Alors que le FBI et les principaux médias sont obsédés
par la Mafia sicilienne (la Cosa Nostra), une force beaucoup plus puissante et
sinistre existe depuis plus de deux décennies: la mafia juive de Russie "Kasher
Nostra". Pourtant, il n'y a même pas un seul bureau au sein du FBI pour s'occuper de leurs crimes,
qui éclipsent, et de loin, ceux des gangsters italiens en portée, en violence
et en profondeur.
Avant-Propos
Lorsqu'on évoque la mafia, c'est à l'univers de la Sicile que l'on pense en premier lieu. Tout le monde a entendu parler de la mafia sicilienne : c'est la plus médiatisée, celle que l'on voit le plus au cinéma. Au début des années quatre-vingt-dix, après l'effondrement de l'Union soviétique, on nous parlait aussi régulièrement de la mafia russe, de la mafia tchétchène et de la mafia albanaise. La mafia juive, elle, n'existe pas : les médias occidentaux n'en parlent pas. À la radio, à la télévision et dans la grande presse, le silence est total sur cette question. C'est un sujet tabou. À Hollywood, pareillement, la judéité des criminels et des trafiquants n'apparaît presque jamais, non seulement dans les films, mais aussi dans la réalité des innombrables cinéastes pédophiles juifs [1] ; et il n'est guère difficile de comprendre pourquoi. La mafia juive est pourtant sans aucun doute la mafia la plus puissante du monde. La plus dangereuse aussi. Quelques journalistes trop curieux ont déjà été assassinés. Hannibal GENSERIC
Lorsqu'on évoque la mafia, c'est à l'univers de la Sicile que l'on pense en premier lieu. Tout le monde a entendu parler de la mafia sicilienne : c'est la plus médiatisée, celle que l'on voit le plus au cinéma. Au début des années quatre-vingt-dix, après l'effondrement de l'Union soviétique, on nous parlait aussi régulièrement de la mafia russe, de la mafia tchétchène et de la mafia albanaise. La mafia juive, elle, n'existe pas : les médias occidentaux n'en parlent pas. À la radio, à la télévision et dans la grande presse, le silence est total sur cette question. C'est un sujet tabou. À Hollywood, pareillement, la judéité des criminels et des trafiquants n'apparaît presque jamais, non seulement dans les films, mais aussi dans la réalité des innombrables cinéastes pédophiles juifs [1] ; et il n'est guère difficile de comprendre pourquoi. La mafia juive est pourtant sans aucun doute la mafia la plus puissante du monde. La plus dangereuse aussi. Quelques journalistes trop curieux ont déjà été assassinés. Hannibal GENSERIC
Le 28 avril 2002, un hélicoptère militaire s'est
écrasé dans la partie sud de la région de Krasnoïarsk, en Sibérie. À bord se
trouvait un grand dignitaire russe, le général Alexander Lebed, gouverneur de
la région. Lebed a été déclaré mort sur les lieux.
Presque immédiatement, la presse internationale a
accusé un "lourd brouillard" pour l'incident. Cependant, à l'époque,
tous les membres de l'armée russe étaient convaincus que la mort de Lebed
n'était pas un hasard, mais plutôt un autre coup porté par la mafia juive
internationale, une organisation qui contrôlait depuis longtemps la majeure
partie de l'économie russe.
Lebed, probablement l'homme le plus populaire en
Russie à l'époque, allait construire un empire socialiste national - peut-être
avec l'aide chinoise basée sur la richesse pétrolière et minérale massive de la
région. S'il avait réussi, l'histoire du monde aurait pu changer, et le 21ème
siècle serait très différent.
Avant cela, des dizaines d'antisionistes en Russie
avaient été assassinés par des voitures piégées ou d'autres dispositifs, alors qu'aucun de ces cas
n'avait jamais été résolu. Seule une poignée a même été étudiée.
Le fait même que la mafia juive (souvent nommée mafia
"russe") était capable de couvrir complètement ses traces, étant
complètement exclue de tous les reportages entourant l'incident, alors que les
gens ordinaires (en Russie) étaient totalement convaincus de leur complicité , prouve
l'immense force de ce mouvement plutôt nouveau du crime organisé.
La mafia juive n'a rien à voir avec ses prédécesseurs
irlandais ou italiens dans ses opérations américaines ou européennes. Ils sont plus riches, plus
internationaux et beaucoup plus violents et impitoyables. Ils tuent des
enfants. Ils tuent des policiers et leurs familles. Ils tuent qui ils veulent. Il n'y a rien eu de tel
auparavant dans l'histoire du globe. Et ils commencent juste.
