lundi 18 février 2019

Pourquoi la presse française s’acharne contre Poutine et les médias russes


La presse française a trouvé et nommé les coupables responsables des mauvaises passes que traverse Emmanuel Macron, lui le premier à avoir lancé les hostilités contre Russia Today France et Sputnik, deux médias russes installés en France. Par ailleurs, des députés français considèrent que,  citer le mot "Israël"  constitue une insulte antisémite, et que l'on ne peut pas utiliser ce mot sans l'autorisation de Netanyahou ! 
Tous les juifs ayant comme nom ou prénom "Israël" devraient donc le changer . Israël Shamir est prévenu !!

Tout a commencé durant la campagne présidentielle de 2017, alors qu’Emmanuel(le) Macron est au plus haut des sondages, des rumeurs circulent sur Internet à propos de sa vie privée [1]. Contraint de réagir, il accuse Russia Today France et l’agence de presse Sputnik d’«organes d’influence et de propagande». Un mois après son installation à l’Élysée, le président Macron réitère ses accusations lors de la conférence de presse organisée à Versailles à l’occasion de la venue de Vladimir Poutine en France, reçu en grande pompe. La réaction de la présidente de Russia Today, Xenia Fedorova, ne s’est pas fait attendre, réagissant : «Le président Macron pose les bases d’un dangereux précédent qui menace à la fois la liberté d’expression et le journalisme dans son ensemble
L’inimitié entre les deux médias russes et le président français auquel s’est jointe et s’est solidarisée la presse française dans son ensemble ne s’est pas arrêtée là, prenant même une autre dimension après l’irruption des Gilets jaunes [2] dans le débat politique français.
La couverture des marches de protestation et la possibilité offerte aux Gilets jaunes de pouvoir s’exprimer sans filtre, ni censure sur les antennes et les colonnes de Russia Today et Sputnik ont exacerbé les tensions avec leurs confrères français qui, eux, les accusent en retour de fabriquer ou de relayer de fausses informations, ces informations que l’on ne voit pas sur les chaînes d’information en continu françaises, ont dénoncé de nombreux leaders des Gilets jaunes.
L’affaire Benalla, qui aurait en toute logique suscité des démissions en cascade dans une [vraie] démocratie, a apporté son lot d’accusations et d’allégations infondées, selon de nombreux observateurs. Les médias français affirment, en effet, que les deux oligarques russes, Iskander Makhmoudov et Farkhad Akhmedov, qui ont conclu des contrats à plusieurs millions d’euros qui seraient encaissés au Maroc par le vigile chargé de la protection du chef de l’Etat français, selon Mediapart, seraient des proches de Vladimir Poutine. Une affirmation qui fait vendre mais qui reste à démontrer, selon Arnaud Dubien, le directeur de l’Observatoire franco-russe de la Chambre de commerce et d’industrie franco-russe, qui se dit «amusé» de voir de telles publications, un avis partagé par Thibault Marchand, journaliste de l’AFP à Moscou.

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Des députés français veulent que « Citer le nom d’Israël » soit reconnu comme un délit
Des députés membres du groupe d’études de l’Assemblée nationale sur l’antisémitisme veulent pénaliser le simple fait de citer le mot « Israël », une proposition qui suscite des réserves dans les rangs du gouvernement mais qui recueille le soutien de plus de 7.000 signatures sur une pétition en ligne à cet effet. Le député Sylvain Maillard, président du groupe d’étude, a annoncé samedi que « le groupe porterait une initiative forte pour que citer le nom de l’état hébreu soit reconnu et puni en France pour ce qu’il est: de l’antisémitisme ». Il sera néanmoins possible de citer le nom de l’état à condition d’avoir demandé un permis de citation qui devra être signé par Benjamin Netanyahou.
Le groupe d’études, qui compte une trentaine de membres, doit se réunir mardi pour décider du véhicule législatif adéquat, potentiellement une proposition de loi, une proposition de résolution (sans valeur contraignante) ou une note affichée au siège social des Illuminatis
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Benalla s’exprime enfin: « Je n’ai jamais dû coucher pour réussir, juste sucer un petit peu »

Alexandre Benalla a expliqué aujourd’hui aux caméras de France 6 (Lalanne) qu’il n’avait jamais eu à coucher pour obtenir tous ses privilèges et qu’il s’agissait là d’allégations diffamatoires. Il a terminé en ajoutant qu’il avait juste « sucé un petit peu » et demandé en s’agenouillant au journaliste Patrick Sel d’Arvor si il n’avait pas un poste d’assistant sous la main.
 
Hannibal Genséric

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