« Égorgez devant les égouts ! »
Après avoir humilié et chassé les chrétiens de Qoussayr, le cheikh Harba a appelé à égorger devant les égouts tous les Syriens non-ASL :
Et Israël soutient la légion sunnite
C’est le titre d’une fatwa
lancée par le cheikh
Abdul-Salam Harba, chef militaire et spirituel de l’ASL [Armée
syrienne libre, ndlr], surnommé le « Arour d’Homs » (Adnane Arour est le
cheikh qui a appelé à hacher les alaouites
réfractaires et à jeter leur chair aux chiens).
Après avoir humilié et chassé les chrétiens de Qoussayr, le cheikh Harba a appelé à égorger devant les égouts tous les Syriens non-ASL :
« Ils seront tous égorgés devant les égouts !
Ceux qui boivent de l’alcool égorgez-les devant les égouts !
Ceux qui achètent de l’alcool, égorgez-les devant les égouts !
Ceux qui cachent l’alcool dans leur maison, égorgez-les devant les égouts !
Tous à égorger devant les égouts !
Ici, chez nous à Qoussayr, nous avons des espions, des mouchardes et des traitres !
Vous, les espions, devant les égouts, nous allons vous égorger !
Vous, les soldats de Bachar, devant les égouts, nous allons vous égorger !
La révolution veut tous vous égorger devant les égouts, vous qui collaborez avec le régime !
Sachez que personne n’échappe à l’égorgement car nous avons une liste des personnes qui fréquentent les soldats aux barrages et aux postes militaires.
La révolution est contre la prostitution et va égorger les prostituées devant les égouts !
En ce vendredi de l’unification de l’ASL, si vous n’êtes pas avec nous, vous serez égorgés devant les égouts !
Il n’y a pas de troisième voie. Vous êtes avec nous ou contre nous. »
Ceux qui boivent de l’alcool égorgez-les devant les égouts !
Ceux qui achètent de l’alcool, égorgez-les devant les égouts !
Ceux qui cachent l’alcool dans leur maison, égorgez-les devant les égouts !
Tous à égorger devant les égouts !
Ici, chez nous à Qoussayr, nous avons des espions, des mouchardes et des traitres !
Vous, les espions, devant les égouts, nous allons vous égorger !
Vous, les soldats de Bachar, devant les égouts, nous allons vous égorger !
La révolution veut tous vous égorger devant les égouts, vous qui collaborez avec le régime !
Sachez que personne n’échappe à l’égorgement car nous avons une liste des personnes qui fréquentent les soldats aux barrages et aux postes militaires.
La révolution est contre la prostitution et va égorger les prostituées devant les égouts !
En ce vendredi de l’unification de l’ASL, si vous n’êtes pas avec nous, vous serez égorgés devant les égouts !
Il n’y a pas de troisième voie. Vous êtes avec nous ou contre nous. »
D’après un article de Syriatruth paru le 7 octobre, ce prêche a été donné le vendredi 28 septembre dans une mosquée à
Qoussayr.
Abdel-Salam Harba est un proche de Farouq Tayfour, numéro deux des Frères musulmans au sein du CNS, de la famille libanaise
Hariri et des takfirites libanais de Tripoli.
En juin dernier, Abdel Salam Harba a « fait porter l’étoile » aux chrétiens de Qoussayr avant de les chasser de la
ville en tuant l’un d’entre eux pour l’exemple (cf. article Farid Aichoune, Le Nouvel Observateur, 1er août 2012).
Le même phénomène d’épuration ethnique et religieuse s’est produit dans toutes les zones mixtes islamo-chrétiennes du pays sous
contrôle ASL.
À
Al-Bab et Alep, les rebelles ont créé une police des mœurs inspirée des
moutawa’een saoudiens. Cette police est chargée
d’imposer le Bien et de combattre les actes impies comme empêcher
les actes de pillage organisés quotidiennement par les rebelles,
interdire aux femmes de rouler en voiture, forcer les gens à
prier...
