"Lorsque
Jeffrey Epstein passait sa peine en Floride pour prostitution de mineures, il a
eu un visiteur étonnant: James E. Staley, l'un des principaux dirigeants de
JPMorgan Chase et l'un des personnalités les plus en vue de Wall Street."
Si vous ne pensez pas
que les gangsters et les voyous de Wall Street n’ont aucun intérêt à voir
Jeffrey Epstein mort et enterré, alors détrompez-vous [1].
Le New York Times a
lui-même a rapporté il y a environ une semaine:
«Lorsque Jeffrey Epstein passait sa peine en Floride pour avoir
sollicité la prostitution de mineures, il a eu un visiteur étonnant: James E.
Staley, l'un des principaux dirigeants de JPMorgan Chase et l'une des
personnalités les plus en vue de Wall Street.
"M. Staley avait de bonnes raisons de maintenir ses relations avec M.
Epstein, qui l'avait reçu à son bureau de Palm Beach, où il avait été autorisé
à purger une partie de sa peine de 13 mois d'emprisonnement en 2008 et 2009. Au
fil des ans, M. Epstein avait canalisé des dizaines de clients fortunés vers M.
Staley et à sa banque….
"M.
Epstein a néanmoins réussi à s’attacher à une poignée d’éminents vétérans de
Wall Street, dont M. Staley, qui est maintenant directeur général de la banque
britannique Barclays.
"M.
Epstein a fourni des services de fiscalité personnelle à Leon D. Black,
dont Apollo Global Management est l’une des plus grandes sociétés de
capital-investissement au monde. Il a discuté d'une idée d'investissement
majeure avec Glenn Dubin, qui dirigeait le fonds de couverture Highbridge
Capital Management et auquel il a confié des millions de dollars. Et, avec M.
Staley, il a jeté les bases d’une acquisition majeure pour JPMorgan.
"M.
Black, M. Dubin et M. Staley n’étaient pas les relations commerciales les plus
importantes de M. Epstein: cette distinction appartient à l’ultra sioniste Leslie
H. Wexner, le milliardaire juif fondateur de l’empire de la distribution L
Brands, qui comprenait Victoria’s Secret et The Limited. Il a donné à M.
Epstein de larges pouvoirs pour investir sa fortune pendant près de deux
décennies. "[a]
Ne
me dites pas que les gangsters de Wall Street ne sont pas impliqués dans la
débâcle d’Epstein. Certains n'ont peut-être pas la moindre idée de ce qu'il
faisait, mais d'autres personnes influentes savaient évidemment qu'il était
pédophile et qu'il dirigeait ce qui semblait être un stratagème de Ponzi [2]. Si Epstein va en procès et fournit une
liste de personnes qui savaient ce qu'il faisait, alors Epstein ne sera pas la
seule personne à aller en prison.
Monsieur
Epstein, nous vous supplions de fournir cette liste. Nous devons certainement
mettre ces gangsters derrière les barreaux pour le reste de leur vie.
Source : Veterans Today
L’homme qui adorait son pénis
Le New York Times, qui ne craint
pas les aspects les plus croustillants et lunatiques dans cette affaire pleine
de simulacres, choisit, pour qualifier Epstein, le terme de serial-illusionist.
(C'est assez classe, non ?) Cette idée conduit la longue analyse-NYT
du 31
juillet 2019 où l’on est informé des projets d’Epstein, de
transgénisme, de transexualisme, de transfécondationnisme, de
transcongélationnisme (j’aurais pu écrire cryogénisation, mais c’est un peu
trop simple pour lui, et pas assez pour moi) ; ce dernier domaine est
détaillé pour nous confirmer qu’il s’agit essentiellement de la congélation de sa tête et de son pénis
(transpénisme ? transérectionnisme ?) qu’il importait de conserver,
selon les projets à long terme d’Epstein, pour cette démarche toute
entière consacrée au culte du transhumanisme sous toutes ses formes possibles.
(Des amis, nous précise le NYT, auraient précieusement recueilli ces
confidences lors d’élégants dîners que donnait le serial-illusionist.)
Epstein voulait faire de son immense ranch du
Nouveau-Mexique une sorte d’élevage de nombreux bébés issus de son pénis, en rassemblant des jeunes filles
“attractives” par douzaine pour les ensemencer, un peu comme les
projets de sauvegarde dans des aménagements souterrains d’une minorité des
élitesSystème devant l’imminente attaque nucléaire qui liquidera le reste du
genre humain, Deplorables en
tête, dans le Dr. Strangelove de Kubrick. (Ou bien,
penseront quelques excités du domaine, la référence se trouve-t-elle dans les
programmes nazis du genre “haras humain”, pour la propagation jusqu’à
l’Éternité de la pureté bosseuse du pénis d’Epstein.)
