Le
Professeur MacDonald livre ici ses réflexions sur la nécessité de ne plus
prendre de gants, lorsqu’on critique l’extrémisme juif.
S’il
est un sujet insuffisamment débattu, c’est bien cette forme d’agression
hostile, ces hurlements en pleine poire que les gens doivent affronter
lorsqu’ils osent empiéter sur les susceptibilités juives.
Je
ne parle pas ici de ces ratiocinations sophistiquées que l’on peut lire sur les
pages éditoriales des médias consensuels, ni même des techniques de diffamation
utilisées par des organisations telles que l’Anti-Defamation League [ADL]
ou le SPLC [Southern Poverty Law Center, une officine pro sioniste basée
dans l’Etat d’Alabama]. Non, je parle très concrètement d’agressions interpersonnelles.
Il y a là quelque chose d’absolument primal.
Voici
[sur mon blog] un message rafraîchissant de Karin Friedemann, une antisioniste
ethniquement juive. Elle relève « l’intolérance
violente » dont les partisans d’Israël font montre à l’égard des gens qui ne
pensent pas comme eux :
« De
fait, les juifs américains sont formés depuis leur plus tendre enfance à
interagir avec les non-juifs (e.g. dans la terminologie juive appelés Goyim ou
Gentils) d’une manière trompeuse et arrogante, en coordination les uns avec les
autres, afin de détruire
émotionnellement les Gentils et les détracteurs d’Israël, non contents d’en
briser les carrières et d’interférer dans leurs relations sociales.
C’est là un comportement délibéré, malfaisant et planifié, motivé par une furie
d’autojustification narcissiste. »
Le
problème, c’est que les Gentils sont éduqués, à travers la pression
émotionnelle et la violence diffusées par les médias et le système scolaire, à
être extrêmement sensibles à la souffrance juive, si bien que lorsqu’un
sioniste affiche être outragé par le fait qu’un Gentil a remis en question sa
vision du monde, le Gentil doit véritablement lutter contre son for intérieur,
dans une énorme bataille contre son « juif intériorisé », qui le fait se
ressentir hors du coup et intimidé. Mais le juif ne se préoccupe absolument
pas d’à quel point il peut faire mal à autrui : les
juifs se préoccupent exclusivement de « ce qui est bon, pour les juifs »…
Il
m’est arrivé de réduire un homme de cinquante ans à un tas de larmes et de
sanglots hystériques parce que je lui avais dit gentiment (et même avec amour)
que les juifs n’étaient pas aussi uniques que ça, après tout… Je lui avais
seulement dit que les juifs, comme n’importe qui d’autre, ont connu des bons et
des mauvais moments. Des moments où ils s’étaient fait massacrer, et d’autres
moments, où ils avaient massacré des non-juifs. Comme tout un chacun. Devinez
ce qu’a fait ce type ? Il m’a abusé émotionnellement d’une manière parfaitement
insultante, après quoi, il a coupé toute forme de communication entre nous. Le
comportement juif est tellement prévisible que ça en est vraiment inquiétant…
Si vous mentionnez
l’idée de tourner le robinet à fric, ou si vous mentionnez la possibilité d’un
compromis, les juifs et les Palestiniens vivant en égaux dans un unique Etat,
ils sont extrêmement fâchés, et ils se mettent à recourir à des
tactiques violentes, à moins qu’ils n’aient quelque raison d’avoir peur de
vous, auquel cas ils vous boycottent et vous
dénoncent aux autorités, essayant de vous faire mettre en état d’arrestation,
ou de détruire votre carrière ou votre statut social au moyen de l’assassinat
de votre personnalité…
Les
sionistes – tous les sionistes – croient au mythe des « mille ans de souffrance
juive », et ils sont persuadés que le monde leur doit compensation pour la
souffrance « unique » de leurs ancêtres. C’est là un
point de vue criminel, parfaitement insensé. Ils s’accommodent des
contradictions entre leur persuasion qu’ils sont les gentils gars et ce que les juifs sont en train de faire, en réalité, à
leurs voisins, tant au Moyen-Orient qu’aux États-Unis, en
développant des pathologies mentales. La plupart des sionistes sont des schizophrènes
fonctionnels.
