Si
les membres du Congrès américain d’autres origines (que WASP) doivent rentrer
dans leur pays, comme l’a suggéré le président américain Donald Trump, le chef
de l’État américain devrait lui-même parir en Israël, où son allégeance
réside, a déclaré un expert érudit américain.
Le
Dr Kevin Barrett, universitaire et politologue basé dans le Wisconsin, a tenu
ces propos à la suite de tweets racistes de Trump, qui a appelé plusieurs
femmes législatrices critiques critiquant sa politique à retourner dans leur
pays d'origine.
Dans
une série de tweets lundi, Trump a déclaré que les femmes du Congrès, dont
trois musulmanes, "vomissaient" une "haine raciste", les
exhortant à "retourner" dans leurs pays "d'origine brisés et
infestés par le crime".
Trump le raciste frappe à nouveau
Trump
faisait référence aux représentants Alexandria Ocasio-Cortez de New
York, Ilhan Omar du Minnesota, Rashida Tlaib du Michigan et Ayanna
Pressley du Massachusetts.
À
l'exception d'Omar, qui vient d'une famille de réfugiés somaliens, les trois
autres législateurs sont américains de naissance. Tlaib esty d’origine palestinienne.
"Il
est assez étonnant que Trump pense que c'est une stratégie gagnante",
a déclaré Barrett à Press TV mardi. "Nous pouvons voir pourquoi il
croit pouvoir essayer d'accuser ces femmes du Congrès de gauche d'être en
dehors de la base de sa base, compte tenu du fait que la base de Trump est une
population nativiste et en grande partie blanche."
"Cela
montre vraiment que l'électorat américain a dépassé de loin toutes les limites
connues", a-t-il ajouté.
Trump
a doublé la mise en affirmant que les législatrices en question avaient laissé
les pauvres Israéliens se sentir "abandonnés" en critiquant les
crimes de Tel-Aviv contre les Palestiniens.
«Pourquoi
Trump assimile-t-il le bureau du président et le peuple d'Israël? Eh bien,
c'est peut-être parce que… Trump est en fait un atout aux mains des sionistes»,
a déclaré Barrett.
Faisant
référence à de nombreuses politiques pro-israéliennes de Trump depuis son
entrée en fonctions, Barret a déclaré que cette théorie n'était pas exagérée.
"Peut-être que Trump devrait
retourner d'où il vient, ce qui est le génocidaire Israël", a-t-il ajouté.
En
effet, selon un
reportage de la chaîne israélienne Channel 10, le président Trump a
également mentionné ses liens de parenté avec le judaïsme à travers sa fille
Ivanka, son gendre Jared Kushner et les enfants du couple. “J’ai un lien
personnel avec le judaïsme : Ivanka, Jared et leurs enfants”, a-t-il dit. L’analyste
a déclaré que les remarques de Trump étaient également similaires au cas de son
ami et partenaire,Jeffrey Epstein, un malfrat milliardaire, un trafiquant de
sexe, en ce sens que dans les deux cas «des hommes blancs riches et âgés se
sentent libres d’abuser des jeunes femmes de milieux plus pauvres» et de races
différentes. »
Barrett
a déclaré qu'il n'était pas sage que Trump utilise une telle rhétorique contre
d'autres femmes alors qu'il est l'un des nombreux hommes puissants accusés de
complicité de viols de mineures avec Epstein.
Donald Trump, un
crypto-juif ?
Le nom de famille Trump
était initialement Drumpf. Ce n’est qu’en 1885 qu’arriva aux États-Unis
le grand-père paternel du magnat de l’immobilier, Friedrich Drumpf,
natif de Kallstadt en Rhénanie-Palatinat, le berceau de la culture ashkénaze
et de sa langue, le yiddish.
Officiellement, Donald
Trump est un presbytérien. Son pasteur a été Norman Vincent Peale, « The
great Norman Vincent Peale », a-t-il dit récemment à la télévision. C'est
Peale, franc-maçon du 33e degré, qui a consacré le premier mariage de
Donald. Il faut cependant savoir que l’idéologie de Peale n’a pas grand-chose à
voir avec le christianisme, mais clairement avec le satanisme.
Donald Trump durant sa
campagne : « Le seul candidat qui soutienne réellement Israël, c’est moi.