Le plus grand révélateur du secret entourant la mafia juive
fut un journaliste du nom de Robert I. Friedman,
qui mourut jeune d'une «maladie tropicale». Il a interviewé les principaux
personnages de ce sous-sol et a découvert leurs cachettes et plans. Après la
publication de son livre sur le sujet, les principaux chefs mafieux ont mis une
prime sur la tête.
Le mafia «russe» sait qu'elle
peut tuer en toute impunité et, compte tenu de leurs relations chaleureuses avec
les agences de renseignement européennes et américaines, leur immunité contre
de véritables poursuites ne fera que s'accentuer. Le travail de Friedman est à
couper le souffle, et cet essai le citera abondamment, en particulier son livre
Red Mafiya: Comment la foule
russe a envahi l'Amérique.
Friedman n'a pas peur d'affirmer l'évidence,
à savoir que toute la mafia «russe» est juive,
sans exception, et qu'elle a utilisé l’expression « mafia russe » comme cache sexe pour détourner la critique et
faire d’une pierre deux coups : épargner les juifs et diaboliser les
Russes.
Ce bouclier, ce cache sexe, leur a permis de grandir
et de prospérer. De plus, Friedman n'a pas non plus peur d'admettre que
les organisations juives à travers le monde, dirigées par l'Anti-Defamation
League, ou ADL, sont les bénéficiaires
des largesses provenant du crime organisé, et que les organisations en question
en sont conscientes. En d'autres termes, le crime organisé juif est considéré comme une partie
acceptable de la vie juive, et les organisations juives ont fait
pression sur les forces de l'ordre pour qu'elles cessent leurs enquêtes sur ce
phénomène, presque toujours avec succès.
La confirmation du sioniste Michael Chertoff, au poste de chef de
la sécurité intérieure, garantit que le crime organisé juif en Amérique ne sera
pas à la merci des nombreuses poursuites qui ont visé la Mafia italienne et les
autres mafias. Les racines du crime organisé juif en Russie, dit-on, remontent aux
temps tsaristes. Les syndicats du crime juif
organisé auraient aidé les gangs de Lénine dans les vols de banque et dans la
création de chaos général. Pendant la révolution, il était difficile, parfois
impossible, de distinguer les idéologues bolcheviques des syndicats du crime
organisé juif. Ils ont agi de manière presque identique. Cependant, dans les
temps modernes, ils semblent avoir leurs racines dans les derniers jours de
l'URSS sous Leonid Brejnev.
À la fin des années 1970, l'économie russe était
dirigée par le marché noir et les premiers stades du mafia juive étaient
impliqués dans ce marché noir. En fait, l'économie socialiste russe se serait
effondrée beaucoup plus tôt si elle n'avait pas été soutenue par la vaste
économie noire. Bientôt, les dirigeants du marché noir sont devenus si
puissants qu'ils ont pu former leurs propres «tribunaux populaires», qui ont
dispensé la «justice» complètement à l'écart de l'État soviétique et l'ont
éloigné de son contrôle.
Beaucoup de ces marchands noirs avaient récemment été
libérés du système de goulags des camps de prisonniers à une époque antérieure
pour leurs activités au marché noir, et la dureté nécessaire pour survivre à
ces cachots servait très bien cette nouvelle élite criminelle (Friedman, 9). Le
marché noir a servi de soupape de sécurité pour l'État soviétique pendant des
décennies, ce qui a donné lieu à des spéculations sur toutes les estimations de
la vigueur de l'économie soviétique. Le marché noir fournissait de nombreux
biens et services que le système soviétique ne pouvait fournir. Dans le goulag,
ils avaient formé des confréries, un peu comme les Noirs et les Hispaniques
font aujourd'hui en prison en Amérique, et comme font les « barbus
islamistes » dans les prisons européennes et arabes.
Ils
ont formé des bandes juives qui, à leur libération, ont servi à créer des liens
profonds qui existent aujourd'hui, maintenant une organisation hautement
secrète presque impossible à traiter ou à pénétrer.
Le fameux
projet de loi du sénateur Henry "Scoop" Jackson, la loi Jackson-Vanick,
liait les privilèges commerciaux soviétiques au traitement des Juifs
soviétiques. C'était un projet de loi fortement soutenu par les organisations
juives américaines. Et tandis que les non-Juifs ne pouvaient pas émigrer de
Russie, les Juifs pouvaient le faire comme ils voulaient, même s’ils étaient
des truands multi récidivistes. Rapidement, le KGB a saisi cette opportunité
pour exporter ses criminels endurcis aux États-Unis, dont beaucoup étaient
juifs (et ceux qui ne l’étaient pas, prétendaient l’être, avec la bénédiction
soviétique), tandis que les conservateurs américains applaudissaient, croyant,
naïvement comme d'habitude, avoir marqué une victoire majeure contre l'URSS.
