La séparation des enfants et des parents migrants à la
frontières américano-mexicaine crée une immense polémique et l'indignation. Un
document poignant donne une idée de ce qui se passe pour les enfants. Mais une
fois arrachés à leurs parents, sur l'ordre de Trump, que deviennent ces enfants
? Pour les plus chanceux, c'est la prison. Quant aux moins chanceux, ils sont
vendus aux filières pédophiles américaines. Malgré les apparences, dans ce domaine du trafic d'enfants pour le sexe, Bill
Clinton, Barack Obama ou Donald Trump, c'est kif kif. La pourriture
pédophile touche toute "l'élite" washingtonienne, Démocrates et
Républicains.
Des cages comme celles-ci contiennent jusqu'à 20 enfants. |
Des enfants séparés de force de leur parents La
polémique fait rage aux Etats-Unis et dans le reste du monde à propos de
ce qui ce passe à la frontière américano mexicaine. Au mois de mai,
l'administration Trump a lancé sa politique de « tolérance zéro » sur
l'immigration. Les clandestins qui sont arrêtés à la frontière avec
leurs enfants sont systématiquement séparés d'eux. Cela pour dissuader
les migrants de venir. Les enfants sont mis dans des grandes cages à
l'intérieur de supermarchés reconvertis ou de grands bâtiments.
Un document audio a été remis à un site d'investigation américaine
Pro publica .
Deux mille trois cents enfants de tous âges seraient dans
ces centres, ces cages et les assistantes qui s'occupent d'eux se
compteraient sur les doigts de la main. Dans ce document qui dure près
de huit minutes, on peut entendre l'histoire d'une petite fille qui
demandent désespérément à téléphoner à sa tante, ses parents lui ont
faire apprendre le numéro par cœur. Pro publica explique que la
personne qui a remis l'enregistrement est un travailleur social qui a
voulu rester anonyme par craintes de représailles. Cette séparation
décidée par l'administration Trump a créé le malaise jusque dans la
majorité du président américain.
Le trafic d’enfants pour les filières
pédophiles (source VT)
Il y a deux routes secrètes principales
pour le trafic des enfants volés, une en Europe et une en Amérique. En
Amérique, elle va de New York à Washington en passant par la Floride, trois
endroits où l'application de la loi et les tribunaux ne sont ni autonomes ni
libres. Les tribunaux de Washington DC ont été mis sous la coupe des néocons depuis
les scandales pédophiles de Franklin, qui ont
menacé de faire tomber une présidence [5].
La Floride est aussi totalement sous leur
contrôle. Les tribunaux, les services de police locaux, les élections du
shérif, sont totalement corrompus. New York est de la même nature corrompue,
avec de l'argent liquide provenant de la drogue venant de Montréal, en passant
par Albany grâce à la Casher Nostra [1],
mafia juive portant la kippa et l'AK 47, jusqu'aux cachettes de l'empire Trump
/ Kushner.[ Voir :: la famille du crime Kushner contrôle
maintenant la Maison Blanche].]
Les «élites» [2],
comme ils aiment s'appeler, qui possèdent la Réserve fédérale, qui dirigent
Washington et Londres, qui commencent nos guerres, pillent notre économie,
dirigent nos médias, contrôlent nos vies [3],
suivent un régime d'abus sexuels, d’hormones sexuelles et d’amphétamines.
Leur « alimentation » en
enfants volés provient des frontières (l’Administration Trump arrache de force
les enfants à leurs parents immigrés illégaux), de familles détruites par des
stupéfiants ou de familles pauvres ciblées par de fausses « cours de
justice » et de « fausses » polices. Les enfants saisis par les
«services familiaux» sont ramassés et nourris dans des usines à viol et à
meurtre, dont les commanditaires sont des sionistes néocons.
À cela s'ajoutent les gamines provenant
du « circuit de beauté » et des faux «mannequins» d'où provient Madame
Trump, ramassant les filles de l'Europe centrale et orientale dont les
gouvernements sont compromis: Slovénie, Bulgarie, Roumanie, Ukraine
(maintenant), Croatie et Slovaquie. Les trafiquants prévoient d'ajouter le
Monténégro et la Serbie à la liste.
Pour Washington, cela a toujours été des
filles préadolescentes jusqu'à l'ère Reagan où la «mafia gay» des néocons
a pris le relais. C'est à ce moment-là que Trump et Epstein [4] sont arrivés au pouvoir en tant que «fournisseurs du leadership
américain».
Les enfants qui frappent à la frontière
américaine, venant des Amérique Centrale et du Sud, et qui appartiennent à 100%
à Trump, sont ramassés comme de la viande, les "premiers enfants"
sont envoyés à des cercles pédophiles dirigés par des copains de Trump, pour
être échangés autour des brasseries du Pentagone, du Tea Party et les fidèles
Républicains. Ils sont stockés dans des «camps» de chasse d'élite et dans des
«retraites religieuses»[6] appartenant à des milliardaires et à de grandes
entreprises donatrices.
