Des journaux en ont
parlé, même s’ils n'ont pas accordé à cette information l’importance qu’elle
mérite. Car si, en effet, l’implication de rabbins dans des affaires de
corruption de politiciens et de blanchiment d’argent ressortit, en dépit du
caractère étrange de l’implication d’hommes du culte dans cette affaire, à des
formes de délinquance classiques, il n’en va pas de même dans le cas du trafic
d’organes dirigé par un certain Levy-Izhak
Rosenbaum.
Dans ce dernier cas, nous
touchons en réalité à une forme de crime auquel l’opinion un peu partout dans
le monde est très sensible.
Pourquoi cette affaire n’a pas
eu le retentissement qu’elle mérité a certainement à voir avec la crainte
d’attiser des sentiments antisémites (au sens d’anti- juif). Après tout, le
parlementaire sioniste Nissim Ze’ev n’écrit-il pas dans le Jerusalem Post du 27
juillet que l’opération
du FBI était un cas d’antisémitisme?
Or, à mon avis, ces
arrestations ne nous apprennent rien sur les Juifs ou le judaïsme d’une manière
générale mais en disent long sur la nature de l’entité sioniste: une
voyoucratie qui, naturellement, est le havre idéal de toutes sortes de
délinquants, en col blanc, en blouse blanche, en costume cravate etc.
Vous trouverez dans les
articles ci-dessous un faisceau d'indices concordants qui convergent vers une
responsabilité de l’entité sioniste dans un vaste réseau de trafic d’organes et
d'autres réseaux de trafics d'enfants et d'organes humains, et la liste n'est
pas exhaustive.
Toutes les informations
présentées renvoient à des sources dignes de foi et montrent aussi que les
voleurs d’organes, quand ils en ont la possibilité, n’hésitent pas à le faire
sur les corps de leurs propres coreligionnaires en kaki.
Nous ne
nous trouvons donc certainement pas là devant un texte antisémite. Il n'y
aucune raison de penser qu'il y a, proportionnellement parlant, plus de
maffieux juifs que musulmans ou chrétiens. La seule différence de taille est
que, les malfrats juifs sont AUTOMATIQUEMENT protégés par Israël.
D’où viennent
les reins ?
Je parle
des reins offerts par un « organiste » nommé Izzy Rosenbaum. Le FBI l’a
coincé au terme
d’une enquête pour corruption centrée
sur des pots de vin versés à des politiciens du New Jersey (rien d’étonnant de
ce côté là) et le blanchiment d’argent par des rabbins connus.
L’enquête a
également touché Levy Izhak Rosenbaum de Brooklyn, qui est accusé d’avoir
organisé la vente d’un rein humain pour une transplantation. Selon le
procès-verbal, Rosenbaum dit avoir fait l’intermédiaire pour la vente de
reins pendant une dizaine d’années.
«Son boulot était de convaincre des personnes
vulnérables de céder un rein pour 10.000$ qu’il revendait de son côté pour
160.000$, » déclare Marra.
Marra est
un procureur fédéral impliqué dans ce dossier. Les informations parues dans la
presse citées ci-dessus donnent à penser aux lecteurs que les «donneurs»
étaient à la fois volontaires et indemnisés, et que cette transaction était
purement privée. Mais des preuves substantielles indiquent que l’affaire est
beaucoup plus inquiétante. Les reins
étaient « donnés » de force par des victimes non consentantes
Le gouvernement israélien dirigeait la sinistre combine de Rosenbaum.
De grands
hôpitaux américains ont participé en toute connaissance de cause à cette
magouille.
Avant d’en
venir aux éléments probants, posons-nous deux questions simples : A qui
exactement a-t-on pris ces reins ? Et quel genre de médecin extrairait le rein
d’un patient sain ?
Je suis ce
qu’on appelle un arrangeur [matchmaker], » avait déclare Rosenbaum à l’agent
infiltré selon le procès-verbal de la plainte.
Si la
transaction avait été réelle, affirment les autorités fédérales, elle aurait
été le chapitre le plus récent des dix années de carrière de Rosenbaum en tant
qu’intermédiaire dans une activité illicite. Dans tous les cas, il prélevait un
échantillon de sang du receveur potentiel et le transmettait à un de ses
associés dans une compagnie d’assurance qui pouvait l’analyser en laboratoire
sans éveiller les soupçons.L’échantillon était
ensuite expédié en Israël où des hommes de l’art étaient payés pour trouver un
donneur compatible.
« Il
ciblait des personnes vulnérables, » indique Mark McCarron, substitut
du procureur fédéral de district. Rosenbaum arrangeait alors le voyage du
donneur pour New York, dont l’obtention du visa, expliquent les autorités. Une
fois le donneur rendu au USA, Rosenbaum fabriquait une relation entre le
donneur et le receveur – une histoire que tous deux répéteraient aux
professionnels de santé. Les deux pouvaient prétendre être associés en affaires
par exemple, ou des amis proches dans une congrégation religieuse.
« Les
hôpitaux semblaient être dans l’ignorance de la réalité, » déclare
MCCarron.
Comme nous
le verrons, nous devrions prendre cette affirmation avec d’énormes pincettes.
