Il a été abattu ce matin, mercredi 6 février 2013, devant son domicile, de trois balles dans
la tête. Son frère Abdelmajid accuse Ennahda et Rached Ghannouchi en
personne. Ce dernier est allé se réfugier chez ses suzerains britanniques, comme les rats qui quittent le navire qui va couler. Avec l’assassinat du chef du parti des Patriotes démocrates,
c’est le début d’une nouvelle étape qui plongera la Tunisie dans la
guerre civile.
Le scénario algérien est-il déjà là ?
Le scénario algérien est-il déjà là ?
Dans l’article "assassinats programmés d'hommes politiques" ,
publié le 26 décembre dernier, nous écrivions ceci : « Abstraction
faite de toutes ces informations, nous pensons que, tôt ou tard, les
islamistes vont passer à la violence et au terrorisme, et que ce cycle
commencera précisément par l’élimination de toutes les personnes dans
lesquelles Rached Ghannouchi verrait un concurrent politique sérieux ou
une menace qui limiterait l’hégémonie d’Ennahda.
C’est dans la logique même de ce mouvement théocratique, qui n’a jamais
hésité de recourir à la violence pour usurper le pouvoir. A plus forte
raison aujourd’hui, que le pouvoir est entre ses mains et qu’il ne
lâchera plus jamais sans provoquer un bain de sang ».
Cela s’appelle tuer pour donner l’exemple. Ce n’est pas le premier cas mais le second, Lotfi Nakhd, de Nidaa Tounès ayant été tué par les « gardiens de la révolution » il y a déjà quelques mois. Pour ceux qui connaissent très bien la psychologie et les méthodes des islamistes, pas seulement en Tunisie d’ailleurs, ces assassinats sont dans la logique même des choses. Leurs buts, faire régner un climat de terreur, éradiquer les poches de résistance à la dictature islamiste, délivrer aux opposants un message clair : disparaitre totalement de la scène, ou s’abstenir de critiquer Ennahda. C’est inédit dans l’histoire de la Tunisie, que ce soit sous Bourguiba ou sous Ben Ali.
Dans l’article de décembre dernier, nous avons cité quatre noms : Béji Caïd Essebsi, Hamma Hammami, Tahar Ben Hassine et Amor Shabou. Nous avons volontairement rendu public leurs noms pour alerter la classe politique et l’opinion publique tunisiennes. Nous comprenons donc pourquoi les commanditaires des assassinats ont changé de cibles. Ce serait trop flagrant pour eux. Plutôt que Hamma Hammami, c’est donc Chokri Belaïd qui a été abattu.
Certains n’ont pas pris au sérieux nos alertes et nos mises en garde. Nous espérons qu’ils vont désormais prendre en considérations nos informations. D’autres assassinats seront commis dans les semaines qui viennent. Des attentats plus sophistiqués seront perpétrés dans la capitale et ailleurs : voitures piégées, trains explosés, administrations ciblées…Des événements qui annoncent une guerre civile de plus en plus probable. Ce n’est pas de l’alarmisme mais des prévisions qui découlent de notre connaissance parfaite de l'islamisme "modéré" et de la situation générale du pays.
portrait robot du serial killer |
Cela s’appelle tuer pour donner l’exemple. Ce n’est pas le premier cas mais le second, Lotfi Nakhd, de Nidaa Tounès ayant été tué par les « gardiens de la révolution » il y a déjà quelques mois. Pour ceux qui connaissent très bien la psychologie et les méthodes des islamistes, pas seulement en Tunisie d’ailleurs, ces assassinats sont dans la logique même des choses. Leurs buts, faire régner un climat de terreur, éradiquer les poches de résistance à la dictature islamiste, délivrer aux opposants un message clair : disparaitre totalement de la scène, ou s’abstenir de critiquer Ennahda. C’est inédit dans l’histoire de la Tunisie, que ce soit sous Bourguiba ou sous Ben Ali.