Les gangs liés
à l'ICE ( Immigration and Customs Enforcement
agence fédérale de police aux frontières des États-Unis) sont maintenant
officiellement habilités à simplement faire «disparaître» des enfants qui
arrivent à la frontière américaine, peu importe les circonstances, avec ou sans
leurs parents. Ce n'est tout simplement pas légal. La constitution est très
spécifique à ce sujet, la procédure régulière et les droits constitutionnels
s'appliquent à tous, citoyens et non-citoyens.
Selon le Congrès, l'année dernière 1475 enfants ont officiellement
"disparu" alors que des milliers d'autres n'ont jamais été enregistrés. Ce
sont, en utilisant le langage de Trump, les " Sportin’ kids,”, ceux jugés "utilisables" par les élites qui jouissent en humiliant
et en détruisant un petit corps humain. Au milieu de cet horrible trafic, se
trouvent les leaders
des groupes chrétiens évangéliques à travers l'Amérique (fervents souteneurs d’Israël), les
prédicateurs de la télévision mélangés avec les dirigeants du secteur
pétrolier, les propriétaires de journaux, les professeurs de droit de Harvard et
les «voyous» de Washington DC qui sont payés pour mentir.
Du Washington Post, 29 mai 2018:
Le président américain Donald Trump a
faussement défendu la politique de son administration consistant à séparer les
familles sans-papiers à la frontière américano-mexicaine en accusant les
législateurs du parti démocrate au Congrès.
"Je déteste qu’on emmène les
enfants. Les démocrates doivent changer leur loi. C'est leur loi ", a
déclaré Trump vendredi en parlant à un groupe de journalistes à l'extérieur de
la Maison Blanche. Cependant, aucune loi américaine ne prévoit de séparer les enfants de leurs parents
qui entrent illégalement dans le pays.
"Le procureur général Jeff Sessions
suit les lois, très simplement, qui nous ont été imposées par les démocrates",
a déclaré Trump.
"Mais aucune loi ne dit que les
familles doivent être séparées à la frontière", a répondu un journaliste.
Près de 2 000 enfants immigrants ont été
séparés de leurs parents sur une période d'environ six semaines en avril et en
mai, selon le Department of Homeland Security.
Ce chiffre représente une hausse
spectaculaire des quelque 1.800 séparations familiales d'octobre 2016 à février
2018.
Actuellement,
plus de 10 000 enfants sont détenus aux États-Unis.
La politique actuelle de séparation des
familles de l'administration Trump a été annoncée le 6 avril 2018 et est entrée
en vigueur en mai. Auparavant, les personnes entrées illégalement dans le pays
et qui n'avaient pas de casier judiciaire étaient détenues ou renvoyées pour
expulsion, et les mères et les enfants restaient généralement ensemble.
Les démocrates ont condamné le nouveau
processus, le qualifiant d'inhumain et de cruel. "Ce n'est pas une
politique de tolérance zéro - c'est une politique zéro-humanité", a
déclaré le sénateur Jeff Merkley, qui a récemment visité les centres de détention
au Texas pour voir où les enfants immigrants étaient détenus.
Une fois séparés, les enfants sont
traités comme des mineurs non accompagnés par le ministère de la Santé et des
Services sociaux, qui les héberge dans des établissements gouvernementaux, les
place dans des familles d'accueil temporaires ou les confie à des parrains
adultes aux États-Unis.
Les mesures prises par le gouvernement
pour séparer les familles ont été largement décriées par les Nations Unies, les
professionnels de la santé et une large bande de chefs religieux américains.
L’île aux esclaves sexuelles et le Lolita Express
Nous avons vu que Bill Clinton était
un habitué de l’île aux esclaves sexuel(le)s de Jeffrey Epstein [Voir : Pédophilie:
Bill Clinton, Epstein et le "Lolita Express"]. Mais, comme beaucoup de gens de l’élite qui intéressent Israël, Trump
lui-même a des liens avec Epstein, le milliardaire démocrate et pédophile
reconnu coupable d'avoir des esclaves sexuels mineures dans son avion privé (Lolita Express) et dans son île privée
appelée l’île aux esclaves sexuelles
"Sex
Slave Island". Epstein étant agent un haut placé du Mossad, il est
quasiment intouchable, malgré toutes les casseroles qu’il traine. Les Sionistes
utilisent cet avion et cette île pour y attirer leurs cibles et les tenir
ensuite par le change grâce aux vidéos compromettantes. Trump n’échappe pas à
la règle : il est à la fois maître chanteur et victime. C’est aussi pour
cela qu’il fait passer les intérêts d’Israël avant ceux des États-Unis.
Voici au moins sept liens entre Trump et Epstein qui
confirment cela : (Source)
1. Trump lui-même a déclaré qu'il « éprouvait beaucoup de plaisir
en compagnie d’Epstein » “a lot of fun to be with,” ajoutant qu'il admirait l'affinité du délinquant sexuel pour les belles
femmes «du côté des plus jeunes».