La lecture
serrée de l’intégralité
de l’acte d’accusation contre Rosenbaum est troublante.
Rosenbaum a craché le morceau à un informateur se faisant passer pour un
acheteur potentiel d’organes. Pendant leurs discussions, un agent du FBI se
faisait passer pour le secrétaire du client.
Examinons
quelques extraits de l’acte d’inculpation. « CW » réfère à l’informateur dont
le vrai nom est Solomon Dwek. « UC » réfère à l’agent « secrétaire. »
L’UC a
demandé au défendeur Rosenbaum comment le défendeur Rosenbaum pourrait obtenir
pour l’oncle d’UC, et le défendeur Rosenbaum a expliqué que le défendeur
Rosenbaum pouvait envoyer un échantillon du sang de l’oncle d’UC en Israël pour
trouver un donneur compatible potentiel. Le défendeur Rosenbaum a ajouté que
« si vous voulez que les choses aillent plus vite, j’amène le donneur
ici… L’hôpital est l’autorité capable de dire s’il est compatible ou pas. Pas
moi, pas vous, pas lui ni personne.»
Le
défendeur Rosenbaum a alors expliqué qu’il serait nécessaire de fabriquer une
sorte de relation entre le donneur et le receveur. Le défendeur Rosenbaum a
déclaré que « nous mettons en place quelque chose – la relation. L’hôpital
demande quelle est la relation entre « le donneur et le receveur. Le défendeur
Rosenbaum a poursuivi, «Alors nous présentons une relation, amis ou voisins,
ou relations d’affaires, n’importe quelle relation.»
Le
défendeur Rosenbaum a expliqué qu’il n’était pas médecin et qu’une fois qu’il a
amené un donneur volontaire dans le pays, « ce n’est plus de mon ressort. » Il
a ajouté que « Je m’en occupe [du donneur] après, après l’opération
chirurgicale aussi.» Pressé sur ce dernier point, le défendeur Rosenbaum a
expliqué que « Je le place quelque part, » pour prendre soin du donneur. Le
défendeur Rosenbaum a ensuite déclaré : « Vous devez vous en occuper
comme d’un bébé parce qu’il peut avoir un problème de langue ou peut-être pas.»
Le défendeur Rosenbaum a expliqué la démarche pour trouver un donneur en Israël
et déclaré que « il y a des gens là bas qui renchérissent la transaction… Une des raisons de son prix très élevé est qu’on doit
arroser des gens tout le temps [terme yiddish shmear : réunir des gens dont on
a besoin]. »
1. Le
défendeur Rosenbaum a indiqué que parmi ceux qu’il fallait payer se trouvaient
le donneur et les médecins en Israël qui doivent examiner le donneur avant
d’ajouter les dépenses induites par le travail d’obtention du visa et les
dépenses du donneur pendant son séjour aux États-Unis.
Les seules
preuves que le donneur est volontaire sont fournies par Rosenbaum, qui avait
les motifs suivants pour mentir : Il devait soulager la conscience du receveur
potentiel.
2. Il
devait justifier les fortes sommes d’argent impliquées.
3. Il devait
protéger les médecins et les hôpitaux impliqués dans l’opération. Rosenbaum
savait qu’il s’était lancé dans un commerce risqué et que même s’il se faisait
prendre, il lui fallait quand même protéger les hôpitaux et les médecins liés à
ce misérable commerce. Avons-nous des éléments de preuves que les donneurs
étaient contraints ? Oui. En fait nous avons le témoignage d’un «témoin» de
l’intérieur.
Nancy
Sheperd-Hughes de l’université de Californie, Berkeley, a été et reste toujours
très claire sur le rôle de Rosenbaum dans le réseau.
« Il
est le principal intermédiaire étatsunien pour un réseau international de
trafic d’organes, » dit-elle.
Parmi ses
sources, un homme qui avait commencé à travailler avec Rosenbaum en s’imaginant
qu’il allait aider des personnes dans une situation désespérée. Cet homme a
alors commencé à voir les donneurs, ou pour être plus précis, les vendeurs, qui
étaient ramenés de pays pauvres comme la Moldavie.
« Il
dit que c’était affreux. Ces gens étaient amenés aux USA et ne savaient même
pas ce qui était supposé se passer et ils volaient rentrer chez eux, et ils
pleuraient, » raconte Scheper-Hughes.
Cet homme
qualifiait Rosenbaum de «voyou» capable de sortir un pistolet, qu’il semblait
avoir le droit de porter, pour dire aux vendeurs, " Vous êtes ici.
Un accord est un accord. Maintenant, vous allez nous donner un rein ou vous ne
rentrerez jamais chez vous".
(Incidemment,
la Moldavie est un petit pays limitrophe de l’Ukraine).
Scheper-Hughes,
qui écrit un livre sur ce sujet, s’est présentée au FBI en 2002. Ses preuves
avaient été écartées. Le Département d’Etat a publié en 2004 un rapport qui
stigmatisait le trafic d’organes comme «légende urbaine.» Alors que les
autorités d’autres pays ont agi en suivant ses pistes et procédé à des
arrestations.
