Rome, 1231. Afin de démasquer et condamner l’hérésie, le pape Grégoire IX
publie la bulle Excommunicamus, donnant ainsi
naissance au premier tribunal de l’Inquisition, obscur « bras armé »
de l’Église. Prévoyant la détention ou la peine de mort à l’encontre des
hérétiques, la sainte institution est dirigée par des « grands
inquisiteurs », exclusivement dominicains ou franciscains.
En 1478, Isabelle de Castille et son époux Ferdinand d’Aragon, dont le
mariage a été arrangé dans l’ombre par Tomas de Torquemada,
futur grand inquisiteur, obtiennent du pape Sixte IV l’approbation de
l’établissement d’une inquisition en Espagne, dont les victimes ciblées sont
les juifs et les musulmans.
En 2019, les grands inquisiteurs (appelés lobby juifs) qui, bien que ne représentant que moins de 5% de la population, contrôlent les
principaux pays chrétiens (USA, U.E., Russie), imposent à ces derniers
l’adoption dans la loi de leur nouvelle définition de l’antisémitisme étendue
à l’antisionisme. C'est la Nouvelle Inquisition, dont les cibles sont les goyim, une revanche historique contre l'Inquisition catholique d'il y a 5 siècles.
La nouvelle
définition de l’antisémitisme « englobe
les manifestations de haine à l’égard de l’Etat d’Israël ». Or, selon un
collectif de 127 intellectuels juifs, le texte est « hautement problématique
» car il « assimile (...) l’antisionisme à l’antisémitisme ». «
De nombreuses victimes de l’Holocauste étaient antisionistes »,
rappelle-t-il dans une tribune au Monde.
La nouvelle Inquisition
par Jacques RICHAUD
par Jacques RICHAUD
mercredi 20 août 2008
La nouvelle
Inquisition : le sionisme impose ses lois, ses sanctions et ses silences
en France. Une nouvelle victime des réseaux d’influence sioniste qui tentent
imposer leurs lois dans notre République vient de tomber, Richard Labévière et
vous n’en avez rien su.
Certains
voudraient constituer le corps "vertueux" des défenseurs de la
"Liberté d’expression", mais représentent en réalité la nouvelle Pravda
qui décide quelle "vérité" EST vérité et qui a droit d’exprimer
opinion dans ce pays sans risquer dénonciation infamante, menace ou sanction.
Ce réseau d’intrigue ne défend qu’une seule cause qui est celle des intérêts du sionisme le plus
radical.
Les
journalistes, comme Richard Labévière qui vient d’être licencié de RFI, sont
les premières victimes de cette nouvelle Inquisition qui frappe aussi d’autres
intellectuels dès lors qu’ils critiquent la politique de l’Etat d’Israël ou même
seulement apportent des informations qui permettent de mieux comprendre la
vraie nature du sionisme.
Malédiction
sur ceux-là immédiatement taxés
d’antisémitisme comme d’autres furent jadis taxés d’apostasie ou d’hérésie
jusqu’à mériter la mise au bûcher après la torture dont la forme moderne est représentée par la
mise au ban de l’infamie, les procédures judiciaires abusives et le
harcèlement éternel de ceux dont on attend qu’ils fassent leur autocritique ou
renoncent à la vie publique pour prix d’une tranquillité qui leur serait sinon
refusée avec un acharnement sans limite.
Que ces
nouveaux inquisiteurs soient tolérés (imposés et
promus en 2019) par les
plus hautes autorités du pouvoir exécutif, législatif et judiciaire peut nous
inquiéter sur l’indépendance même de ce pays et sur l’influence qu’il peut
subir dans ses choix en politique étrangère. Que ces
nouveaux inquisiteurs au service du sionisme ne soient pas tous
d’une origine communautaire, que d’autres revendiquent ouvertement peut aussi
nous inquiéter sur la présence, sur notre propre sol, d’un courant qui
outre-Atlantique forme la frange néoconservatrice-sioniste dont nul ne songe à
nier l’existence ni le rôle qu’elle a pu jouer dans les orientations politiques
guerrières de l’Empire américain !
