire peut-être même avant. Le
judaïsme en était au contraire une parfaite antithèse en ce qu’il était l’adoration
d’un dieu tribal raciste
« La Loi » ou « Le
Pacte » (d’alliance) était – et demeure – unique en ce fait qu’elle reposait
sur une déclaration d’un dieu tribal qui disposait que son « Peuple élu », les
« Israélites » (en réalité la tribu de Juda) serait placé au-dessus de tous les
autres peuples et s’établirait sur une « Terre promise » pour autant qu’ils
s’en tienne à l’ensemble de ses lois et jugements. Si Yahvé devait être adoré à
un endroit précis il s’ensuivait que si ses adorateurs ne s’y trouvaient pas,
c’était parce qu’ils étaient « persécutés » ou « en captivité » et qu’il leur fallait donc « détruire »
les « étrangers » qui les maintenaient « en captivité ». A cette
condition seule Yahvé pouvait être le dieu de tous les autres peuples ; un dieu
de punition qui sévissait en premier lieu contre son propre peuple en les
condamnant à la « captivité » au milieu des païens en raison de leur «
désobéissance à la Loi », puis, comme selon un scénario précis, dès lors que le
« Peuple élu » avait suivi ses règles à la lettre, qui frappait les
étrangers d’une extermination annoncée.
Il ne s’agissait
probablement même pas d’une Alliance avec le peuple de Juda puisque, selon la «
Sainte Écriture », l’Alliance avait été conclue avec les Israélites, qui
s’étaient depuis longtemps mélangés au reste de l’humanité, et qui, pour autant
que nous le sachions, n’avaient jamais eu vent de cette croyance raciste. Selon l’« Encyclopédie juive »
le peuple de Juda n’était probablement pas une tribu d’Israël. Les
Israélites se détournaient du racisme de la tribu de Juda. Cette croyance est
passée dans l’Histoire comme ayant été créée par les lévites de Judée.
Contrairement aux
évènements postérieurs, qui sont d’une très grande importance, ce qui se
passa avant -458 ressort essentiellement de la mythologie. Les informations
écrites relatives au moment ou les Israélites rejetèrent les Judéens sont
antérieures de deux siècles à cette date. L’histoire de Moïse fut extraite par les Israélites d’une
mythologie très répandue remontant à l’histoire du Roi babylonien Sargon
l’Ancien, 2 000 ans plus tôt. Les dix commandements sont très semblables à des
commandements similaires chez les Egyptiens, les Babyloniens et les Assyriens.
Lorsqu’ils rédigèrent leurs lois, les lévites, qui dirigeaient la Judée,
inversèrent alors ces idées communes relatives à un dieu unique pour l’humanité
entière. Ils fondèrent le contre-mouvement perpétuel en opposition avec toutes
les religions universelles et associèrent les noms de la Judée et des « juifs »
à la doctrine d’une auto-ségrégation envers le reste
de l’humanité, à la haine raciale, à l’assassinat au nom de la religion ainsi
qu’à la vengeance. La personnification de la traîtrise, le judas,
figurait également déjà au tout début de la Judée.
Les histoires relatives
à un Moïse menant un exile de masse hors d’Égypte ne peuvent être avérées,
point de vue partagé par le Dr Kastein. Cet épisode fut inventé par la
nécessité de justifier la « vengeance de Yahvé », principe destructeur qui est
le fondement du judaïsme.
Représentant la
majorité d’un peuple qui vivait en ségrégation, les Israélites s’établirent
dans le nord du pays de Canaan. La tribu de Juda, circonscrite par les
cananéens originels, apparut dans le sud. Ceci explique l’origine des termes «
judaïsme » et « juif ».
Dès le début, cette
tribu fut isolée de ses voisins et ne s’entendit jamais avec eux. Elle est
entourée de mystère, y-compris quant à son origine. Elle semble plus avoir été
expulsée que choisie. Et à mesure des éditions successives des « Saintes Écritures
» rédigées par ses scribes – qui écrivaient ce qui les arrangeait – apparurent,
toujours plus fréquents au cours des siècles, les ordres de « complètement
détruire », « niveler », « exterminer » etc.
Les Israélites
s’étaient alors distanciés des croyances racistes de la tribu de Juda et
s’étaient mélangés au reste de l’humanité, ce faisant, ils disparurent en tant
que peuple constitué cependant que la tribu se prémunissait des métissages par
de strictes lois raciales.
