mercredi 3 avril 2013

Il est beau, le pipi de chameau



Son fils Titus l'ayant blâmé d'avoir établi un impôt jusque sur l'urine, il lui mit sous le nez le premier argent de cet impôt, et lui demanda «s'il sentait mauvais». Titus ayant répondu que non, «il vient cependant de l'urine», lui dit Vespasien.
Vies des Douze Césars, Vespasien
Citations de Suétone

Son fils Titus l'ayant blâmé d'avoir établi un impôt jusque sur l'urine, il lui mit sous le nez le premier argent de cet impôt, et lui demanda «s'il sentait mauvais». Titus ayant répondu que non, «il vient cependant de l'urine», lui dit Vespasien.
Vies des Douze Césars

Vies des Douze Césars, Vespasien
Citations de Suétone
Références de Suétone

Dans un article intitulé " En privilégiant le chameau à la roue, les Arabes ratent le saut technologique", j'écrivais : "L'une des raisons pour lesquelles les musulmans ont raté le saut technologique qu'est la roue, est leur adoption du chameau comme moyen privilégié du transport ".  J'avais alors reçu beaucoup de commentaires, me reprochant de mettre en cause ce sympathique camélidé dans les retards scientifique, politique, technologique et autres, des arabo-musulmans. Naturellement, ce ne sont point ces camélidés qui en sont responsables, mais bien ceux qui les chevauchent. Afin de me racheter aux yeux des amoureux de cet animal-totem des Arabes, je me suis mis à la recherche de ses vertus thérapeutiques sur les rois du désert. Voici le résultat.

La chaîne ARTE promeut l'urine de chameau

Le vendredi 21 décembre 2012, la chaîne de télévision franco-allemande Arte nous présentait un beau documentaire sur les chameaux, intitulé « Les vaisseaux du désert ». A travers ce film, on découvre des spécificités particulièrement étonnantes de cet animal du désert , mais aussi les remèdes qu’il pourrait offrir à l’être humain. Les études que cet animal suscite révèlent son caractère surprenant.

La fin du documentaire se penche sur les bienfaits du lait de chamelle, et sur lesquels la FAO (organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) effectue des recherches. Mais il termine aussi sur un éventuel autre bienfait, bien plus surprenant, l’urine du chameau. En effet, un bédouin éleveur de chameau explique au journaliste un remède bénéfique pour la santé : trois verres de lait de chamelle et un verre d’urine. Il raconte l’expérience menée sur 40 malades du cancer qui sont restés près de lui, et qui ont pris ce remède quotidiennement. De retour de leur cure, les médecins ont noté une amélioration de l’état de leurs patients.

Un « savant » des Frères Musulmans prescrit l’urine de chameau comme remède universel


Lorsque le "savant" islamique Zaghloul El-Naggar a recommandé, sur la chaîne égyptienne RTRS,  en octobre 2012, la consommation de l’urine de chameau, la décrivant comme un remède islamique pour les maladies incurables, le standard de la chaîne a été bombardé d’appels téléphoniques de gens en colère. 

Or, non seulement Dr. Naggar promouvait cette pratique, mais il fit l’annonce ahurissante qu’en Égypte, un centre médical à Marsa Matrouh est spécialisé dans le traitement à l’urine de chameau, suivant les « conseils du prophète » datant du septième siècle !
Le "savant"  El-Naggar est une figure historique des Frères Musulmans.  Il fut membre du conseil d'administration de la banque des Frères Musulmans, Al-Taqwa, dirigée par Yusef Nada, l'ami de Saïd Ramadan (le père de Tariq Ramadan, ce larbin de l'émir du Qatar, et qui fait la pluie et le beau temps de l'islamisme sur les TV européennes). Partant du principe "Charité bien ordonnée commence par soi-même", El-Naggar en a été le cinquième plus gros actionnaire, avant la dissolution de l'entité financière. Le Wall Street Journal rapportait en 2002 son influence sur le cheikh  Zindani, chef d'Al-Qaïda au Yémen et sur Ben-Laden lui même. Al-Naggar est aussi le chef du comité égyptien des notions scientifiques du Coran, c'est donc une "sommité" islamiste. Il n'a jamais démenti les déclarations du cheikh Bin Baz, la plus haute dignité islamique de l'Arabie saoudite, qui déclarait avant sa mort en 1999, en se référant à ses interprétations coraniques, que le monde est plat et que toutes les autres évidences scientifiques font partie du « complot occidental ».

