« L’Iran est
un ennemi trop redoutable pour être combattu, surtout après la défaite humiliante
en Syrie. »
Pour ceux d’entre
vous qui ne sont pas familiers avec le projet du Grand Israël (plan
Oded-Yinon [1]), nous rappelons que ce plan vise à étendre les frontières d’Israël
de l’Égypte à l’Iran. Comment ? En faisant la guerre ? Non,
c’est beaucoup plus insidieux.
Il suffit de jeter
un coup d’œil sur les 25 dernières années et les guerres que les États-Unis ont
menées pour « apporter la démocratie » ou faire un « changement
de régime », et vous verrez se dessiner une carte simple.
Si un parti au
pouvoir, s’il est contre Israël, réalise des progrès dans un pays ne subissant
pas l’influence des banques centrales appartenant aux Talmudistes, Israël
convainc les États-Unis et ses alliés crédules que ce pays prospère est
gouverné par un gouvernement maléfique, obsédé par la fabrication d’armes
chimiques ou nucléaires, etc. Des sanctions suivent, après quoi le gouvernement
du pays visé accepte de détruire ses capacités défensives sur la base de
l’assurance que les sanctions seront levées et que le gouvernement sera traité
équitablement.
Vous pouvez voir où
cela mène…. une fois les armes détruites, Israël convainc ses alliés en
utilisant les médias qui lui sont dévoués en Occident, car ils appartiennent en
très grande majorité aux Juifs, que le
régime qui leur faisait confiance est cruel et doit être changé pour des
« raisons humanitaires », ainsi une guerre civile interne est
déclenchée ou un attentat sous un faux drapeau est monté contre les États-Unis
ou ses alliés, orchestré par Israël ; et le pays en question sera désigné
comme bouc émissaire du jour, donc passible de représailles occidentales et de
destruction.
Est-ce que cela
semble incroyable ? Regardons les régimes qui ont été changés sous ce prétexte,
l’Égypte, la Libye, l’Irak.
Tous avaient
quelques points communs : les moyens de se défendre contre Israël, l’absence de
banques appartenant aux Talmudistes et des gouvernements stables qui font des
progrès dans leur pays.
Tous ont été
désarmés avec des promesses de soutien, après quoi ils ont été renversés par
l’instigation et le financement d’une guerre civile, là où une guerre civile
était tout simplement impossible.
Ceux qui faisaient
confiance aux États-Unis et à leurs alliés ont été destitués et parfois
exécutés en public (par exemple Moammar Kadhafi, qui a fait de la Libye un Etat
avancé avec des soins de santé et une éducation gratuits et a mis en garde
contre la « crise actuelle des réfugiés » si la Libye était
déstabilisée).
Une fois que le
gouvernement a été désarmé et ensuite déposé et que ses dirigeants ont été exécutés,
une banque centrale contrôlée par les Talmudistes est rapidement établie et les
réserves d’or disparaissent. Ainsi, les
dizaines de tonnes d’or que Kadhafi avait patiemment constituées pour créer une
monnaie africaine basée sur l’or, et se libérer du dollar US, ont disparu avec
son assassinat. Parions que Sarkozy (d’origine juive [2] parce que c’est par la
mère que l’on est juif) les a planqués en Israël ou aux US en attendant qu’on
oublie ou qu’on enterre ses casseroles libyennes. Par exemple,
la guerre civile ukrainienne : au moment où ils ont pris le contrôle d’une
partie de l’Ukraine que la Russie n’a pas récupérée, ils ont établi une banque
centrale et volé les réserves d’or à la faveur de l’obscurité.
Maintenant, si vous
regardez la carte du Moyen-Orient, vous voyez l’influence et les frontières
d’Israël grandir; toujours suivant ce même plan, la Syrie était la prochaine
cible, diaboliser Assad, inciter à la guerre civile, l’encadrer comme une
« urgence humanitaire » et financer la dissolution d’un pays stable
pour renforcer Israël.
MAIS ! Ils ne le
font jamais directement mais en finançant et en armant des « combattants
de la liberté » et en poussant leurs alliés à défendre « les pauvres
enfants », etc.
La Russie est
finalement intervenue après avoir vu la débâcle et la stupidité effrontée et la
répétition de la stratégie irakienne et égyptienne en Libye. Avec la réticence
du président Trump à mener des guerres israéliennes, Israël a finalement été
contraint de passer au premier plan et d’attaquer la Syrie sous prétexte
d’attaquer l’Iran. Au moment d’écrire cet article, Israël a bombardé la Syrie
plus de 100 fois en 2017. La prochaine fois, ce sera l’Iran.
Mais leurs plans de
guerre insidieux ont été contrecarrés par une Russie intelligente. Elle-même ayant souffert sous la
torture juive et l’extermination de quelque 50 millions de chrétiens par les
bolcheviks dans l’Holodomor.
