"Si tu veux frapper quelqu’un,
frappe-le à travers son masque!"
Achab, Moby Dick
C'était très gratifiant de voir la récente attaque de
Tucker Carlson contre les activités du fonds vautour de Paul Singer, Elliot
Associates, un groupe que j'ai présenté pour la première
fois il y a quatre ans. À bien des égards, il est vraiment remarquable que les
fonds vautours comme celui de Singer aient échappé à l'attention des médias
avant cela, surtout quand on considère à quel point ils sont extrêmement
nuisibles et exploiteurs. De nombreux pays sont désormais très endettés envers
des groupes comme Elliot Associates et, comme l’illustre très clairement
le Tucker, leur portée s’est maintenant étendue au cœur même des petites villes
américaines. Mettre en lumière la propagation de ce virus est certainement une
action bienvenue. Je crois fermement,
cependant, que le problème présenté par ces cabalistes [1], ces de financiers exploiteurs, ne sera
résolu que si leur véritable nature est pleinement discernée.
Jusqu'à présent,
la terminologie descriptive employée pour discuter de leurs activités a tourné
uniquement autour de la nature piégeuse et parasitaire de leurs activités.
Elliot Associates a donc été décrit comme un exemple par excellence d'un
«fonds vautour» pratiquant le «capitalisme vautour». Mais ces fonds ne sont pas
gérés par des oiseaux charognards. Ils sont exploités presque exclusivement par des Juifs. Dans
l'essai suivant, nous examinons les «fonds vautours» les plus importants et les
plus influents, afin d'évaluer leur leadership, leur éthique, leurs pratiques
financières et la manière dont ils diffusent leur richesse douteusement acquise. Je veux que
nous mettions de côté des métaphores colorées. Je veux qu'on frappe à travers
le masque.
Qui sont les
vautours?
Il est communément admis que les fonds
vautours mondiaux les plus importants sont Elliot Management, Cerberus, FG Hemisphere, Autonomy
Capital, Baupost Group, Canyon Capital Advisors, Monarch Alternative Capital,
GoldenTree Asset Management, Aurelius Capital Management, OakTree Capital,
Fundamental Advisors et Tilden Park Investment Master Fund LP.
Les noms de ces groupes sont très
intéressants, étant soit indescriptibles, soit évoquant de vagues esquisses
d'origines anglo-saxonnes ou rurales / pastorales (notez la prévalence du
chêne, des arbres, des parcs, des canyons, des monarques ou l'utilisation de
noms comme Aurelius et Elliot ). Il s'agit de la même tactique employée par le
juif Jordan
Belfort, le «loup de Wall Street», qui a exploité plusieurs fraudes
majeures sous le nom commercial Stratton Oakmont.
Ces noms sont des masques. Ils sont conçus pour inspirer et cultiver la
confiance et cacher l'arrière-plan réel des différents groupes de financiers. Aucun de ces groupes n'a des
origines anglo-saxonnes ou vénérables. Aucun n'est basé dans des
idylles rurales.
Tous les fonds vautours
cités ci-dessus ont été fondés et continuent d'être gérés par des juifs
ethnocentriques, mondialistes et urbains.
Un examen rapide de chacun de leurs sites
Web révèle que leurs fondateurs et personnalités centrales sont les suivants.