Dans l’article de décembre dernier, nous avons cité quatre noms : Béji Caïd Essebsi, Hamma Hammami, Tahar Ben Hassine et Amor Shabou. Nous avons volontairement rendu public leurs noms pour alerter la classe politique et l’opinion publique tunisiennes. Nous comprenons donc pourquoi les commanditaires des assassinats ont changé de cibles. Ce serait trop flagrant pour eux. Plutôt que Hamma Hammami, c’est donc Chokri Belaïd qui a été abattu.
Certains n’ont pas pris au sérieux nos alertes et nos mises en garde. Nous espérons qu’ils vont désormais prendre en considérations nos informations. D’autres assassinats seront commis dans les semaines qui viennent. Des attentats plus sophistiqués seront perpétrés dans la capitale et ailleurs : voitures piégées, trains explosés, administrations ciblées…Des événements qui annoncent une guerre civile de plus en plus probable. Ce n’est pas de l’alarmisme mais des prévisions qui découlent de notre connaissance parfaite de l'islamisme "modéré" et de la situation générale du pays.
Karim Zmerli
Le Qatar, derrière l'assassinat de Chokri Belaïd ?
Le professeur franco-syrien Bassam Tahhan accuse clairement le
Qatar d'être derrière l'élimination de Chokri Belaïd. Il vient de le
déclarer à la radio iranienne d'expression française. Cette thèse est
tout à fait possible car Chokri Belaïd est l'un des rares hommes
politiques tunisiens à avoir violemment critiqué le Qatar ces dernières
semaines. Ce qui confirmerai d'ailleurs l'implication d'Ennahda dans cet
assassinat politique, puisque ce parti est aux ordres de Doha. Quelques
heures avant sa mort, Chokri Belaïd a accordé une interview au journal
"Al-Khaliij" (le Golfe) qui parait à Sharjah. Il a employé l'expression
"crime politique" seize fois, a affirmé que ce qui se passe en Syrie est
une conspiration israélo-américaine soutenue par les pays du Golfe, et
qu'Ennahda préparait des plans terroristes en Tunisie. Propos largement
suffisants aux islamistes pour le liquider physiquement. nous reproduisons ici l'article publié dans le journal "Algérie
Patriotique", ce 7 février 2013.
De plus en plus de voix s’élèvent pour accuser le Qatar d’être
l’ordonnateur de l’assassinat de l’opposant tunisien Chokri Belaïd,
secrétaire général du parti des Patriotes démocrates unifié. Bassam
Tahhan, politologue et professeur de géostratégie de renommée mondiale
et auteur de plusieurs livres sur le monde arabe, dans une interview à
la radio iranienne francophone, n’a pas hésité à accuser le Qatar d’être
derrière cet assassinat, jetant ainsi un véritable pavé dans la mare si
pestilentielle de cette monarchie qui ne cesse de faire parler d’elle à
travers le Globe. La raison ?
Pour ce spécialiste du monde arabe, «Chokri Belaïd a beaucoup critiqué le Qatar». Une semaine avant son assassinat, il avait multiplié les sorties médiatiques pour dénoncer les prédicateurs islamistes du Golfe qui venaient «semer leur poison» en Tunisie. Il avait accablé l’Arabie Saoudite et le Qatar, deux pays à la doctrine dangereuse pour le peuple tunisien. «Tout le monde sait que le Qatar a aidé le parti Ennahda à arriver au pouvoir. Tout le monde sait aussi que le Qatar est en Libye et que probablement l'arme du crime viendrait de Libye, puisque les armes livrées par l'Otan à ce pays passent maintenant dans les pays voisins, la Tunisie, le Mali, et d'autres...», a souligné Bassam Tahhan qui a mis en garde les autres pays arabes contre cet «ami» qui est le Qatar.
Pour ce spécialiste du monde arabe, «Chokri Belaïd a beaucoup critiqué le Qatar». Une semaine avant son assassinat, il avait multiplié les sorties médiatiques pour dénoncer les prédicateurs islamistes du Golfe qui venaient «semer leur poison» en Tunisie. Il avait accablé l’Arabie Saoudite et le Qatar, deux pays à la doctrine dangereuse pour le peuple tunisien. «Tout le monde sait que le Qatar a aidé le parti Ennahda à arriver au pouvoir. Tout le monde sait aussi que le Qatar est en Libye et que probablement l'arme du crime viendrait de Libye, puisque les armes livrées par l'Otan à ce pays passent maintenant dans les pays voisins, la Tunisie, le Mali, et d'autres...», a souligné Bassam Tahhan qui a mis en garde les autres pays arabes contre cet «ami» qui est le Qatar.
