Nous avons attendu et fait quelques recherches sur ce
sujet avant de traduire et de publier en français cet article de Gordon Duff
qui date du mois de mars courant. Ainsi, il semble de plus en plus que l’affaire “Trump
/ Russie” liée aux élections de novembre dernier n’est pas lié à ce que le
Kremlin aurait interféré et truqué les élections en faveur de Trump, mais de
savoir qui se cache vraiment derrière cette connexion russe de Donald Trump,
connexion qui ne fait plus aucun doute, mais pas dans le sens que médias et
politiciens va t’en guerre le voudraient… La réponse dans cet article
ci-dessous, qui nous montre par qui aujourd’hui, la “nation indispensable”
(telle qu’elle se proclame) à l’humanité, est dirigée. Édifiant non ?
~ Résistance 71 ~
Comment
Donald Trump est devenu la pétasse de la mafia judéo-russe
Essentiellement, l’histoire commence
en 1983 alors que
le patron mafieux et avocat Roy Cohn [1]
et son sous-chef protégé, Donnie “mains d’enfant” Trump,
utilisaient le fric de la mafia juive (la plus puissante mafia d’Amérique donc
du Monde), le béton de la mafia et la main d’œuvre de la mafia pour construire un QG pour l’organisation
criminelle mondiale que Cohn avait passé plus de 20 ans à bâtir.
La Trump Tower (Tour Trump)
était équipée de bordels, de fumeries d’opium, de casinos et salles de jeux et
de chambres luxueuses ; elle se
remplissait de joueurs pros, de voyous et d’escrocs en tout genre tout en
devenant la maison mère de toute une ménagerie de figures riches et célèbres du
crime organisé. La Tour Trump est
devenue alors le Ground Zero d’une entreprise criminelle globale, incluant le
réseau de trafic d’enfants pédophile de Jeffrey
Epstein et la fameuse entreprise de
“développement immobilier” de Trump qui était une large vitrine de blanchiment
du fric sale de la mafia.
C’est dans ce nouveau monde
sous-terrain de glamour, d’extorsion, de cocaïne et de dépravation, qu’entra
une nouvelle série de personnages, criminels professionnels et carriéristes,
décidés de continuer leur vocation choisie en terre neuve. Ces gansters juifs
étaient d’anciens pensionnaires du système carcéral russe, relâchés par
Gorbatchev au cours de ses réformes de la Glasnost.
En effet, en 1989, sur 71.000 juifs
soviétiques qui ont reçu la permission d’émigrer en Israël, seulement 12.117 (soit 17%) choisirent de le
faire, les autres choisirent de s’installer aux États-Unis. Parmi eux se
trouvait un cœur criminel mafieux qui s’établit alors dans la zone de Brighton
Beach à New York City et qui bientôt se joignit à la mafia grecque à Astoria et
aux cinq familles de la “Petite Italie”. [2]
Ces membres de la mafia juive russe
nouvellement arrivés furent capables de forger des liens entre la mafia juive en Russie et le
monde du crime organisé aux États-Unis et ils furent donc bien placés et
préparés lorsque l’URSS s’effondra en 1991 et qu’une nouvelle ère, celle des
oligarques, de la corruption au plus haut niveau (incluant le président juif Eltsine
et ses ministres [3]) se mit en
place, menant au pillage
en règle de l’économie russe post-soviétique.
La mafia juive russe devait trouver
un moyen de blanchir de très grosses sommes d’argent qu’elle volait en Russie,
elle rechercha donc des associés aux États-Unis dans le monde du crime. Elle en
trouva un en la personne de Donald Trump (NdT: Donnie “mains d’enfant”
vous vous rappelez ?…)
Or, dès 1991, de sa propre autobiographie,
Trump était en faillite. C’était « un cave » en affaires comme disent les malfrats, ses succès
antérieurs, grâce au soutien de son patron mafieux Roy Cohn, semblaient
être un lointain souvenir. Quoi qu’il en soit, comme par miracle, le cave Trump
se releva, tel le phœnix de ses cendres, ses affaires commencèrent à recevoir
d’énormes injections d’argent, les hôtels de marque Trump et ses casinos
devinrent extrêmement profitables.
Ce fut le fait d’énormes
quantités d’argent liquide qui furent injectées par la mafia juive russe, venat
de l’argent volé de l’économie russe, transféré de l’Alfa Bank de
l’oligarque Mikhaïl Fridman (NdT: sur l’article original se
trouve un descriptif des parrains/oligarques majeurs de cette mafia) et
blanchies dans l’économie légale par l’organisation de Trump.