A mesure de temps ces
lois furent affinées et complétées jusqu’à régler les détails les plus petits
et les plus anodins de la vie quotidienne. Les sanctions encourues en cas de
désobéissance étaient sévères, et les « juifs » de base passèrent totalement
sous la férule des scribes. Cette ghettoïsation de l’esprit constitua le
fondement de la ghettoïsation physique et engendra, par manière de vengeance,
le rejet des juifs par les autres peuples et leur hostilité à leur égard.
Talmud et
trahison
Pendant la période de «
captivité » babylonienne, les scribes ajoutèrent quatre « livres de Moïse » au
cinquième – le premier qu’ils aient rédigé. Ce faisant, ils développèrent
d’autant la religion
d’intolérance raciale qui – pour autant qu’on puisse faire appliquer
ses commandements – allait
garder à tout jamais les « juifs » à l’écart du reste de l’humanité.
Ils en trouvèrent le moyen à Babylone. En fait, les chefs religieux réussirent
à conserver leur communauté totalement à l’écart de son environnement. Ils
reçurent de ceux qui tenaient les leurs en « captivité » le pouvoir sur ces
derniers et, en manière de reconnaissance, ils détruisirent, par voie de
trahison et grâce à l’aide de l’armée d’un nouveau chef – le roi de Perse Cyrus
– l’entièreté du pays qui les avait hébergés. Puis ils détruisirent Cyrus (et
ainsi de suite)... Stratégie bien connue qui allait, par la suite, être
perfectionnée et employée – parmi de nombreuses autres occasions – au cours des
deux conflits mondiaux du XXème siècle. Incidemment, selon le Dr Kastein, les « juifs » – en tout cas
leurs chefs – vécurent très à l’aise à Babylone. Ils y jouissaient d’une totale
liberté. La description de la destruction de Babylone créa l’image d’une
puissance annihilatrice irrésistible ; autre élément stratégique qui allait
être largement développé par les scribes.
La trahison
était immuablement la récompense de l’hospitalité
Selon le Dr Kastein, les juifs contribuèrent à la
destruction des Babyloniens, des Perses, des Égyptiens, des Grecs et des
Romains, en « ouvrant grand leurs bras » à un conquérant en chaque occasion.
Cette situation s’est
perpétuée au cours des siècles. Simultanément, les carcans qui tenaient en
soumission les juifs ordinaires étaient resserrés et, depuis l’époque de
Jésus, le Talmud avait évolué en une accumulation d’écritures contenant des
règles de conduite en toutes occasions, et qui visaient particulièrement la
chrétienté [4]. La nouvelle religion
de tolérance, qui était en opposition directe avec la haine raciale lévitique,
représentait le pire danger pour les scribes : perdre leur mainmise sur la
communauté. Toute transgression des nombreuses règles de conduite était très
sévèrement punie, le cas échéant par la mort. Les chefs juifs maintenaient les
juifs de base dans un étau de terreur en vertu d’une autorité qu’ils tenaient
des dirigeants « chrétiens ». Après que Rome eut perdu patience face aux juifs,
Jérusalem fut détruite en l’an 70 et ces derniers furent disséminés dans les
pays voisins.
Le Sanhédrin
La direction mondiale
du judaïsme qui, à Jérusalem, était appelée le Sanhédrin – « les Sages de
Sion » –se déplaça, au cours des siècles suivants, à la manière d’un
gouvernement mobile disposant de pouvoirs incroyables sur les communautés
disséminées de par le monde. Après la destruction de Jérusalem, le siège du
Sanhédrin s’installa à Jamnia où il demeura environ cent ans. Puis à Usha, en
Galilée, puis – comme toujours – en raison de « persécutions », il revint à
Sura en Babylonie. Durant six cents ans, la Direction mondiale demeura à
Jamnia, Usha et en Galilée, dans l’ambiance orientale qui lui était naturelle. Lorsque le centre mondial fut
déplacé en Espagne en raison de la conquête musulmane (!) commença
alors une longue et pénible coexistence avec les pays chrétiens où la mentalité
« orientale » n’était ni comprise, ni appréciée. Ce sont ces souffrances qui
sont sur le point de détruire l’Occident maintenant.
Comment dit-on « trahison » en espagnol ?