Les autres ne font que parler, mais n’agissent pas. Ce sont des politiciens. Je
suis loyal envers Israël depuis le jour de ma naissance. Mon père, Fred Trump,
était avant moi loyal envers Israël. »
Pourquoi cette loyauté
indéfectible envers Israël ? C’est une véritable manie chez les présidents américains
de cacher leurs origines. Trump a fait comme le
judéo-maçon du 33e degré Franklin Delano Roosevelt, qui descend
d’une famille Rossocampo expulsée d’Espagne par Isabelle la Catholique. Ils
changèrent plusieurs fois de nom. Réfugiés aux Pays-Bas, ils prirent celui de van
Rosenvelt et le transformèrent en Roosevelt une fois émigrés aux États-Unis
où ils s’y sont distingués dans le trafic de la
drogue, ce qui a certainement permis à Franklin de pouvoir s’élever
jusqu’à la présidence des États-Unis…
Il y a quand même des
petits couacs dans la généalogie de Donald Trump. Son arrière-arrière
grand-mère était Katherina Kober, née vers 1836 à Kallstadt, Palatinat (Kober
est un dérivé des noms juifs « Jakob » ou « Jakov »).
Friedrich Drumpf,
l’arrière-arrière grand-père de Donald.
Deux de ses sœurs
apparaissent dans genealogy.com sous les noms d’Elisabetha Freund et de
Syblia Schuster, deux patronymes juifs. La tante de Donald Trump, Elizabeth, a
épousé William O. Walter, un patronyme souvent adopté par les migrants juifs
débarquant à Long Island. Il existe aussi des trous dans la généalogie de la
mère de Trump, Mary Anne MacLeod, où si l’on s’en strictement à la chronologie
les filles épousent les pères !... Hervé Ryssen aurait peut-être quelque chose
à dire à ce sujet… Les
parents de Trump décédèrent au Centre médical juif, New Hyde Park de Long
Island.
Trump a été élevé dans
le Jamaica Estates, riche zone résidentielle du Queens (New York), dont
la population est majoritairement juive. Il y a fréquenté l’école de
Kew-Forest. Parmi ses camarades de classe, l’on compte Katherine Weber, juive,
Gideon Yago, juif, et Hank Azaria, juif.
Le grand-père de Donald Trump était un souteneur, (comme Epstein, l’ami
de Donald) propriétaire de bordels dans le Yukon, au Canada, pendant la Ruée
vers l’or, et qui s'est distingué dans l'évasion fiscale après être retourné
en Allemagne d’où il était originaire. Le père de Donald, Frederick Christ
Trump, surnommé Fred, est né en 1905 dans le Queens. Il était un chevalier du Ku Klux Klan d’Albert
Pike et également un franc-maçon du 33e degré du Rite Écossais. Il faisait partie
du conseil d’administration du quartier de Kew-Forest.
La première épouse de
Donald Trump, Ivana
Zelníček (dérivé de Zelnick, qui signifie mercier en yiddish), est une juive morave. Elle
s’est mariée en premières noces avec Alfred Winklmayr, un nom juif,
agent immobilier de profession, qui prétendait être un skieur autrichien, ce
qui était un pur mensonge. Elle-même a également menti sur son parcours : elle
n’a jamais été sélectionnée comme suppléante dans l’équipe de ski tchèque aux
Jeux olympiques de 1972. Absurdité réfutée en 1989 par Petr Pomezný,
secrétaire général du Comité olympique tchèque, qui déclarait : « Qui est
cette Ivana, et pourquoi les gens n’arrêtent pas de nous appeler à son sujet ?
Nous avons cherché tant de fois et avons consulté beaucoup, beaucoup de gens,
et cette fille n’apparaît pas dans nos dossiers. » La biographie d’Ivana
Trump sur Wikipédia confirme cette information.
Trump, un self-made man ?
Rien de plus faux
encore… Trump et son père ont marché main dans la main avec la haute juiverie
de New York, y compris Samuel Lindenbaum et son père Alfred Abraham (dit « Bunny
», le lapin), et le mentor du jeune Trump, Roy Cohn
[1], avocat, décédé dans les années 90
.