Scheper-Hughes
a eu plus de chance en Afrique du Sud et au Brésil où l’institution judiciaire
a corroboré ses découvertes et agi avec fermeté.
Mais le
réseau a continué à fonctionner ailleurs. Scheper-Hughes a visité des villages
moldaves dont «20 % des hommes adultes
avaient été recrutés pour être des vendeurs de reins sur le même principe.»
Arrêtons-nous
pour réfléchir à nouveau aux déclarations de Rosenbaum à l’informateur du FBI.
Comment une personne sensée qui travaille dans un hôpital pourrait-elle gober
l’histoire selon laquelle lesreceveurs –
des Juifs Américains – assistaient à des offices religieux avec
des Brésiliens et des Africains ?
Vous pouvez
voir une conférence de l’héroïque Nancy Sheperd-Hughes ici. La
vidéo donne aussi son résumé qui est très impressionnant. Son témoignage devant
une sous-commission de la Chambre des Représentants se trouve
ici.
Brian Lehrer de NPR a interviewé
Scheper-Hughes. Extrait :
J’avais
commencé à remonter un réseau complet – un réseau criminel qui a tout l’air, a
le parfum d’une sorte de mafia. Le
quartier général de cette structure pyramidale se trouve en Israël, avec des
intermédiaires en Turquie, à New York, à Philadelphie, à Durban, à
Johannesburg, à Recife au Brésil, en Moldavie un peu partout. Et
j’ai utilisé mes compétences dans l’enquête ethnographique pour sillonner le
terrain et tenter d’assembler les pièces du puzzle.
Ce qui, à
la fin, m’a conduite à identifier Isaac Rosenbaum comme étant l’intermédiaire
principal d’Ilan Peri en Israël qui est, à la base, le cerveau de l’opération,
et qui est un type insaisissable. Les Israéliens ont essayé de le coincer de
l’arrêter. Ils ont essayé de l’avoir pour fraude fiscale et il a fui en
Allemagne. Je pense qu’il est revenu en Israël. Un esprit cynique dirait que M.
Peri a ce que le Mossad appelle «un cheval» qui court pour lui (en Israël, un «
cheval » est un terme d’argot pour désigner un gros bonnet qui offre une aide
en sous-main et qui le protège). Même s’il est très peu connu du public, M.
Peri et ses activités sont mentionnés dans cet
article de 2004.
Cet
article fascinant de l’Agence France Presse apporte des
informations de premier ordre.
Un officier
de l’armée israélienne en retraite nommé Geldaya Tauber Gady a été arrêté au
Brésil pour sa participation à ce réseau international de trafic d’organes. (je
suppose que les informations de Scheper-Hughes – qui ont été prises au sérieux
au Brésil – ont mené à l’arrestation de Gady).
Il a expliqué au tribunal que le gouvernement israélien finançait
l’opération. Et encore : Gady a déclaré au tribunal
qu’un officiel du gouvernement israélien, identifié seulement comme Ilan,
l’avait mis en contact avec un intermédiaire au Brésil…
Le
témoignage de Gady devant le tribunal jette une lumière entièrement nouvelle
sur le dossier Rosenbaum.
La
couverture par la presse américaine a amené l’opinion à croire que le trafic de
reins par Rosenbaum était simplement une affaire d’enrichissement
personnel. Mais un ancien officier
Israélien a déclaré sous serment que le gouvernement israélien dirige ce réseau
.et que la tête du réseau – «Ilan» est à l’évidence Ilan Peri – agit en tant
qu’agent de ce gouvernement.
(Maintenant
je me demande : le gouvernement israélien était-il impliqué dans le blanchiment
d’argent qui s- faisait par les synagogues du New Jersey ?).
Franchement,
je soupçonne Scheper-Hughes d’être au courant de l’intégralité du témoignage de
Gady et de ses implications pour le dossier Rosenbaum. Elle a probablement
choisi de se taire à ce sujet pour éviter de se décrédibiliser devant la presse
américaine.
Dans la
suite de l’interview avec Lehrer, Scheper-Hughes donne plus de détails sur ses
découvertes en Moldavie. Dans des villages de ce pays, de nombreux hommes
jeunes rapportent qu’on leur a dit qu’ils pourraient trouver du travail comme
peintres en bâtiment dans d’autres pays (dont les Etats-Unis). Une fois dans
cet autre pays, on les forçait à donner un de leurs reins.
Selon
l’informateur de Scheper-Hughes à l’intérieur de l’organisation de Rosenbaum,
des Russes perdus et désorientés étaient transférés à New York par des
intermédiaires Israéliens qui les contraignaient par la force des armes à
«donner» leurs reins.
Scheper-Hughes
: Ils m’ont donné les noms de ces hôpitaux, et c’étaient nos meilleurs hôpitaux
!
Brian
Lehrer: Et savaient-ils, professeur, qu’ils pratiquaient de la chirurgie rénale
sur des gens qui ne participaient pas de leur plein gré et qui étaient
exploités et menacés ?
Scheper-Hughes
: Mon point de vue est, comment certains d’entre eux pouvaient-ils ne pas le
savoir ? Les gens qui arrivaient, certains d’entre eux ne parlaient pas les mêmes
langues, ils étaient très pauvres, ils étaient désorientés…Nous avons des
règles. Nous avons des commissions de régulation des transplantations. Nous
avons des règles éthiques. Et on ne laisse pas comme ça les gens sortir des
clous.