- Elliot Management — Paul Singer, Zion Shohet, Jesse Cohn, Stephen Taub, Elliot Greenberg et Richard Zabel
- Cerberus — Stephen Feinberg, Lee Millstein, Jeffrey Lomasky, Seth Plattus, Joshua Weintraub, Daniel Wolf, David Teitelbaum
- FG Hemisphere — Peter Grossman
- Autonomy Capital — Derek Goodman
- Baupost Group — Seth Klarman, Jordan Baruch, Isaac Auerbach
- Canyon Capital Advisors — Joshua Friedman, Mitchell Julis
- Monarch Alternative Capital — Andrew Herenstein, Michael Weinstock
- GoldenTree Asset Management — Steven Tananbaum, Steven Shapiro
- Aurelius Capital Management — Mark Brodsky, Samuel Rubin, Eleazer Klein, Jason Kaplan
- OakTree Capital — Howard Marks, Bruce Karsh, Jay Wintrob, John Frank, Sheldon Stone
- Fundamental Advisors — Laurence Gottlieb, Jonathan Stern
- Tilden Park Investment Master Fund LP — Josh Birnbaum, Sam Alcoff
Le fait que tous ces fonds vautours,
largement reconnus comme les plus influents et les plus prédateurs, soient détenus et exploités par des
Juifs est remarquable en soi, en particulier dans un contexte
contemporain dans lequel nous sommes constamment bombardés par la suggestion que les Juifs n'ont pas de
relation spéciale avec l'argent ou l'usure, et que toute idée de ce
genre est un exemple de préjugé basé sur l’ignorance. Cependant, il est
également remarquable que la représentation juive sature également le conseil
d'administration de ces entreprises, ce qui suggère que leurs débuts et leurs
méthodes de promotion et de fonctionnement internes reposent fortement sur les origines ethniques communautaires et la cohésion religieuse et plus généralement, sociales
(malgré cela, on nous bassine que ces juifs ne sont pas racistes).
En tant que tels, ces fonds juifs offrent une excellente occasion d'examiner
leurs activités financières et politiques en tant qu'expressions de la juiverie,
et peuvent ainsi être placés dans le cadre plus large de la stratégie
d'évolution de la juiverie et de la longue trajectoire historique des relations
judéo-goyim.
Comment se nourrissent-ils
En mai 2018, Porto Rico a déclaré une
forme de faillite après s'être endetté de plus de 74,8 milliards de dollars, dont plus de 34 milliards de dollars en intérêts et en frais. La
dette était due à tous les capitalistes juifs susmentionnés, à l'exception du groupe Cerberus
de Stephen Feinberg. Afin de commencer les paiements, le gouvernement portoricain
avait mis en place une politique d'austérité budgétaire, fermant les écoles et augmentant les
factures de services publics, mais lorsque l'ouragan Maria a
frappé l'île en septembre 2017, Porto Rico a été contraint d'arrêter les
transferts à ses créanciers juifs. Cela a provoqué une tentative agressive des
fonds juifs de saisir les actifs de cette île qui souffrait alors d'une panne de courant
à 80%, en plus de l'ajout d'autres intérêts et frais. Des protestations ont
éclaté dans plusieurs villes américaines pour demander l'annulation de cette
dette. Après un bref arrêt à Porto Rico fin 2018, Donald Trump a flatté
ce sentiment lorsqu'il a déclaré à Fox News: "Ils doivent beaucoup
d'argent à vos amis de Wall Street, et nous allons devoir effacer cela."
Mais la déclaration de Trump, comme toutes ses déclarations, ne voulait
évidemment rien dire et ne l’engageait à rien [2].
En effet, le lendemain, le directeur du bureau du budget de la Maison Blanche, Mick
Mulvaney, a déclaré aux journalistes: "Je pense que ce que vous
avez entendu le président dire, c'est que Porto Rico va devoir trouver un moyen
de résoudre son problème de dette". En d'autres termes, Porto Rico
devra trouver un moyen de payer ses prédateurs Juifs.
Le revirement de Trump n'est guère
surprenant, étant donné que Trump
est considéré comme fanatiquement favorable à la puissance financière juive.
Lorsqu'il parlait de «vos amis à Wall Street», il voulait vraiment dire ses amis à Wall Street. L'un de ses alliés les
plus proches est Stephen Feinberg, fondateur et PDG de Cerberus,
un fonds vautour et profiteur de guerre, qui a maintenant accumulé plus de 1,5 milliard de dollars de dette irlandaise, laissant le pays sujet à une «vague de reprises de possession de maison» à une échelle jamais vue auparavant, car les traders hypothécaires juifs
derrière Quicken Loans (Daniel Gilbert) et Ameriquest (Roland
Arnall) ont auparavant chassé des milliers d'Américains de leur maison, en les tranformant en sans-abris. Feinberg a également été associé à des expulsions
massives en Espagne, ce qui a amené un collectif d'anarchistes de Barcelone
à les qualifier de «méga parasite juif» en charge du «fonds de vautour le plus dégueulasse du monde».