Ces derniers n’ont pas
été seulement leurs avocats. Qui a mis Donald Trump en selle ? Qui a été son
éminence grise, son mentor ? Qui l’a protégé de toutes ses erreurs ? Roy Cohn,
l’un des plus sordides personnages de New York, tout ce qu'on fait de mieux
dans le mensonge, l'absence de scrupules, les coups bas, la pédophilie et la
violence, bref un véreux comme on n'en fait plus. [1],
Le biographe de Roy
Cohn, Nicolas von Hoffman décrit ainsi des orgies qui se tenaient au
studio 54 tenu par Cohn et auxquelles a participé l'actuel président des
États-Unis : « Pour des célébrités spéciales, les fêtes les plus sauvages
sont tenues dans ses sous-sols… avec des homosexuels, transsexuels et travestis
de la haute société… » Cohn y tenait certaines de ses plus extravagantes et
pimentées fêtes d’anniversaire, auquel assistèrent en au moins une occasion
avérée « les importants officiels des partis Démocrate, Républicain et
Conservateur, la plupart des officiels élus de la mairie [de New York], un
certain nombre de membres du Congrès, le Juge en Chef de la Cour Fédérale de
District, et d’autres habitués de Roy… [parmi eux] Donald Trump »…
Roy Cohn était lui-même
un bon ami de Craig Spence, ce lobbyiste qui avait défrayé la chronique
pour avoir organisé un
réseau de prostitution de mineurs à la Maison-Blanche, mais qui a eu
la bonne idée de se « faire suicider » avant son procès, en 1989.
Dans les années 40, le
père de Donald, Fred, a offert un terrain, à New York, pour la construction
d’une yeshiva. Dans les années 1940-1960, il a évolué dans les cercles
corrompus dudit Bunny qui tirait les ficelles de la politique. Bunny et Fred
étaient tous deux des initiés du Tammany Hall, une loge politique
également connue aussi sous le nom des Fils de Saint-Tammany ou de l’Ordre
colombien. Cette loge était elle aussi autrefois impliquée dans le gangstérisme, le crime, la
corruption et les parrainages mafieux. Bunny était un juif orthodoxe
et un sioniste fanatique. Il était président du Conseil de la communauté de
Brooklyn et du Centre juif de Brooklyn. Son fils et lui-même étaient tous deux
de grands prêtres du mouvement juif secret des loubavitch, les pires sectaires,
les pires racisme, etc. De l'obscurantisme pur et dur. Trump y a succombé [2]
Et comme l’a relevé en
2012 le New York Times dans la notice nécrologique de Samuel Lindenbaum, le
fils de Bunny : M. Lindenbaum a cultivé les liens avec un spécialiste de la
Résolution de zonage, le document mystérieux qui régit le développement de New
York. Cela lui a permis de contourner cette résolution pour satisfaire aux
souhaits de ses clients sans la rompre. C’était d’autant plus facile que ses
clients étaient de grandes entreprises de construction et propriétaires
fonciers, parmi lesquels Harry B. Helmsley, Harry Macklowe, Larry A.
Silverstein, Jerry I. Speyer, Leonard Litwin, Steven Rothles, les Fisher, les
Tisch, les Rose et Donald J. Trump….
Rappelons incidemment
qu’Ivanka Trump, la fille de Donald, est revenue aux sources familiales
puisqu’elle s'est convertie au judaïsme depuis son mariage avec cet autre juif
orthodoxe ultrasioniste qu’est Jared Kushner [3],
le principal artisan de la campagne de Trump et son actuel haut conseiller.
À la veille de la
victoire de son père, Ivanka Trump est allée se recueillir, à New York,
sur la tombe de Menachem Mendel Schneerson, le « messie » des loubavitch,
qui n’est pas celui des talmudistes qu’on attend toujours... La croyance des
loubavitch : que leur messie, mort en 1994, ne serait pas vraiment mort mais
qu'il survivrait de façon voilée en quelqu'un d'autre. On nage en plein délire.
La pensée du « messie » des loubavitch : « Un Juif n’a pas été créé comme un
moyen pour d’autres fins ; il est lui-même le but, puisque la substance de
toutes les émanations divines a été créée uniquement pour servir les Juifs.
