« Les forces armées américaines ne sont plus qu'un département d'aide sociale avec des drones. »
L’effondrement militaire américain est une évidence. On a même vu Hollywood s’en mêler avec le film "13 hours"
du cinéaste boutefeu Michael Bay qui montre la désorganisation et
l’incapacité sur le terrain. De ce talentueux et lucide bouilleur
d’images on recommandera aussi Gain and Pain et The Island
qui explique comment on maintient des gens prisonniers (clones sans le
savoir) dans une bulle d’extermination: en les maintenant dans
l’enfance, et en leur faisant croire qu’il y a une épidémie au dehors…
Mais restons-en à la folie pentagonale. Il semble que Biden va encore être un plus gros cadeau que Trump pour les ennemis de l’empire – sauf si le gâteux s’effondre sur un bouton nucléaire pour en finir avec Poutine... On connait tous (sauf au Monde ou à Libé) les progrès des armes russes et chinoises. Une fois que la suprématie liée à la flotte et à l’aviation est terminée, que reste-t-il ? De la communication et du wokenisme. Les imbéciles auto-hypnotisés qui annonçaient que les généraux américains allaient remettre Trump au pouvoir (lui le louveteau de Wall Street, disciple d’Epstein, bon apôtre du vaccin, de Wall Street et de Netanyahou…) en seront pour leur grade. Les généraux sont des enthousiastes de la révolution des éveillés qui à coups de Reset, migrants ou de LGBTQ achève l’Occident…
L’armée
US n’a donc plus grand-chose à voir avec le vieil Hollywood et John
Wayne. Et cela commence à se savoir en Amérique. Le courageux Tucker
Carlson en parle dans son journal télévisé (remplacera-t-il le gourou
New Age Trump la prochaine fois ? Ce serait bien…). La revue Revolver.news écrivait le 13 mars :
« Tucker
Carlson n’a peut-être jamais servi dans les forces armées, mais il est
en train de gagner de manière décisive une guerre de relations publiques
contre l’armée américaine. Cela ne devrait surprendre personne, bien
sûr. L’armée américaine perd la plupart des guerres qu’elle mène de nos
jours. Pendant
le long âge d’or de l’Amérique en tant que pays, l’armée s’abstenait
généralement de faire de la politique et gagnait les guerres. Mais dans
l’empire mondialiste américain en déliquescence, l’armée joue un rôle
très différent. Protéger l’Amérique et gagner des conflits ne sont pas
du tout le but de l’armée. Au lieu de cela, les forces armées sont
devenues une peau de chagrin [dans le domaine qui est traditionnellement
le sien de faire la guerre et de la gagner]. Cette institution
autrefois formidable a été transformée en un véhicule pour les objectifs
politiques intérieurs des globalistes et de la gauche. »
Revolver.news parle alors de l’Afghanistan, de la brillante invasion et occupation de cet espace pas comme les autres qui fascina Kipling :
" L'objectif
de politique intérieure de l'armée apparaît également dans la manière
dont elle est utilisée. L'Amérique maintient 2.500 soldats en
Afghanistan, qui sont inutiles pour contrôler le pays ou vaincre les
talibans. Leur seul objectif est national, afin de permettre aux
politiciens de Washington de se présenter comme durs face au terrorisme,
favorables aux droits des femmes ou vaguement “pro-militaire”. Deux
fois plus de troupes sont déployées autour du Capitole de Washington
D.C., ostensiblement pour le “protéger” d'une “insurrection de droite”.
On avait vu il y a quelques années Lara Croft alias Angelina donner des cours de wokenisme aux généraux. Lucien Cerise en avait aussi très souvent parlé de cet OTAN comme organisme d’avancement sociétal…
Biden en outre agit comme Sarkozy ou Hollande, chefs d’État des démocraties devenues folles. Il délaisse ses frontières et va porter la mort à l’autre bout du monde. Il laisse rentrer les migrants du Mexique (migrants venus du sud qui désolent aussi le bon président mexicain…), tout en voulant confiner indéfiniment ce qui reste du pays.