… Il s’agit
d’une stratégie politique globale visant à préparer l’opinion à une adhésion
sans limite aux théories du "choc des civilisations" et au ralliement
avec la frange la plus belliqueuse de cette idéologie qui nous prépare un
siècle de sang et de terreur, pas seulement au Moyen-Orient, en réplique à des
actes issus de minorités le plus souvent non-étatiques dont la violence
insupportable ne peut être niée, mais il nous est demandé d’accréditer les
confusions, les amalgames et les mensonges qui désignent déjà comme
"terroriste" tous ceux sur la planète qui songent seulement "à
se défendre" contre nos prétentions dominatrices.
On se
souvient comment en 2003 fut stigmatisé Pascal Boniface directeur de l’IRIS
(Institut des relations internationales et stratégiques) pour avoir osé écrire
un essai, Est-il permis de critiquer Israël ? (2), succédant à une
note sur le même sujet rédigée en interne pour le Parti socialiste en 2001 (3).
Il n’est pas inutile de rappeler que cet épisode déboucha sur son éviction du
Parti socialiste dont la bienveillance entretenue des représentants de la
communauté juive se proclamant eux-mêmes soutien inconditionnel d’Israël
semblait électoralement stratégique, même si cette allégeance devait trouver
plus tard une sanction cinglante….
Cette
affaire exemplaire, car les données du problème y étaient explicites, n’a pas
été la seule. Chacun se souvient des procédures, menaces et invectives qui ont
souillé les personnes comme Edgar Morin (7-8-9), Daniel Mermet (10-11) ou
Charles Enderlin (12) pour n’évoquer que les plus médiatisés. Mais il y eut
aussi Bruno Guigue (13) et le dernier en date des victimes de cette nouvelle
Inquisition est le dessinateur Siné (14).
Il n’est pas
même utile de rappeler que ces mêmes vertueux défenseurs de "vérité"
font presque tous corps défensifs autour des islamophobes déclarés comme Robert
Redeker (15), démontrant si cela était encore nécessaire que leur combat n’est
pas mené au nom des libertés, mais au nom du choc des civilisations.
Ces
événements qui peuvent sembler d’une importance factuelle dérisoire
représentent en réalité des faits d’une importance majeure. Ils nous révèlent
un glissement de nos perceptions qui nous fait banaliser l’intolérance. La
crainte de l’inquisiteur contribue à faire accepter l’Inquisition.
La République des censeurs
Publié le 4 mars 2017 par François Roby
Publié le 4 mars 2017 par François Roby
Petit livre de trois chapitres ( I : Liberté d’expression et “incitations à
la haine” ; II : La “négation de l’histoire” et les lois “mémorielles” ; III :
Misère de l’antiracisme), cet ouvrage
est une démonstration par l’absurde réjouissante introduite par quelques
rappels qui devraient nous sembler évidents, mais visiblement ne le sont plus,
comme cette citation de Rosa Luxemburg : “La liberté est toujours la
liberté de celui qui pense autrement”. Bricmont nous rappelle également que
l’emprisonnement pour délit
d’opinion existe bel et bien, aujourd’hui en France, de même que la
mise au pilon d’ouvrages pour la même raison. Pas besoin d’aller en Corée
du Nord pour cela. Et pourtant l’article 11 de la Déclaration des
droits de l’homme et du citoyen de 1789 stipule, comme nous le
rappelle l’auteur, que “La libre communication des pensées et des opinions
est un des droits les plus précieux de l’Homme“…
Le premier chapitre, Liberté d’expression et “incitations à la
haine”, démontre que le règne de l’arbitraire commence là où des définitions
floues prétendent fonder le Droit, comme avec la loi Pleven de 1972
introduisant cette fameuse notion d’ “incitation à la haine”, invoquée de façon
très libre et opportuniste par des personnes ou associations qui elles-mêmes se
rendent souvent coupables de stigmatisation envers certaines catégories de
population mais qui, étant du côté du manche, n’ont rien à craindre du bâton
qu’elles ont contribué à tailler pour battre les autres. Citons Jean Bricmont
(p. 19) :
“Un des arguments les plus fondamentaux en faveur de la liberté
d’expression est que, si l’on peut définir assez précisément des actions
illégales, la pensée humaine est bien trop souple pour que l’on puisse
caractériser des pensées comme illégales tout en préservant ce principe
d’égalité.”