Eh bien, nous confie encore le NYT (présenté ici
par ZeroHedge.com),
tout cela et bien d’autres choses encore attiraient autour d’Epstein des
constellations de sommités scientifiques où les “nobélisés” ne manquaient pas à
l’appel ; ces précisions, j’en conviens, nous laissant à penser
considérablement à propos de la très-haute science de la modernité, et
du futur à-venir qu’elle nous façonne et nous concocte...
» Comme le Times le note plus loin, même
après sa condamnation en 2008 pour sollicitation de la prostitution d'une
mineure, Epstein a réussi à s'intégrer dans la communauté scientifique [ou
à intégrer la communauté scientifique à lui], attirant un “éventail
étincelant de scientifiques de renom”.
» “Il s'agit notamment du physicien lauréat
du prix Nobel Murray Gell-Mann, qui a découvert le quark ; du
physicien théoricien et auteur à succès Stephen Hawking ; du
paléontologue et biologiste de l'évolution Stephen J. Gould ; d'Oliver
Sacks, neurologue et auteur à succès ; de George M. Church,
ingénieur moléculaire qui a travaillé pour identifier des gènes qui pourraient
être modifiés pour créer des humains supérieurs ; et de Frank Wilczek,
physicien théorique du MIT et co-lauréat Nobel de physique”. »
Source : Dedefnsa.org
NOTES
[a]
Kate Kelly, Matthew Goldstein, Jessica Silver-Greenberg et James B. Stewart,
«Les liens profonds de Jeffrey Epstein avec les personnalités les plus célèbres
de Wall Street», NY Times, 22 juillet 2019; pour des rapports connexes, voir
Sonali Basak, Heather Perlberg et Sabrina Willmer, «Jeffrey Epstein avait une
porte sur Apollo: ses liens profonds avec Leon Black», Bloomberg, 1 er août
2019.
[2] Un système
de Ponzi est un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les
investissements des clients essentiellement par les fonds procurés par les
nouveaux entrants. Si l'escroquerie n'est pas découverte, elle apparaît au
grand jour au moment où elle s'écroule, c'est-à-dire quand les sommes procurées
par les nouveaux entrants ne suffisent plus à couvrir les rémunérations des
clients. L’affaire la plus du système de Ponzi est celle de l'homme d'affaires juif
américain Bernard Madoff. Il a créé un système de Ponzi qui a
fonctionné pendant 48 ans, de 1960 à la crise financière de 2008. C'était un
gérant de hedge fund qui
promettait des retours sur investissements relativement élevés, de l'ordre de 8
à 12 % par an. L'utilisation de clients réputés, des postes élevés dans
l'administration, l'assuraient d'un prestige et d’une protection importants.
Lorsque de nombreux clients souhaitèrent retirer leurs avoirs de sa société
d'investissement lors de la crise financière de 2008, ils se rendirent compte
que les caisses étaient vides et qu'ils avaient perdu tout leur argent. Avant
son arrestation, Bernard Madoff gérait officiellement 17 milliards de dollars.
Des
investisseurs (particuliers, institutionnels, hedge funds, fondations, banques
privées…) vont déposer 65.000 plaintes. Bernard Lawrence Madoff sera
condamné le 29 juin à 150 années de prison.
Sa seule grossière erreur est de ne pas avoir fui à temps en Israël, le sanctuaire des malfrats juifs. Epstein, lui se croyait intouchable, protégé par le lobby juif, par la CIA/Mossad, par la Maison Blanche (famille du crime Kushner) et par Wall Street. Son arrestation prouve que l'Amérique n'est pas totalement aux mains des juifs. Il reste encore quelques "patriotes" qui résistent.
Sa seule grossière erreur est de ne pas avoir fui à temps en Israël, le sanctuaire des malfrats juifs. Epstein, lui se croyait intouchable, protégé par le lobby juif, par la CIA/Mossad, par la Maison Blanche (famille du crime Kushner) et par Wall Street. Son arrestation prouve que l'Amérique n'est pas totalement aux mains des juifs. Il reste encore quelques "patriotes" qui résistent.
Hannibal GENSÉRIC
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