Le pipi du chameau est-il un remède contre le cancer ? 

C’est la question que s’est posée une chercheuse dans ce domaine, Docteure Faten Abderahmane Khorsheed, au Centre de recherche médicale du Roi Fahd, à Jeddah. La scientifique évoque la découverte incroyable de l’urine de chameau comme un possible remède pour les cancéreux. Elle décrit son étonnante composition moléculaire. Ainsi, elle explique qu’en très petite quantité, l’urine contient de l’or, de l’argent, du platine, autant d’éléments qui sont toxiques pour l’homme mais qui, en nanoparticules, se dirigent vers les cellules cancéreuses et pour n’attaquer qu’elles. Les cellules saines qui sont autour ne sont donc pas touchées. Pour l’instant, la recherche n’est encore qu’au stade de l’expérimentation mais des tests sur des patients "bénévoles" (mais ayant opté volontairement pour la vie en prison) et sur des souris leucémiques s’avèrent être positifs.
La chercheuse participe à l’élaboration de capsules composées d’urine séchée. Les recherches sont encore en cours, mais elle espère que l’urine de chameau contribuera à soigner de graves maladies telles que le cancer, le sida, l’hépatite, des maladies du foie, etc.

Pipi de chameau :
énergie, vitalité


Ces capsules seraient pasteurisées et disponibles dans les supermarchés. La doctoresse Fâten Khorsheed précise que ses recherches ont fait l’objet d’un brevet dans les pays du Golfe, aux USA, en Chine et en Europe (cf le journal saoudien Okaz). Déposés depuis bientôt deux ans, aucun brevet n’aurait encore été agréé à ce jour.

Selon Dr Ahlaam d’Arabie saoudite, le nouveau produit à base de l’urine du chameau peut être utilisé pour traiter les maladies de peau comme l’eczéma, les allergies, les plaies, les brûlures, l’acné, les infections des ongles, le cancer, l’hépatite et l’hydropisie, sans effets secondaires nocifs.
Commercialisées au Yémen, ces urines de chamelle auraient réussi à faire repousser les cheveux des femmes, ainsi que les poils de leurs pubis, ce qui pose un grave problème, car les mâles Yéménites, contrairement aux mâles ibériques, préfèrent les pubis imberbes. Peut-être que, sournoisement, la doctoresse saoudienne a fait exprès de donner à son invention un effet répulsif afin d'éloigner les mâles, et d'avoir ainsi un effet contraceptif halal ?

L'urine de chameau serait-elle source du coronavirus?

Un chercheur égyptien, qui est certainement un mauvais musulman, a affirmé, dans une déclaration à une des revues scientifiques allemandes, qu’il est probable que l’urine de chameau soit la source du virus mortel  « corona » qui est apparu en 2012, en Arabie saoudite, et s’est propagé dans d’autres pays voisins, dont le Yémen. Le chercheur a souligné qu’il avait déjà supervisé une recherche scientifique sur les bienfaits de se soigner à l'urine de chameaux et a conclu que l'urine de chameau contient des composants nocifs et hautement toxiques pour ceux qui la boivent. Ils peuvent être atteints d’insuffisance rénale aiguë qui conduit à la mort progressivement. L'urine contient également de dangereux virus, dont un très proche du Coronavirus qui pourrait se transformer génétiquement lorsqu'il pénètre dans le corps humain.




Première preuve d'infection directe d'un humain par un dromadaire

Une analyse génétique a établi pour la première fois une infection de l'homme par le coronavirus MERS (Middle East Respiratory Syndrome) transmise directement par des contacts avec un dromadaire en Arabie Saoudite, selon une étude publiée dans la revue médicale américaine New England Journal of Medicine (NEJM).

"Les données suggèrent qu'un dromadaire a été la source d'une infection par le MERS d'un malade qui a été en contact avec des sécrétions nasales de cet animal", écrivent les auteurs de ces travaux.
La présence de "séquences génétiques identiques" dans les coronavirus isolés chez ce malade -un Saoudien de 44 ans décédé en novembre 2013 de son infection- et un dromadaire de son ranch "laisse penser à une transmission directe entre cet animal et cet individu sans autre source intermédiaire", précisent-ils.
Aux dernières nouvelles, en ce mois de Mars 2014, la vente de cet élixir halal, mais hautement dangereux pour la santé, n'est pas interdite dans les pays concernés, dont le Yémen, l'Egypte et l'Arabie. S'il y a des morts dans ces pays, dues au coronavirus, cela ne peut provenir que de la "guerre bactériologique" que mène Bachar Al-Assad contre les wahhabites saoudiens, les "vrais musulmans". Coriace, il ne recule devant rien, ce Bachar !
Hannibal Genséric

Panique en Arabie Saoudite (Avril - Mai 2014)


Le coronavirus MERS est un virus biologique provoquant de sévères pneumonies et affaiblissant les organes viscéraux.
 