Elle en
vient à citer l’hôpital Mont
Sinaï, contre lequel elle a des preuves filmées. Elle
a porté cette bande vidéo à l’attention de 60 minutes qui ne l’a pas diffusée.
Plus loin dans l’interview, elle parle des opérations pratiquées au centre
médical Albert Einstein. L’hôpital Mont Sinaï affirme que ses donneurs de reins
«sont soumis à une évaluation approfondie pour leurs propres sécurité et
bien-être.»
Des années durant, de nombreuses personnes ont accusé Israël de trafiquer
les organes de Palestiniens. Les Palestiniens eux-mêmes ne doutent pas du
caractère courant de cette pratique.
Récemment,
en 2004, le Département d’Etat a officiellement dénoncé comme un « mythe »
l’affirmation qu’il existe un trafic d’organes aux États-Unis. Comme nous le
savons maintenant, ce « mythe » a une base réelle.
Les
accusations destinées à nous faire taire en nous accusant d’antisémitisme ne
devraient pas nous dissuader de mener une enquête honnête et sans préjugés sur
le dossier israélien. J’observerai que ceux qui évoquent le trafic d’organes en
Chine et en Inde ne sont pas accusés d’hostilité raciste envers les Chinois ou
les Indiens.
Ce livre
en ligne est d’une haute tenue et cite des sources
fiables, dont Scheper-Hughes. Les références bibliographiques attribuent le
récit qui suit à David Yallop, un auteur respecté.
Gaza, 8 février 1988
Khader
Elias Tarazi, un Palestinien Chrétien de 19 ans, allait faire des courses à
Gaza. Alors qu’il rentrait, deux sacs sur sa bicyclette, il traversa une route
près d’une manifestation où des lanceurs de cailloux fuyaient les soldats de
l’armée israélienne. Les soldats s’emparèrent de Khader et le frappèrent au
corps et à la tête avec des matraques. Les commerçants criaient que Khader
n’était pas dans la manifestation mais les soldats brisèrent une jambe et un
bras de Khader. Ils continuèrent à le frapper puis le balancèrent contre le
capot de leur jeep pour menotter Khader inconscient à la barre anti crash
avant de leur véhicule. Ils roulèrent en freinant souvent brusquement, ce qui
provoqua d’autres blessures dont une fracture de la colonne vertébrale, des
traumatismes crâniens et son visage cognait sans arrêt contre le capot.
Le médecin
de la prison militaire de Gaza refusa de soigner Khader à cause de la gravité
des blessures et des lacunes dans les formalités administratives. Il fut emmené
à la prison Ansar 2 et jeté dans une tente hébergeant 30 à 40 prisonniers. Les
autres détenus Palestiniens hurlèrent qu’il devait être conduit à l’hôpital et
les gardes leur répondirent en les obligeant à se déshabiller et à rester
dehors dans le froid hivernal. Khaled décéda dans la tente et fut ensuite
emmené à l’hôpital Soroka à Beer Sheba où son décès fut constaté.
La mère de
Khader était à l’extérieur de la prison quand des responsables Israéliens ont
nié avoir un prisonnier de ce nom à l’intérieur. Plus tard, ils reconnaîtront
qu’il était à l’intérieur mais diront qu’il devait être très malade quand il
est parti faire des courses car il était mort maintenant.
Les
officiels Israéliens refusèrent de restituer le corps qui fut transféré à
l’hôpital Abu Kabeer, officiellement pour une autopsie. Mme Tarazi a déclaré à
David Yallop que pendant ce temps de nombreux organes ont été prélevés
illégalement de son corps.
Aucune
enquête n’a été menée sur le décès et la famille Tarazi s’est entendue dire que
si elle continuait à demander une enquête elle aurait des problèmes. Cinq mois
plus tard, des soldats et la police secrète rendirent visite au domicile des
Tarazi, frappèrent le frère et le père de Khader et jetèrent le premier en
prison.
Yallop est
aussi la source pour ce qui suit.
Cisjordanie, 30 octobre 1988
Des
Palestiniens Catholiques Romains qui quittaient la messe furent confrontés à
l’armée israélienne et commencèrent à lancer des pierres. Iyad Bishara Abu
Saada, 19 ans, fut tué par une balle en caoutchouc qui lui avait sectionné
l’artère abdominale. La même chasse sinistre au cadavre s’ensuivit. Les proches
de la victime échappèrent aux Israéliens et Iyad fut enterré quelques heures
plus tard. De manière quelque peu prévisible, les Israéliens tirèrent des
grenades lacrymogènes dans le domicile familial quatre jours plus tard. Mme
Saada a déclaré à David Yallop que la pratique du prélèvement d’organes était courante
et a cité des hôpitaux arabes et israéliens où, selon elle, les organes étaient
retirés. Elle disait que des médecins, accompagnés de soldats, offraient de
grosses sommes d’argents aux familles des tués.
Mary
Barrett, une photographe de presse de Boston (je ne sais rien d’autre sur elle)
a écrit ce texte en
1990.