Donc, Trump avait fait un pacte avec
le diable et tandis que tout cela lui rapporta une immense fortune, cela lui
coûta aussi son âme. La
mafia judéo-russe possédait maintenant Donald Trump, elle avait fait
de lui sa “suka” (i.e. “pétasse/salope/chienne”). Dès lors, il ne ferait
plus que ce qu’on lui dirait de faire, il n’avait plus d’autre choix car il
savait pertinemment avec qui il avait fait affaire, des hommes si puissants et
sans pitié, que personne ne pouvait se tenir sur leur chemin, des hommes qui
pouvaient faire éliminer une famille entière juste pour faire comprendre un
truc, des hommes qui chérissaient la ʺloyauté mafieuseʺ par dessus tout.
Si jamais Trump ne faisait même que
rêver de les trahir, il apprendrait suffisamment tôt que le mot “suka” a un
double sens, il veut certes dire “chienne ou pétasse”, mais il veut
aussi dire “rat, mouchard, traître”, comme quelqu’un qui se vend, ou
devient un informateur des autorités. Dans les goulags, un “suka” ne durait pas
longtemps. Une fois découvert, il souffrait d’une mort horrible.
Ce mariage entre
l’organisation de Trump et la mafia judéo-russe qui a commencé avec une opération de blanchiment
d’argent pour permettre le pillage de l’ex -URSS et de son économie, a grandi
et est devenu maintenant le plus grand des problèmes de sécurité, pas seulement
pour les États-Unis mais pour le monde entier, un problème qui fait de celui de
l’EIIL/Daesh un petit nain, un million de fois plus petit. Trump, son empire en lambeaux et tous ceux qui
l’entourent sont alors sous le contrôle de la plus puissante organisation
criminelle que l’humanité ait jamais connue. Ils sont devenus les vassaux de la
mafia judéo-russe, leur fortune et leur survie dépendent d’elle …
Cette organisation a vendu des
missiles nucléaires au travers de l’Ukraine, a volé 350 noyaux nucléaires des
stocks américains à Pantex [4], c’est une
organisation qui
n’a pas seulement avalé Trump, mais qui a également pris le contrôle du Mossad
israélien, des services RAW de l’Inde et a piétiné des organisations comme le
FBI et ses équivalents britannique et français.
C’est le véritable : l’“état profond” est un pur produit du
goulag soviétique, un cercle criminel armé d’armes nucléaires capable de
menacer tous les leaders du monde, d’effondrer des marchés et de mettre en
place n’importe quelle attaque terroriste où que ce soit, à n’importe quel
moment.
Voilà ce qui contrôle maintenant les
Etats-Unis au travers de sa poigne de fer sur Donald Trump, ils le tiennent par
les couilles, il est leur suka, leur chienne, leur pétasse. La mafia
juive russe a fait de toute la population des États-Unis sa pute, les juifs de
cette mafia sont en train de doucement transformer ce pays en un gigantesque
goulag et je ne peux penser à rien de pire que d’être une suka au
goulag.
[…]
La
farce de la justice américaine
Nous savons que depuis 1983, la Tour Trump a été truffée
de micros en tant que QG pour le jeu, la prostitution
enfantine, la fraude fiscale, l’extorsion de fonds et le meurtre. Nous
savons aussi que dès 1992, la mafia du goulag et le KGB avaient pris le
contrôle du crime organisé de la ville de New York et avec cela, le contrôle de
la scène politique de la place par la même occasion, ceci incluant la police de
NY, le NYPD et la législature de l’état de New York à Albany.
Ce qui n’est pas dit non plus, c’est
qu’en sus de tout ça, ils ont aussi récupéré quelques membres clef du Congrès
des Etats-Unis, amenés sur un plateau par leurs associés des puissants lobbies israéliens,
ainsi qu’obtenu le contrôle des patrons de quelques comités des deux partis
politiques démocrate et républicain. Ces sénateurs et membres de la chambre des
représentants qu’ils contrôlent leur ont permis de subvertir et
d’éventuellement pénétrer le FBI, le ministère de la justice, la SEC ou
Securities and Exchange Commission de Wall Street, la DEA (NdT: Drug
Enforcement Administration ou brigade des stups fédérale), le ministère du
travail et le ministère de l’habitation et du développement urbain.
La mafia judéo-russe a été autorisée
à établir des banques, à ouvrir des boîtes d’investissement, à écrire ses
propres régulations et même à enquêter sur ses propres malfaisances. Lorsqu’ils
sont attaqués en justice (et Trump et ses associés l’ont été un nombre
incalculable de fois pour une masse de projets ayant échoué), les avocats des
parties civiles furent achetés ou menacés ou, plus souvent qu’à son tour, des
juges achetés par la mafia, comme tout droit sorti du film “Le Parrain”,
refusèrent simplement de prendre les affaires et les jetèrent à la poubelle.