Aujourd’hui, Israël
planifie et mijote frénétiquement toutes sortes de faux drapeaux pour que les
États-Unis, le Royaume-Uni et la France deviennent de bons petits caniches et
sauvent les « pauvres Syriens » tout en exportant discrètement la plupart
des terroristes syriens vers la Suède et l’Europe.
Mais attendez ! Il
y a plus ! Ce n’est pas parce qu’Israël a perdu la Syrie qu’ils vont reculer.
Les Israéliens et les Juifs ne sont pas si simples.
Israël finance
également une guerre par procuration au Yémen. La stratégie typique d’Israël
est tout droit sortie du Manifeste communiste, une guerre constante, pour
toujours, menée par d’autres.
Alors maintenant,
au Yémen, ils ont un problème d’image. Le gouvernement yéménite est entièrement
sous contrôle israélien et les « rebelles » sont des nationalistes
qui tentent de reprendre leur pays. En Syrie, Israël a fait valoir que les
rebelles étaient le bon peuple qui n’était absolument pas financé par Israël,
les États-Unis et le Mossad-Pentagone. La débâcle syrienne a fini par coûter
aux États-Unis environ 1.000 milliards de dollars.
Pas de problème,
dit le groupe de réflexion de Tel-Aviv. Nous nous contenterons de présenter les
rebelles Houthis comme des « terroristes » et le
gouvernement yéménite comme assiégé. Personne ne remarquera cette volte-face.
Vous n’y croyez pas ? Il suffit d’aller sur Google et de taper Yémen et de voir
comment ils ont encadré ce conflit.
Et, remarquez autre
chose, Israël n’est pas dans le tableau, il fait combattre l’Arabie Saoudite
dans cette guerre. Comme ailleurs, en Syrie,
en Irak, en Libye, etc. Israël et l’Occident utilisent les harkis islamistes.
Les harkis utilisés au Yémen sont les Saoudiens et les Émiratis. C’est un coup
de maître : faire massacrer les Arabes entre eux, et impliquer les
Chrétiens (Américains, Français, Anglais) afin d’éliminer un maximum de goys. D'une pierre deux coups.
Si vous voulez voir
où se trouve le prochain point chaud, après la Syrie, regardez au Yémen. L’Iran
est un ennemi trop redoutable pour qu’on puisse le combattre, surtout après la
défaite humiliante en Syrie.
On pourrait écrire
un million de mots supplémentaires à ce sujet, mais ce n’est qu’une
introduction pour vous faire comprendre comment Israël met en place son propre
empire non pas directement mais en attaquant ses amis, en rejetant la faute sur
les pays qu’Israël veut détruire, en faisant combattre leurs amis dans les
guerres israéliennes et en aidant les choses en provoquant une guerre civile à
l’intérieur de ces pays.
Une fois que vous
comprenez cette formule simple, la prochaine fois que vous verrez un titre
tapageur à propos d’une « crise humanitaire dans un pays
anti-israélien », vous saurez exactement ce qui se passe, qui le finance
et, surtout, la question qui répond à tout….cui bono ? À qui profite le crime ?
Par Ryan Forst
Source :
https://russia-insider.com/en/politics/israel-lost-syria-its-ready-another-war-crime-yemen/ri23789
Traduction : Avic – Réseau International
NOTES
[2] La famille Mallah de
Salonique
La mère de Sarkozy est de la famille Mallah, qu'est à l'origine
venue d'Espagne comme tous les Juifs de Salonique, la Grèce du nord et a
quittée avec l'expulsion des Juifs par le Roi Ferdinand. Ils se sont installés
initialement en France.
Environ 100 ans plus tard la famille a immigré en Salonique.
L'arrière-grand-père de Sarkozy, qui est mort en 1913, était un
bijoutier bien connu en Salonique.
Son affaire a été détruite quand un feu en 1917 détruit presque la
ville entière de Salonique.
La tombe de Mordohai Mallah existe encore aujourd'hui à Stavroupoli
où il a été transféré du vieux cimetière juste avant que les allemands ne marchent
dans la cité pendant la deuxième guerre mondiale et ont détruit le cimetière
juif.
Le grand père de Nicolas, Benoît, était le premier enfant de sept
enfants. Son nom réel était Aaron mais la famille, appelé Benico. À
l'âge de 14 ans Benico et sa mère sont partis pour la France où il a étudié la
médecine et a servi dans l'armée française comme un docteur pendant la première
guerre mondiale, où il a rencontré sa femme future Adèle Bouvieux une jolie
infirmière.
Pour l'épouser il a été baptisé catholique et a pris le prénom
Benoît. Mais rien ne prouve qu’il ait abandonné sa religion juive.
Le couple avait deux filles Suzanne et Andrée, la mère de Nicolas,
qui a épousé en années 50 un immigrant hongrois Paul Sarkozy, le père de
Nicolas.
Les
notes dans cette couleur sont d’H.G.
Hannibal GENSÉRIC
Ainsi que les planificateurs Sioniste au sein de l'OTAN !
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