La stratégie de
trahison fut appliquée alors à l’Espagne chrétienne. Comme à Babylone et en Égypte,
les juifs se retournèrent contre le peuple au sein duquel ils vivaient. Ils
ouvrirent aux conquérants les portes de la cité et reçurent des musulmans la
gestion de la cité violée... et à la fin, se retournèrent contre les musulmans.
En 1492, ils furent à nouveau bannis en raison de leurs déplorables manières.
De toute évidence, ils avaient été perçus de la même façon que les conquérants
musulmans et furent expulsés avec eux [5].
L’une des pires «
persécutions » qu’ils durent endurer fut de ne pas être autorisés à posséder
d’esclaves ! Le professeur Graetz précise : « Dès lors, les juifs ne
pouvaient plus ni acheter de chrétiens comme esclaves, ni en recevoir en cadeau
».
A ce moment ils se
trouvaient en Espagne depuis huit cents ans. La majeure partie d’entre eux
retourna d’où elle était venue, en Afrique du nord ; ils allèrent aussi en Égypte,
en Palestine, en Italie, dans les îles grecques et en Turquie. D’autres
colonies s’étaient formées en France, en Allemagne, en Hollande et en
Angleterre qui accueillirent aussi quelques uns des bannis. Où qu’ils
s’installassent, les chefs religieux faisaient toujours en sorte de bénéficier
de l’aide du prince local pour confirmer leur pouvoir – un pouvoir absolu – sur
leur communauté. Certains de ces juifs devinrent très riches et développèrent
en particulier un capitalisme reposant sur les prêts qu’ils octroyaient, qui
leur permit d’affirmer leur puissance. Ils prêtèrent des sommes considérables à
des princes dispendieux et, en retour, reçurent de nombreux privilèges en
qualité de juifs de Cour. Le meilleur exemple de ce pouvoir issu de l’argent
fut la famille Rothschild [6] dont
les membres étaient devenus, au XIXème siècle, les vrais maîtres de l’Europe.
Le Gouvernement mondial passa alors en Pologne.
Les Khazars
Pourquoi la Pologne ? –
C’est-là une des énigmes fondamentales. Il n’existait aucune information
indiquant qu’un nombre significatif de juifs d’Espagne était allé s’installer
en Pologne ou qu’une quelconque émigration de masse plus ancienne ait eu lieu
vers la Pologne. Vers 1500 et quelque apparut en Pologne, selon le Dr Kastein,
une population de plusieurs millions de juifs. Des populations de plusieurs
millions n’apparaissent pas par génération spontanée... Cette question, le Dr
Kastein prend soin de l’occulter. C’est dans cette occultation que réside la clef pour comprendre la
phase historique suivante du sionisme. Le centre du Gouvernement
juif mondial s’était installé au milieu de ces soi-disant juifs de l’Est, sur
lesquels les juifs de l’Ouest n’avaient entendu que des rumeurs, et dont le
reste du monde ignorait tout. Ce furent cependant eux qui, dès lors, prirent en
main la direction du judaïsme mondial. Ils étaient les descendants des Khazars, peuple d’origine
Turco-mongoloïde qui s’était converti au judaïsme autour du VIIème siècle de
notre ère[7]. Dès ce moment,
une ségrégation encore plus draconienne fut décrétée par les « Sages ». Pendant
ce temps, les juifs occidentaux s’« assimilaient » progressivement à la population
européenne d’occident, en particulier après les législations mises en place à
la suite de la Révolution française qui leur conféraient de plus en plus de
droits civils. Le groupe de l’Est prit alors progressivement en main la
direction du « judaïsme » au point que les « statistiques » juives qui – soit
dit en passant – ont toujours été douteuses, les ont fait disparaître. Aujourd’hui, selon ces même
statistiques, les juifs de l’Est représentent au moins 90 % de l’ensemble de la
population juive tant en Israël que dans le reste du monde.
Les juifs de l’Ouest
qui, à grand renfort d’imagination et de manipulation de la vérité, avaient
prétendu avoir jadis vécu en Palestine s’assimilaient lentement après avoir été
chassés d’Espagne, et « disparurent » presque complètement en tant qu’entité.
Apparurent à leur place les juifs de l’Est, peuple
asiatique qui n’avait jamais eu le moindre rapport avec la Palestine.
Et avec la même
promptitude, le Centre de commandement des juifs disparut. Aux dires du Dr Kastein,
il « cessa d’exister ».