Voici
pourquoi :
-
Ces tactiques ne sont pas réservées aux détracteurs du sionisme. Étant
quelqu’un qui a vécu un tir de barrage d’e-mails hostiles provenant des
collègues de ma faculté, je peux en attester. Un correspondant m’a ainsi envoyé
ceci, récemment :
J’ai
rencontré beaucoup de juifs progressistes et politiquement corrects qui
réagissent par des vociférations (presque avec violence) aux commentaires les
plus anodins concernant n’importe quel sujet, dès lors qu’il a un rapport avec
Israël ou les juifs. Un juif, après que j’eus mentionné que nous étions allés
en Russie, ma femme et moi, a passé plusieurs minutes à, virtuellement, écumer
de rage contre les Russes. Un autre, m’ayant entendu dire que j’éprouvais de la
sympathie pour les Palestiniens confrontés aux problèmes qui sont les leurs, a
demandé à savoir qui j’étais et comment j’osais proférer une telle chose.
Le plus souvent : tolérance zéro,
quel que soit le sujet de la divergence d’opinion
-
Les médias présentent, en permanence, des images de souffrance juive – le
dernier exemple en date étant la série interminable des films consacrés à
l’Holocauste [1]. Mais les médias
ignorent les instances où, à l’instar des premières décennies de l’URSS et de
nos jours, dans le Grand Israël, où des juifs ont infligé des souffrances
horribles. Ces jours-ci, je lis un ouvrage d’E. Michael Jones : The Jewish
Revolutionary Spirit and Its Effect on History [L’esprit révolutionnaire juif
et son effet sur l’Histoire]. Particulièrement frappant est son récit de la violence juive contre les non-juifs, dans l’ancien
monde, en particulier la persécution des chrétiens, dès lors que les juifs en
avaient la possibilité. Bien avant que les chrétiens aient eu la
moindre influence sur la politique de l’Empire romain, les plaintes des
chrétiens au sujet des exactions des juifs n’avaient rien de stéréotypes fondés
sur une mémoire historique ; elles résultaient de leur expérience directe
avec les juifs : « Origène comprit que la calomnie juive contribuait à
provoquer les persécutions antichrétiennes, et que la haine juive était une
donnée de la vie, pour les chrétiens, qui se perpétua, sans fléchir, après les
défaites répétées des messianistes politiques (c’est-à-dire les défaites de
rebelles juifs vaincus par les Romains, en 70 et en 135 après JC)(page 69). »
C’est précisément, là, la base de ma préoccupation quant à ce qu’il ne manquera
pas d’arriver aux Blancs, dès lors que les juifs deviennent partie constituante
d’une élite hostile, dans une Amérique minoritairement blanche.
-
Les non-juifs absorbent ces images médiatiques et, en conséquence, ils se
sentent hors-jeu, émotionnellement intimidés. En
fin de compte, ils s’identifient à l’agresseur, tout à fait comme un otage
maltraité, ou comme le suggère Friedemann, comme une épouse maltraitée.
Ou alors ils maintiennent leurs amitiés, mais en évitant soigneusement de
parler de quoi que ce soit qui ait un quelconque rapport avec Israël. Les
non-juifs laissent parler le « juif qui est en eux » parce qu’ils sont
internalisé les images de la souffrance juive. Par conséquent, ils aident et
ils approuvent la brutalité et l’agression juives.