Bahar Kimyongür
Une autre fatwa scélérate autorise le viol des filles syriennes !!!
L’ignominie
et le vulgaire des islamistes n’ont décidément pas de limites. Un
dignitaire religieux Saoudien, Sheikh Mohammed al-Arifi, qui
appelle à longueur de journée à l’enrôlement de mercenaires pour aller
faire le Djihad en Syrie, vient d’émettre une fatwa intitulée ”
ouverture de la porte du djihad par le mariage en Syrie”.
L’ignominie
et le vulgaire des islamistes n’ont décidément pas de limites. Un
dignitaire religieux Saoudien, Sheikh Mohammed al-Arifi, qui
appelle à longueur de journée à l’enrôlement de mercenaires pour aller
faire le Djihad en Syrie, vient d’émettre une fatwa intitulée ”
ouverture de la porte du djihad par le mariage en Syrie”.
Ce décret religieux tend à rendre légal
d’un point de vue religieux, les rapports sexuels avec des filles
syriennes, pour les mercenaires islamistes présents sur le sol syrien,
non mariés ou loin de leurs épouses, qui pourront grâce à cette fatwa
contracter mariage, pour une durée ne dépassant pas quelques heures,
avec celles qui ne sont pas mariées ou celles qui ont été répudiées ou
divorcées.
Après avoir assouvi ses plus bas
instincts, le “moudjahid”, se doit de prononcer trois
fois la fameuse répudiation et le tour est joué. Dès que la répudiation
est prononcée, un autre mercenaire prend la même pour “épouse” et ainsi
de suite. On appelle ceci une "tournante", ou viol collectif, version halal.
Les auteurs de cette fatwa affirment que
cette autorisation licite a pour objectif “de permettre aux combattants
d’exercer leur droit aux rapports sexuels, ce qui renforce leur courage
et augmente leur capacité et leur moral dans le combat”.
“le Djihad des femmes contre Bachar Al Assad”
Aussitôt dit aussitôt fait. Dans les
régions syriennes sous contrôle des milices sunnites wahhabites , la
propagande a commencé par inciter les Syriennes à s'engager dans la prostitution islamiste, dénommée au “djihad par le mariage”. Les
filles âgées de 14 ans et plus ou celles qui ont été répudiées (divorcées islamiquement) à
appliquer cette fatwa considérée comme “le Djihad des femmes contre
Bachar Al Assad”.
Cette fatwa circule sur Internet et des messages postés sur
les réseaux sociaux appellent les musulmanes dans le monde entier à
converger vers la Syrie pour “le djihad par le mariage”, à condition
d’être une bonne pratiquante, de porter le niqab ou le hijab, d’avoir au
moins 14 ans ou d’être répudiée.
Répondant à cet appel au djihad, des
dizaines de ces volontaires au mariage de jouissance ou temporaire
seraient déjà présentes sur le sol syrien, selon les mêmes messages
postés sur Facebook et Twitter. Pour attirer plus de candidates pour “le
Jihad par le mariage”, ou prostitution libellée halal, le dignitaire à l’origine de cette fatwa précise
que “c’est un djihad dans la voie d’Allah, pratiqué selon les modalités
islamiques, et qui assurera à la personne qui l’entreprend l’entrée au
paradis”.
Toute fille qui s'engage, après une mort tout aussi rapide que certaine, de syphilis ou de sida ou d'épuisement, aura droit au ticket "paradis" d'Allah, et se réincarnera en houri le jour du jugement dernier. Elle assouvira de nouveau les désirs des moujahidines retrouvés la-haut. Et rebelote.
Et Israël soutient la légion sunnite
Selon le député de la Knesset,
l’arabe israélien de confession druze, Saïd Nafaa, Israël soutient bel
et bien le groupe terroriste Front al-Nusra ou Jabhat al-Nusra contre le
Gouvernement du président Bachar al-Assad. Dans un e-mail que s’est
procuré le journal Al Watan, l’édile évoque la prise des villages
syriens du Golan, qui ont été pris par le Front. Pour lui, il est
pratiquement impossible que ces gens-là aient pris ces contrées sans
l’appui de l’armée israélienne Tsahal.