Lorsque cela ne se produisit pas,
les contrôles au FBI de Felix Sater commencèrent une fausse enquête
mettant la force et le pouvoir du ministère de la justice derrière le règne de
la terreur mené par la mafia judéo-russe qui continue jusqu’à ce jour.
La raison derrière tout ceci, comme
expliqué ci-dessus, était le blanchiment d’argent, des escroqueries, des
fraudes diverses et les séries apparemment sans fin d’escroqueries
d’investissements immobiliers afin de continuer de faire exister les noms de
Trump, de Bayrock et de Kushner [5](NdT:
beau-fils de Trump).
Le FBI et le ministère de la justice
(MJ), avec le lieutenant de Trump Felix Sater comme indicateur, auraient
pu faire tomber tout ce joli monde, mais voilà: alors que le FBI et le MJ
retournaient Felix Sater, celui-ci, grandement aidé par le tout puissant AIPAC
(NdT: plus gros lobby juif aux USA) de Washington, retournèrent en fait les
deux services et firent émarger ceux qui furent assignés à l’affaire, aux
bonnes œuvres de la mafia judéo-russe.
Nous avons donc une situation où les
agents du FBI qui enquêtaient sur Trump, devinrent ses gardes du corps
personnels durant la campagne électorale et aussi sur demande et firent de
généreuses déclarations sur son innocence.
Les fonctionnaires du ministère
public impliqués, à l’exception de Loretta Lynch et du tout récemment viré
Preet Bharara, s’en furent
bosser pour des firmes légales privées contrôlées par, devinez qui… la mafia du
goulag. C’est ici que notre histoire tourne court, où on voit assez facilement
que des individus comme le patron du ministère du travail, Acosta, l’homme qui sauva Trump et
Epstein de décennies d’emprisonnement pour viol d’enfant et meurtre, a
été muté à un poste de cabinet et où l’étendue de ce que ces autres personnes
ont fait est trop terrifiant pour être publié
jusque maintenant.
Nos sources nous disent qu’alors que
le FBI et le MJ protégeaient Sater en tant qu’indicateur clef, ils sabotaient
en fait en même temps, affaire après affaire contre Trump et contre ses amis juifs
du Goulag, les maintenant au courant, donnant des noms et des témoins
potentiels dont bon nombre finirent de manière « inhabituelle », ce qui
finit par toujours torpiller les enquêtes.
Chaque document, chaque source, chaque parcelle d’information que le FBI et
le MJ ont accumulé sur plus de 30 ans d’enquêtes au sujet d’une des plus
grandes organisations criminelles au monde, ont été et ce depuis des années,
balancés à la poubelle au moment même où ils furent reçus
Conclusion
Depuis la publication de cet
article, le journal USA Today a publié ses propres résultats de
recherches sur Trump. Le problème avec ces trois pièces est le timing et la
souvent mentionnée crise constitutionnelle vers laquelle pousse le républicain
Devin Nunes, idiot qu’il est, et dont il n’a aucune idée vers quoi il pousse les
Américains. Il n’y a pas de sortie facile de ce genre de truc, certainement pas
avec une nouvelle convention constitutionnelle alors que les échecs de
l’ancienne font penser à un désastre.
On se retrouve avec une armée
illégale, nous sommes maintenant virtuellement sous une monarchie, nous avons
une banque centrale, une police nationale, nous avons un congrès du peuple basé
sur une proportion qui est bien en dehors de toute protection équitable. La
constitution nous a laissé en plan, malgré un Soros disant le contraire. Soros
n’a simplement rien compris.
Les preneurs de décision au plus
haut niveau, et certains d’entre eux sont toujours au gouvernement, la
hiérarchie des joueurs non-étatiques, des sociétés secrètes, des groupes
terroristes, des agences de renseignement renégates, des cartels banquiers et,
comme décrit en détail ci-dessus, le crime organisé multi-générationnel,
lorsque accouplé avec des entreprises, corporations multinationales, font de
l’ombre à tout gouvernement dans le monde et l’affaiblissent de même.
Une douzaine de personnes peuvent
retourner et contrôler le gouvernement de toute une nation, même forte et
puissante comme les États-Unis. Ici, la discipline de « serrage de coudes »
mise en place par le parti républicain facilite la tâche, un parti constitué de
sbires de Wall Street, du ministère de la défense et de l’industrie pétrolière,
qui investissent le Congrès avec des péquenots de base.
