Seuls 11% des Américains blâment Poutine pour la hausse des prix de l'essence

C'est certainement triste pour le Nouvel Ordre Mondial (NOM) et ses agents. Si seulement 11 % des Américains croient réellement que Poutine est responsable des prix élevés de l'essence aux États-Unis, alors le NOM a échoué lamentablement et pathétiquement parce qu'au cours des trois derniers mois environ, les sicaires du NOM ont rabâché jusqu'à la nausée que la Russie et même Poutine sont le mal incarné. Il semble que le NOM s'effondre lentement mais sûrement.

Est-ce que les mougeons européens pensent comme les mougeons ricains  ?

 

Selon un sondage Rasmussen publié mardi, seuls 11% des Américains pensent que le président russe Vladimir Poutine est responsable des prix record de l'essence aux États-Unis. La majorité blâme plutôt le président américain Joe Biden.

Plus de la moitié (52%) des répondants au sondage Rasmussen réalisé la semaine dernière ont indiqué que les mauvaises politiques énergétiques de Biden étaient la raison pour laquelle l’essence est devenue inabordable, ce qui signifie que le récit de la «hausse des prix de Poutine» de l’administration ne semble pas faire son chemin.

Ceux qui ne blâment ni Biden ni Poutine pointent du doigt les compagnies pétrolières, 29 % des personnes interrogées suggérant que l'industrie tire parti de l'instabilité géopolitique actuelle pour augmenter ses prix.

Peut-être conscient que son récit de la "hausse des prix due à Poutine" ne tient plus la route, Biden a penché pour blâmer les compagnies pétrolières et gazières pour les coûts ruineux du ravitaillement en carburant, accusant récemment l'industrie de "gagner plus d'argent que Dieu". Le président a insisté sur le fait que les compagnies pétrolières s'abstiennent délibérément de forer "parce qu'elles gagnent plus d'argent sans produire plus de pétrole".

Alors que les États-Unis ont interdit les importations de pétrole et de gaz russes en mars, Moscou ne fournissait que 2 % de son pétrole auparavant et les États-Unis sont un exportateur net de gaz, ce qui laisse peu d'appui à l'affirmation selon laquelle la Russie est responsable des records à la pompe.

Le prix du gaz est largement considéré comme le problème critique à l'approche des élections à mi-parcours. Quelque 92 % des électeurs ont considéré la hausse du prix du gaz, du mazout domestique et d'autres combustibles comme un problème grave dans le sondage de mardi, 68 % qualifiant le problème de « très grave ».

En l'absence de signe de redressement économique en vue d'élections à venir en novembre, le Parti démocrate est susceptible d'être blâmé pour les souffrances économiques des électeurs, et les deux chambres du Congrès pourraient se retrouver sous contrôle républicain.

Seuls 27% des électeurs potentiels ont qualifié la gestion de l'économie par Biden d'"excellente" ou de "bonne" dans le sondage de mardi, une baisse de cinq points depuis décembre, tandis que 57% ont qualifié sa performance de "médiocre". Près des trois quarts des Américains disent que l'économie s'est détériorée au cours de l'année écoulée, avec seulement 11% disant qu'elle s'est améliorée et le reste est indécis.

Face au refus public de croire au récit souhaité de la « hausse des prix due à Poutine », les politiciens ont fait preuve de créativité. Un ancien secrétaire au Trésor, Larry Summers, est allé jusqu'à blâmer les républicains qui ont refusé d'afficher suffisamment d'horreur en réponse à l'émeute du Capitole du 6 janvier pour la montée en flèche du taux d'inflation, actuellement à son plus haut niveau depuis 40 ans.

Summers, comme de nombreux économistes américains, a prédit une récession au cours de l'année prochaine, bien que la secrétaire au Trésor, Janet Yellen, ait nié qu'un tel résultat soit inévitable. Yellen a lamentablement menti en minimisant l'inflation l'année dernière, la qualifiant de phénomène bénin et transitoire alors qu'elle devenait incontrôlable. L'inflation est largement considérée comme le problème numéro un avant les élections de mi-mandat.