Bref, avec “l’incitation à la haine”, le crime
de pensée est né, comme dans l’Oceania de 1984. En prélude au crime
d’arrière-pensée, lorsqu’on prête aux accusés des pensées qu’ils n’ont même pas
exprimées explicitement1. Et comme la loi
reconnaît à des associations le droit de se porter partie civile lors de
procès, c’est un boulevard qui est ouvert à la persécution – sous de nobles
prétextes, bien évidemment – des “déviants idéologiques” par ces associations
dites “anti-racistes” qui, dans les faits, encouragent le communautarisme. Et
qui, disposant généralement de bons avocats, empochent régulièrement des sommes
rondelettes qui s’ajoutent à leurs subventions et autres
« réparations » prélevées sur le dos des méchants travailleurs goyim.
Le deuxième chapitre, La “négation de l’histoire” et les lois
“mémorielles”, amène Bricmont à nous parler d’une loi pire encore que la précédente selon
lui, la fameuse “loi
Gayssot” de 1990. Visant exclusivement la contestation de certains crimes commis
par les nazis, cette loi établit une hiérarchie des martyres ; et elle le fait
en se basant sur la définition des crimes contre l’humanité établie par le
Tribunal de Nuremberg, un
tribunal de guerre organisé par les vainqueurs pour juger les vaincus,
donc pas spécialement un gage d’objectivité. …
Avec la loi Gayssot, donc, l’extermination des 100 millions d’Amérindiens
compte juridiquement pour du beurre, de même que la disparition totale des populations aborigènes d’Australie,
et la disparition de la moitié (à la louche) de la population autochtone du
Congo lors de la colonisation belge.
Cette sensation d’absurdité se renforce encore à la lecture de “Ce que
l’on peut dire” (à partir de la page 88), où Bricmont nous fait une
sélection d’extraits “autorisés” sur les massacres commis par les nazis envers
les juifs, écrits par des spécialistes au-dessus de tout soupçon
“négationniste”, comme l’historien juif américain Arno Meyer, le
Français Jean-Claude Pressac (pharmacien dont l’ouvrage publié en 1989, Auschwitz.
Technique and operation of the gas chambers, fut financé par la fondation
Beate Klarsfeld), Raul Hilberg, historien auteur de La Destruction des Juifs d’Europe, Yehuda Bauer,
professeur à l’université hébraïque de Jérusalem, Jacques Baynac,
historien français issu d’une famille de résistants, ou encore l’historien
français juif d’origine russe Léon
Poliakov. Extraits qui sont bien “pires” que les écrits ou paroles ayant valu à
certains de longs et humiliants procès… qu’on en juge :
- Selon Arno Mayer, dans La “Solution finale” dans l’histoire (1990, La Découverte), les sources sur les chambres à gaz sont “rares et peu sûres. […] On n’a jusqu’à présent découvert aucun ordre écrit prescrivant nommément les gazages. […] Nos connaissances se fondent, pour l’essentiel, sur les dépositions des fonctionnaires nazis et de leurs exécutants lors des procès de l’après-guerre et sur les souvenirs des survivants et des témoins. Ces sources doivent faire l’objet d’une critique attentive, parce que leur valeur peut dépendre de facteurs subjectifs très complexes […]. Dans leur état actuel, les sources comportent indiscutablement un grand nombre de contradictions, d’obscurités et d’erreurs. […] De 1942 à 1945, à Auschwitz en tout cas, les causes dites “naturelles” tuèrent plus de juifs que les causes “non naturelles.” (pp. 89 et 90)