Quand les Américains regardent des
spécimen comme les sénateurs John McCain ou Lindsey Graham et
leur confient du leadership, des termes comme “folie furieuse” et “désespoir”
viennent à l’esprit. Aucun des deux ne vaut tripette, McCain demeurant le plus
intelligent des deux. Graham est un fou et corrompu sans rémission, McCain [6] quant à lui étant bien au-delà de toute
rédemption possible et ils sont, du côté du “vieux parti”, la haut du panier,
c’est tout dire…
Notre hypothèse sur ce qu’il faut
pour contrôler un gouvernement est significative. Ce qui peut être fait dans
chaque cas, a été fait. Il n’y a pas de leaders mondiaux indépendants, avec
peut-être quelques très très rares exceptions. Les observateurs continuent de
focaliser sur Poutine et nous sommes parmi eux. Il est, et de loin, le plus
constant bien qu’ayant “la main lourde” en interne, en référence aux standards
américains. Ce n’est pas pour chercher des excuses, mais dans le “monde réel”,
paraître faible est synonyme de désastre, ceux qui vous entourent en guettent
tout signe et fondent sur vous comme des hyènes.
C’est pourquoi Assad n’a pas
démantelé la poigne de sa famille sur la Syrie, quelque chose qu’on sait qu’il
avait planifié. Le désastre auquel doit faire face la Syrie aujourd’hui aurait
pu être mille fois pire s’il avait autorisé des réformes extensives. C’est
simplement la façon dont les choses sont faites , c’est comme laisser la porte
du poulailler ouverte…
Le problème Trump est sans précédent
aux Etats-Unis. L’électorat, par une majorité ferme mais modérée, ne l’a jamais
soutenu. Il a perdu le vote populaire par des millions de voix de différence.
Sa propre base politique s’effondre et il devient maintenant plus un signe des
échecs américains, de la folie, de l’extrémisme et de décennies de propagande.
Quelles sont les options qui restent
? Un renversement militaire ? Une destitution ? Un assassinat ?
Chacune d’elle devient possible,
plus probable alors que le consensus des “affaires comme d’habitude” à
Washington est menacé par un mauvais leadership et des signes évidents que
Trump est non un psychopathe, mais c’est aussi un spécimen totalement
imprévisible. Ce trait de caractère pourrait bien le voir assassiner ou cela le
sauvera peut-être si on en juge par Machiavel.
Ce qui est clair c’est qu’il y a un
double jeu en l’occurrence. Les actions de Trump jusqu’ici sont celles visant à
démanteler la démocratie américaine, de détruire la sécurité sociale du pays,
l’assurance maladie, l’éducation, de pousser toujours plus de villes vers la
faillite et ramener à l’ère Eisenhower des années 1950. Ceci fait de lui tout
simplement un républicain, c’est toujours la route qu’ils empruntent, rien de
nouveau sous le soleil.
Détruire les rêves de Kennedy, faire
de l’Amérique un endroit où les gens décents ont honte d’eux-mêmes, est devenu
par trop facile. Les échecs de l’Amérique sont aussi les échecs de l’humanité.
= = =
Du même article: petite revue historique de la mafia
juive russe:
Depuis 1991, la mafia russe, incluant une bonne partie
de ce qu’était le KGB et des centaines d’assassins des Spetsnatz (NdT: forces
spéciales commandos russes), ont cherché refuge aux Etats-Unis.
Faisons une petite diversion
historique ici afin de rendre compte d’un point absolument crucial. Bien que
les gangs carcéraux juifs existaient depuis l’époque des tsars, ce fut sous le
communisme que la mafia juive devint puissante. Après que
Staline eut consolidé son pouvoir après la mort de Lénine, il commença une série
de purges qui continua jusque la fin des années 1930. Dans ces purges, il vira
une très large portion des juifs des positions de pouvoir et d’influence qu’ils
occupaient (NdT: depuis l’ère bolchévique) et les envoya aux Goulags.[7]
Ceci correspond à l’acte fondateur
de la mafia russe telle que nous la connaissons aujourd’hui. Staline a permis à
ces criminels juifs de gérer le goulag dans les grandes largeurs, ceci fut le
moyen le plus simple de maintenir un contrôle sur cette énorme population de
détenus éparpillée sur de vastes zones de l’extrême-orient russe.
Gordon Duff
30 octobre 2017
Extraits de l’article initialement publié le 28/3/17:
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
[…]
NOTES d’H.