» On y reconnaît l’une des perles du Talmud dans sa version non expurgée. [4]
Ces cénacles judéo-mafieux étaient donc les amis
de papa Trump. Lindenbaum était très impliqué au sein de la Commission
d’urbanisme sous l’égide du maire de New York Ferdinand Wagner, dont
l’administration avait des liens étroits avec le Tammany Hall, formant ainsi un
système de cartel. Il en résulta d’énormes scandales, dans lesquels des
fonctionnaires du ministère de la Construction de logements et du Développement
urbain trempaient dans des affaires avec le clan mafieux juif gravitant autour
de Lindenbaum. Ils utilisaient les contacts officiels et d’immenses fonds
publics au détriment des contribuables pour faire main basse, à bas prix, sur
des terrains à bâtir et des biens immobiliers.
Lindenbaum et Fred ont
réalisé la plus grande fraude sociale commise par des entreprises dans
l’histoire des États-Unis. Ils ont détourné l’argent des caisses de l’État
fédéral et de l’État de New York. En profitèrent Bunny et son pote Trump… C’est ainsi que Fred
C. Trump put transmettre une telle fortune à son fils…
Ci-dessus, Donald Trump
et son père Fred faisant, avec les mains croisées, le signe de la Fraternité maçonnique
de la mort, celui des Skull and Bones dont font partie également les Bush et
John Kerry, le Secrétaire d’État de la présidence d’Obama. Les mains croisées,
ou la lettre X, ont une longue histoire dans les religions du mystère antique,
dans le judaïsme apostat, dans la franc-maçonnerie et dans l’occulte. L’élite
Illuminati [5] et les loubavitch
l’utilisent encore aujourd’hui pour symboliser des phénomènes clés et marquer
des événements significatifs.
NOTES
ANNEXE
Résumé: Les soi-disant
néoconservateurs sont des crypto-israéliens, comparables aux crypto-juifs
passés au statut de «nouveaux chrétiens» du XIVe au XVIIe siècle. La crypsie
est un aspect fondamental de la culture juive. C’est en fait l’essence même du
monothéisme judéen, conçu dans le contexte de l’exil babylonien, où le dieu
d’Israël a été travesti en «Dieu du ciel», ce dernier le Dieu vénéré par les
Perses.
"Qu'est-ce qu'un néo-conservateur?"
demandait un jour George W. Bush à son père en 2003. "Voulez-vous des
noms ou une description?", a répondu Bush 41. "Description"
"Bien," dit 41, "Je vous le donne en un mot: Israël. »
Vrai ou pas, ce court échange cité par Andrew Cockburn le résume [1].
Les néoconservateurs sont des crypto-sionistes,
dans le sens où leur seule loyauté va à Israël - Israël tel que défini par leur
mentor, Leo Strauss, c'est-à-dire incluant une puissante indispensable
diaspora. Dans sa conférence de 1962 intitulée «Pourquoi
nous restons juifs», Strauss a cité comme «la déclaration la plus
profonde et la plus radicale sur l'assimilation que j'ai lue», l’aphorisme
205 de Nietzsche Dawn of Day sur
les Juifs (ici dans la traduction de Strauss): «Il ne leur reste plus soit
devenir les seigneurs de l’Europe, soit perdre l’Europe […] ; à un moment
donné, l’Europe tombera entre leurs mains comme un fruit parfaitement mûr, qui
ne demande qu’à être cueilli. Entre-temps, il est nécessaire pour eux qu'ils se
distinguent dans tous les domaines de la distinction européenne et qu'ils
soient parmi les premiers, jusqu'à ce qu'ils soient suffisamment avancés pour
déterminer eux-mêmes ce qui les distingue. »[2] Mettez à jour cette
déclaration avec "Les pays occidentaux” au
lieu de “Europe” et vous avez en effet le meilleur résumé possible de ce que la
stratégie d'assimilation signifie réellement pour l'élite de la Diaspora de
type straussienne.
Hannibal GENSÉRIC
Tous les anglo-saxons Protestants sont juifs, d'origine juive ou de "foi" juive. Le Protestantisme est une emanation directe de la juiverie et la plus part des Protestants ne le savent pas ou ils ne veulent pas le savoir, car la conception tout à fait materielle de la vie que la juiverie propose et impose est pour les mecreants, beaucoup plus agreable. Il faut savoir neanmoins que cette vision et pratique exsistentielle mene directement en Enfer.
RépondreSupprimeret oui
RépondreSupprimermeme les francs mac ceux ne sont que des juifs laics
des laquais des synagogues