vendredi 16 août 2019

Pourquoi les criminels du 11/9, Giuliani et Bernie Kerik (agents de Trump) encouragent-ils les «théories du complot Epstein»?


La stratégie de Ron Unz visant à commencer le nettoyage de l’Amérique en discréditant les médias traditionnels (MSM) a beaucoup de sens. Et quand l’ennemi s’effondre dans la confusion et dans le «feu entre amis» fratricide, vous savez que vous faites des progrès.
Une guerre civile virtuelle a éclaté dans les MSM (que nous traduisons par Grands Médias Menteurs) entre les «théoriciens du complot d'Epstein» et ceux opposés à celui-ci. Un grand nombre de voix dominantes commencent à admettre que le cas d'Epstein, en particulier le «suicide» aussi absurde qu'improbable, prouve que les théories ne sont peut-être pas si folles après tout.

 Ces deux derniers jours, les éditoriaux du New York Times avaient pour titres :
Why I Dabble in Jeffrey Epstein Conspiracy Theories” «Pourquoi je me mêle de théories de la conspiration de Jeffrey Epstein» et
Jeffrey Epstein and When to Take Conspiracy Theories Seriously.” et «Jeffrey Epstein et quand prendre les théories de la conspiration au sérieux» ;
et le  Washington Post, comme le notait Gordon Duff, rédacteur en chef de Veterans Today, a exposé des preuves de l'autopsie suggérant que Epstein a été assassiné.
Mais même si un des partisans du courant médiatique dominant admet que les théoriciens du complot avaient raison, l’autre côté des MSM panique: à quel point c'est terrible, à quel point il faut protéger la société de ces terribles meneurs de complot, qui détruisent la confiance du public, comment le style paranoïde de Hofstadter est fou, il faut faire quelque chose, censurons Internet, bla bla bla, vous connaissez leurs aboiements.
Malgré ces divergences d'opinions internes, le MSM s'est uni pour déplorer le théoricien du complot Epstein le plus en vue: le président Donald J. Trump. Les tweets de Trump suggérant que le cadavre à peine froid d’Epstein pourrait ajouter au #ClintonBodyCount sont extraordinaires et sans précédent, ont horrifié le suspect néocon du 11/9, David Frum:
    10 août 1969: San Clemente, Californie - Le président Richard Nixon a accusé son prédécesseur, Lyndon Baines Johnson, de complicité dans l'assassinat du président John F. Kennedy. Parlant avec des journalistes le premier jour d'un séjour de 10 jours dans sa maison de vacances de l'océan Pacifique…
    Bien sûr, cela n'est jamais arrivé. Évidemment. Comment cela pourrait-il? comment osent-t-ils ? Mais si cela avait été le cas, une telle accusation - lancée par un président contre un ancien président - aurait ébranlé les États-Unis et le reste du monde.
"Comment osez-vous?" En effet. Frum sait parfaitement que si Nixon avait accusé LBJ d'avoir tué les Kennedies, Nixon disait la vérité. Mais "comment ose-t-il?!" L’indignation de Frum à la pensée qu’un président dise la vérité aussi importante est naturelle compte tenu de sa philosophie néocon Straussienne, selon laquelle la vérité en général est si dangereuse qu’elle ne doit jamais être prononcée en public. Le mentor de Frum, Leo Strauss, a été jusqu’à applaudir pour le meurtre de Socrate qui, selon Strauss, a été exécuté à juste titre pour avoir commis le pire crime possible: dire la vérité sur la place publique et «corrompre de ce fait la jeunesse d’Athènes».
Mais Trump n'est pas Socrate. Si Trump alimente les «théories du complot Epstein» et touche les Clinton, à tort ou à raison, ce n’est pas par son amour de la vérité, mais parce que le Prévaricateur en chef pense qu’il en tire avantage.
Est-ce que Trump a calculé qu’utiliser la mort non naturelle d’Epstein pour rallier sa base contre les Clinton et les démocrates en général serait rentable politiquement? Peut-être.
Mais Trump n’est que l’un des trois importants New-Yorkais assoiffés qui ont attisé les «théories du complot Epstein». Les deux autres sont les deux principaux suspects du 11/9 - beaucoup diraient «de vrais criminels du 11/9» - Rudy Giuliani et Bernard Kerik. Il se trouve que les deux travaillent pour Trump.
En tant qu’ancien maire de New York, Giuliani n’admettrait normalement pas que les prisons de New York offrent la saison d’ouverture aux tueurs chasseurs de prime. Mais ici, il insinue tout autant:
Et puis il y a le vieil ami de Giuliani, le criminel fédéral condamné, Bernie Kerik. Comme Rudy, Bernie travaille également pour Trump. Et comme Giuliani et Trump, Kerik - l’ancien commissaire de police de New York qui a couvert les Israéliens arrêtés le 11 septembre avec des camions chargés d’explosifs afin de faire sauter les ponts et les tunnels de New York - hurle sur les toits que les pénitenciers fédéraux sont facilement pénétrables par les tueurs.
Bernie Kerik devrait savoir à quel point il est facile de faire taire par des tueurs tous ceux qui gênent la «sécurité nationale», ne vous y trompez-pas : il s’agit de la «sécurité nationale» d'Israël. Selon des sources de VT, Kerik aurait participé à l'élimination en masse de policiers et d'autres témoins des arrestations des Israéliens qui ont essayé de faire sauter les ponts et les tunnels de New York le matin du 11 septembre.