Le Dr Abu
Ghazalah attribue l’étendue des craintes au sujet des vols d’organes qui s’est
emparée de Gaza et de la Cisjordanie depuis le début de l’Intifada en décembre
1987 à plusieurs facteurs. " Il y
a des indications que pour une raison ou pour une autre, des organes,
particulièrement des yeux et des reins, ont été prélevés sur des cadavres
pendant la première année ou le premier an et demi. Il y a eu tout simplement
beaucoup trop de récits de la part de gens crédibles pour qu’il ne se soit pas
passé quelque chose. Si quelqu’un a été tué d’une balle dans la tête et rentre
à la maison dans un sac en plastique sans ses organes internes, qu’en déduiront
les gens ?"
Le médecin
en arrive à dire qu’il y a eu « quelques incidents qui pointent dans cette
direction » comme en 1990. Incidemment, le texte mentionne le Dr Yehuda Hiss,
tout récemment accusé de
prélever sans autorisation des organes de soldats Israéliens morts.
Selon un
article publié par Haaretz (une
source qu’on ne peut pas accuser d’antisémitisme), les autorités roumaines ont
accusé une agence israélienne d’adoption de participer à une conspiration de
trafic d’organes à l’échelle internationale.
L’ambassade
de Roumanie en Israël a demandé et obtenu du ministère israélien du travail et
des affaires sociales, une liste de tous les enfants nés en Roumanie et envoyés
en Israël pour y être adoptés ces dernières années. Les responsables Roumains
cherchent à vérifier que tous ces enfants sont arrivés en Israël avec
l’intégralité de leurs organes.
Histoire d’un don volontaire d’organe par un
Palestinien.
En 2005,
dans la ville de Jenine, l’armée israélienne a tué par balles un enfant
Palestinien nommé Ahmed Khatib. Son père, affligé, avait autorisé à ce que
divers organes de son fils puissent servir à sauver la vie d’autres enfants,
Juifs ou Arabes. Une offre généreuse et humaine. Néanmoins, le père
d’une fille juive dont la vie a été sauvée ainsi a déclaré qu’il
ne permettrait jamais à sa fille de se lier d’amitié avec un Arabe – par
crainte d’une mauvaise influence.
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« Survivant de l’holocauste » et
trafiquant d’organes
Normalement,
l’arrestation en Europe du chef d’un réseau de trafic d’organes humains aurait
dû faire les gros titres des journaux.
Il n’en a
pourtant rien été avec l’arrestation d’un certain Gedalya Tauber le 6
juin 2013 à l’aéroport de Rome. On ne trouve que quelques références sur cette
affaire sur internet comme cet article du journal Ouest-France, un des plus
détaillés de ce que la presse francophone a à nous offrir:
Faits
divers vendredi 07 juin 2013
Gedalya
Tauber, un ex-officier israélien de 77 ans à la tête d’un trafic international
d’organes humains a été arrêté jeudi à l’aéroport Leonard de Vinci de Rome, a
annoncé vendredi la police italienne. L’homme était recherché depuis octobre
2010.
Recherché
par toutes les polices du monde et fiché par Interpol, l’ancien militaire a été
identifié à l’aéroport par deux agents, dont le responsable de la police de
l’air et des frontières, Rosario Testaiuti.
« Nous
avons arrêté Gedalya Tauber qui est visé par un mandat d’extradition à la suite
d’une condamnation à la peine de prison à perpétuité en Israël », a déclaré
Antonio Del Greco, un responsable de la police à l’aéroport.
Cerveau du
trafic d’organes entre le Brésil et Israël
Israëlien
résident au Brésil, Gedalya Tauber avait été arrêté en 2010 pour trafic
d’organes, avec son partenaire Eliezer Ramon et six autres Brésiliens, à
Recife, au nord-est du Brésil. Considéré comme le cerveau du trafic d’organes
entre le Brésil et Israël, il organisait des opérations à l’hôpital de Sainte Augustine
de Durban, en Afrique du Sud.
Son groupe
enrôlait des Brésiliens provenant des quartiers pauvres de Recife et payait
entre 3.000 et 10.000 dollars pour un rein, qui était ensuite transplanté à
l’acheteur. Tauber s’occupait aussi bien de trouver les donneurs que les
bénéficiaires, ces derniers tous Israéliens. Selon les médias il aurait
organisé plus de 35 opérations illégales dans l’hôpital de Sainte Augustine.
Gedalya
Tauber est donc un ressortissant israélien, ancien officier de l’armée de
surcroît, deux bonnes raisons d’être discret car ne sommes-nous pas là devant
ce qu’on appelle des circonstances atténuantes?
Et puis,
nous apprend la presse sioniste, Gedalya Tauber a aussi été chef de la police
de Tel-Aviv et, surtout, il serait un
survivant de l’holocauste
Gedalya
Tauber, une souffrance incomprise
Israël : sept personnes
inculpées pour un trafic d'organes international
Sept
Israéliens ont été inculpés mercredi à Tel-Aviv pour appartenance à un réseau
international de trafic d'organes et de greffes illégales au Kosovo, en
Azerbaïdjan, au Sri Lanka et en Turquie, a indiqué le ministère israélien de la
Justice. AFP / Jacques Demarthon
Une partie
d'un réseau international de trafic d'organes et de greffes illégales a été
démantelée ce mercredi. Sept Israéliens ont été inculpés mercredi à
Tel-Aviv, accusés d'avoir donné à des malades israéliens des organes en
provenance du Kosovo, d'Azerbaïdjan, du Sri Lanka ou de Turquie.