Revolver.news : " Pendant ce temps, aucune troupe n’est déployée le long de la frontière entre les États-Unis et le Mexique, même si des centaines de milliers de personnes traversent la frontière illégalement chaque année et même si la protection de la frontière a été l’obligation traditionnelle des armées permanentes tout au long de l'histoire de l'humanité. Pourquoi ont-elles disparu ? Parce que seules les armées concentrées sur les menaces étrangères protègent la frontière de leur pays. L’armée américaine est tournée vers l’intérieur."
Et le courageux et anonyme journaliste d’enfoncer le clou :
« L'Amérique
ne dépense pas $700 milliards par an pour décourager l'agression
chinoise ou vaincre les talibans. L'Amérique dépense $700 milliards par
an pour dire aux femmes qu'elles sont tout aussi bonnes que les hommes
pour être soldats et marins. Elle dépense $700 milliards par an pour
affirmer, contre toute évidence extérieure, que “la diversité est notre
force”. Elle dépense $700 milliards pour soutenir les bilans des
industriels de la défense et fournir une aide sociale de facto à la
classe moyenne inférieure. Elle dépense $700 milliards pour permettre
aux soldats transgenres de changer gratuitement de sexe. Réduire de
moitié le budget de la Défense pourrait être l'approche la plus
appropriée pour une “réforme de l'aide sociale”.
Une belle définition de l’armée pour terminer :
« Après tout, les forces armées américaines ne sont plus qu'un département d'aide sociale avec des drones. »
Attention ce n’est pas nouveau : dans le brillant et libertarien recueil de textes Reassessing the presidency, Michael Levin et Ralph Raico ont montré le rôle destructeur des militaires dans la société. J’ai insisté sur ce point dans mon livre sur la comédie musicale (les comédies à base de marins et d’escales…). Les marins sont un instrument de déliquescence, un anti-modèle en Amérique et ailleurs, amenant bordels, bases, vices, passe-droits et ingénierie sociale. De ce point de vue le wokenisme est le couronnement de cette école de dégénérescence qu’on appelle l’Amérique, et qui effarait Baudelaire alors traducteur du visionnaire Edgar Poe. Mais on en a déjà parlé.
En attendant l’empire retourne sa violence contre sa population : voir l’Israël, l’Europe ou l’Amérique : comme on sait en temps de paix les suicides augmentent. Et comme ces imbéciles ne peuvent plus livrer (je ne dis pas gagner) de guerre, ils exterminent leurs peuples. Céline encore et toujours :
« Une hébétude si fantastique démasque un instinct de mort, une pesanteur au charnier, une perversion mutilante que rien ne saurait expliquer sinon que les temps sont venus, que le Diable nous appréhende, que le Destin s’accomplit. »
Sources:
https://www.revolver.news/2021/03/the-pentagons-fight-wit...
Reassessing the presidency – Mises Institute (PDF gratuit).
Bonnal (Tetyana/Nicolas) - Céline, le pacifiste enragé ; la comédie musicale américaine (Editions Tatiana, Amazon.fr)
NOTES de H. Genséric
Bombe « gay » : quand l’armée américaine imaginait semer le
chaos sexuel dans les rangs ennemis
Par Alison Terrien
7 décembre 2020
Une bombe américaine larguant un puissant aphrodisiaque sur les troupes
adverses afin de provoquer chez eux un « comportement homosexuel »
et ainsi les battre plus facilement ? Non, il ne s’agit pas du synopsis du
dernier nanar à l’affiche, mais d’un projet de l’armée de l’air américaine des
plus sérieux et dormant depuis quelques décennies dans les placards du
Pentagone.
En 2004, l’organisation Sunshine Project, qui lutte pour la transparence des
programmes d’armes chimiques et biologiques, obtient un document officiel
retraçant les expérimentations les plus audacieuses pour gagner une guerre.
