Un "Privilège juif" = Le Monopole de la parole

"Il est impossible de comprendre la vague actuelle de censure sur Internet à moins que nous ne la considérions comme une opération juive." -E. Michael Jones

"Le privilège juif trouve aujourd'hui sa principale expression dans des termes tels que "discours de haine" et "antisémitisme", qui sont devenus des armes utilisées pour détruire les personnes, les bâillonner, et censurer leurs publications sur Internet, comme c’est le cas depuis des années, pour notre blog, La Cause du Peuple, interdit d’accès par Facebook. Le terme " discours de haine " est une création de la Ligue Anti-Diffamation (ADL) juive [1]. Comme pour le terme «antisémitisme» [2],  le discours de haine est un énoncé que les Juifs dans des organisations comme l'ADL trouvent offensant».

 
"Il y a soixante ans, des militants juifs tels que Leo Pfeffer affirmaient avec assurance que les juifs étaient favorables à la liberté de parole. C'est d'ailleurs ce qu'ils firent alors: ils étaient à l'avant-garde de la lutte contre les lois anti-obscénité et anti-avortement. Une fois que le code a été détruit, l’anarchie sociale suivit. Un nouveau code a été imposé. Auparavant connu sous le nom de politiquement correct, il est maintenant connu par son contraire, à savoir, le discours de haine. "

(Remarque - E Michael Jones a récemment retiré bon nombre de ses vidéos après avoir reçu deux "avertissements" de YouTube. Elles sont maintenant sur son site.)

par E. Michael Jones

(henrymakow.com)

Conformément au prétendu "Appel à l'action de Christchurch", issu d'une réunion de responsables gouvernementaux et de géants de l'internet tenue le 15 mai 2019 à Paris, Facebook a publié un document interne intitulé "Examen de la politique relative aux agents de haine", qui, selon Breitbart , "décrit une série de "signaux" que Facebook utilise pour déterminer si une personne doit être classée dans la catégorie "agent de la haine" afin de la bannir de la plate-forme."

Les directives étaient à la fois draconiennes et incohérentes. Vous pouvez être désigné comme un "agent de haine" si "vous faites l’éloge de la mauvaise personne, si vous l’interviewez ou si vous vous  présentez à des événements à ses côtés". Le statut d'agent de haine est évidemment contagieux, car Facebook peut vous désigner comme un agent de haine si vous vous associez à une "entité de haine désignée", comme l'anglais Tommy Robinson.

Vous pouvez également être désigné agent de haine "simplement pour avoir parlé de manière neutre d'individus et d'organisations que le réseau social considère comme haineux". En octobre dernier, Facebook avait tagué quelqu'un en raison de ce qu'il considérait comme une "représentation neutre de John Kinsman", membre du groupe "Proud Boys", un groupe que Facebook n'aime pas et ne veut pas que vous aimiez. Donc, pour vous débarrasser de tout soupçon d’être un "agent de la haine", vous devez détester ce que Facebook déteste.

Cependant, le principal moyen de caractériser une personne en tant qu'"agent de haine" est de montrer qu'il se livre à un "discours de haine". Le 20 juin 2019, YouTube a interdit la vidéo "Owen Benjamin Finding Logos with E. Michael Jones,", diffusée quelques mois auparavant, le 21 mars. Cette interview était l'une des quatorze vidéos interdites par YouTube sur la chaîne E. Michael Jones sur YouTube en juin. Comme pour les treize autres, la seule explication donnée par YouTube a été que la vidéo enfreignait ses règles concernant le discours de haine, c.-à-d.  "Nous n'autorisons aucun contenu incitant à la haine d'une autre personne ou d'un groupe de personnes sur la base de leur appartenance à un groupe protégé." L'avis de YouTube n'identifiait ni le discours de haine incriminé ni le "groupe protégé" dont il s’agit.

Les termes "agent de haine" et "discours de haine" sont également vagues; Cependant, ce dernier terme est plus facile à définir car ses origines sont claires. Le ʺdiscours de haineʺ est une création de la Ligue Anti-Diffamation (du Lobby juif) qui se vante d'être «la principale organisation mondiale de lutte contre la haine». Comme pour le terme analogue «antisémitisme», le discours de haine est un énoncé que les Juifs d’organisations telles que l’ADL trouvent offensant pour les juifs, mais pas pour les goyim [3].