Depuis son apparition dans le royaume saoudien en septembre 2012, l'infection a déjà contaminé 313 personnes. Le nombre de victimes de ce virus s'élève à 92 morts fin avril.
En réaction à ces nouvelles pertes, le roi Abdallah a entamé un séjour à Jeddah pour rassurer les Saoudiens après la fermeture provisoire du service des urgences du plus grand hôpital de la ville à cause du grand nombre de contaminations.  L'incapacité du ministre de la santé Abdallah al-Rabiah à diminuer l'évolution des contaminations a entraîné la relève de ces fonctions le 21 avril dernier.

Coronavirus MERS-Cov

Le coronavirus MERS-CoV est apparu en avril 2012 en Jordanie, mais identifié seulement quelques mois plus tard, en septembre, chez un patient qatari revenant d’Arabie Saoudite. Les lettres MERS signifient Middle East Respiratory Syndrome (ou syndrome respiratoire du Moyen-Orient), du fait de la région du monde dans laquelle il est apparu et depuis laquelle il s’est répandu. Il est à l’origine d’une épidémie mortelle à partir de l’année 2012, qui s’est répandue à d’autres pays du monde, y compris la France.

Depuis avril 2012 donc, des cas de MERS-CoV ont été identifiés dans 10 pays : la Jordanie, l’Arabie saoudite, le Qatar, les Émirats arabes unis, l’Oman, le Royaume-Uni, la France, la Tunisie, l’Italie et le Koweït. Les premiers cas en France, en Italie, au Royaume-Uni et en Tunisie ont été associés à des voyages au Moyen-Orient.

Le coronavirus MERS-CoV a pour la première fois été détecté chez un patient qatari revenant d’Arabie Saoudite en septembre 2012. Une fois ce dernier hospitalisé à Londres, les médecins ont associé ses symptômes (infection respiratoire aiguë sévère et insuffisance rénale) à la présence d’un coronavirus, un genre de virus dans lequel on compte celui à l’origine du Sras. Les analyses leur donnent raison, et l’analyse génétique de ce virus à couronne inconnu révèle qu’il est très différent de ceux infectant l’Homme que l’on connaissait jusque-là.

Les dromadaires et le coronavirus MERS

Une étude scientifique publiée le mardi 25 février 2014 aux États-Unis affirme que le coronavirus MERS est transmis par les dromadaires et pourrait bien passer directement des animaux aux humains.

Jusqu'à aujourd'hui, on savait peu de choses sur l'origine de ce virus qui provoque principalement des problèmes respiratoires aigus, avec fièvre, toux, essoufflement, et s'accompagne souvent de pneumonie, de problèmes gastro-intestinaux, voire d'une insuffisance rénale.
Mais un professeur de l'Université de Columbia montre que le virus "est extraordinairement commun chez les dromadaires depuis au moins une vingtaine d'années  ». Et de rajouter : "Dans certaines parties de l'Arabie saoudite, les deux tiers de ces animaux ont leurs voies respiratoires touchées par ce virus", a expliqué à l'AFP Ian Lipkin. "Il est probable que les dromadaires soient la principale source d'infection des humains".

Tunisie : il vend son pipi devant les mosquées (15/08/2015)


Un astucieux jeune homme exploite la crédulité et la bêtise des gogos. Il pisse dans des bouteilles qu'il revend aux sorties des mosquées à Sfax, deuxième ville du pays, mais premier centre taliban de Tunisie. Sur Facebook, Manoubia Ben Ghedahem a partagé la photo ci-dessous d'un jeune pakistanais qui pratiquait la même escroquerie en Arabie.  Elle témoigne " juste pour infos.... ce bonhomme vendait son pipi en prétendant que c'est de la pisse de chamelles (boul el be3ir).... je vous en parle parce que j'ai vu de mes yeux, à Sfax, devant la mosquée loghmani, des étals qui vendaient du boul el be3ir en bouteilles de 250ml.... et on m'a dit qu'on en a vendu devant jema3 el fatah et à Douar Hicher et ailleurs.... en tout cas, une petite question à ceux qui en ont bu: labèss ???".