Un « survivant d’Auschwitz »
admet avoir menti au sujet de tout pour « garder vivant le souvenir » de
l’holocauste. Joseph Hirt a déclaré avoir tout inventé
de l’histoire selon laquelle jeune enfant il aurait été envoyé dans le camp
d’Auschwitz où il aurait rencontré le médecin nazi Josef Mengele, cela pour « garder vivant le souvenir
» de l’Holocauste.
Patrick
Balkany évoque lui aussi l'holocauste auquel aurait survécu son
père, pour exiger de la justice française de le laisser tranquille, arguant du
fait que, juste après la guerre, son père, un juif hogrois (genre Sarkozy ou Soros) aurait fait fortune grâce au marché noir, à une époque où les goys français crevaient la dalle.
Un homme de
Pennsylvanie qui a prétendu pendant des années s’être échappé d’Auschwitz,
avoir rencontré la star de l’athlétisme Jesse Owens et le médecin nazi Josef Mengele,
a avoué vendredi qu’il avait tout inventé.
« Je vous écris
aujourd’hui pour m’excuser publiquement du mal que j’ai causé à quiconque parce
que je me suis inséré dans les descriptions de la vie à Auschwitz », a écrit
Joseph Hirt, 86 ans, dans une lettre envoyée cette semaine à son journal local,
LNP.
« Je n’y étais pas
prisonnier. Je n’avais pas l’intention d’atténuer ou d’éclipser les événements
qui s’y sont vraiment produits en prétendant faussement avoir été
personnellement impliqués. »
« J’avais tort. Je
demande pardon », a-t-il ajouté. « J’ai décidé à ce moment-là de faire tout ce
qui était en mon pouvoir pour empêcher la perte de la vérité sur la vie (et la
mort) en temps de guerre à Auschwitz. »
Pendant des années, M. Hirt
a prononcé des discours publics dans des écoles partout aux Etats-Unis au sujet
de son expérience de la Seconde Guerre mondiale, y compris la fuite de sa
famille juive de Pologne à Belgrade.
Mais il a aussi dit aux
gens qu’il avait été arrêté par les nazis, envoyé au camp de concentration
d’Auschwitz et rencontré Mengele, le médecin SS qui torturait les prisonniers
du camp de concentration.
Hirt a prétendu s’être
échappé sous une clôture électrique au camp.
Il a ajouté un prologue
et un épilogue extraordinaires à l’histoire, disant qu’il a vu Adolf Hitler
tourner le dos à Jesse Owens aux Jeux olympiques de Berlin en 1936 et qu’il a
rencontré Eleanor Roosevelt et Owens après son arrivée aux Etats-Unis.
Plus tôt cette année,
Andrew Reid, professeur d’histoire à New York, s’est méfié de l’histoire de
Hirt et a écrit une réfutation de nombreux points de Hirt.
Les noms des victimes
et des survivants des camps de concentration sont accessibles au public, et il
n’existe aucune trace de Hirt à Auschwitz ou ailleurs.
Hirt (montrant son faux
tatouage sur la photo ci-dessus) a admis dans sa lettre qu’il avait tatoué le
numéro de camp du survivant d’Auschwitz Primo Levi, l’auteur et chimiste
reconnu, sur son avant-bras gauche :
« En aucun cas une
tentative de prendre son identité, mais un effort pour incorporer son symbole
comme un moyen de se souvenir de lui. »
Reid a également
constaté que l’histoire de l’évasion de Hirt ne correspondait pas aux dossiers
du camp, que Mengele n’est arrivé au camp qu’après l’évasion présumée, et
d’autres mensonges, erreurs et revendications farfelues dans le récit de Hirt.
C’était un garçon
polonais de six ans et il était extraordinairement peu probable qu’il
s’approche d’Hitler aux Jeux olympiques, par exemple, et le biographe d’Owens a
découvert que le rebut était probablement une invention, peut-être associée à
l’histoire d’un autre sprinter noir.
Hirt n’est pas le
premier à fabriquer ou à exagérer une histoire sur l’Holocauste. Herman
Rosenblat, un survivant polonais, a embelli ses mémoires de 1993 et en a
composé quelques parties entièrement.
A l’époque, l’historien
Ken Waltzer écrivait dans la Nouvelle République qu’il était alarmé par la
rapidité avec laquelle les gens acceptaient l’histoire.
Source :
http://plumenclume.org/blog/452-allo-madame-shoah
Holocauste business
« Monsieur le Président, j’ai horreur de la corruption ! Je suis croyant ! » |
Lors de son récent procès actuel pour corruption et autres
malversations, Patrick Balkany a sorti de sa poche quelques notes.
Il a souhaité faire une petite explication
préliminaire. Il déroule son récit qui est l’histoire de son père, Guyla
Balkany. « Un Hongrois qui a fui le nazisme
», commence-t-il. Résistant
puis déporté, son père aurait ensuite fait
fortune à la sortie de la guerre en s’associant avec un autre Hongrois « pour
la vente du matériel américain du camp Philipp Morris du Havre ».
Selon lui, une partie
des fonds provenant de la vente du matériel militaire aurait été transférée en
Suisse par son père, l’autre lui servant à monter des magasins de prêt à
porter. « On est issus, ma femme et moi, de familles riches, martèle le maire
de Levallois. Pour vous dire qu’on ne fait pas de la politique pour gagner de
l’argent »… Balkany veut dire que le fisc n’a pas à vérifier d’où provient sa fortune, il se considère intouchable en
raison de l’holocauste, ça sert
aussi à ça, la Shoah.
Puis l’autre manie de
son père, « c’était comme ça à l’époque, à la sortie de la guerre », était
celle « de tous les Français, qui ont toujours eu un bas de laine sous le
matelas » : le goût pour les espèces et les … lingots d’or, le tout planqué en Suisse. « C’est petit un
lingot, détaille Patrick Balkany. Et c’est anonyme. Le coffre de mon père en
contenait beaucoup. Ça valait 5.500 francs pendant longtemps et aujourd’hui,
dans les 30.000 euros ». Donc les espèces, les billets de 500 euros retrouvés
jusque dans ses peignoirs dans les années 2010, proviendraient à l’entendre des
lingots familiaux… « Je vous le dis, M. le président, semble presque s’excuser
Patrick Balkany, les espèces il fallait bien les dépenser ».
La salle rit une
nouvelle fois. Elle est remplie à craquer de goys antisémites !
De simples bungalows:
De misérables tentes:
Ube mini villa à Marrakech :
Hannibal GENSÉRIC
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