Genséric
[3] Sous Eltsine, le pays était de facto dirigé par
ce qu'on a appelé la semibankirshchina, le « pouvoir des sept banquiers ». Il
s'agissait des sept grands banquiers de la Russie qui possédaient environ 50%
de l'ensemble de l'économie russe. Tous, sauf un
(Potanine) étaient des Juifs.
Pendant les années
Eltsine, la grande majorité des membres du gouvernement et, surtout, leurs
conseillers étaient des Juifs. Des Juifs
contrôlaient également la quasi-totalité des grands médias. Pour vous donner
une idée de la façon dont cette tendance était répandue dans les années 1990,
voici une liste d'oligarques Juifs dans la Russie d'Eltsine disponible sur
Internet : (source en russe: https://goo.gl/jZlazH)
-
Boris
Eltsine (Eltsine - Juif marié à Nina,
Juive).
-
Conseiller
du Président sur les questions économiques - Livshits - Juif.
-
Chef de
l'administration présidentielle Filatov, Tchoubaïs, Volochine, la
fille du président (une nouvelle position des autorités
juives), Tatyana Dyachenko (par la loi juive - Halakha, comme la
fille d'un juif - Juive - tous Juifs.
GOUVERNEMENT
Tous les ministres clés sont juifs: Ministre de l'Économie
- Yasin – Juif ; Ministre adjoint de l'Économie
- Ourinson - Juif
Le ministre des Finances
- Panskov – Juif ; Ministre adjoint des Finances
- Vavilov – Juif ; Président de la Banque centrale
- Paramonov - Juif
Ministre des Affaires étrangères -
Kozyrev - Juif
Ministre de l'Énergie
- Shafranik - Juif
Ministre des Communications
- Bulhak - Juif
Ministre des Ressources naturelles -
Danilov - Juifs -
Ministre des Transports
- Efimov - Juif
Ministre de la Santé - Netchaïev -
Juif
Ministre de la Science - Saltykov -
Juif
Ministre de la Culture
- Sidorov - Juif
MÉDIAS
Président des médias
- Gryzounov - Juif
PRESSE
«News»
- Golembiovskiy - Juif
"Komsomolskaïa Pravda"
- Fronin - Juif
"Moskovski Komsomolets"
- Gusev (Drabkin) - Juif
"Arguments and Facts" - Starks - Juif
"Work"- Potapov - Juif
"Moscow News" - Karpinski - Juif
"Kommersant" - Yakovlev (Ginsburg) - Juif
«New Look» - Dodolev - Juif
"Nezavissimaïa Gazeta" - Tretyakov - Juif
"Evening Moscow" - Lisin - Juif
"Literary Newspaper" - Udaltsov - Juif
"Publicity" - Izyumov - Juif
"Interlocutor" - Kozlov - Juif
"Rural Life" - Kharlamov - Juif
"Top Secret" - Borovik - Juif
TV & RADIO:
Télévision et radio,
"Ostankino" - A. Yakovlev - Juif
Russian TV et Radio Company - Poptsov - Juif
1996-1999 - "Sept
banquiers".
Toutes les finances de la Russie concentrées dans les
mains de Juifs.
Un pays gouverné par sept banquiers
(«sept banquiers"):
1. Aven – Juif ;
2. Berezovsky - Juif, 3. Goussinski - Juif,
4. Potanine. 5. Smolensk – Juif ; 6. Friedman - Juif ; 7. Khodorkovski - Juif : 8 Roman Abramovich- Juif
Les listes de juifs dans le
gouvernement soviétique de 1917 à 1939 sont presque similaires. Vous pouvez les
trouver sur Internet.
Tout comme entre 1917 et 1939,
entre 1991 et 1999, les rênes du pouvoir en Russie étaient fermement dans
les mains de Juifs, et dans les deux cas, avec des conséquences
catastrophiques.
La grande différence est que si, au
début du XXème siècle, les Juifs au pouvoir étaient des adversaires
idéologiques de l'Empire anglais, à la fin
du XXème siècle et aujourd’hui, les Juifs en Russie sont pratiquement une
extension de l'Empire anglo-sioniste.
Hannibal GENSÉRIC
Suite à la lecture de cet article, je me sens totalement démuni et désemparé. J’imagine aussi les compromis que doit faire Poutine pour ne pas être éliminé. Je crois que Dommergue avait raison. Ce monde est foutu. Nos “maîtres” crèveront aussi en nous faisant crever et une nouvelle humanité sortira de ses cendres. Quand j’essaie d’expliquer à mon entourage la situation actuelle, on me regarde comme un extra-terrestre. Il n’y a rien à espérer des populations. Elles sont zombifiées.
RépondreSupprimer