Comme l'incohérence des directives de Facebook l'a montré, il est impossible de comprendre la vague actuelle de censure sur Internet à moins de la considérer comme une opération juive.

Cela devient évident lorsque nous regardons comment la presse définit (ou déforme) toute la question de la censure. Un article récent de Summit News a attribué l'interdiction de "Natural News, qui comptait 2,5 millions d'adeptes", au "fait que Facebook applique maintenant impitoyablement sa propre idéologie (ultra sioniste) sur sa propre plate-forme".

Le fait que beaucoup, sinon la plupart des Juifs, épousent cette idéologie sioniste est indéniable, mais il est également insensé, car "le discours de haine" n'est pas une désignation politique; il a été créé par l’ADL pour faire taire les discours que les juifs n'aiment pas

(Les satanistes inversent le bien et le mal.)

Pour ceux qui pensent que ce n'est pas le cas, consultez la "Déclaration ADL sur les modifications apportées à la stratégie YouTube pour réduire le contenu extrémiste", communiqué de presse du 5 juin 2019, dans lequel l'ADL se félicite d'avoir provoqué la purge de YouTube des chaînes et des vidéos de "discours de haine", et exige ensuite plus d'action de la part de YouTube et d'autres sociétés de technologie:

    "La haine et l'extrémisme en ligne constituent une menace importante: armer le fanatisme contre les communautés marginalisées, faire taire les voix par l'intimidation et agir comme un outil de recrutement pour les groupes marginaux haineux", a déclaré Jonathan Greenblatt, PDG et directeur national d'ADL. "C’est pourquoi ADL collabore avec des entreprises de technologie, y compris YouTube, pour lutter énergiquement contre la haine sur leurs plateformes. Nous sommes heureux de partager notre expertise dans ce domaine et sommes impatients de continuer à apporter notre contribution. Il s’agit là d’un progrès important, qui reste insuffisant et doit être suivi de nombreux autres changements de la part de YouTube et d’autres entreprises du secteur de la technologie pour lutter efficacement contre le fléau de la haine et de l’extrémisme en ligne ".

Le gangster juif Meyer Lansky [4]

Pour ceux qui l'ignorent, l'ADL a été créée à la suite du lynchage de Leo Frank en 1915 dans le but d'espionnage et de chantage des citoyens goyim et des organisations américains goyimafin de protéger les intérêts juifs aux États-Unis. L’ADL était également une opération de blanchiment d’argent. Des criminels juifs tels que Meyer Lansky et Moe Dalitz ont ainsi pu qualifier d'antisémites quiconque les accusait d'activités criminelles en échange d'importantes "contributions charitables" à l'ADL. Pendant les heures de gloire de Lansky, l'ADL n'était pas assez puissante pour empêcher son expulsion, mais cette situation a changé dans les années 1980, lorsque l'ADL a commencé sa collaboration avec le FBI. Au cours de cette même décennie, l'ADL a réhabilité avec succès Moe Dalitz en lui attribuant son prix Torches of Liberty, toujours en échange d'importantes contributions sonnantes et trébuchantes à leur organisation. (Plus à propos de Meyer Lansky et de l’ADL dans Ballet Parking)
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NOTES d’Hannibal Genséric

[1] American Pravda. L’Anti-Defamation League dans la société américaine

-  USA. Assaut juif contre les intellectuels noirs

-  Sur les célébrités bibliques et le symbolisme juif

-  USA. The Israel Lobby

-  La Mafia judéo-russe : du Goulag à Brooklyn à la domination mondiale

[2] ALERTE SANTE MENTALE : Une pandémie mortelle d'antisémitisme contamine l’Occident !

-  Cours accéléré sur les vraies causes de l’«antisémitisme», 2e partie : la chasse aux antisémites

-  Que disent Jésus, Einstein, Voltaire, Soljenitsyne, Goethe, Liszt sur l'antisémitisme ?