- Pour Jean-Claude Pressac, qui s’exprime dans une interview donnée en 1995 à Valérie Igounet (p. 93), “Vidal-Naquet [un des ennemis déclarés de Faurisson et des “révisionnistes”, Ndla] peut se comparer à une girouette creuse tournant au vent des publications et de l’actualité parce que lui-même n’a pas entrepris de recherche fondamentale pour étayer ses déclarations péremptoires et moralisatrices.” 2. Pressac affirme encore que “95% du Zyklon-B livré à Auschwitz était employé à l’épouillage et que seuls 5% maximum servait à asphyxier les juifs, au contraire des dires de Raul Hilberg, et […] qu’à Maïdanek, des pièces présentées par les Polonais comme des chambres à gaz homicides n’étaient que des chambres d’épouillage.” 3 Pressac commente encore la “chasse aux nazis” des époux Klarsfeld en disant qu’il “n’accepte pas la démarche qui consiste à traîner devant les tribunaux des vieillards gâteux parce qu’ils ont participé ou furent les auteurs de “crimes contre l’humanité”, définition hautement aléatoire de certaines actions générées par la guerre.” 4 Rappelons qu’il fut financé par la fondation Beate Klarsfeld pour publier en 1989 un ouvrage “anti-négationniste”… Mais Pressac révise également à la baisse de façon drastique le nombre de victimes : “Par rapport à ceux de Hilberg, empruntés aux Polonais, voici les chiffres que j’obtiens. Chelmno : de 80 000 à 85 000 au lieu de 150 000 ; Belzec : de 100 000 à 150 000 au lieu de 550 000 ; Sobibor : de 30 000 à 35 000 au lieu de 200 000 ; Treblinka : de 200 000 à 250 000 au lieu de 750 000 ; Maïdanek : moins de 100 000 au lieu de 360 000… Le coefficient multiplicateur émotionnel varie de 2 à 7 et est en moyenne de 4 à 5. Cette moyenne s’applique parfaitement à Auschwitz.” 5
- Selon Raul Hilberg, qui d’après Jean Bricmont est probablement l’expert le plus respecté sur la question, et que j’avais déjà cité dans cet article en évoquant les “introuvables preuves écrites d’une extermination industrielle planifiée”, la planification du génocide juif reste un mystère quant à son organisation concrète (p. 99) : “Il n’y avait pas de schéma directeur préétabli. Quant à la question de la décision, elle est en partie insoluble : on n’a jamais retrouvé d’ordre signé de la main d’Hitler, sans doute parce qu’un tel document n’a jamais existé. Je suis persuadé que les bureaucraties sont mues par une sorte de structure latente : chaque décision en entraîne une autre, puis une autre, et ainsi de suite, même s’il n’est pas possible de prévoir exactement l’étape suivante.” 6
- Yehuda Bauer, lors d’une conférence internationale à Londres sur le génocide des juifs, déclare (p. 101) : “Le public répète encore continuellement la sotte histoire selon laquelle l’extermination des juifs a été décidée à Wannsee. Wannsee n’a été qu’une étape dans le processus du meurtre de masse.” 7 Pourtant, comme le rappelle Bricmont, cette “sottise”, connue comme telle par les historiens depuis les années 1960, fut utilisée par Benjamin Netanyahou lors d’une intervention à l’Assemblée générale des Nations Unies en 2009, dans un discours face au président iranien Ahmadinejad, comme preuve que la shoah avait bien eu lieu.8 Rappelons au passage que contrairement à une légende tenace propagée par les media dominants et jamais clairement démentie par la suite, Mahmoud Ahmadinejad n’a jamais appelé à “rayer Israël de la carte” , mais simplement souhaité la disparition du régime politique occupant Jérusalem, de la même façon que d’autres ont pu, par le passé, souhaiter par exemple la disparition de l’Union Soviétique.
- Jacques Baynac pose lui clairement le problème de l’appartenance ou non de l’histoire à la grande famille des sciences, en ces termes : “Soit on abandonne le primat de l’archive au profit du témoignage et, dans ce cas, il faut déqualifier l’histoire en tant que science pour la requalifier aussitôt en tant qu’art. Soit on maintient le primat de l’archive et, dans ce cas, il faut reconnaître que le manque de traces entraîne l’incapacité d’établir directement la réalité de l’existence des chambres à gaz homicides.” 9 Je me permettrai d’ajouter (ce que ne fait pas Bricmont) que pour réellement s’assurer de la nature scientifique de l’histoire, il ne suffit pas de maintenir le primat de l’archive : il faut également s’assurer que ces archives ne sont pas des faux, ce qui s’est déjà vu (songeons par exemple aux Protocoles des Sages de Sion) et devient de plus en plus facile à l’ère numérique.