S.B. Algérie Patriotique
Besma Khalfaoui a le visage creusé par la douleur, mais ses mots jaillissent comme une source vive. La veuve de Chokri Belaid, sa petite fille serrée contre elle, ses amis et sa famille chantant l’hymne national, dit qu’elle pleurera plus tard, que ses larmes n’ont aucune importance. Elle continue, comme l’homme aimé qu’on lui a tué de quatre balles, à se battre pour une Tunisie démocratique. Vous connaissez le visage de Besma : elle a accepté de le montrer aux caméras et aux journalistes dans les ravages de la tristesse et le courage de la détermination. Le visage de Besma, penché sur le drapeau qui recouvre le corps de Chokri, puis levé, dévasté et énergique, vers ses interlocuteurs, est le « J’accuse » qui fait trembler aujourd’hui Ennahda, alors que le crime jette un pays dans la rue.
Que tous ceux qui nous ont servi la fable de l'islamisme modéré se taisent !
Vendredi 8 Février 2013
Alors que Tunis, en grève générale, porte aujourd’hui en
terre Chokri Belaid, l’opposant laïc à Ennahda assassiné le 6 février,
la légende de l’islamisme modéré véhiculée par tous les faux experts
médiatiques vole en éclats de sang.
Besma Khalfaoui a le visage creusé par la douleur, mais ses mots jaillissent comme une source vive. La veuve de Chokri Belaid, sa petite fille serrée contre elle, ses amis et sa famille chantant l’hymne national, dit qu’elle pleurera plus tard, que ses larmes n’ont aucune importance. Elle continue, comme l’homme aimé qu’on lui a tué de quatre balles, à se battre pour une Tunisie démocratique. Vous connaissez le visage de Besma : elle a accepté de le montrer aux caméras et aux journalistes dans les ravages de la tristesse et le courage de la détermination. Le visage de Besma, penché sur le drapeau qui recouvre le corps de Chokri, puis levé, dévasté et énergique, vers ses interlocuteurs, est le « J’accuse » qui fait trembler aujourd’hui Ennahda, alors que le crime jette un pays dans la rue.
Plus tard, on se souviendra de ces traits
féminins à la douceur gommée par la brutalité de l’arrachement. Ce
visage, accolé au portrait de l’homme assassiné, résumera la Tunisie qui
marche sombrement en ce 8 février : il racontera l’insurrection des
endeuillés.
Ce visage de survivante, il faudrait que
certains de nos beaux esprits, en France, osent le regarder, eux aussi.
Vous savez, ces esprits forts qui se piquent d’expertise magistrale. Ces
bons maîtres qui tournent en boucle, depuis des années, sur les
plateaux et sur les ondes, pour nous expliquer par A+ B que les
islamistes étaient devenus démocrates. Qu’il fallait être un niais ou un
islamophobe pour ne pas croire à leur intelligence politique. Qu’il
fallait mettre en veilleuse nos idées archaïques de laïcité pour ne
surtout pas froisser un destin arabe forcément soumis aux ordres de
l’éternel ciel identitaire.
Qu’en conséquence, on ferait mieux de la boucler avec nos bavardages suspects.
Aujourd’hui, c’est à ces clercs, à ces gourous divers, chercheurs,
commentateurs, maîtres assistants de toutes les confusions, bien calés
sur leur chaire de certitudes, que l’on conseille de regarder un
instant, à la dérobée pour ne pas le salir, le visage de Besma, épouse
d’un Tunisien patriote, démocrate et laïc. Le visage de la veuve de
Chokri Belaid, assassiné parce qu’il jetait leur vérité et leur mensonge
au visage des islamistes. Parce qu’il scandait son espoir d’une société
juste, sociale, égalitaire : c’était un leader de gauche. Son besoin
d’une société débarrassée du poison religieux politique. En un mot, un
seul, raillé par ces experts nauséeux confits en dévotion devant l’objet
islamiste de leurs recherches : une société laïque. Voilà ce que
voulait Chokri Belaid et ce que refusent ses assassins.