- Les non-juifs qui persistent à critiquer la communauté
juive organisée se voient menacer de perdre leur gagne-pain, et d’ostracisme
social. Comme je l’ai noté dans un
précédent article, la communauté juive organisée ne croit pas en la liberté
d’expression. Il est important de garder à l’esprit l’idée que lorsque les
juifs étaient dominants, durant les premières décennies de l’Union soviétique,
le gouvernement contrôlait tous les médias, l’antisémitisme était hors-la-loi
et il y avait des assassinats en masse de chrétiens, tandis que les églises et
les institutions religieuses chrétiennes étaient systématiquement détruites.[2]
Comme
le note Mme Friedmann, la situation est rien moins qu’un signe de sérieux trouble
mental dans la communauté juive consensuelle : « La plupart des
sionistes sont des schizophrènes fonctionnels ». Je pense que
c’est ce qu’il arrive lorsque ceux qui abordent les questions juives finissent
par prendre conscience du fait que dès lors qu’il s’agit de questions
critiques, telle celle d’Israël et l’Amérique multiculturelle, les divisions
entre juifs ne sont que pure illusion (Mme Friedemann a personnellement renoncé
à son identité juive).
Et,
comme le relève le mari de Mme Friedmann, Joachim Martillo : « Les juifs qui veulent être des êtres humains décents n’ont
d’autre choix que celui de renoncer à être juifs et de rejoindre le combat
antisioniste (aujourd’hui, là : maintenant !) »
La
pièce à conviction numéro un, pour cela, dès maintenant, c’est l’invasion
israélienne criminelle de Gaza. Nous savons (voir, par exemple, l’article de
John Mersheimer publié dans The American Conservative) que cette invasion a été
déclenchée après une période prolongée, Israël ayant apporté des restrictions
au transfert des marchandises entrant à Gaza, après quoi il a attaqué les
tunnels entre la bande de Gaza et l’Égypte. Nous savons que l’invasion a été
conçue de manière « à infliger une douleur massive aux Palestiniens, afin
qu’ils en viennent à reconnaître le fait qu’ils sont un peuple vaincu et
qu’Israël sera dans une large mesure responsable du contrôle de leur vie, à
l’avenir. »
Le
ton de l’article de Mearsheimer suggère un tournant radical dans les attitudes,
les inhibitions habituelles du discours public commence – enfin ! – à tomber,
même chez un chercheur éminent et respecté. Il y a… peu de chances que les gens
qui, dans le monde entier, suivent le conflit israélo-palestinien oublieront de
sitôt le châtiment
horrible qu’Israël est en train d’infliger à Gaza… Le discours sur
ce conflit de longue date a connu un changement copernicien, en Occident, ces
dernières années, et beaucoup parmi nous, qui étions naguère en totale
sympathie avec Israël, comprennent aujourd’hui que les Israéliens sont les
bourreaux et que les Palestiniens sont les victimes.
Les
gants sont en train de tomber. C’est ce qu’il se passe, lorsque des gens
intelligents et honnêtes, qui travaillent dur pour obtenir des bourses
universitaires, se voient néanmoins traînés dans la boue, traités d’antisémites
[3] et accusés des pires méfaits. Il
n’est nullement étonnant qu’Abe Foxman – un des premiers défenseurs du statu
quo sioniste en Israël – ait consacré tout un livre à diffamer Mearsheimer et
Walt. Tout simplement, il est, à ses yeux, inutile de parler à des gens comme
ceux-là, ou de prendre au sérieux ce qu’ils disent, à notre sujet…
Comme
nous le savons, le gouvernement d’Israël est
maintenu fermement par les sionistes raciaux, les émules de Vladimir Jabotinsky
et de sa vision d’exlusivisme et de supériorité du peuple juif. De
fait, dans les élections israéliennes, la seule question posée est celle du
genre de sionisme raciste qui formera le prochain gouvernement. On sait que le
sionisme racial s’est totalement imposé lorsque le Kadima (le parti d’Ariel
Sharon, Ehud Olmert et Tzipi Livni, un parti partisan de l’invasion de Gaza)
est aujourd’hui décrit, par Benjamin Netanyahou, comme le parti de la gauche (
!) (Le Los Angeles Times, quant à lui, le qualifie de « centriste », mais,
comme l’écrit le pacifiste israélien Uri Avnery, « Livni pousse les hauts-cris
dès lors qu’est évoquée une quelconque forme de dialogue avec le Hamas).