- Terminons cette liste – non exhaustive, Bricmont cite d’autres exemples – par Léon Poliakov, soulignant le contraste entre certaines données historiques et d’autres : “Les archives éventrées du IIIè Reich, les dépositions et récits de ses chefs, nous permettent de reconstituer dans les moindres détails la naissance et le développement de ses plans d’agression, de ses campagnes militaires et de toute la gamme des procédés par lesquels les Nazis entendaient recréer le monde à leur façon. Seule, la campagne d’extermination des juifs reste, en ce qui concerne la conception ainsi que sur bien d’autres aspects essentiels, plongée dans le brouillard. […] En ce qui concerne la conception proprement dite du plan d’extermination totale, les trois ou quatre principaux acteurs sont morts. Aucun document n’est resté, n’a peut-être jamais existé.” 10
Jean Bricmont fait remarquer que tous ces propos, bien qu’infiniment plus
“graves” que ceux qui valurent à leurs auteurs des démêlés avec la justice, et
qui confinaient même souvent à la banalité11, ne furent pas
condamnés, et ne suscitèrent même pas une tentative de condamnation par les
associations se disant “antiracistes”, ce qui tend à prouver que la seule utilisation réelle de la loi est celle d’une arme
politique brandie par des associations dont la “lutte contre le
racisme et l’antisémitisme” n’est que la devanture respectable, mais dont la véritable fonction est la
préservation des intérêts – des privilèges, devrait-on dire vu son peu de
respect du droit international – du régime israélien.
Bricmont rapporte (p. 78) qu’avant même l’adoption de la loi Gayssot, la
journaliste et historienne Annie
Kriegel dénonçait ainsi dans le Figaro “une
obsessionnelle chasse aux sorcières qui présente les mêmes excès que n’importe
quelle chasse de cette nature, en s’abritant derrière des institutions juives
inquiètes pour légitimer une insupportable police juive de la pensée.”
12 C’est en effet un
excellent résumé de cette monstruosité juridique.
VOIR AUSSI :
Liste des personnes persécutées pour avoir contesté les données de l'Holocauste
AVIS AUX LECTEURS
La censure sioniste est extrêmement
sévère contre notre blog. En tête de leurs outils de répression, se trouvent
FACEBOOK et Google. Ainsi, repris par d’autres sites, mes articles sont
facilement référencés par Google, alors que ce dernier reste sourd et aveugle
pour La Cause du Peuple.
Voici une liste des moteurs de recherche alternatifs à Google les plus
connus :
- Bing : Moteur de recherche historique développé par Microsoft depuis 1998 (MSN Search), 2e plus gros moteur de recherche de France après Google
- Yahoo! : Moteur de recherche très complet avec des fonctionnalités uniques
- Qwant : Moteur de recherche français qui mise sur la protection des données depuis 2011
- DuckDuckGo : “Le moteur de recherche qui ne vous espionne pas” d’après ses développeurs
- Ecosia : Un moteur de recherche allemand qui s’engage auprès de la cause environnementale
- StartPage par ixquick : Un métamoteur de recherche web qui protège votre vie privée
- Lilo : Un moteur de recherche philanthropique qui redistribue ses revenus à la guise des internautes
- Quora : Un moteur de questions-réponses enrichi par le système collaboratif
- Xaphir : Moteur de recherche français (racheté par Qwant)
- Yippy : Moteur de recherche qui trie les résultats en dossier selon les besoins de l’internaute
Hannibal GENSÉRIC
Le secret Hannibal !
RépondreSupprimerhttps://www.unz.com/article/vulture-capitalism-is-jewish-capitalism/
L'inquisition catholique espagnole ne ciblait pas les juifs et les musulmans puisque ces derniers, je vous rappelle, avaient été expulsés en 1492. Par contre l'Inquisition ciblaient les conversos, effectivement anciens juifs, anciens musulmans qui avaient, théoriquement, juré fidélité à l'Espagne et au Christ... Conditions siné qua none pour éviter l'expulsion.
RépondreSupprimerUn lecteur
Tout à fait exact. Il s'agit bien des convertis soupçonnés de rester secrètement juif ou musulman.
Supprimer