On leur conseille donc, à ces bavards qui ont absous par bêtise tant de
crimes antérieurs, de regarder Besma : mais ils n’y arriveront pas.
Regardaient-ils, du temps que l’Algérie saignait, le visage des femmes
qui survivaient à leur mari, fils, frère, sœur égorgés par les
islamistes ? Ont-ils compté, pendant les nuits d’infinie souffrance
algérienne et musulmane, les cadavres des citoyens, citoyennes, paysans,
profs, médecins, politiques, journalistes, instituteurs, écolières
abattus par les islamistes, premiers tueurs de musulmans ?
Ils ont la mémoire courte et la vision rétrécie, nos experts. Ils
avalent et digèrent toutes les sinistres fariboles d’un parti politique
qui a mis sa cravate des dimanches pour faire oublier les sabres et le
kamis afghan des prêcheurs de djihad, ceux que Rached Ghannouchi, le
leader d’Ennahda, appelle avec bonté « nos enfants salafistes ».
Devant le visage de Besma, face au peuple tunisien dressé contre
l’islamisme menteur et assassin, devant cette insurrection arabe qui
refuse la soumission au ciel des manipulateurs identitaires, que ces
gens-là se taisent enfin !
Martine Gozlan - Marianne (France)
Il n'échappe à personne que ce
clown, alias Bou Tartour, est l’otage d’Ennhada. Il n’a qu’un titre honorifique, sorte de
roi fainéant qui ne dirige rien du tout. D’ailleurs, il
l’avait prouvé avec l’extradition illégale et criminelle de l’ex Premier ministre libyen Al-Baghdadi
Al-Mahmoudi vers Tripoli, contre, il est vrai, une confortable rançon. Il parait qu'ils (qui-vous-savez) se sont partagés la confortable rançon. Un Million de Dollars par ci, un autre million par là. Quand l'un d'eux est coincé avec son million en banque, à Tunis même, on vous sort une chinoiserie quelconque.
Concluons enfin par cette mise en garde d'Angela Mekel, chancelière d'Allemagne :
"Tous ceux qui tiennent à la légitimité en Tunisie doivent savoir que le monde entier est en train d’observer le terrorisme exercé en Tunisie au nom de cette légitimité et assiste à l’apparition de milices extrémistes. Ce qui se passe au Mali doit servir de leçon aux tenants de la légitimité, sinon ils rateraient l’opportunité historique de construire un Etat pluraliste démocratique et moderne en Tunisie".
Ali Laâridh aurait facilité la fuite vers la Libye de l’assassin
« Deux des cinq suspects impliqués dans
l’assassinat du martyr Chokri Belaïd sont actuellement à Bani Walid en Libye »,
a déclaré Zied Lakhdhar, secrétaire général du parti des patriotes démocrates
unifié (PPDU) à l’agence TAP.
Il a indiqué que « l’ancien ministre de l’Intérieur Ali
Laâridh ainsi que l’ambassadeur de Tunisie en Libye seraient impliqués dans la
fuite des deux suspects». Le premier suspect dans cette affaire a été arrêté
par le ministère de l’Intérieur juste après l’assassinat de Belaïd avant d’être
relâché. « Le deuxième suspect a été identifié et le juge d’instruction
nous avait promis de l’arrêter », a précisé Zied Lakhdhar. Et d’ajouter :
« Les deux suspects ont fui vers la Libye pendant que Laâridh tentait de
détourner notre attention vers le nord-ouest ( frontière tuniso-algérienne )
pour nous faire croire de l’intention des autorités d’arrêter Kamel Gadhgadhi,
un autre suspect impliqué dans l’assassinat de Belaïd », a-t-il ajouté.