SOURCE : Russia Today

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ALERTE ROUGE : l'approvisionnement en huile pour moteur diesel pourrait être épuisé dans 8 semaines…

Comme si nous avions tous besoin d'autre chose à ajouter à nos inquiétudes, une situation potentiellement catastrophique est en train d'émerger et menace d'anéantir l'ensemble de l'approvisionnement en huile pour moteur diesel aux États-Unis, laissant le pays sans huile pour moteur diesel jusqu'en 2023.

Ce n'est pas simplement une rumeur : nous avons confirmé que cela se produit.

Les fabricants de produits chimiques d'additifs d'huile de moteur diesel ont déclaré un cas de force majeure et ont cessé les opérations d'approvisionnement des fabricants d'huile de moteur diesel. Ces fabricants combinent des huiles de base avec des "ensembles d'additifs" pour créer de l'huile pour moteur diesel. Vous pouvez voir une liste complète de ces additifs sur InfoMak.com : Antioxydants, agents anti-corrosion, additifs dispersants, mécanismes antirouille, modificateurs de frottement, additifs EP, agents anti-mousse, antioxydants, etc.

L'approvisionnement actuel en huile pour moteur diesel sera probablement épuisé dans 4 à 8 semaines. Après cela, à moins qu'une solution ne soit rapidement trouvée, il n'y aura plus d'huile pour moteur diesel disponible avant 2023.

Tous les moteurs diesel modernes nécessitent trois choses pour fonctionner :

1) Gazole
2) Huile moteur diesel
3) Fluide d'échappement diesel (DEF) (utilisé pour réduire les émissions)

Sans l'un de ces trois, les moteurs diesel ne peuvent pas fonctionner. Il est important de noter que des pénuries sont largement signalées dans chacun de ces trois pays.

Les détaillants, les clients et les distributeurs signalent tous des pénuries d'huile pour moteur diesel. Ce n'est pas un problème imaginaire, c'est un problème réel qui est jusqu'à présent totalement ignoré par les médias d'entreprise.

Sans huile pour moteur diesel, les transports aux États-Unis s'arrêtent… y compris les trains. Étant donné que les trains fonctionnent avec des moteurs diesel massifs, ils utilisent une quantité énorme d'huile pour moteur diesel. S'il n'y a plus d’huile, les trains ne peuvent pas circuler.

Si les camions et les trains s'arrêtent de circuler, oubliez de vous approvisionner en quoi que ce soit.

À ce stade, toute personne rationnelle qui n'est pas un partisan stupide de Biden ou un téléspectateur abruti de CNN devrait se rendre compte de ce qui se passe lorsque l'huile du moteur diesel s'épuise et que tous les camions et trains s'arrêtent de fonctionner.
Pour commencer, il n'y aura pas de livraisons de charbon aux centrales électriques qui produisent de l'électricité. Le réseau électrique cessera donc de fonctionner.
Cela signifie également que toutes les personnes possédant des véhicules électriques ne pourront pas recharger leur voiture.
Sans électricité, les guichets automatiques ne fonctionneront pas et les banques ne fonctionneront pas non plus. Les systèmes de vente au détail non plus. Les cartes de crédit non plus.
Sans camions ni trains, il n'y aura pas de livraisons de nourriture dans les épiceries. Pas d'inventaire chez Wal-Mart. Pas de bois chez Home Depot.

Pire encore, sans huile pour moteur diesel, toute l'agriculture s'arrêtera et les récoltes pourriront dans les champs.

Il n'y aura pas d'engins de construction capables de fonctionner, car ce sont tous des moteurs diesel.

Et si votre installation est en feu et que vous appelez les pompiers, ils ne pourront pas envoyer leurs camions  car ils fonctionnent avec des moteurs diesel (comme la plupart des ambulances).

De nombreux navires et bateaux utilisent également des moteurs diesel.

Ainsi, un effondrement de l’huile pour moteur diesel, s'il suit son cours, conduit à un effondrement total de l'économie. L'Amérique ne peut pas survivre même six mois sans huile pour moteur diesel, encore moins un an.

Source :  Natural News

Hannibal Genséric