En mai 2018, Trump a nommé Feinberg président de son conseil consultatif pour le Renseignement et l'une des raisons de la lenteur du retrait
de Trump d'Afghanistan a été le fait que la société de Feinberg, DynCorp , a bénéficié durant plusieurs années de contrats de défense
gouvernementaux lucratifs pour former la police afghane et fournir des services
auxiliaires à l'armée.
Mais l'association
de Trump avec les vautours juifs va bien au-delà de Feinberg. Un article récent du New
York Post a déclaré: «Les juifs orthodoxes
ouvrent leurs portefeuilles pour Trump en 2020». C'est un
résultat prévisible de la période 2016-2020, une époque qui pourrait être
nettement caractérisée comme la façon dont
les juifs ont appris à cesser de s'inquiéter tout en adorant le DonaldSion.
Les financiers juifs ouvrent leurs portefeuilles à Trump parce qu'il est
maintenant clair qu'il n'a absolument pas tenu ses promesses en matière
d'immigration de masse, tout en renforçant son engagement envers le sionisme et
les projets juifs socialement destructeurs comme la promotion de
l'homosexualité, la pédophilie [3] et la pornographie
[3]. Ces actions, couplées à sa décision de commuer la peine de 27 ans infligée au patron hassidique de la viande Sholom Rubashkin pour fraude bancaire et blanchiment d'argent
en 2017 [4], ont envoyé un message à
la finance juive que Trump est une personne avec qui on peut faire affaire sur le dos de ses électeurs goy. Étant donné
que ces exploiteurs mondialistes ne connaissant aucune loyauté que celle envers leur propre tribu juive et
ses intérêts, il y a une dérive importante du méga-argent juif distribué
entre les partis démocrate et républicain. Le New York Post rapporte,
par exemple, que lorsque Trump a assisté à un déjeuner de 25.000 $ par couple
en novembre dans un hôtel de Midtown, où 400 Juifs friqués ont collecté au
moins 4 millions de dollars pour l'America First [!] SuperPAC. L'organisateur
du déjeuner Kelly Sadler , a déclaré aux journalistes: «Nous avons
passé au crible toutes les personnes présentes et nous avons été surpris de
voir combien certains d’entre nous ont donné auparavant aux démocrates, mais
jamais à un républicain. Les gens se tenaient debout sur leurs chaises en
scandant… huit ans de plus. »
La réalité, bien sûr, est que ces gens ne sont ni Démocrates ni Républicains,
mais Juifs, prêts à mettre leur argent dans la direction du vent qui souffle
pour les intérêts juifs.
L'effondrement de Porto Rico sous la
dette des prédateurs financiers juifs n'est certainement pas nouveau. Le Congo, la Zambia, le Liberia, l’Argentina, le Perou, le Panama, l’ Equateur, le Vietnam, la Pologne, et l’Irlande ne sont que quelques-uns des
pays qui sont tombés entre les serres voraces des Juifs énumérés ci-dessus. Et ces mêmes prédateurs
surveillent maintenant de près la
Grèce et l'Inde
. La méthodologie utilisée pour acquérir un tel effet de levier est aussi
simple qu'impitoyable. À son niveau le plus élémentaire, le «capitalisme vautour» n'est en
réalité qu'une combinaison
de la relation intense et continue entre Juifs et usure et de
l'implication juive dans l’impôt agricole médiéval. Sur cette
ancienne pratique, Salo Baron
écrit dans Histoire économique des juifs (Economic History of the Jews) que les spéculateurs juifs payaient une somme
forfaitaire au trésor avant de se tourner impitoyablement vers la paysannerie
pour obtenir "des surplus considérables ... si besoin est, par les
méthodes les plus impitoyables". [1] Les
activités des fonds vautours juifs sont essentiellement de la même nature :
une spéculation sur la dette, sauf qu'ici le commerce de l'usure est
effectué à l'échelle mondiale, dans laquelle les paysans féodaux d'autrefois sont
maintenant remplacés par des nations entières. Les Juifs riches mettent en
commun leurs ressources, achètent des dettes, ajoutent des frais et des
intérêts astronomiques, et lorsque l'inévitable défaut se produit, ils se