Une grande partie de la pénétration des juifs aux Etats-Unis a été le résultat
de ces «remontées mécaniques» soviétiques, partiellement financées par des
groupes tels que l'ADL ou la Hebrew Aid Society.
Étant donné la
nature substantielle du marché noir et du sous-sol criminel soviétique, et son caractère exclusivement juif,
il est difficile de croire que les groupes juifs qui finançaient l'immigration
des Juifs russes en Amérique ignoraient les liens criminels de beaucoup de
nouveaux arrivants. . Quoi qu'il en soit, une grande partie de l'argent destiné à l'immigration en
Israël a été empochée par la mafia et réorientée vers les Juifs qui
s'installaient à New York - la Nouvelle Terre Promise. Marat Balagula
était l'un d'entre eux. Grand criminel juif, il a acheté un restaurant à
Brighton Beach, Brooklyn, l'a baptisé Odessa (une grande ville portuaire
d'Ukraine) et l'a rapidement converti en une base centrale de recrutement pour
les gangsters.
Il était
également étroitement lié aux agences sionistes de la région, y compris au
groupe de femmes Hadassah, qui utilisait l'établissement pour des réunions et
des collectes de fonds (Friedman, 17). Ce restaurant devint aussi le siège du
véritable pouvoir politique à Brooklyn, car dans la partie supérieure de
l'établissement, Balagula et d'autres truands juifs convoquaient les
«Tribunaux populaires», et leur parole était (et l’est encore de nos jours) la
loi.
Les
tribunaux ordinaires de la région ne pouvaient espérer rivaliser avec les gangsters,
bien protégés par de puissants groupes juifs dans la ville et le gouvernement
municipal lui-même.
Ces tribunaux,
contrôlés par la mafia juive, étaient plus puissants et agissaient plus
rapidement que les tribunaux municipaux ordinaires de New York. Balagula
avait créé un état dans l’état. Les gangs italiens de New York ne
savaient pas ce qui les frappait. Les exécutions publiques et les tortures
étaient courantes à Brooklyn et en plein jour. Souvent, les meurtres publics se
produisent pour les plus petites infractions, ou pour prouver sa dureté. Alors
que les Italiens étaient très prudents et circonspects, la mafia juive était
flamboyante et gratuitement violente. Yuri Brokhin (un autre mafieux
juif qui s'était déjà fait un nom en Amérique) et Balagula cherchaient
toujours à voler des diamants dans les bijouteries et à les remplacer par des
faux bon marché.
Lors d'un
incident, raconté par Friedman, la paire ci-dessus a monté une telle
escroquerie à Chicago, et a été capturé à l'aéroport avec 175.000 $. En fin de
compte, le duo a été vu par un agent de sécurité juif de l'aéroport O'Hare de
Chicago portant leur faux costume hassidique à la veille de Yom Kippour, alors
qu'il est strictement interdit aux Juifs de voyager. Cette négligence les a
attrapés.
Le duo a été
reconnu coupable, mais comme preuve de la puissance du mafia juive, aucun n’a
été incarcéré en prison, malgré ce grand larcin, entre autres crimes. Bien sûr,
Friedman ne spécule pas sur la raison pour laquelle ce crime est demeuré
impuni, alors qu’un tel crime est passible de plus de 20 ans. Brokhin et
Balagula étaient tous les deux des criminels en URSS et ont pu
transférer leurs richesses vers l'Amérique via des organisations sionistes et
«charitables» juives.
Le
rabbin Ronald Greenwald est un lien important entre le pouvoir politique
américain et la mafia juive.
Il a sciemment
fait des affaires avec des escrocs et des grandes figures de la mafia juive, et
il a utilisé ses liens politiques importants pour les protéger. Greenwald
était un acteur important dans le CREEP, la campagne de réélection de Richard
Nixon en 1972. Greenwald fut largement utilisé par Nixon et d'autres
républicains pour obtenir le vote juif, qu'il a fait doubler pour Nixon
lors de cette élection (Friedman, 31) dans l'état
de New York.
Bientôt, le
rabbin reçut un poste de «conseiller» de Nixon sur les «programmes de pauvreté
juifs», un poste qui a certainement fait rire à l'époque, mais il était clair
que Nixon devait récompenser Greenwald, et le rabbin utilisa
rapidement son nouveaux pouvoirs. Il a utilisé son pouvoir pour protéger les
programmes de Medicaid et d'autres crimes qui n'ont jamais été étudiés par les
autorités. Son poste de chef de l'initiative "pauvreté juive" lui a
permis de protéger les personnes impliquées dans des escroqueries financières,
ainsi que toutes les
enquêtes du FBI sur ses amis. Une partie de l'essor des groupes
mafieux juifs était dû à la protection que leur offraient les liens politiques
de Greenwald.