Saïd Nafaa |
L’homme déclare aussi que Tsahal est très
impliqué dans la zone démilitarisée du Golan et que les blessés du
Front al-Nusra sont simplement soignés en Israël. Il s’est ensuite dit
choqué par l’attitude du député druze libanais Walid Joublat qui, lors
d’un entretien, avait déclaré qu’il soutenait le Front al-Nusra contre
Bachar al-Assad. Une attitude jugée irresponsable par l’édile israélien.
Comment la Syrie fait pour tenir depuis
deux ans ? Face à un tel complot, ourdi par les Etats-Unis dans leur
voeu génocidaire contre l’Iran, pensez-vous vraiment que le peuple
syrien compte ? Que nenni !
Dahi Khafan |
Dans le même ordre d’idées, s’adressant à
l’agence Reuters, Dahi Khalfan le chef de la police de Dubaï a du mal à
comprendre comment l’Occident peut donner une caution aux Frères
musulmans, notamment en Syrie. Selon lui, c’est faire fausse route car,
ces gens n’ont qu’une seule envie, un seul objectif, celui de mettre en
place une règle islamique dans tous les pays du Golfe.
Il faut préciser que c’est à Dubaï, où on
peut encore voir des filles en bikini à la plage ou dans les piscines
des palaces, que les renégats vont se divertir en buvant de l’alcool
alors que chez eux, ils l’interdisent. De vrais faussaires. Dahi Khalfan
a terminé son propos en tançant l’Egypte de Morsi à qui il demande de
ne pas s’occuper des affaires intérieures des autres pays arabes.
Les femmes disent non aux fatwas wahabbistes
Avec les attentats terroristes
qui se multiplient en Syrie, toujours contre des innocents dont des
enfants sans défense, des femmes se sont réunis à Bab Touma, dans le
vieux Damas, pour signer une pétition. Elles protestaient contre les
tirs d’obus de mortiers dans le quartier chrétien de Qassa, qui avaient
atteint une école.
Tenant des débris d’obus dans les mains, la première femme qui parle accuse les prédicateurs de haine et les terroristes,
leur disant qu’ils ne passeront pas, et qu’ils devraient passer sur
leurs corps, malgré l’appui des Etats-Unis, pour aboutir.
La deuxième femme qui s’exprime, dénonce
elle aussi cette explosion terroriste , et affirme que les
terroristes multiplient ces attaques parce qu’ils sont vaincus par
l’armée syrienne sur le terrain.
La 3e femme qui s’exprime avec son hijab dit:
« Laissez-le (Youssef
al-Qaradawi) émettre d’abord une fatwa qui permet à ses femmes de
conduire une voiture, avant qu’il invente ces fatwas étranges tels que
le Jihad de Nikah ou de l’esclavage (qui permet au jihadistes de
prendre comme esclaves les femmes de leurs victimes) »
Les
rebelles ont-ils fait usage de gaz sarin contre des civils en Syrie ?
C’est ce qu’a affirmé, hier soir à la Radio-Télévision suisse-italienne
(RSI), Carla Del Ponte, membre, on ne peut plus crédible de la commission d'enquête sur la Syrie dépendant du Conseil des droits de l'homme de l'ONU.
"Nous disposons de témoignages sur l'utilisation d'armes chimiques en particulier le gaz sarin. Pas de la part du gouvernement, mais des opposants", a affirmé l'ex-procureure générale du Tribunal pénal international pour les crimes commis en ex-Yougoslavie (TPIY).
Naturellement quand on dit rebelles, cela renvoie aux factions islamistes enrôlées, armées et financées par le Qatar, qu’elles soient syriennes, tunisiennes ou autres. Si les déclarations de Del Ponte sont vraies, qui a bien pu leur fournir ce gaz, qui, logiquement ne peut être détenu que par des Etats et non par des contrebandiers vu la dangerosité qu’il représente ? Les Etats-Unis, le Qatar ou Israël ? Le démenti de l’ONU a-t-il été motivé par la gravité de l’affaire et l’implication potentielle des trois pays sus-cités dans le fournissement d’armes chimiques à des rebelles ?