-  Le lobby juif mondial réclame la censure globale de l’internet

[3] Quelques versets de la Torah appelant à la soumission des nations et au meurtre des goyim :

Dans les Nombres :

Moïse leur dit :

« Quoi ! Vous avez laissé vivre toutes les femmes ? (…)

Et maintenant tuez tous les enfants mâles et toute femme qui a connu l’homme par cohabitation »

(No XXXI.15-18).

Et dans le Deutéronome, premier livre apologiste de l’idée génocidaire :

« Tu anéantiras donc tous les peuples que te livre l’Éternel, ton Dieu, sans laisser ton œil s’attendrir sur eux »

(De VII.16).

Ou bien :

« Quand l’Éternel, ton Dieu, aura fait disparaître devant toi les peuples que tu vas déposséder,

quand tu les auras dépossédés et que tu occuperas leur pays,

prends garde de te fourvoyer sur

leurs traces après les avoir vu périr »

(De XII.29-30).

Et encore :

« Mais dans les villes de ces peuples dont l’Éternel, ton Dieu,

te donne le pays pour héritage,

tu ne laisseras la vie à rien de ce qui respire. Car tu dois vouer à l’extermination le Hétéen et

l’Amoréen, le Cananéen et le Phérézéen, le Hévéen et le Jébuséen, comme te l’a commandé

l’Éternel ton Dieu »

(De XX.16-17).

Rabbin Rav Ovadia Yossef – octobre 2010 :

« Les goyim sont nés uniquement pour nous servir. Sans cela, ils n’ont pas de place dans le monde, uniquement de servir le peuple d’Israël. Pourquoi les gentils sont-ils nécessaires ? Ils vont travailler, labourer et récolter. Nous nous assoirons comme des effendi et nous mangerons ».

Et encore :

« Avec les Gentils, ce sera comme toute personne, ils doivent mourir, mais Dieu leur donnera longévité. Pourquoi ? Imaginez que l’âne de quelqu’un meurt, ils perdraient leur argent. [le goy] C’est son servant. C’est pourquoi il a une longue vie : pour bien travailler pour ce juif. »

Ainsi, Itzhak Attia, le directeur des séminaires francophones, n’a pas hésité à déclarer dans Israël Magazine, en avril 2003 :

« Même si notre raison nous crie de toutes ses forces l’absurdité de ce face à face entre un tout petit peuple aussi insignifiant que le peuple d’Israël et le reste de l’humanité [écrit-il]… aussi absurde, aussi incohérent, aussi monstrueux que cela puisse paraître, nous sommes bien engagés dans un combat intime entre Israël et les Nations qui ne peut être que génocidaire et total, parce qu’il en va de nos identités respectives. »

20 EXTRAITS CHOQUANTS DU TALMUD ( livre saint des sionistes)

[4] Meyer Lansky, le cerveau de la mafia

« Meyer Lansky ne possède pas de biens propres, il possède les gens »
Voici l'incroyable histoire de Meyer Suchowljansky, émigré juif russe débarquant en 1911 sur la Terre promise américaine, devenu le mythique Meyer Lansky, l'éminence grise de la mafia. Encore adolescent, Lansky, petit voyou de Manhattan, règne sur les rues de son quartier avec son ami Bugsy Siegel. Il va ensuite refuser la protection d'un autre jeune gangster : Lucky Luciano. Impressionné, ce dernier lui propose de s'associer et, en pleine prohibition, ils vont faire fortune dans le trafic d'alcool et prendre le contrôle de la ville pour créer le Syndicat du crime. En 1932, le fameux Al Capone finit derrière les barreaux à Chicago, incapable de justifier sa richesse à la justice et coupable de fraude fiscale. C'est le déclic pour Lansky, qui comprend que la clé pour justifier les gains générés par ses activités illicites se trouve dans le blanchiment d'argent. Son génie sera d'impliquer l'argent de la mafia dans des entreprises légales (comme l’ADL) et jusque dans certaines institutions financières. Il va devenir alors l'architecte du conglomérat du crime organisé aux États-Unis. Pendant que son ami Bugsy Siegel (un autre gangster juif) crée Las Vegas, Meyer Lansky veut s'acheter un pays entier : Cuba, ce sera le rêve de trop.
https://www.standaardboekhandel.be/p/meyer-lansky-le-cerveau-de-la-mafia-9782358872461

Hannibal Genséric