Greenwald a
également joué un rôle dans la protection de Marc Rich, un investisseur
juif milliardaire très lié à la mafia juive. Rich, un acteur majeur de
l'administration Clinton, a escroqué des milliards de Dollars à des
investisseurs. Rien n'a encore été fait, bien qu'un traitement médiatique négatif
contre Rich ait été autorisé en grande partie parce qu'il avait fait des
affaires avec l'Iran, et était donc considéré comme un traître par ses
concitoyens juifs. Finalement, Clinton a gracié Rich [voir : Secret
11/9 : Trump échappe à un piège tendu dans la Maison Blanche ] dans un cas
très médiatisé, et Rich est maintenant libre. Les investisseurs juifs
ont repris la quasi-totalité de Las Vegas, avec la protection politique et le
patronage de Greenwald.
Il y a quelques années, un
film a été publié appelé Casino,
avec Robert DeNiro et Joe Pesci. En ce qui concerne la prise de contrôle de Las
Vegas, le film décrit M. Rothstein (encore
un … stein comme Epstein et Wenstein joué par le Juif DeNiro) comme un
entrepreneur suave et prospère, et Pesci comme le gros malin italien
typique, impétueux et insolent. Bien sûr, le but du film était d'absoudre le crime organisé juif et
de transférer toute responsabilité aux truands italiens. C’est le contraire
qui était vrai.
Balagula, avant de prendre le
contrôle des intérêts juifs mafieux aux États-Unis, a agi en tant que caïd pour
le KGB. Selon ses propres mots, Balagula a déclaré que le «KGB lui a
donné des visas, pas de problèmes» (Friedman, 44) et a contribué à lui
envoyer des œuvres d'art et des bijoux volés, qu'il a vendus à des touristes
étrangers. Le KGB l'a également mis en place à la tête de la plus grande
coopérative alimentaire en Ukraine, poste qu'il a rapidement transformé en une
opération majeure du marché noir avec la bénédiction du KGB. Vers la fin de la
guerre froide, les membres du KGB considéraient le syndicat du crime juif comme
une source de nouveaux emplois possibles pour eux après la destruction de
l'ancien système. Donc, non seulement ils ont eu le patronage de
l'establishment politique américain sous Greenwald, mais aussi celui de
l'appareil de renseignement en décomposition de l'URSS.
Contrebande
Contrebande
Ce qu'il faut garder à
l'esprit au sujet de l'opération de contrebande, c'est que ce n'était jamais un
petit rien. Ce que fait la pègre juive n'a jamais été petit. Cette opération
était de portée multinationale. Ils avaient une flotte de pétroliers, des
camions-citernes et des centaines de stations-service et de concessions, tous
possédés par des Juifs fidèles à la pègre. Balagula avait créé un empire
mafieux massif allant de l'Afrique du Nord à l'Arabie Saoudite, du Venezuela à
Brooklyn. Les gangsters juifs ont développé une infrastructure dans le commerce
du pétrole qui les rendait invincibles.
L'influence de la mafia
est importante dans le prix du pétrole, et sert d'intermédiaire entre le Mossad
et les émirats producteurs de pétrole arabes. Personne parmi eux n'a jamais été
traduit en justice. Avec tout le pouvoir que la pègre juive a amassé, ils ont
un capo di capi (un chef des chefs mafieux) qui
contrôle vraiment une grande partie du globe.
Il n'y a personne sur
terre plus puissant que lui, et, comme d'habitude, il reste inconnu, exclu de
toute presse et reportage télévisé sur le sujet. La CIA le considère comme une
«grave menace» pour la sécurité mondiale et «l'homme le plus dangereux du
monde» (Friedman). Le fait qu'il reste presque inconnu montre le pouvoir des
médias contrôlés par les sionistes et leur volonté implacable de réprimer toute
enquête sur le crime juif. Il a créé un vaste réseau de communication mondial
et emploie des centaines de docteurs en informatique, en physique et en
économie pour diriger son énorme empire financier. Il a pénétré toutes les
bourses dans le monde et contrôle une grande partie des transactions dans le
monde. Il a également été le cerveau du plus grand programme de blanchiment
d'argent de l'histoire des États-Unis, «lavant» 7 milliards de dollars par
l'intermédiaire de la Bank of New York, une branche importante de la Réserve
fédérale et sa banque de choix.
Semion Mogilevich, chef suprême de la mafia juive, l'homme le plus intouchable du Monde |
Son nom est Semion Mogilevich, né en 1946. Mogilevich,
qui a fondé ses premières opérations en Israël, où il réfugiait des réfugiés
juifs de Russie, a acquis la citoyenneté hongroise après avoir déclaré que le
plus gros problème avec Israël était qu'il y avait «trop de juifs». Cependant,
il contrôle à lui seul les maisons closes en Israël, où les filles ukrainiennes
et russes sont forcées à l'esclavage sexuel. C'est
légal en Israël si les filles sont non-juives. [2]
Le nom de
Moguilevich a été omis de tout rapport sur le phénomène en Israël, en Ukraine et
aux États-Unis.