Ce qui est certain, c’est que les Américains savent dès le départ que Bachar (qui disposerait d’une centaine de tonnes d’armes chimiques, toutes variétés confondues), n’a pas encore fait usage de ce redoutable outil de destruction. Il y a quelques semaines, Barack Obama a fait de l'utilisation d'armes chimiques une "ligne rouge" dans le conflit syrien, déclarant être parvenu à la conclusion "avec différents degrés de certitude" que les forces gouvernementales syriennes avaient utilisé du gaz sarin contre leur propre peuple.
L’intervention de Del Ponte ne va-t-elle pas finir par constitue une preuve de plus sur le rôle pernicieux américano-israélien dans le conflit syrien via leur harki dévoué, le Qatar ?
Le Qatar, fournisseur officiel de gaz sarin aux rebelles syriens ?
"Nous disposons de témoignages sur l'utilisation d'armes chimiques en particulier le gaz sarin. Pas de la part du gouvernement, mais des opposants", a affirmé l'ex-procureure générale du Tribunal pénal international pour les crimes commis en ex-Yougoslavie (TPIY).
Naturellement quand on dit rebelles, cela renvoie aux factions islamistes enrôlées, armées et financées par le Qatar, qu’elles soient syriennes, tunisiennes ou autres. Si les déclarations de Del Ponte sont vraies, qui a bien pu leur fournir ce gaz, qui, logiquement ne peut être détenu que par des Etats et non par des contrebandiers vu la dangerosité qu’il représente ? Les Etats-Unis, le Qatar ou Israël ? Le démenti de l’ONU a-t-il été motivé par la gravité de l’affaire et l’implication potentielle des trois pays sus-cités dans le fournissement d’armes chimiques à des rebelles ?
Ce qui est certain, c’est que les Américains savent dès le départ que Bachar (qui disposerait d’une centaine de tonnes d’armes chimiques, toutes variétés confondues), n’a pas encore fait usage de ce redoutable outil de destruction. Il y a quelques semaines, Barack Obama a fait de l'utilisation d'armes chimiques une "ligne rouge" dans le conflit syrien, déclarant être parvenu à la conclusion "avec différents degrés de certitude" que les forces gouvernementales syriennes avaient utilisé du gaz sarin contre leur propre peuple.
L’intervention de Del Ponte ne va-t-elle pas finir par constitue une preuve de plus sur le rôle pernicieux américano-israélien dans le conflit syrien via leur harki dévoué, le Qatar ?
Hannibal GENSERIC
La vidéo a fait le tour du monde. Devant tant d'horreur, son authenticité a longtemps été mis en doute. Le magazine américain Time affirme que la vidéo, qui circule depuis le 12 mai, n'a pas été manipulée. Khalid Al-Hamad est bien le chef rebelle mutilant le cadavre d'un soldat syrien pour lui prendre le cœur avant de le croquer. Il a expliqué avoir agi pour se venger des atrocités commises par les forces du régime, dans un entretien au magazine publié mardi.L'édition en ligne du journal américain affirme avoir parlé par Skype au combattant, identifié comme Khalid Al-Hamad, qui apparaît sur cette vidéo qui a suscité une vague de condamnations, notamment de l'opposition syrienne. Dans cet entretien, le combattant assure avoir agi de la sorte après avoir découvert dans le téléphone portable du soldat tué des vidéos montrant ce dernier en train d'"humilier" une femme nue et ses deux filles.