livrent à une activité juridique agressive pour saisir des actifs, entraînant
des vagues de pertes d'emplois et de reprises de possession de domiciles. [Ils sont soutenus en cela par les menaces de sanctions
américaines, qui, depuis l’avènement de DonaldSion, frappent indifféremment les
"amis" et les ennemis de l’USraël]
Ce type de prédation est si pernicieux et
moralement pervers que les gouvernements belge
et britannique
ont pris des mesures pour interdire à ces entreprises juives d'utiliser leur
système judiciaire pour poursuivre la dette en souffrance des nations pauvres. Tucker
Carlson, commentant la prédation de Paul Singer et la ruine de la ville de
Sidney au Nebraska, a déclaré:
Cela ne pourrait pas être plus vilain ou plus destructeur. Alors
pourquoi est-ce cela est encore autorisé aux États-Unis? La réponse courte: Parce
que des gens comme Paul Singer ont une énorme influence sur notre processus
politique. Singer lui-même était le deuxième plus grand donateur du Parti
républicain en 2016. Il a donné des millions à un super-PAC qui soutient les
sénateurs républicains. Vous n'avez peut-être jamais entendu parler de Paul
Singer – dont le nom évoque "maître chanteur" - mais à Washington, il
est une rock star célèbre. Et c'est pourquoi il paie presque certainement un
taux d'imposition inférieur à celui d’un simple pompier. Alors, si vous vous
demandez encore si notre système est truqué. La réponse est OUI.
Mis à part les dons politiques directs,
ces financiers juifs échappent également à tout examen en se cachant derrière
un masque de rhétorique antisocialiste simpliste qui est courante au sein de la
droite américaine, en particulier chez les personnes âgées, chrétiennes et
pro-sionistes. Rod Dreher, dans un commentaire
sur l'article de Carlson dans American Conservative, souligne que Singer a prononcé
un discours en mai 2019 contre la «menace croissante du socialisme au sein
du Parti démocrate». Singer a poursuivi: «Ils appellent cela du
socialisme, mais c'est un étatisme de gauche lubrifié par des averses de choses
gratuites promises par des politiciens qui croient que l'argent provient d'une
imprimerie plutôt que des efforts productifs des hommes d'affaires et des
travailleurs. »
Dreher commente:« Les efforts
productifs des hommes d'affaires et des travailleurs »? Cet homme ne manque pas
de culot après ce qu'il a fait au peuple de Sidney. »
Les activités de Singer et des autres
vautours juifs ne sont pas productives et ne sont même pas une forme de travail
ou d’entreprise reconnaissable. Il s'agit d'un parasitisme motivé par la cupidité et
pratiqué à une échelle perversement extravagante et très népotiste. En vérité,
c'est Singer et ses
co-ethniques qui croient que l'argent peut être imprimé sur le dos des
travailleurs productifs, et qui, en fin de compte, croient qu'ils ont le
droit d'être «comblés
par des choses gratuites promises par des politiciens». Singer se
place dans un paradigme infantile destiné à divertir les goyim, celui de la
libre entreprise contre le socialisme, mais, comme le souligne Carlson, "ce
qu’ils font n’a rien à voir avec la libre entreprise que nous connaissons tous."
C'est parce que c'est une entreprise juive - exploitante, inorganique et
attachée à des objectifs sociopolitiques qui n'ont rien à voir avec la liberté
individuelle et la propriété privée. Ce n'est peut-être pas la libre entreprise
dont Carlson a entendu parler, mais c'est clairement la libre entreprise que
les Juifs connaissent - comme l'illustre leur extraordinaire surreprésentation
dans toutes les formes d'exploitation financière et de criminalité en col
blanc.
Le
Talmud, qu'il soit activement étudié ou culturellement absorbé, est leur code
d'éthique et leur programme en matière de fraude, de faillite frauduleuse, de
détournement de fonds, d'usure et d'exploitation financière.[5]
Le capitalisme vautour c’est le
capitalisme juif.
Qui nourrissent-ils ?