Elle
s’oppose à tout cessez-le-feu mutuellement négocié. Elle s’efforce d’entrer en
compétition avec Netanyahu et Avigdor Lieberman, dont on connaît les messages
nationalistes totalement débridés. De fait, la seule préoccupation de Netanyhu
tient au fait que Lieberman, qui est ouvertement raciste – c’est un disciple du
tristement célèbre Meir Kahane – va sans doute capter de trop nombreuses voix
du Likoud.
La
situation, en Israël, est analogue à une élection américaine dans laquelle Pat
Buchanan serait le candidat de l’extrême gauche (on peut toujours rêver).
Avnery
établit une analogie entre ces élections et une blague, selon laquelle un
sergent dit à ses hommes : « J’ai une bonne, et une mauvaise nouvelle. La
bonne nouvelle, c’est que vous allez pouvoir changer vos chaussettes sales...
La mauvaise, c’est que, pour ce faire, vous allez vous les échanger entre vous
! »
Une
fois encore, nous voyons en œuvre le principe général selon lequel, dans la communauté juive, les éléments les plus
extrémistes emportent la mise et tirent le reste de la communauté juive
derrière eux. Comme je l’ai relevé dans mon livre Zionism and the
Internal Dynamics of Judaism, « avec le temps, les sionistes les plus
extrémistes et les plus expansionnistes (les jabotinskistes, les likoudniks,
les fondamentalistes religieux et les colons de Cisjordanie) ont fini par
l’emporter, et ils ont continué à pousser dans le sens de l’expansion
territoriale à l’intérieur de [ce qu’ils considèrent être] Israël. Cela a
entraîné des conflits avec les Palestiniens et la certitude, très largement
répandue chez les juifs, qu’Israël est en lui-même menacé. Le résultat, c’est
une conscience de groupe exacerbée parmi les juifs, et, en fin de compte, un
soutien à l’extrémisme sioniste, à l’intérieur de l’ensemble de la
communauté juive organisée des Etats-Unis ».
Les
fanatiques continuent à repousser les limites, contraignant d’autres juifs,
soit à adopter leur agenda politique, soit à cesser de faire partie de la
communauté juive. De manière sinistre, Netanyahu promet, s’il est élu, qu’une de
ses toutes premières priorités consistera à « harceler l’administration
américaine afin de la contraindre à faire cesser la menace » que représente,
pour Israël, le programme nucléaire iranien.
Mentionnons
incidemment qu’E. Michael Jones (dans The Jewish Revolutionary Spirit and
Its Effects on History, p. 42 et suivantes) a extrapolé cette problématique
au monde antique. Il montre la manière dont la communauté juive était poussée
au fanatisme par les Zélotes, qui expulsèrent les disciples de Jésus de la
synagogue, et adoptèrent une voie révolutionnaire catastrophique contre Rome,
qui aboutit, en fin de compte, à leurs défaites de l’an 70 et de 135 après J.C.