"Ce n'est pas nous qui avons commencé, ce sont eux qui ont commencé, ajoute-t-il. Notre devise, c'est œil pour œil, dent pour dent." Les images qui ont émergé sur YouTube, sans qu'on puisse en confirmer l'authenticité, montrent un homme présenté comme un chef rebelle, répondant au nom de guerre d'Abou Sakkar, découpant le cœur et le foie d'un soldat en uniforme. "Nous jurons devant Dieu que nous mangerons vos cœurs et vos foies, soldats de Bachar le chien, dit-il. O héros de Baba Amr, massacrez les alaouites et découpez leur cœur pour le manger."
L'organisation installée à New York appelle aussi toute partie le pouvant à "empêcher cette brigade d'obtenir des armes", et renouvelle son appel au Conseil de sécurité de l'ONU pour qu'il saisisse la Cour pénale internationale de la situation, afin qu'aucun crime ne reste impuni.
Le 15/05/2013 : Un rebelle explique avoir mangé le cœur d'un soldat par vengeance
La vidéo a fait le tour du monde. Devant tant d'horreur, son authenticité a longtemps été mis en doute. Le magazine américain Time affirme que la vidéo, qui circule depuis le 12 mai, n'a pas été manipulée. Khalid Al-Hamad est bien le chef rebelle mutilant le cadavre d'un soldat syrien pour lui prendre le cœur avant de le croquer. Il a expliqué avoir agi pour se venger des atrocités commises par les forces du régime, dans un entretien au magazine publié mardi.L'édition en ligne du journal américain affirme avoir parlé par Skype au combattant, identifié comme Khalid Al-Hamad, qui apparaît sur cette vidéo qui a suscité une vague de condamnations, notamment de l'opposition syrienne. Dans cet entretien, le combattant assure avoir agi de la sorte après avoir découvert dans le téléphone portable du soldat tué des vidéos montrant ce dernier en train d'"humilier" une femme nue et ses deux filles.
"NOUS LES ÉGORGERONS TOUS"
"Moi-même j'ai une autre vidéo [...]. J'y découpe un 'chabih' [milicien pro-régime] avec une scie. La scie qu'on utilise pour couper des arbres. Je l'ai découpé en petits et en grands morceaux", dit-il, toujours dans Time. Evoquant les alaouites, la minorité issue du chiisme à laquelle appartient le président Bachar Al-Assad, le rebelle de confession sunnite, comme l'écrasante majorité des insurgés, affirme : "Nous les égorgerons tous." "Ce sont eux qui ont tué nos enfants à Baba Amr et violé nos femmes", accuse-t-il en référence à un quartier symbole de la ville de Homs (Centre) que l'armée a repris au prix d'une offensive sanglante."Ce n'est pas nous qui avons commencé, ce sont eux qui ont commencé, ajoute-t-il. Notre devise, c'est œil pour œil, dent pour dent." Les images qui ont émergé sur YouTube, sans qu'on puisse en confirmer l'authenticité, montrent un homme présenté comme un chef rebelle, répondant au nom de guerre d'Abou Sakkar, découpant le cœur et le foie d'un soldat en uniforme. "Nous jurons devant Dieu que nous mangerons vos cœurs et vos foies, soldats de Bachar le chien, dit-il. O héros de Baba Amr, massacrez les alaouites et découpez leur cœur pour le manger."
CONDAMNATIONS D'HUMAN RIGHTS WATCH
Lundi, l'ONG Human Rights Watch demandait à la rébellion syrienne d'empêcher ses combattants de commettre des atrocités, après la mise en ligne de la vidéo. "On ne sait pas si la brigade dépend du commandement de l'Armée syrienne libre, écrit HRW, mais la Coalition de l'opposition syrienne et l'Armée syrienne libre devraient prendre toutes les mesures nécessaires pour que ceux qui commettent des crimes de guerre répondent de leurs actes et pour empêcher de tels abus par quiconque se trouve sous leur commandement."L'organisation installée à New York appelle aussi toute partie le pouvant à "empêcher cette brigade d'obtenir des armes", et renouvelle son appel au Conseil de sécurité de l'ONU pour qu'il saisisse la Cour pénale internationale de la situation, afin qu'aucun crime ne reste impuni.
Hannibal GENSERIC