La duplicité de Singer est un parfait
exemple de la manière dont la finance juive se présente comme conservatrice
sans rien conserver. En effet, le capitalisme juif peut être considéré comme la
cause profonde de la montée de Conservative Inc., une forme ou une ombre de
politique de droite réduite uniquement à des préoccupations fiscales qui sont
finalement, en elles-mêmes, préjudiciables aux intérêts de la majorité de ceux
qui les encouragent bêtement. L'esprit du capitalisme juif, en fin de compte,
peut être discerné non pas par des blêmes sincères à propos du socialisme et
des affaires, destinés simplement à divertir des patriotes pro sionistes semi-éduqués, mais de
la manière dont les fonds vautours juifs diffusent le produit de leur
parasitisme. Les vrais vautours sont faibles, alors ils se gorgeront de
carcasse et régurgiteront la nourriture pour nourrir leurs petits. Alors,
qui est assis dans les nids des fonds vautours, attendant les restes régurgités
de nations ruinées par les vautours juifs?
Seth Klarman, de Boston (valeur nette de 1,5 milliard de
dollars), qui comme Paul Singer a
déclaré que «la libre entreprise a été bonne pour moi», est un rapace exploiteur
de dettes qui a fait partie intégrante
de l'effondrement financier de Porto Rico, où il a caché une grande partie de
ses activités. derrière une série de sociétés écrans. Les journalistes
d'investigation ont finalement découvert que le groupe Baupost de
Klarman était à l'origine d'une grande partie de l'action judiciaire agressive
visant à presser l'île décimée pour le paiement des obligations. Il est clair
que les Juifs impliqués dans ces entreprises sont très conscients que ce qu’ils
font est mal et qu’ils prennent soin d’éviter de trop porter atteinte à leur
réputation, que ce soit à eux-mêmes ou à leur groupe ethnique. Des journalistes
portoricains, enquêtant sur le dossier de la dette de Klarman, se souviennent
d'avoir tenté de suivre l'une des sociétés écrans (Decagon) jusqu'à Baupost
via un avocat de la société écran (et encore un autre juif) nommé Jeffrey
Katz:
Revenant au fil Ropes & Grey, nous avons identifié plusieurs
avocats qui avaient travaillé avec le groupe Baupost, et l’un d’eux,
Jeffrey Katz, qui - en plus d'avoir travaillé directement
avec Baupost - semblait décrire une relation particulièrement étroite et
de longue date avec un cabinet solide ayant un profil de Baupost sur sa page d'expérience.
… J'ai appelé Katz et il a décroché, à ma grande surprise. Je me suis
identifié, ainsi que mon affiliation à la Public Accountability Initiative,
et lui ai demandé s'il était la bonne personne pour parler de Decagon
Holdings et Baupost. Il a fait une pause, a commencé à répondre, puis après
mûre réflexion, a dit qu'il était en fait en réunion, et que je devrais
rappeler (apparemment, cet avocat de grande puissance prend les appels de
numéros étranges lorsqu'il est en réunions importantes). Comme il me disait de
rappeler, je lui ai de nouveau demandé s'il était la bonne personne à qui
parler de Decagon, et que je ne rappellerais pas s'il ne l'était pas, et il
semblait devenir encore plus énervé. À ce moment-là, il a commencé à trop
parler de la façon dont il était avocat et a des clients, comment je dois
penser que je suis sur une sorte de gros scoop et comment il y avait une
personne debout juste devant lui - littéralement, debout devant lui - alors que
j'insistais grossièrement pour le garder en ligne.
L'une des raisons de ce secret est la
philanthropie juive intensive engagée par Klarman dans le cadre de sa Klarman Family Foundation.
Alors que les écoles portoricaines sont fermées et que les
retraites et les prestations de santé sont réduites, Klarman régurgite
le produit de la spéculation massive sur la dette dans ses «domaines d’intervention»,
notamment «Soutenir
la communauté juive mondiale et Israël». Tout en pillant les trésors des nations
goyim paralysées, Klarman et ses associés exclusivement juifs se sont engagés à
"améliorer la qualité de vie et l'accès aux opportunités pour tous les
citoyens israéliens afin qu'ils puissent bénéficier de la prospérité du pays."