De son côté, Lotfi Belaïd, frère de Chokri Belaïd, a accusé
de nouveau le mouvement islamiste Ennahdha ,au pouvoir , d’être impliqué dans
l’assassinat de son frère. « Les données qui sont en notre possession révèlent
que Kamel Aïfi, leader du mouvement Ennahdha résident en France, est celui qui
a coordonné l’assassinat de Chokri Belaïd », a-t-il affirmé à l’agence TAP. «
Aujourd’hui, nous sommes convaincus que le gouvernement provisoire fera tout
pour masquer la vérité dès lors que le mouvement Ennahdha, qui dirige le
gouvernement, est derrière cet assassinat politique », a-t-il assuré.
Conclusion
Chokri Belaid, le désormais ex secrétaire
général du Parti des patriotes démocrates unifié, est la victime du
parti islamiste Ennhada. Ces clowns tentent de nier, en se précipitant
de condamner ce meurtre. Mais, la plus grosse escroquerie que j’ai vue,
c’est ce discours bidon de Marzouki, le président tunisien, à
Strasbourg. Selon lui, ce sont les anciens partisans de Ben
Ali qui veulent créer le chaos. La même accusation qu’un certain M.
Ferchichi avait faite après qu’il fut arrêté à Orly avec une valise
d’argent du…Qatar.
Concluons enfin par cette mise en garde d'Angela Mekel, chancelière d'Allemagne :
"Tous ceux qui tiennent à la légitimité en Tunisie doivent savoir que le monde entier est en train d’observer le terrorisme exercé en Tunisie au nom de cette légitimité et assiste à l’apparition de milices extrémistes. Ce qui se passe au Mali doit servir de leçon aux tenants de la légitimité, sinon ils rateraient l’opportunité historique de construire un Etat pluraliste démocratique et moderne en Tunisie".
Hannibal Genséric
RépondreSupprimerComme son précédent, le gouvernement actuel essaye d’étouffer l’affaire chokri belaide…il joue sur le facteur temps et essaye de faire oublier le crime…les derniers développements, et grâce à des efforts de particuliers, connaissent un nouveau rebondissement…l’estafette qui aurait servi à l’évacuation des meurtriers a été identifiée et son matricule est rendu publique…elle appartient à une entreprise qatari, dont le gérant est un nahdhaoui…la justice tunisienne essaye de bâcler l’enquête…des témoins cités par la défense n’ont pas encore été entendus…la justice se décharge de ses devoirs pour confier la totalité de l’affaire à la brigade de la police criminelle. les points d’interrogations sont restés sans réponses…tout y est pour laver les mains sur cette prétendue justice, complice du gouvernement et du parti au pouvoir, directement impliqués dans l’assassinat…l’équipe de défense et la famille du défunt n’ont qu’à internationaliser l’affaire et lui donner l’importance qu’elle mérite…tous les indices convergent vers le crime politique préparé, commandité et exécuté par des états (le gouvernement tunisien et son maître qatari)…tous les ingrédients sont réunis pour s’adresser au tribunal international... le reste n’est que perte de temps….certes, les choses ne seront pas faciles, mais il faut le faire…dans ce cas, la famille bénéficie de la sympathie des organisations civiles internationales des droit de l’homme qui peuvent jouer un rôle essentiel…elle bénéficie aussi du soutien illimité de toute la famille démocratique locale…
Casoar Casqué
RépondreSupprimerLe journaliste et animateur de la radio Shems FM et de Tounesna TV Mehdi Houas a reçu des menaces de mort via une lettre anonyme, selon le Centre de Tunis pour la Liberté de la Presse.
Dans cette lettre manuscrite arrivée par la poste, le message laisse entendre que des menaces similaires ont été adressées à d’autres journalistes et des menaces sont directement adressées à Mehdi Houas lui intimant l’ordre de ne «pas dépasser les lignes rouges voire d’abandonner la politique au risque de connaître le même sort que Chokri Belaid», le tout agrémenté d’insultes.
Cette affaire intervient alors que Hamza Belloumi, journaliste et animateur de la radio Shems FM et Nessma TV, avait annoncé avoir reçu des menaces de mort, le 1er mars dernier dans une lettre qui lui a été envoyée au siège de Nessma TV.
D’autres journalistes sont sous le coup de menaces comme Sofiane Ben Farhat, Sofiane Ben Hamida, Neziha Rejiba (Om Zied) et Naoufel Ouertani, selon le Centre de Tunis pour la liberté de la presse.