Moguilevich contrôle également le commerce de
la vodka en Russie et en Europe centrale. Le
plus inquiétant, Moguilevich a acheté l'industrie d'armement de la
Hongrie. En
d'autres termes, il contrôle l'équipement militaire fabriqué en Hongrie, c’est
aussi pour cela que la Hongrie est toujours le plus grand fournisseur d’armes
des terroristes islamistes, dont Daech et Al-Qaïda. Il
a sa propre armée, de l'artillerie, de l'infanterie mécanisée, des canons
antiaériens et des missiles de tous types. L'OTAN
a déclaré qu'il était une "menace à la stabilité de l'Europe", bien
que son nom reste peu connu. Ce
gangster est militairement plus puissant que de nombreux pays européens. Il
possède des armes nucléaires des pays de l'ancien Pacte de Varsovie et négocie
actuellement avec divers gouvernements et leur fournit la technologie
nucléaire.
Il a des agents dans les agences de renseignement de tous les pays
européens, ce qui signifie qu'il ne pourra jamais être poursuivi, car il est
informé de toute enquête en cours sur ses activités, qui est rapidement
annulée. La
télévision allemande a rapporté que le service de renseignement allemand, le
BND, avait entamé des négociations secrètes avec Moguilevich en vertu
desquelles ce dernier fournirait des informations sur ses rivaux en Russie. Il a un
arrangement similaire avec le renseignement français. Il
a des liens étroits avec le Mossad, qui a détruit son dossier criminel
(Friedman, 245-247).
Par conséquent, il est immunisé contre les poursuites et voyage
librement. Il contrôle
le marché noir de l'Europe centrale vers la Russie. Il
est aussi en relation avec Rockefeller, car son principal conseiller en
économie, Igor Fisherman, était consultant pour Chase Manhattan Bank. Friedman
écrit à propos de la Fed et de ses relations avec Moguilevich: «Bien
que la banque n'ait été accusée d'aucun acte répréhensible, certains enquêteurs
pensent que le blanchiment d'argent n'aurait pu avoir lieu sans l'achat ou
l'implication de hauts dirigeants» (259).
Lorsque le
ministère américain de la Justice a entamé une enquête criminelle sur
Moguilevich (qui n'est allée nulle part), il a accusé le Ministère d'une
"conspiration antisémite".
Le mentor de George W. Bush, Natan Sharansky, a des
liens étroits et profonds avec le crime organisé. Le
Congrès, le Département d'Etat et la CIA ont tous de longs dossiers sur Sharansky,
qui a servi de pont entre le Parti républicain et les voyous juifs de la même
manière que le rabbin Greenwald. Sharansky,
connaissant son pouvoir, a simplement refusé de rompre ses liens avec le crime
organisé, introduisant la mafia juive aux échelons les plus élevés de
l'administration Bush. Un
schéma se dégage du Parti républicain: les Juifs russes se présentent généralement comme des
«anticommunistes».
Leur réputation de "dissidents" les protégeait presque
autant que leur religion. Pour
cette raison, le père de George W. a également refusé de coopérer avec
plusieurs enquêtes sur les activités de la mafia russe en Suisse. La
CIA a commenté qu'il
n'y avait pas de «grand ganster russe qui ne porte pas de passeport israélien»,
mais l'Etat israélien refuse de prendre des mesures contre les gangsters. Yitzhak
Rabin était la seule exception et a rencontré les patrons du Mossad, du Shin
Beth et du FBI israélien afin de combattre le crime organisé juif, croyant que
cela pourrait déstabiliser Israël. En quelques jours, il a été
assassiné. Son
successeur, Shimon Peres, a mis de côté les recommandations formulées
sous Rabin, elles dorment à la poussière à ce jour.
CAUSES
Il serait peut-être intéressant de se pencher sur certaines des
causes de ce phénomène. Pourquoi les
Juifs? Il
est vrai que de nombreux groupes culturels se sont lancés dans le crime
organisé à base ethnique, mais il semble que seuls les Italiens soient
fréquemment mentionnés. Aujourd'hui,
les gangs tchétchènes, hispaniques et albanais sont en train de grandir en pouvoir,
mais aucun n'a failli être une note de bas de page comme laes clans juifs. Peu de gens
dans le FBI, la CIA ou la DEA parlent l'hébreu ou le yiddish. Certains
gangsters juifs vont et viennent entre les langues, y compris le russe, afin de
se rendre plus indéchiffrables.