Bernard Kerik a aidé les terroristes du 11/9 israéliens
à s'échapper avec leur camion plein d'explosifs
Alors, pourquoi la triade du crime du Likoud, formée de Donnie, de Rudy et de Bernie, hurle-t-elle si fort au sujet des complots Epstein? Certainement pas parce que les trois hommes partagent un amour profond de la vérité et de la justice.
Une des possibilités est que notre triade du crime se trouve du côté Bibi Netanyahou dans la guéguerre entre Bibi et Ehud Barak pour le futur  leadership  d’Israël. Après tout, Rudy et Bernie ont aidé Bibi à faire sauter les Twin Towers et à s'en tirer à bon compte ; on suppose donc qu’ils font partie de l’équipe de Bibi. Ainsi, Epstein peut avoir été éliminé ou exfiltré par le camp d'Ehud Barak. (Bibi utilise la proximité de Barak avec Epstein comme un gourdin pour frapper à maintes reprises la tête de Barak; il serait peut-être dans l’intérêt de Barak de faire disparaître Epstein et dans l’intérêt de Bibi de révéler la disparition.)
Une autre possibilité est qu'Epstein ait été arrêté et que le scandale Epstein soit exposé dans le MSM, afin de «récupérer» Donald Trump. La poursuite alléguant que Trump et Epstein ont violé brutalement Katie Johnson, 13 ans (plus d'infos ici) est malheureusement assez crédible, et pourrait n'être que la partie visible de l'iceberg du matériel d'Epstein lié à Trump avec le potentiel de renverser Trump de la Maison Blanche. (Des sources informées affirment que la véritable raison pour laquelle Trump ne publiera pas sa déclaration de revenus est due aux radiations choquantes de «dépenses d’entreprise» de paiements énormes versés à des enfants que Trump a violés.)
Si tel est le cas, ce sont les gens du Trump / Likoud - peut-être assistés par des fédéraux américains qui ne veulent pas d’un scandale aussi important pour salir la présidence - qui ont zigouillé ou exfiltré Epstein. Trump et son équipe de truands sionistes souffleraient sur la  fumée tout en attisant les flammes des «théories du complot Epstein» de manière en blâmer les Clinton pour faire diversion. Ce ne serait pas la première fois que Trump a emprunté la tactique suprême du livre de jeu sioniste / Roy Cohn: "Accusez votre adversaire du crime que vous êtes vous-même en train de commettre."
Alors, quelle est la vérité? Je ne sais pas avec certitude. C’est bien « au-dessus de mon salaire ».
Mais une chose que je sais, c’est que si le peuple américain découvrait ce qui lui était fait, il serait plus que prêt à tout réduire à néant pour repartir à zéro.
------------------------------------------------------------- 
La liste des « suicidés » s’allonge rapidement
Le policier de New York qui a divulgué que la «nuque d’Epstein a été brisée» a été suicidé (source)
Une autre bombe «d’importance particulière», a été tirée directement d’un système informatique futuriste du «Minority Report» du service de police de New York (NYPD) gardant trace des activités de ses officiers de police, connu sous le nom de RAILS (système d'évaluation des risques), qui s'interface avec le système de réponse aux crises contrôlé par le géant mondial de la technologie Facebook, révèle que l'officier de police de New York qui a indiqué par radio à partir de la cellule de Jeffrey Epstein , le matin de sa mort, les mots «cou brisé» a été découvert, il y a quelques heures, suicidé d’une balle dans la tête.
Jeffrey Epstein, adepte du sexe, a gardé en évidence dans son manoir à New York un portrait de l'ancien président Bill Clinton portant la «robe bleue» de Monica Lewinsky souillée par le sperme alors qu'il était allongé sur une chaise de bureau ovale de la Maison Blanche.
Au cours des dernières heures, le Washington Post a cité des sources crédibles, affirmant que l'autopsie de Jeffrey Epstein avait montré qu'il avait subi de multiples fractures à la nuque, le plus important d'entre elles. son os hyoïde, qui se trouve près de la pomme d'Adam,
Un juge fédéral américain et un policier de New York liés à Epstein ʺont été suicidésʺ après que Facebook les ait ciblés pour la mort (source)
Le juge fédéral américain supervisant une affaire d'Epstein (le juge de la cour de district des États-Unis, Robert Sweet) a été retrouvé mort à son domicile.

Hannibal GENSÉRIC


2 commentaires:

  1. Bonjour, juste un petit message pour vous dire que les psychopathes qui nous gouvernent ont des machines qui lisent les pensées... Mettez le plus de gens au courant.

    RépondreSupprimer
  2. epstein n'est pas mort ; la confédération galactique l'a mis au chaud d'une mort subite de par les sbires de killary clinton ...le canari espstein va parler pour essayer de réduire sa peine : 45 ans de prison à GITMO .

    RépondreSupprimer

Les commentaires hors sujet, ou comportant des attaques personnelles ou des insultes seront supprimés. Les auteurs des écrits publiés en sont les seuls responsables. Leur contenu n'engage pas la responsabilité de ce blog ou de Hannibal Genséric.