Ils auraient réalisé des profits en se livrant «à des dizaines d'occasions»
à des trafics d'organes entre 2008 et 2014, a affirmé le ministère dans un
communiqué, en les accusant d'avoir exploité «la détresse économique des
donneurs et la détresse médicale des receveurs».
Déjà connus des autorités
Un des accusés, Avigad Sandlar, repérait les malades israéliens en vue de
leur proposer des organes de personnes vivant au Kosovo, en Azerbaïdjan et au
Sri Lanka. Un autre, Boris Wolfman, était chargé de repérer des donneurs
potentiels, qui acceptaient de vendre un rein, au Kosovo et en Azerbaïdjan,
avant d'étendre ses activités au Sri Lanka et à la Turquie.
Le troisième inculpé, Moshé Harel, sévissait également au Kosovo avec un
médecin turc, Yusuf Ercin Sonmez. Leurs deux noms avaient déjà été évoqués lors
d'un procès en 2013 pour trafic d'organes au Kosovo mais aucune suite n'avait
été donnée. Un autre inculpé, le docteur Zaki Shapira, considéré comme un
expert en matière de greffes d'organes, était chef de service pour ce genre
d'intervention à l'hôpital Beilinson près de Tel-Aviv jusqu'à ce qu'il prenne
sa retraite en 2003.
Les donneurs se voient promettre 15 000 euros
Il faisait partie «intégrante» des activités illégales des autres inculpés
au Kosovo, en Azerbaïdjan et au Sri Lanka, a affirmé le ministère. «Il a
exploité sa renommée pour aider les autres inculpés en mobilisant des receveurs
potentiels, en s'occupant des démarches administratives et en vérifiant la
qualité des hôpitaux et des médecins qui effectuaient les greffes», a-t-il
ajouté.
En avril 2013, un tribunal européen avait condamné cinq médecins kosovars à
des peines allant jusqu'à huit ans de prison pour trafic d'organes au Kosovo.
Les donneurs, recrutés en Europe et en Asie centrale, se voyaient promettre
15.000 euros tandis que les receveurs d'organes étaient prêts à débourser
jusqu'à 100.000 euros pour une telle intervention. Dans l'acte
d'accusation, Moshé Harel avait été présenté comme étant le cerveau d'un réseau
de recrutement de donneurs et de receveurs d'organes, alors que Yusuf Ercin
Sonmez était soupçonné d'avoir effectué les greffes.
Portrait mondial du
commerce d'organes
Voici les
principaux organes et tissus demandés :
États-Unis Kosovo Afrique du Sud (ville de Durban) Israël Inde (ville de Gurgaon) Philippines Égypte Pakistan Chine Iran Canada NépalColombie Malaisie Moldavie Turquie
La liste
ci-dessus permet de voir où sont survenus des scandales récents liés au trafic
d'organes.
Bernard Kouchner au Kosovo
L’existence du trafic d’organes au Kosovo ne fait plus aucun doute, et bon
nombre d’amis de Bernard Kouchner sont impliqués dans le réseau: http://www.egaliteetreconciliation.fr/Trafic-d-organes-les-amis-de-Bernard-Kouchner-impliques-18574.html
Le SIFT (Special Investigative Task Force) a confirmé
l’existence passée d’un réseau de trafic d’organes au Kosovo et a apporté de
nombreuses preuves. La plaque tournante de ce réseau était une clinique de la
banlieue de Pristina, la capitale du Kosovo:
Le cerveau présumé du réseau serait l’Israélien Moshé Harel. Lui et un
médecin turc aurait réalisé d’énormes profits grâce à ce trafic. Une grande partie des commandes d’organes provenait d’Israël.
http://www.20minutes.fr/monde/1607875-20150513-sept-israeliens-inculpes-trafic-organes-international
L’ancien
ministre des affaires étrangères sous l’ère Sarkozy avait reçu en 2009 à Paris
des hommes impliqués dans ce réseau, déclarant être « heureux » et
avoir reçu des « amis ».
Pour bon
nombre de personnes, Bernard Kouchner était au courant de ces crimes et il
était un des leaders du réseau. Pourtant, en mars 2010 dans l’enclave serbe de
Gracanica, Kouchner nia l’existence du réseau et préféra en rire à gorge déployée.
En 2014,
interrogé par les micros d’AIL sur la « maison jaune », le médecin de
formation Bernard Kouchner nie toujours le trafic d’organe au Kosovo alors que
les preuves sont accablantes. Il semble même gêné de la présence des
journalistes. Il nie
tout en bloc.
Donc, un avis sur cela Bernard?