Le pouvoir
des gangs juifs est brandi plus impitoyablement que n'importe quel autre gang
criminel. Les
gangsters juifs aiment souffrir de la douleur, ils assassinent des enfants
ainsi que des hommes et des femmes non armés.
L'ancien code d'honneur des gangsters irlandais et italiens est
inexistant. Ces gangsters
à l'ancienne tueraient seulement un autre gangster. Les
gangs juifs n'ont aucun respect pour ces règles, et sont donc plus craints. L'arrogance
des gangsters juifs et leur grande confiance en soi ont obligé leurs «concurrents»
d'adopter une position très prudente envers leurs homologues juifs. L'État
d'Israël est un facteur majeur de la montée en puissance et de la puissance des
mafieux Juifs. On a vu que les gangsters juifs opérant
en France, fuient en Israël avec leur butin, où ils sont tranquilles : la France
ne demande rien et Israël les protège. Les
trafiquants de drogue juifs, les revendeurs de pornographie juvénile et les
marchands d'esclaves sont libres de poursuites en Israël. Israël
ne considère pas qu'il s'agisse de crimes, encore une fois, tant que les victimes ne sont
pas juives. La mafia a
prouvé son pouvoir dans le meurtre d'Yitzhak Rabin. L'État
israélien n'extrade pas ses citoyens dans des pays non juifs et, par
conséquent, les meurtriers et les voleurs juifs peuvent très facilement
échapper à la punition en fuyant vers Israël. La
situation unique de l'ex-URSS et le fait que les juifs prédominaient dans la bureaucratie soviétique
constituent un autre maillon de l'ascension de la mafia. Même Poutine n’ose
pas s’y attaquer, ni s’opposer à Israël. Les juifs prédominaient sur le marché
noir le plus ancien et plus primitif de la Russie, pour profiter de la crise en
Russie à partir du milieu des années 1980. Le
crime organisé juif, lié à la fois au KGB et au Mossad, avait automatiquement
les patins graissés pour rester hors de l'écran radar des agences de
renseignement alliées. Le
père de George W. a refusé de coopérer avec plusieurs enquêtes sur les
activités de la mafia russe en Suisse.
La CIA a déclaré
qu'il n'y avait pas de "grand gangster russe qui ne porte pas de passeport
israélien".
Le facteur le plus important est probablement le contrôle complet des
médias par les familles juives et le pouvoir de l'ADL dans la culture
américaine. Le
pouvoir des Juifs en Amérique est si grand que toute enquête sérieuse sur le
crime juif verra des attaques stridentes de tous les principaux médias
d'Amérique. En termes de
relations publiques, cela n'en vaut pas la peine. Par
conséquent, on verra une émission de télévision comme The Sopranos
sur les gangsters italiens, mais on ne verra jamais le même programme mettant
en vedette des truands juifs.
Que peut-on faire?
Il y a très peu de choses que l’on peut faire en ce moment. Il
y a tout lieu de croire que bientôt, les nationalistes et les révisionnistes
seront ciblés par des criminels juifs ayant des liens étroits avec le Mossad. Le
sort des mafias juives de l'Ouest est décidé à Moscou, pas à Washington, D.C.
ou à New York. Le
président russe Vladimir Poutine doit continuer à centraliser le pouvoir dans
sa propre personne. Dans sa campagne de lutte contre le crime, Poutine a
éliminé la quasi-totalité des gouverneurs
de province car ils faisaient la paix avec les patrons du crime juif. Poutine
doit également continuer à réformer les services militaires et de sécurité, les
rendant de plus en plus fidèles au nouvel ordre russe. Poutine
devrait commencer à attirer l'attention du public sur le pouvoir mondial des
patrons de la pègre juive et la connivence des puissances occidentales dans
leur ascension et leur prospérité actuelle. Le
rouble doit être rendu non convertible (de manière à empêcher sa manipulation
par les patrons du crime sur les marchés des devises), et un solide bloc
commercial sino-slave doit être solidifié. Le
travail de la police en Russie est maintenant une affaire rude. Les policiers
mal payés doivent être complétés par des milices locales pour commencer des
confrontations directes et militantes contre le crime organisé et la corruption
partout où cela peut se produire. Poutine
a la popularité et le pouvoir de créer un bloc de sécurité majeur contre le
crime juif organisé, ainsi que l'impérialisme capitaliste. Les banques
russes doivent être sous le contrôle de l'État, et être purgées
de tous les éléments criminels.
