Le financement de la campagne d'E. Macron semble inquiéter tout
le monde, sauf les organes publics chargés d'en vérifier la régularité. Entre
les mensonges volontaires sur les montants perçus, l'opacité des sources et les
soupçons d'implication de personnages très marqués, comme Soros, le temps
n'est-il pas venu pour une réelle enquête indépendante? C'est quand même
l'intérêt de l’État qui est en jeu, son indépendance et sa souveraineté.
Les mails révélés
par Wikileaks l'année dernière continuent de lancer des ondes de choc, après
l'une des campagnes les plus opaques de l'histoire de la Ve République. Alors
que le Parquet financier s'était jeté comme un chien affamé sur les costumes de
Fillon, affaire qui ne semble plus l'intéresser d'ailleurs depuis que celui-ci
a perdu les élections, beaucoup de scandales entourent le financement de Macron
(voir ici sur les bénéfices déjà retirés
par les grands donateurs), sans provoquer de réactions institutionnelles
particulières.
A l'occasion du
scandale des "ristournes" inhabituelles dont a bénéficié Macron lors
des locations de salles pour ses meetings, qui n'ont pas été déclarées comme
des dons de ces entreprises, et pour cause, le porte-parole du Gouvernement a
lancé à la légère l'injonction à la presse d'aller fouiller dans les Wikileaks
sur Macron (ici) - pour découvrir que tout est en
ordre.
Les journalistes du
Nouvels Obs l'ont pris au mot et sont
allés fouiller. C'est alors qu'ils sont tombés sur une série de mails intitulés
"Chiffres. Dons. Validations" dans laquelle le montant des chiffres à
diffuser à la presse est volontairement revu à la baisse, passant de 11
millions à 9 millions:
La même question se pose trois semaines plus
tard. La collecte totale réelle est montée à 11 millions d'euros, le don médian
étant de 50 euros mais, du fait du grand nombre de très généreux donateurs, le
don moyen grimpant, lui, à 250 euros. Le 27 mars 2017, Benjamin Griveaux (alors
porte-parole de La République en Marche) et Cédric O. (trésorier de la campagne
et actuel conseiller conjoint du président et du Premier ministre sur les
participations publiques) décident, là encore, de tronquer la vérité.
Le don moyen ? "On ne communique pas
dessus", ordonnent-ils en chœur. La collecte totale de 11 millions ?
"On communique sur 10", propose Cédric O. Benjamin Griveaux
n'est pas d'accord. Pour lui, c'est trop. Il tranche et ordonne
: "Mettre 9 millions d'euros de dons perçus et pas 10"... Alors
qu'on l'a vu, le vrai chiffre est 11 !
Finalement, le chiffre retenu sera non pas de 10 millions, mais de 9 - pourquoi? quels sont les donateurs à cacher?
Cela ouvre la porte
à toutes les spéculations. La presse italienne, pour sa part,
annonce que Macron a reçu des fonds spécifiques de la part de personnes très
"marquées":
Ovviamente
in questi casi l'autenticità è sempre in dubbio e dunque usiamo il
condizionale, ma a scorrere quelle corrispondenze fiume si scopre che soldi a
pioggia sono arrivati da Credit Agricole (otto milioni)e dal colosso
bancario Rothschild, da Soros e da Goldman-Sachs. In soldoni, George Soros: 2.365.910,16 €, David Rothschild: 976.126,87
€, Goldman-Sachs: 2.145.100 €.
… nous utilisons le conditionnel, … il s'avère que l'argent
à flots vient du Crédit Agricole (huit millions) du géant bancaire Rothschild,
de Soros et de Goldman Sachs. En un mot, George Soros: 2 365 910,16 euros,
David Rothschild: 976 126,87 euros, Goldman Sachs: 2 145 100 euros.
Tant de scandales
entourent la campagne de Macron que l'intérêt public exigerait qu'une enquête
scrupuleuse soit menée pour éclaircir la situation. Non pas par la presse, non
pas dans les réseaux sociaux, mais par les institutions de la République. Qui
ne sont pas là que pour s'occuper de l'opposition. Pendant la campagne
électorale.
Petit
retour sur l’indescriptible
démonstration afro-techno-LGBT organisée à l’Élysée pour la fête de la musique.
L’émission
Quotidien, peu suspecte de positions réactionnaires, a pris la peine de
traduire les paroles de ce qui s’est chanté à l’Élysée devant Emmanuel et
Brigitte Macron. Stupéfiant !
Lors de la fête de la musique à l’Élysée, Macron-la-fiotte tripote les fesse du DJ homo source |
Il y a quelques jours, un certain Philippe de Villiers
tressait une couronne de lauriers à Emmanuel Macron, évoquant la
« verticalité de sa présidence »…
Pour bien comprendre, cette notion de verticalité,
regardez donc les images de la « fête de la musique » organisée à
l’Elysée par Brigitte et Emmanuel Macron.
Devant un public de 1.500 bourgeois autant friqués que décadents,
c’est une fête afro-techno-LGBT qui s’est déroulée dans ce lieu de pouvoir
transformé en Sodome.
La cerise sur le gâteau : le DJ Kiddy Smile arborant un maillot sur
lequel était écrit « Fils d’immigrés, noir et pédé ». Le ton était
donné…
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