Parmi ceux qui sont dans le nid de
Klarman, leurs becs ouverts pour avaler les intérêts sur la dette portoricaine,
il y a l'American Jewish Committee, le Combined Jewish Philanthropies de
Boston, le Holocaust Memorial Museum, la Honeymoon Israel Foundation,
l'Israel-America Academic Exchange et le Israel Project.
Klarman, comme Singer, a également été un
ardent défenseur de la libéralisation des attitudes envers l'homosexualité, en
donnant 1 million de dollars à un super PAC républicain visant à soutenir les
candidats au mariage pro-gay du GOP en 2014 (Singer a fait un don de 1,75
million de dollars). Klarman, qui contribue
également aux candidats qui soutiennent la réforme de l'immigration, y compris
un chemin vers la citoyenneté pour les immigrants sans papiers, a déclaré: «Le
droit au mariage homosexuel est la plus grande question de droits civiques de
notre temps. Je travaille en tête-à-tête avec des républicains individuels pour
essayer de leur faire réaliser qu'ils sont des Néandertaliens sur cette
question. »
GoldenTree Asset Management de Steven Tananbaum s’est également gavé sur le dos de Porto Rico, en détenant
2,5 milliards de dollars de la dette de l'île. Le Centre de recherche
économique et politique a commenté::
Steven Tananbaum, directeur des
investissements de GoldenTree, a déclaré lors d'une conférence commerciale en
septembre (après l'ouragan Irma, mais avant l'ouragan Maria) qu'il continuait
de considérer les obligations portoricaines comme un investissement attrayant.
GoldenTree est à la tête d'un groupe de détenteurs d'obligations COFINA qui
détient collectivement environ 3,3 milliards de dollars d'obligations. Mais
avec Porto Rico confronté à une crise humanitaire sans précédent, et manquant
de fonds suffisants pour même commencer à rembourser son endettement massif,
ces fonds vautours comptent sur leur capacité à convaincre les politiciens et
les tribunaux de les faire rembourser. Le groupe obligataire COFINA a dépensé 610.
000 $ en lobbying au Congrès au cours des deux dernières années, tandis que
GoldenTree a lui-même versé 64.000
$ en contributions politiques aux candidats fédéraux au cours du cycle 2016.
Pour les fonds vautours
comme GoldenTree, la ruine et la destruction de Porto Rico est encore une autre
opportunité de profits exorbitants.
Qui Tananbaum nourrit-il de ces
bénéfices? Un bref coup d'œil sur les dépenses du Lisa and Steven Tananbaum Charitable Trust révèle une liste relativement courte de bénéficiaires, dont la United
Jewish Appeal Foundation, le Musée des Amis d'American d'Israël, le Jewish
Community Centre, parmi les plus généreusement financés, avec des dons
importants qui vont également aux musées spécialisés dans l'exposition d'art
dégénéré et démoralisant.
À la suite de l'effondrement de la valeur
des actifs irlandais en 2008, des fonds vautours juifs, dont OakTree Capital,
ont contracté la dette hypothécaire pour saisir des dizaines de milliers de
maisons, de centres commerciaux et de services publics irlandais (Cerberus de
Steve Feinberg a pris le contrôle de l'élimination publique des déchets). En
2011, l'Irlande a émergé comme un point chaud pour les actifs immobiliers en
difficulté, après que ses mauvaises banques ont commencé à vendre des prêts qui
étaient autrefois détenus par des institutions financières en difficulté. Ces
prêts ont été rapidement achetés à des prix défiant toute concurrence par les
gestionnaires de fonds juifs, qui ont ensuite agressivement cherché à expulser les résidents
afin de les vendre pour un profit rapide. Michael Byrne, chercheur à la School
of Social Policy de l'University College Dublin, la plus grande université
d'Irlande, commente:
«Les stratégies agressives utilisées par les fonds vautours conduisent à des
tragédies humaines.» Une propriétaire, Anna Flynn, se souvient comment son
hypothèque est tombée entre les mains de Mars Capital, une filiale d'Oaktree
Capital, détenue et exploitée par les juifs de Los Angeles, Howard Marks et
Bruce Karsh. Ils étaient «très, très difficiles à discuter avec eux», a déclaré
Flynn, une mère de quatre enfants. «Tout ce que [Mars] voulait, c'était que
je quitte la maison; ils ne voulaient pas de solution [pour m'assurer de
pouvoir conserver ma maison]. »
Lorsque
Bruce Karsh ne fait pas des Irlandais des sans-abri, qui nourrit-il avec ses
bénéfices? Un bref coup d'œil sur les dépenses de la Karsh Family
Foundation révèle
des millions de dollars de dons à Jewish
Federation, Jewish Community Center, and the United Jewish Fund.