Parmi elles, il y a par exemple cette ingénieuse idée de provoquer une attaque
d’insectes sur les ennemis. Mais une autre, conçue en 1994 par le Wright
Laboratory de l’armée de l’air américaine, a fait, lors de sa révélation en
2004, l’effet d’une bombe. Des petits génies ont imaginé un gaz aphrodisiaque
qui provoquerait chez le soldat ennemi une irrésistible attirance sexuelle pour
ses compères armés. Une aubaine pour l’armée américaine, car, selon le
laboratoire, les troupes amourachées penseraient alors davantage à batifoler
entre elles qu’à se battre. Pour les têtes pensantes du pays de l’oncle Sam,
les soldat·es homosexuel·les seraient donc militairement moins fort·es que
les hétéros ? Pas si étonnant quand on sait que l’armée américaine a
adopté la politique du « dont’s ask, don’t tell » (« ne
demandez pas, n’en parlez pas ») jusqu’en 2010. Cette loi américaine
obligeait les gays et les lesbiennes à taire leur orientation sexuelle sous
peine d’être renvoyé·es, car cela était « un risque inacceptable contre
les hauts standards moraux, l’ordre, la discipline et la cohésion qui forment
l’essence des capacités militaires ».
Le Pentagone dément toute utilisation du projet… du moins jusqu’à présent.
Dommage, l’armée américaine était à deux doigts de donner sens à l’expression
« faites l’amour pas la guerre ».
Bombe « gay » : quand l’armée américaine imaginait semer le chaos sexuel dans les rangs ennemis
Une bombe américaine larguant un puissant aphrodisiaque sur les troupes adverses afin de provoquer chez eux un « comportement homosexuel » et ainsi les battre plus facilement ? Non, il ne s’agit pas du synopsis du dernier nanar à l’affiche, mais d’un projet de l’armée de l’air américaine des plus sérieux et dormant depuis quelques décennies dans les placards du Pentagone.
En 2004, l’organisation Sunshine Project, qui lutte pour la transparence des programmes d’armes chimiques et biologiques, obtient un document officiel retraçant les expérimentations les plus audacieuses pour gagner une guerre. Parmi elles, il y a par exemple cette ingénieuse idée de provoquer une attaque d’insectes sur les ennemis. Mais une autre, conçue en 1994 par le Wright Laboratory de l’armée de l’air américaine, a fait, lors de sa révélation en 2004, l’effet d’une bombe. Des petits génies ont imaginé un gaz aphrodisiaque qui provoquerait chez le soldat ennemi une irrésistible attirance sexuelle pour ses compères armés. Une aubaine pour l’armée américaine, car, selon le laboratoire, les troupes amourachées penseraient alors davantage à batifoler entre elles qu’à se battre. Pour les têtes pensantes du pays de l’oncle Sam, les soldat·es homosexuel·les seraient donc militairement moins fort·es que les hétéros ? Pas si étonnant quand on sait que l’armée américaine a adopté la politique du « dont’s ask, don’t tell » (« ne demandez pas, n’en parlez pas ») jusqu’en 2010. Cette loi américaine obligeait les gays et les lesbiennes à taire leur orientation sexuelle sous peine d’être renvoyé·es, car cela était « un risque inacceptable contre les hauts standards moraux, l’ordre, la discipline et la cohésion qui forment l’essence des capacités militaires ».
Le Pentagone dément toute utilisation du projet… du moins jusqu’à présent. Dommage, l’armée américaine était à deux doigts de donner sens à l’expression « faites l’amour pas la guerre ».
VOIR AUSSI :
[1] PENTAGONE :
- Le
gigantesque programme d'armes biologiques du Pentagone frappe l'Amérique comme
un boomerang
- Major
Général de l'armée américaine : "J'ai la preuve qu'un missile a frappé le
Pentagone le 9/11. Et non un avion"
- USA.
Le Pentagone est un nid de pédophiles
- Les
armes biologiques du Pentagone ou comment les USA veulent NOUS exterminer
- Le
Pentagone panique pour ses porte-avions
- Vision
du Pentagone-catastrophe
- USA.