« C’étaient des enfants
et ils leur coupaient la tête » explique un enfant – les réseaux
pédocriminels
par christophe - nov
7, 2015
Cet article
va vous présenter sommairement la triste réalité sur les réseaux pédocriminels,
des réseaux ultra-protégés par les plus hautes sphères de l’État dans de nombreux
pays et qui sévissent en quasi totale impunité. C’est pour cela qu’il faut
mettre ces gens et ces sujets sous les projecteurs. Ils n’aiment pas être mis
dans la lumière.
L’élite est
particulièrement impliquée dans ces réseaux (les familles royales, avocats,
ministres etc). Pour ne citer qu’un exemple, on peut prendre le cas du prince
Andrew:
Vous ne
verrez que le sommet de l’iceberg dans ces vidéos.
Thierry Lévy
|
Lors du
visionnage des vidéos, vous deviendrez fou de rage quand vous
entendrez l’avocat Thierry Lévy s’offusquer sur France 3 sur le fait
qu’on ne puisse pas abuser tranquillement les enfants dans notre société.
(vidéo 1)
galement,
vous verrez Maurice Gutman, membre
du CRIF, demander à une fille de 12 ans de montrer son entrejambe
sur Internet et de venir le rencontrer sur Paris, pour aller un plus peu plus
loin dans l’horreur. Il s’est fait piéger par une émission de télévision. Il
s’en est sorti avec un simple sursis !
Frédérick Mitterand a aussi avoué aimer les enfants, les jeunes garçons,
« la chair fraîche« . Comme il le dit si bien, « au-dessus de 14 ans c’est dégueulasse« . Les réseaux pédophiles élitistes sont omniprésents dans l’Europe
Occidentale, comme vous le verrez dans cette vidéo (fr):
Israël : Paradis pour le trafic d’organes
Les
palestiniens, en plus d’être victimes de l’occupation, des meurtres, des
tortures et autres spoliations, sont aussi une cible de choix pour le trafic
d’organes dont l’entité sioniste est aujourd’hui, le leader mondial.
A la
lecture de ces lignes, les défenseurs du régime criminel crieront certainement
au complot antisémite et évoqueront les anciennes croyances médiévales
racistes, prétendant que les Juifs tuaient les enfants chrétiens pour leur sang
etc… Mais les faits sont implacables, à condition d’avoir de la mémoire et il
n’est pas question ici de théorie du complot :
En effet,
on se souvient qu’en 1998, un Ecossais mourait dans des circonstances
étranges à l’aéroport de Tel Aviv, et que son autopsie réalisée à Glasgow
révéla que le cœur, ainsi qu’un petit os du cou manquaient, ce qui poussa
l’ambassade britannique à Tel Aviv à porter plainte contre l’État d’Israël.
En 2004, un réseau
international de trafic d’organes qui avait des ramifications en Israël a été
démantelé à Recife au Brésil impliquant là aussi deux citoyens israéliens dont
un officier de l’armée en retraite qui avait expliqué au tribunal qu’il ne pensait
pas que son activité était illégale puisque le gouvernement israélien
finançait l’opération …
En 2009, un vaste
réseau de trafic d’organes qui prenait source en Israël avait été démantelé par
le FBI dans une opération gigantesque lors de laquelle 5 rabbins avaient
été arrêtés (certains des organes avaient été prélevés sur des enfants enlevés
en Algérie).
En 2010, le
quotidien israélien Haaretz révélait que six Israéliens, parmi lesquels un
général de brigade en réserve de l’armée et deux avocats avaient été
arrêtés pour trafic d’organes.
En 2013,
un ex-officier israélien a été arrêté à Rome, il était
responsable d’un trafic d’organes impliquant un groupe hospitalier privé de
l’Afrique du Sud.
Il y a
quelques jours, l’Israélien Gedalya Tauber a été arrêté en Belgique,
il était le chef d’un important réseau de trafic d’organes, sévissant depuis
des années au Brésil. Il est à noter que durant ses années de cavales, le
criminel se déplaçait pourtant sans aucun souci en Israël ou aux USA….
Ce ne sont
là que quelques exemples d’une longue liste d’affaires impliquant les réseaux
israéliens de trafic d’organes, et les pays dans lesquels ils sévissent sont
nombreux (Moldavie, Kossovo, Roumanie..), mais le premier d’entre eux
reste évidemment, l’entité sioniste qui dispose de victimes de choix : les
Palestiniens.
Dernièrement,
aux Nations Unies, le représentant de l’Autorité palestinienne a accusé
Israël de restituer les corps des Palestiniens tués avec des « organes
manquants », ce qui a été qualifié de « diffamation sanglante » par
l’occupant.
Pourtant,
le 29 Octobre dernier, le rabbin Yaakov Menken qui gère l’un des sites juifs le
plus important du monde a déclaré qu’il était « favorable au prélèvement
d’organes sur des Palestiniens tués (qu’il appelle évidemment
« terroristes ») ce qui n’avait ému personne dans notre patrie des
droits de l’homme.
Etrange aussi que l’armée d’occupation ait décidé, dorénavant, de refuser
de rendre à leurs familles les corps des martyrs palestiniens(d’ailleurs les cadavres de milliers de Palestiniens tués dans des
conditions ambigües, n’ont jamais été restitués à leurs proches depuis de
nombreuses années).