Paul Singer, son fils Gordin et leurs
collègues d'Elliot Associates Zion Shohet, Jesse Cohn, Stephen Taub, Elliot
Greenberg et Richard Zabel, ont une présence dans presque tous les pays et ont un intérêt
dans chaque entreprise que vous connaissez probablement. , des
librairies aux magasins à un dollar. Avec les bénéfices de l'exploitation des plus
démunis de ce monde, ils financent
des campagnes pour l'homosexualité et la migration de masse, stimulent la
politique d’apartheid sioniste, investissent
des millions dans la sécurité des Juifs et
promeuvent des guerres pour Israël. Singer est républicain et
siège au conseil d'administration de la Republican Jewish Coalition. Il
est un ancien membre du conseil d'administration de l'Institut juif pour les
affaires de sécurité nationale, a financé des groupes de recherche
néoconservateurs comme le Middle East Media Research Institute et le Center
for Security Policy, et il est parmi les plus grands bailleurs de fonds de
la Fondation néoconservatrice pour la défense des démocraties. Il était
également lié au groupe de défense de la guerre de destruction de l’Irak, Freedom’s
Watch. Un autre projet clé de Singer était l'Initiative de politique
étrangère (Foreign Policy Initiative FPI), un
groupe de défense basé à Washington DC qui a été fondé en 2009 par plusieurs
personnalités néoconservatrices juives de haut niveau pour promouvoir les
politiques militaristes américaines au Moyen-Orient au nom d'Israël et qui a
reçu son capital de démarrage de Singer.
Bien que Singer était initialement
anti-Trump, et bien que Trump ait une fois attaqué Singer pour sa politique
pro-immigration («Paul Singer représente l'amnistie et il représente
l'immigration illégale versant le pays»), Trump est maintenant essentiellement
financé par trois Juifs - Singer, Bernard Marcus et Sheldon Adelson,
représentant ensemble
plus de 250 millions de dollars en argent politique pro-Trump. En retour, ils veulent la guerre avec l'Iran.
Les employés d'Elliott Management ont été l'une des principales sources de
financement pour la candidature de 2014 du faucon anti iranien le plus franc du
Sénat, le sénateur Tom Cotton (R-AR), qui a exhorté Trump à mener une «frappe
de représailles» contre l'Iran pour avoir soi-disant attaqué deux pétroliers
commerciaux. Ces financiers juifs exploiteurs ont clairement indiqué qu’ils
s’attendaient à une guerre avec l’Iran, et ils font un lobbying acharné et se
préparent à payer le prix fort pour cela. Comme l'a dit un commentateur
politique: «Ces donateurs ont clairement fait connaître leurs préférences
politiques à l'égard de l'Iran. Ils attendent sûrement un retour sur leur
investissement dans le Parti Républicain de Trump. "
Le même modèle est observé à maintes
reprises, illustrant la dure réalité que la prospérité et l'influence du mondialisme
sioniste reposent dans une large mesure sur les prédations des parasites
financiers juifs les plus prospères et les plus impitoyables. Ce
n'est pas une conjecture, une exagération ou une hyperbole. Il s’agit
simplement de percer le masque, de regarder la tête des fonds financiers les plus prédateurs du monde
et de suivre la direction des bénéfices régurgités.
Ne vous y trompez pas, ces cabalistes sont partout et grandissent. Ils
pouvaient être ignorés lorsqu'ils s'attaquaient à de petites nations
lointaines, mais leur intention était toujours de venir pour vous ruiner vous aussi.