«Je connais Jeff depuis quinze ans, un
gars formidable », a dit un jour Trump à propos du délinquant sexuel
condamné. « C’est très amusant d'être avec lui. On dit même qu'il aime
les belles femmes autant que moi, surtout celles qui sont jeunes. Aucun doute à
ce sujet - Jeffrey jouit de sa vie sociale. "
2. Trump a été nommé dans le "petit livre noir" d'Epstein.
Le «petit livre noir» d'Epstein a été volé par un ancien
employé en 2004. Le livre, surnommé «le Saint Graal» par l'employé, a révélé le
nom de Donald Trump et a énuméré «14 numéros de téléphone incluant des numéros
d'urgence, des numéros de téléphone des voiture et ceux du gardien de sécurité et de l’homme de ménage de
Trump. "
3. Trump a volé sur l'avion privé d'Epstein – le Lolita Express- un point
chaud pour les orgies sexuelles avec des mineures.
"Mark Epstein, le frère de Jeffrey,
a témoigné en 2009 que Trump a volé sur le jet privé de Jeffrey au moins une
fois", rapporte VICE News. "Pendant
ce temps, des blocs de messages du manoir d'Epstein à Palm Beach qui ont été
saisis par les enquêteurs et obtenus par VICE News indiquent que Trump a
appelé Epstein deux fois en novembre 2004."
L’une de ses présumées victimes, Virginia
Roberts racontait les orgies sexuelles «dégueulasses» avec Epstein
et ses amis dans cet avion privé alors qu'elle n'avait que 15 ans.
4. Trump et Epstein sont tous deux accusés d'abus sexuels dans une affaire
impliquant une fille mineure.
Radar Online rapporte qu'une femme en Californie,
"identifiée" comme Katie Johnson, a déposé une plainte de 100
millions de dollars contre Trump le 26 avril, accusant le magnat de
l'immobilier de la violer alors qu'elle n'avait que 13 ans.
« Johnson affirme que Trump l'a
violée quand elle avait 13 ans et l'a forcée à se livrer à des actes sexuels en
menaçant de lui faire du mal, ainsi qu'à sa famille », note The Independent UK. "Elle
prétend que l'abus allégué a eu lieu sur une période de quatre mois lors de parties
de rapports sexuels sur mineures organisées à New York en 1994."
Epstein a également été nommé pour des allégations d'inconduite sexuelle et de
menaces.
L'équipe de Trump nie catégoriquement l'accusation,
soupçonnant que la réclamation est peut-être un canular car il n'y aurait
"aucune preuve" que la plaignante "existe
réellement".
5. Epstein a admis sous serment avoir connu Trump, et curieusement
plaidé le cinquième amendement concernant le fait que Trump ait
participé/assisté à des parties sexuelles avec des filles mineures.
En 2010, Epstein a admis avoir
"socialisé" avec Trump, mais quand un avocat représentant une victime
mineure d'Epstein lui a demandé s'il avait "jamais socialisé avec
Donald Trump en présence de filles de moins de 18 ans", Epstein a
curieusement plaidé le cinquième amendement.
6. Au moins une des victimes sexuelles mineures d'Epstein a été recrutée chez
Trump, à Mar-a-Lago, qu’Epstein fréquentait souvent.
Virginia Roberts, une victime présumée
d'Epstein, «a été recrutée pour effectuer un massage pour Epstein alors qu'elle
travaillait comme préposée aux vestiaires à 9 $ l'heure à Mar-A-Lago».
V. Roberts affirme que "Epstein l'a transformée en "esclave
sexuelle" et l'a maquereautée à divers amis, y
compris le prince Andrew d’Angleterre. Au fil des ans, les passagers du Lolita
Express d'Epstein, a-t-elle dit, comprenaient «un tas d'autres filles,
parfois des gens célèbres, parfois des politiciens».
7. Trump a été assigné en 2009 pour son lien avec les réseaux d'esclaves
sexuels d'Epstein. Trump a nié avoir jamais été servi.
En 2009, Trump a été assigné à comparaître
dans une affaire contre Epstein concernant la victime Virginia Roberts.
L'avocat de Trump, Alan Garten, a déclaré que l'assignation à comparaître «ne
s'est jamais produite».
NOTES
[5] C’est au Nebraska à Boystown qu’a eut lieu l'un des scandales américains les plus dégoûtants dans les années 1980. L'abus des jeunes garçons qui étaient censés être pris en charge par une organisation caritative a profité d'eux de la pire des façons. De l'abus sexuel, l'abus de drogues, la torture, au meurtre, ce scandale a atteint les plus hauts niveaux de la politique dans l'administration républicaine de la Maison Blanche de Reagan et Bush. Plus d'une douzaine de meurtres sont liés à ce scandale.
[6] Le cardinal Theodore McCarrick, conseiller spirituel de longue date de Bill Clinton, a été accusé du viol d'un mineur. Source
Hannibal GENSERIC
quand va-t-on cesser d'appeler élite un ramassis de pourritures sataniques et satanistes ?
RépondreSupprimergénéralement, j'écris "élites" entre guillements, car ce sont elles qui se désignent ainsi. Pour nous ce sont les pires satrapes.
Supprimer