On se rappelle alors de cet article publié en été 2009, dans un journal
suédois et qui avait créé une crise diplomatique entre Stockholm et Tel-Aviv.
En effet, il dénonçait justement, l’affaire des vols et trafics d’organes
prélevés sur des Palestiniens exécutés par l’armée israélienne.
Le journaliste Donald Bostrom y évoquait par ailleurs, le fait que les
Palestiniens soupçonnaient fortement Israël de capturer des jeunes hommes
qui servaient de réserves d’organes avant d’être tués. Une accusation
très grave, mais avec suffisamment de points d’interrogation pour motiver la
Cour internationale de Justice (CIJ) à ouvrir une enquête sur d’éventuels
crimes de guerre.
Il y racontait que lors de son séjour en Palestine occupée, des membres du
personnel de l’ONU l’avaient contacté en affirmant que des vols d’organes
avaient certainement lieu.
Évidemment, l’auteur avait été taxé alors d’ignoble antisémite, et aucun
début de réponse n’avait été donné quant aux questions soulevées dans son
article.
Ainsi,
Israël est clairement et notoirement impliqué dans plusieurs affaires
concernant le trafic d’organes, dans divers pays et depuis de nombreuses
années, mais il serait inenvisageable qu’elle prélève illégalement les organes
des Palestiniens qu’elle assassine impunément depuis des décennies ???
Pourquoi aucune émission télé ou radio ne parle de ce sujet qui est
gravissime?
Pourquoi avoir peur de dévoiler la nature diabolique et criminelle de ce
régime illégitime?
Pourquoi ce silence des habituels défenseurs des droits de l’homme ?
Pédophilie et esclaves sexuelles
autorisées en ISRAEL
Les polices italienne et russe, en travaillant ensemble, ont démantelé un
réseau de gangsters juifs impliqués dans le trafic de viol d'enfants et dans la
pornographie.
Trois juifs russes et huit Juifs italiens ont été arrêtés après que la
police a découvert qu'ils avaient kidnappé des enfants non-juifs âgés de deux à
cinq ans, dans des orphelinats russes, violant les enfants, puis les
assassinant en filmant leurs exploits. Des centaines de clients, dont 600 en
Italie, et un nombre inconnu aux États-Unis, ont payés jusqu’à
20.000 $ par film, dans lequel on voit des petits enfants violés et assassinés.
Bien A.P. (Associated Press) et Reuters rapportaient tous les deux ces
informations, mais les groupes médiatiques américains ont refusé de porter
l'histoire à la télévision, arguant que ce genre d’information pourrait nuire
aux relations avec Israël.
La mafia juive en Russie est devenue de plus en plus liée au trafic des
«esclaves blanches» et des prostituées vers Israël, selon un rapport récent
dans le Jerusalem Post. Israël officiel ferme les yeux face à ces
trafics, et ne punit pas les citoyens israéliens qui choisissent de posséder
«esclaves sexuelles», tant que ces esclaves sont étrangères et non juives, car
la tradition talmudique permet ce trafic.
Source : isamaria777
Etrange aussi que l’armée d’occupation ait décidé, dorénavant, de refuser
de rendre à leurs familles les corps des martyrs palestiniens(d’ailleurs les cadavres de milliers de Palestiniens tués dans des
conditions ambigües, n’ont jamais été restitués à leurs proches depuis de
nombreuses années).
On se rappelle alors de cet article publié en été 2009, dans un journal
suédois et qui avait créé une crise diplomatique entre Stockholm et Tel-Aviv.
En effet, il dénonçait justement, l’affaire des vols et trafics d’organes
prélevés sur des Palestiniens exécutés par l’armée israélienne.
Le journaliste Donald Bostrom y évoquait par ailleurs, le fait que les
Palestiniens soupçonnaient fortement Israël de capturer des jeunes hommes
qui servaient de réserves d’organes avant d’être tués. Une accusation
très grave, mais avec suffisamment de points d’interrogation pour motiver la
Cour internationale de Justice (CIJ) à ouvrir une enquête sur d’éventuels
crimes de guerre.
Il y racontait que lors de son séjour en Palestine occupée, des membres du
personnel de l’ONU l’avaient contacté en affirmant que des vols d’organes
avaient certainement lieu.
Évidemment, l’auteur avait été taxé alors d’ignoble antisémite, et aucun
début de réponse n’avait été donné quant aux questions soulevées dans son
article.
Ainsi,
Israël est clairement et notoirement impliqué dans plusieurs affaires concernant
le trafic d’organes, dans divers pays et depuis de nombreuses années, mais il
serait inenvisageable qu’elle prélève illégalement les organes des Palestiniens
qu’elle assassine impunément depuis des décennies ???
Pourquoi aucune émission télé ou radio ne parle de ce sujet qui est
gravissime?
Pourquoi avoir peur de dévoiler la nature diabolique et criminelle de ce
régime illégitime?
Pourquoi ce silence des habituels défenseurs des droits de l’homme ?
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Source : Publié le 21 Décembre 2017
http://slisel.over-blog.com/2017/12/la-maffia-israelienne.trafic-d-organes-humains-et-pedophilie.html
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerdire qu on croise potentiellement ces gens tous les jours incognito
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