Ils sont maintenant à votre porte. Les travailleurs de Sidney, Nebraska
n'avaient probablement aucune idée de ce qu'était un fonds vautour jusqu'à ce
que leurs usines soient fermées et que leurs maisons soient saisies. Ces fonds iront
ensuite dans la prochaine ville. Puis la prochaine. Et une autre après ça. Ils
ne seront JAMAIS arrêtés grâce au soutien brutal de la «libre entreprise», et
ils ne seront pas non plus arrêtés en les appelant simplement «capitalistes
vautours».
Un proverbe tunisien dit : "il n'y a que les putes qui ne sont pas gênées lorsqu'on leur pince les fesses "
Si
tu veux frapper quelqu’un, frappe-le à travers son masque!
Notes
Source
: Vulture Capitalism Is Jewish Capitalism
Par Andrew Joyce • 18/12/ 2019
LES ANNOTATIONS DANS CETTE COULEUR SONT DE H. Genséric
NOTES de H. Genséric
1. Les fonds
vautours sont des extrémistes en apparence isolés...
L’action des
fonds vautours
est fondée sur une dynamique immorale, et ce, à de nombreux titres.
En premier
lieu, dès lors qu’ils cherchent à racheter des obligations souveraines sur le marché secondaire à
des prix très inférieurs à leur valeur faciale (ce qui crée la
« disproportion manifeste » à laquelle la loi belge de 2015 fait
référence.), les fonds
vautours tendront par essence à racheter des obligations souveraines d’un État
en grande difficulté financière. Or, une grande difficulté financière ne
se traduit pas uniquement par des jeux d’écriture sur des comptes et des
bilans, celle-ci est consubstantielle à une crise économique impactant directement la vie de la
population.
Ces
difficultés économiques sont au centre d’une stratégie consciente et
méticuleusement organisée. D’abord, les fonds vautours doivent démontrer leur
détermination, et démontrer qu’il est hors de question de trouver un accord qui tendrait à partager les pertes.
Dans ce rapport de force ils doivent être prêts à avoir un comportement dont
ils savent pertinemment qu’ils pourront bloquer une sortie de crise dans la
mesure où ils refuseront de participer à un accord collectif qui impliquerait
des pertes.
La stratégie
se fonde sur le fait que les autres acteurs auront un comportement plus
raisonnable vis-à-vis de ce qu’on pourrait appeler le bien commun. Les fonds
vautours comptent en réalité sur le fait qu’ils sont précisément les acteurs les
plus immoraux, ceux qui seront capable d’aller au bout, harceler
l’État, affaiblir la position de l’État jusqu’à ce qu’il cède, en pariant que
les autres créanciers ne le feront pas. Les
fonds vautours font le sale boulot que d’autres créanciers ne peuvent pas se
permettre de faire au grand jour
L’acharnement
des fonds vautours à recouvrer leurs créances n’a rien de légitime dans la mesure où
ils se sont consciemment et stratégiquement mis dans la situation de créanciers
à risque... risque qu’ils n’acceptent pas.
2. ... mais
en réalité connectés aux autres acteurs de la finance
Une
caractéristique importante des fonds vautours est qu’ils sont très
majoritairement basés dans les paradis fiscaux
comme les Îles Vierges britanniques (Donegal), les Îles Caïmans (Dart
Management, Kensington international et NML Capital qui sont
deux filiales du même groupe Elliott) ou encore l’État américain du
Delaware (FG Hemisphere).
Leur localisation dans un paradis fiscal leur permet
notamment de cacher l’identité de leurs actionnaires. On arrive là à un point
fondamental : les fonds vautours ne sont pas juste une excroissance
malsaine causée par la rapacité de quelques
spéculateurs, ils viennent bien souvent faire
le sale boulot que d’autres créanciers, comme les grandes banques,
ne peuvent pas se permettre de faire au grand jour, pour des raisons de
publicité. Constatons aussi que le fonds FG Hemisphere a été créé par
deux anciens consultants de Morgan Stanley et Lehman Brothers.
Source :
https://www.cadtm.org/Quelle-est-la-place-des-fonds
Hannibal GENSÉRIC
BRAVO ! POUR BING BIEN SUR...
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