Un
gouvernement mondial sans domicile fixe
Il n’y eut cependant
pas grande indication pour confirmer ce fait. Mais après 1772 – au moment du
partage de la Pologne – et dès lors que la plus grande part des juifs passait sous la domination
russe, il s’entoura de secret. Ce Centre de commandement mondial avait
existé durant deux mille cinq cents ans et désormais, il était censé avoir
disparu. Il lui fut cependant possible de se réunir lorsqu’en 1897 Napoléon fit
mander le « Grand Sanhédrin » pour l’entendre clarifier la question de la
loyauté ou de l’absence de loyauté des juifs français. Le Dr Kastein en
personne révèle allègrement qu’« au XIXème siècle, une Internationale
juive se mit en place ».
Le XIXème siècle fut la
proie de manigances révolutionnaires du Sionisme autant que de celles du
communisme, qui se déployèrent leurs effets au XXème. Ce fut aussi au XIXème
siècle que le ghetto physique fut remplacé par une ghettoïsation mentale : la
peur de l’« antisémitisme ».
Selon Weizmann, la
question dominante dans les familles juives était de savoir s’il fallait
promouvoir le communisme révolutionnaire ou le sionisme révolutionnaire. On
convint de promouvoir les deux : le communisme devait mettre à bas l’ensemble des nations ; le sionisme
devait en installer une seule. L’idée d’un Gouvernement mondial sans
domicile fixe devenait à la mode. Mode qui allait perdurer sans accroc tout au
long du XXème siècle. [Aujourd’hui,
Netanyahou, Trump rt Poutine ont décidé que la capitale du Gouvernement mondial
est Jérusalem]. [8]
Révolution
mondiale et Race des Maîtres
L’homme d’Etat
britannique (et juif converti au christianisme) Benjamin Disraeli disait
qu’à partir de 1848 les juifs étaient derrière toutes les révolutions du milieu
du XIXème siècle, et qu’il y avait aussi une participation juive considérable
derrière la Révolution française. Cependant, pour Reed, on n’a trouvé nulle
trace de l’influence juive dans la première aventure révolutionnaire. Ce furent
des sociétés secrètes, en particulier les jacobins qui jouèrent le rôle
principal et ces dernières menaient tout droit au professeur allemand Adam
Weishaupt, fondateur, en 1776, des « Illuminés » ; société secrète
dirigée contre l’ensemble des autorités chrétiennes [9].
Cette société eu tôt fait d’infiltrer toutes les franc-maçonneries européennes
avant de s’en prendre aux États-Unis. La conspiration des Illuminés fut
accidentellement révélée par le gouvernement bavarois en 1787. Selon Nesta
Webster, le programme
de cette conspiration était presque mot pour mot
celui des « Protocoles des Sages de Sion », et on le retrouvait
clairement dans les théories de la Révolution russe. Cette
Révolution « russe » fut la première révolution à être d’essence juive sans
l’ombre d’un doute (90 % de ses chefs étaient juifs [1])
et, tout comme la première guerre mondiale, elle fournissait la première
évidence claire que les « Protocoles des Sages de Sion » étaient suivis à la
lettre quant aux évènements majeurs se produisant dans le monde.
Reed fournit d’autres
exemples indiquant que ce texte constitue la prophétie exacte, dans un proche
avenir, d’un effrayant plan de conquête du monde [le lecteur pourra se référer
dans le livre de Reed, au chapitre intitulé « Les Protocoles » et, sur le
présent site Internet, au texte intégral de ceux-ci sous les boutons « Links »
(« liens ») et « More » (« pour en savoir plus »)]. On ne pourra peut-être
jamais prouver s’ils sont d’origine « juive » ou pas. Mais il est important de
noter que Reed fait fréquemment remarquer au lecteur que ce sont
essentiellement des dissidents juifs qui nous ont mis en garde à leur sujet. Il
en mentionne un certain nombre. Ce qui n’empêche pas, jour après jour, le
Gouvernement mondial de se mettre en place.
Knud Bjeld Eriksen, 6. Février 1998
NOTES par
Hannibal Genséric
[2]
-Russie.
Le KGB juif
Hannibal GENSERIC
Excellent article - Vient de paraître : La question juive Abbé Olivier RIOULT Editions AGOBARD A commander sur le site : www.lasapiniere.info Bonne lecture
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