Al Capone au Pentagone : 21 mille milliards $ disparaissent !!
- Les
bombes biologiquse du Pentagone ciblent la Russie, l'Iran et la Chine
- Panique
en Amérique. Le nouveau missile hypersonique nucléaire russe Avangard secoue le
Pentagone
- De
mal en pis: le chasseur US F-35 révèle de nouveaux bugs dans son système
- L’effondrement
de la puissance militaire américaine
- Censuré.
SYRIE : Le Pentagone accuse la Russie d'avoir abattu un avion américain par
"le rayon de la mort"
[2] ARMES RUSSES :
- Voici
la " super-arme '' russe qui pose la plus grande menace pour l'armée
américaine
- Censuré.
SYRIE : Le Pentagone accuse la Russie d'avoir abattu un avion américain par
"le rayon de la mort"
[3] TRUMP / EPSTEIN :
- Trop
d’apologistes de Trump, il est temps de faire taire les conneries des
pédo-violeurs
- Explosif:
de nouveaux liens Trump-Melania-Epstein et une dissimulation massive
- Trump
a organisé une fête avec Epstein et 28 très jeunes filles. Est-ce là qu'il a
rencontré Mélania ?
- Que
font les USA des enfants enlevés à leurs parents immigrés ?
- L’avocat
de Trump Lin Wood affirme que Jeffrey Epstein est toujours en vie
- Trump
aurait commandité l’assassinat du fils d'un juge fédéral dans une affaire de
dissimulation Trump / Epstein / Deutsche Bank
Hannibal GENSÉRIC
Bombe « gay » : quand l’armée américaine imaginait semer le chaos sexuel dans les rangs ennemis
Une bombe américaine larguant un puissant aphrodisiaque sur les troupes adverses afin de provoquer chez eux un « comportement homosexuel » et ainsi les battre plus facilement ? Non, il ne s’agit pas du synopsis du dernier nanar à l’affiche, mais d’un projet de l’armée de l’air américaine des plus sérieux et dormant depuis quelques décennies dans les placards du Pentagone.
En 2004, l’organisation Sunshine Project, qui lutte pour la transparence des programmes d’armes chimiques et biologiques, obtient un document officiel retraçant les expérimentations les plus audacieuses pour gagner une guerre. Parmi elles, il y a par exemple cette ingénieuse idée de provoquer une attaque d’insectes sur les ennemis. Mais une autre, conçue en 1994 par le Wright Laboratory de l’armée de l’air américaine, a fait, lors de sa révélation en 2004, l’effet d’une bombe. Des petits génies ont imaginé un gaz aphrodisiaque qui provoquerait chez le soldat ennemi une irrésistible attirance sexuelle pour ses compères armés. Une aubaine pour l’armée américaine, car, selon le laboratoire, les troupes amourachées penseraient alors davantage à batifoler entre elles qu’à se battre. Pour les têtes pensantes du pays de l’oncle Sam, les soldat·es homosexuel·les seraient donc militairement moins fort·es que les hétéros ? Pas si étonnant quand on sait que l’armée américaine a adopté la politique du « dont’s ask, don’t tell » (« ne demandez pas, n’en parlez pas ») jusqu’en 2010. Cette loi américaine obligeait les gays et les lesbiennes à taire leur orientation sexuelle sous peine d’être renvoyé·es, car cela était « un risque inacceptable contre les hauts standards moraux, l’ordre, la discipline et la cohésion qui forment l’essence des capacités militaires ».
Le Pentagone dément toute utilisation du projet… du moins jusqu’à présent. Dommage, l’armée américaine était à deux doigts de donner sens à l’expression « faites l’amour pas la guerre ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires hors sujet, ou comportant des attaques personnelles ou des insultes seront supprimés. Les auteurs des écrits publiés en sont les seuls responsables. Leur contenu n'engage pas la responsabilité de ce blog ou de Hannibal Genséric.