Un
bon exemple de la schizophrénie décrite par Friedmann est donné par le fait
qu’environ 80 % des juifs américains ont voté Obama, mais qu’environ le même
pourcentage rend le Hamas responsable de l’escalade de la violence et considère
« appropriée » la réaction israélienne. Les résultats de ce sondage sur
l’invasion de Gaza ont été fièrement annoncés par Abraham Foxman, de
l’Anti-Defamation League, une organisation qui est l’une des principales forces
faisant la promotion d’une Amérique post-européenne. Ainsi, la gauche juive est
un des piliers de l’Amérique multiculturelle, mais elle soutient mordicus le
sionisme raciste, en Israël…
C’est
cette même schizophrénie qui était à l’œuvre lors d’une récente prestation, au Hammer
Museum de Los Angeles, de Chris Hedges et de Mark Potok, du Southern
Poverty Law Center. Au programme, il y avait les habituels hommes de paille
de la communauté juive organisée : des fondamentalistes chrétiens, des
skinheads, David Duke, et (je suis fier de le préciser) (la revue) The
Occidental Quarterly. Dans un commentaire à propos de l’alliance entre les
conservateurs chrétiens et les sionistes, une personne, dans l’assistance, a
mentionné (suscitant des applaudissements vite étouffés) qu’il y a eu des
fascistes juifs ».. Mais le modérateur, Ian Masters, a sauvé la situation en
affirmant que « la grande majorité des juifs américains sont laïcs et
progressistes » - un commentaire qui a suscité beaucoup d’applaudissements,
sans doute car il a réussi à convaincre (à tort) les nombreux juifs, dans
l’auditoire, sur le fait qu’ils n’étaient pas comme CES juifs-là. De son
côté, Potok, ce guerrier acharné contre l’Amérique blanche, a exprimé son
soutien à ce qu’il considère être un Israël assiégé, à la veille de connaître
l’apocalypse du fait des Arabes.
Il
s’agit donc bien de schizophrénie.
Les hommes (et les femmes…) politiques qui gouvernent Israël
sont, quoi qu’il en soit, plus racistes et nationalistes que qui que ce soit, y
compris de très loin, sur l’horizon de la vie politique américaine ou
européenne. Comme le note Avnery : « Dans n’importe quel autre pays, le
programme de Lieberman/Netanyahou serait qualifié de fasciste, sans guillemets.
Nulle part, dans le monde occidental, on ne trouve un seul parti politique
important qui oserait proférer une telle exigence [à savoir, destituer les
Arabes israéliens de la nationalité israélienne]. Les néofascistes, en Suisse
et en Hollande, veulent expulser les étrangers. Mais ils n’envisagent
certainement pas d’annuler la citoyenneté (suisse, ou néerlandaise) des gens
nés dans le pays…
Quand
Joerg Haider avait été nommé ministre, en Autriche, Israël avait rappelé son
ambassadeur à Vienne, afin de protester. Mais, comparé à Lieberman, Haider
était un progressiste invétéré, comme c’est, aussi, le cas de Jean-Marie Le
Pen.
Il y
a une version pessimiste : le fascisme est désormais un acteur sérieux dans la
vie publique israélienne. Les trois principaux partis politiques l’ont
désormais légitimé. Ce phénomène doit être stoppé, avant qu’il ne soit trop
tard.
Kevin MacDonald
professeur de psychologie à l’Université Long Beach, de l’Etat de Californie].
professeur de psychologie à l’Université Long Beach, de l’Etat de Californie].
10
février 2009
Source : Alter Info
NOTES d’Hannibal
Genséric
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSERIC
Selon
RépondreSupprimerLa ponérologie politique
étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques
Dr. Andrzej M. Łobaczewski , ISBN978-2-916721-12-5 Édition 2006 Pilule Rouge, les JUIFS sont de très loin la communauté la plus SCHIZOÏDE avec 3 %.
LA SCHIZOÏDIE y est définie.
Cette communauté étant racialement fragmentée, c'est bien son éducation et, au final, ses bases "religieuses" qui déterminent sa SCHIZOÏDIE endémique.
Certains morceaux de la Kabbale ou du Talmud sont d'ailleurs des schémas 100% Schizoïdes. Ceci expliquant cela.
Or la schizoïdie est, avec la psychopathie essentielle ( il n' a pas d'étude communautaire spécifique de cette dernière) l'une des principales sources de la PONEROCRATIE ( kaki-cratie si vous préférez).