En outre, l'église, actuellement la deuxième institution la plus
populaire en Russie après Poutine, doit placer son sceau puissant sur le
développement d'une Russie sans pègre, et elle doit appeler tous les Russes à
se repentir et à commencer à construire un nationalisme. et un système communautaire fort. L'agriculture
et la communauté villageoise devraient recevoir un soutien du gouvernement pour
repeupler la campagne, rendant la Russie autosuffisante en nourriture. Et,
bien sûr, les réserves de pétrole et de gaz naturel extrêmement importantes et
stratégiques de la Russie doivent être protégées par les troupes du ministère
de l'Intérieur et placées sous contrôle gouvernemental si nécessaire. Les
nationalistes et l'église ont une popularité et une influence énormes. Ce
capital devrait être dépensé pour développer un système nationaliste dédié à
purger la Russie du crime d'inspiration juive, de l'impérialisme, du
dépeuplement et du libéralisme. Il
se dirige déjà dans cette direction, et la croissance économique russe et une
faible inflation et le taux de chômage sont ses fruits.
NOTE de FIN
Cet article est basé
principalement sur le livre de Robert I. Friedman, Red Mafiya: Comment la pègre russe a envahi l'Amérique,
288 pages , 1er mai 2000.
Source : The Judeo-Russian Mafia – From the Gulag to Brooklyn to World Domination
December
2, 2016
Crime organisé: la mafia juive
en France et le marché des drogues dures
Le 27
novembre 2010, après plusieurs semaines d’enquête, la police judiciaire
parisienne a mis la main sur cent-dix kilos de cocaïne en provenance de
Colombie (7 millions d’euros à la revente au détail). La drogue était stockée
dans un luxueux appartement de Neuilly-sur-Seine en travaux. Sa propriétaire,
absente, est une princesse saoudienne, qui a rapidement été mise hors de cause.
Outre la drogue, les policiers ont également saisi près de 170 000 euros en
liquide lors des différentes perquisitions qui ont eu lieu, ainsi que des
vêtements et des objets de luxe.
Deux hommes
et deux femmes ont été placés en garde à vue. L’un d’entre eux est de
nationalité iranienne ; l’autre est de nationalité vénézuélienne,
selon Libération. Le Figaro précise que quatre
personnes ont été arrêtées : « un Vénézuélien, un Iranien et
deux Français, dont une femme, compagne du chef de réseau, et un homme “bien
inséré”, qui réside dans le XVIe arrondissement de Paris. Deux
autres Français, mêlés à ce trafic, sont en fuite. »
En
juillet 2010, les douaniers de Roissy avaient déjà saisi, dans un
bagage non accompagné, 134 kilos de cocaïne dans un avion en provenance de
Bogota. En juin, les douanes avaient réalisé la saisie de cocaïne la plus
importante de leur histoire en découvrant 1,39 tonne de cocaïne sur un voilier,
près des côtes de la Martinique.
Le 14 avril
2010 avait aussi eu lieu une grosse prise de drogue en Espagne : 814 kilos
de cocaïne saisis dans un vrai faux camion du Paris-Dakar doté de 32
double-fonds. Le véhicule, couvert d’autocollants et de logos de grandes
marques, avait été transformé pour faire croire à sa participation au Rallye
Paris-Dakar comme camion ravitailleur, et avait suivi l’ensemble du parcours de
la course. Il y avait même, à l’intérieur, des publicités qui étaient
distribuées aux foules en liesse à chaque étape. La cocaïne avait été chargée
au point de départ du Rallye, près de Buenos-Aires en Argentine, qui
accueillait cet hiver le Paris-Dakar, et devait être acheminée à Ibiza, dans
les Baléares, via le port de Bilbao.
Curieusement,
la presse occidentale ne livre quasiment jamais les noms des trafiquants, sauf
exception. Le magazine Times du 18 novembre 2009, par
exemple, nous apprenait qu’un rabbin de Manchester, Baruch Chalomish,
54 ans, passait en procès pour trafic de cocaïne. La police avait retrouvé
chez lui plus de 100 grammes de coke, une balance pour la peser, des billets
roulés pour la sniffer, des cartes bancaires pour la mettre en ligne et 17.000
livres de cash. Le rabbin Chalomish, membre de la communauté juive
orthodoxe de Manchester, distribuait aussi la drogue à des jeunes
prostituées en échange de “faveurs sexuelles”. A son procès, il apparut avec sa
barbe et son chapeau de fourrure. Dans le box des accusés, un interprète lui
traduisait en hébreu les propos des magistrats.
La presse
israélienne est moins vigilante, semble-t-il. Dans le Haaretz du
15 mai 2009, on apprend qu’un juif hassidique de la communauté de Satmar, en
Israël, a été condamné au Japon à huit années de prison pour trafic d’ecstasy.
Il était le plus jeune de trois étudiants juifs arrêtés l’année précédente avec
90 000 pilules dans leurs valises. Les deux autres, Yoel Goldstein and Yaakov
Yosef Grinwald, attendaient toujours leur procès. Tout trois avaient été
arrêtés en avril 2008 à l’aéroport de Tokyo, dans un avion venant d’Amsterdam.
Le 3 juin
2009, selon Haaretz, deux Israéliens avaient été arrêtés par la
police anglaise avec pas moins de douze tonnes et demi (12,5 tonnes) de
marijuana (environ cinquante millions de dollars). Moshe Kedar, un homme
de 81 ans, et son complice Mordechai Hersch, 67 ans, avaient été
appréhendés après une filature.
En novembre
2008, un citoyen israélien d’une cinquantaine d’années était
arrêté dans un appartement de Lima, au Pérou. Chez lui, les policiers avaient
trouvé une demi-tonne de cocaïne. Son activité d’import-export de textile lui
servait de couverture.
Le 4
septembre 2008, le tribunal correctionnel de Papeete avait
condamné l’israélien Teiva Spector à dix ans
d’emprisonnement pour un trafic de stupéfiants entre les Etats-Unis
et Tahiti. L’homme avait aussi des passeports français et américain. Parmi
les 18 autres prévenus, beaucoup étaient ressortis menottés et avaient été
emmenés en prison, des mandats de dépôt ayant été prononcés à leur encontre. Ce
réseau de trafiquants de drogues (ice et cocaïne) avait été baptisé par les
médiats locaux, “Vahine connexion”, parce que Teiva Spector
employait des femmes (“vahine”, en tahitien) pour faire transiter la drogue
entre les Etats-Unis et Tahiti. Ces dernières, recrutées par son ex-concubine,
condamnée à 8 ans d’emprisonnement, cachaient la drogue enroulée dans du film
étirable entre deux culottes pour passer les frontières. Elles transportaient
entre 300 et 500g d’ice ou de cocaïne et étaient rémunérées 8000 euros par
passage. Ce vaste trafic, à l’échelle de Tahiti, se poursuivit de 2004 à 2006.
C’est le contrôle douanier d’une des prévenues à l’aéroport international de
Tahiti-Faa’a, en juillet 2006, qui avait fait tomber le réseau.
En février
2008, le rabbin hassidique Simcha Aschlag et son assistant, avaient
été arrêtés à l’aéroport de Roissy. Ils transportaient dans leurs valises
quelques 20 kilos de drogues. Le rabbin, petit fils de Yehuda Leiv Ha-Levi
Ashlag, célèbre commentateur du Zohar, était assigné à résidence à Paris
avec son complice. Mais au mois d’octobre, les représentants parisiens des
avocats Yitzhak Osbicher et Moti Zivin parvinrent à obtenir du
juge français leur libération provisoire afin qu’il puissent se rendre en
Israël pour les fêtes, et ce, sans apporter aucune garantie de leur retour en
France ! Naturellement, le juge ne les a plus revu.
Nous ne
prétendons pas que les malfrats juifs soient les seuls à faire du trafic
international de drogue, mais enfin, certains signes permettent de supposer
qu’ils sont en situation dominante. Le trafic d’ecstasy, en tout cas, est bel
et bien un monopole de la mafia juive. Il suffit de voir les noms et les
passeports de tous ceux qui ont été arrêtés, aux Etats-Unis, en France, en
Allemagne, en Belgique, en Hollande, en Afrique du Sud ou en Australie. S’ils
s’étaient appelés Martin ou Pont l’Evêque, les coupables auraient eu le droit
au journal de vingt heures, avec leurs tronches de blondinets en gros sur
l’écran. S’ils s’étaient appelés Mohammed ou N’Goulou, la presse aurait fait
encore mieux, avec forces filières d’immigrés. Mais quand les trafiquants
internationaux s’appellent Shapiro, Lasry, Goldblum ou Rappaport, tous les
journalistes du système la mettent en veilleuse.
Le fait est
que les gros trafiquants de drogue internationaux sont des juifs ; les
grands proxénètes internationaux sont des juifs ; les grands escrocs
internationaux sont des juifs ; les grands négociants de matières
premières sont des juifs, etc. Il a fallu six livres de 400 pages à
l’écrivain Hervé Ryssen pour tenter de faire le tour de la
question. Et encore… Il s’est arrêté à mi-chemin !
SOURCES:
HERVÉ RYSSEN
VOIR LES
VIDÉOS:
NOTES
- Général
DELAWARDE : Voici comment Israël contrôle les USA, la France, et les autres
pays occidentaux
VOIR AUSSI :
Sur Epstein:
Sur Weinstein:
Hannibal
GENSÉRIC
Merci pour les infos... Les Juifs m'ont un jour dit : "tu n'as nulle part où aller, où que tu ailles nos satellites seront sur toi...." Donc bon, ces salopards sont même en Chine et en Inde.
RépondreSupprimerC'est courageux de votre part de publier ce type d'article.
RépondreSupprimerRespect à vous
Salutations