mercredi 29 mai 2013

Le "nikah djihadiste" ou la "prostitution halal"


Si, depuis toujours, les femmes arabes ont été refoulées  dans la catégorie des moins que rien, aujourd’hui, à cause de la prostitution légalisée "halal"  par les islamistes, elles sont déniées  de leur droit à une vie digne. Il y a 14 siècles, l’Islam a essayé, non pas d’interdire la prostitution, mais de la réguler : ne pas forcer les femmes à se prostituer, et ne pas gagner de l’argent sur « leur dos » en devenant leur proxénète.  Mais, apparemment, cela n'a pas servi à grand chose : au contraire. C'est au nom de l'islam qu'on force des filles et des femmes à se prostituer.

Scandale : 6 tunisiennes djihadistes du Nikah arrêtées par Hezbollah

Dans le quartier Est de la ville d’Al Kassir en Syrie, 6 tunisiennes ainsi qu’une syrienne ont été interpellées par les unités de l’armée de Hezbollah. Dans une déclaration au site Al Hadath News, un des leaders de Hezbollah avance « Elles ont toutes avoué pratiquer le ‘djihad du nikah’ », ajoutant que « les jeunes filles interpellées ont été livrées aux unités de l’armée syrienne » et indiquant à ce propos que plusieurs maisons abandonnées par leurs propriétaires ont été aménagées en "bordels" par les combattants de l’armée libre.
L'avocat Badis Koubakji, président de l'Association de secours aux Tunisiens à l'étranger, a déclaré : «le nombre des Tunisien(ne)s et Somalien(ne)s envoyé(e)s en Syrie est impressionnant. La situation de ces jihadistes, filles ou garçons, est lamentable. Plusieurs combattant(e)s tunisien(ne)s en Syrie viennent de France, d'Allemagne et surtout de Belgique. Plusieurs ont été tué(e)s, d'autres sont encore dans les camps du mouvement terroriste Jebhat Ennosra (affilié à Al-Qaïda, Ndlr). Ceux d'entre eux (elles) qui demandent de rentrer au pays sont empêché(e)s et souvent même liquidé(e)s».
L'avocat, qui est sur plusieurs affaires du jihad en Syrie, semble très pessimiste à propos du sort de certaines épouses parties avec leurs maris dans les mêmes conditions. Leurs époux étant morts, elles vivent dans un véritable enfer et ne peuvent pas rentrer au pays.
Reste un autre problème : que va faire l'Etat tunisien des bébés nés sous X, en Syrie, de mère pratiquant le «jihad nikah»?
La réponse est venue (ce 23/9/2013) de l'un des chefs du parti islamiste Ennahdha, et du gouvernement islamiste tunisien.


Le dirigeant islamiste Habib Ellouze prêt à adopter les enfants du «jihad nikah»

Le président de Jamyîet Addaâwa Wal-Islah, Habbib Ellouze, celui qui prônait l'excision des fillettes pour améliorer leur aspect esthétique,  se dit prêt à donner son nom aux enfants nés sous X de Tunisiennes, ayant pratiqué le «jihad nikah» (prostitution halal au nom de la guerre sainte) en Syrie.

Après que la ministre des Affaires de la femme et de la famille, Sihem Badi, ait pris la décision de prendre en charge les filles rentrées enceintes du jihad nikah en Syrie, Habib Ellouze, qui a souvent appelé les jeunes tunisiens au jihad en Syrie, a déclaré, lui aussi, aux médias qu’il adopterait tous les enfants nés du jihad nikah.

Lors de son audition, le 19 septembre, par l’Assemblée Nationale constitu-honte (ANC), le ministre de l’Intérieur Lotfi Ben Jeddou a déclaré que les filles tunisiennes couchaient avec 20, 50 voire 100 jihadistes à la fois (par jour ?) et rentrent au pays avec le fruit de leurs relations sexuelles hors mariage «hallalisées» par les Ellouze et compagnie.

Selon Jibhat Ennosra, la plus jeune fille à pratiquer le jihad nikah est une Tunisienne de 13 ans à qui on a donné le nom de «Om El-Bara’a» (mère de l’innocence).

Plusieurs de Tunisiennes ont été "recrutées" (moyennant quelques pétrodollars) pour aller pratiquer ce nouveau type de prostitution en Syrie. Une centaine sont déjà rentrées au pays.


Un reporter d’Al Hadath News précise que des « Préservatifs, pilules de contraception et de stimulation sexuelle et lingeries ont été découverts dans l’une des maisons du quartier Est de la ville d’Al Kassir ».
Ceci ne nous étonne guère. En effet, les Islamistes  :

1.    recrutent des filles crédules pour les besoins des bordels militaires des djihadistes en Syrie ; et ils vendent les filles « recrutées » en Tunisie et ailleurs, ainsi que les filles enlevées en Syrie (considérées comme butin de razzia, et donc comme esclaves) aux lupanars privés des riches émirs du pétrole et du gaz ;

2.     légalisent « le mariage temporaire », pour les besoins sexuels des riches moyen-orientaux en goguette, à la recherche de tourisme sexuel libellé, lui aussi, halal.

En 2010, les revenus annuels de la prostitution sont estimés à plus de 187 milliards de dollars.  Devant cette manne financière colossale, les mafiosi islamistes sont attirés comme des rats par le gruyère. En pratiquant le proxénétisme libellé halal, les maquereaux islamistes touchent des commissions confortables, qui permettent à leurs réseaux  mafieux  de prospérer et de se développer.

Ce comportement est un mépris total de la condition humaine de la femme. Ce passage du refoulement de la femme au déni montre la mutation d’une société arabo-musulmane névrotique à une société arabo-islamiste psychotique et nihiliste.

En agissant ainsi, les islamistes sont, en fait, les continuateurs des sociétés archaïques méditerranéennes, celles qui datent de plusieurs millénaires avant l’Islam, époques appelées jahilya par les islamistes eux-mêmes.
Liste nominative des "mariages d'1 Heure"

Aux premiers temps de la civilisation méditerranéenne, le point de départ de la prostitution semble à la fois religieux et familial. Dans les cultes religieux, les rites reproduisent l’action divine exemplaire. Les cultes de la déesse-amante, présents dans toutes les sociétés anciennes, ont pour rite essentiel l’union sexuelle des hommes avec des prostituées sacrées, qui sont des femmes (ou des hommes, généralement castrés) au service de la déesse. Ces unions sont censées ressourcer la force génitale des fidèles masculins et cette force étendre ses effets positifs à la fertilité des troupeaux et des sols. Aux époques historiques, dont on a conservé les écrits, ces comportements étaient monnayés : les sanctuaires s’enrichissent des sommes payées par les fidèles désirant accomplir le rite, de même que les chefs de famille rentabilisent le prêt des femmes qui sont leur propriété. Les islamistes d'aujourd'hui font exactement la même chose. Les responsables des États, à Babylone comme dans tout le Moyen-Orient, ne laissent pas échapper cette source de revenus, et se mettent à créer leurs propres maisons de prostitution.  

En Arabie

À l'époque antéislamique, la répudiation d’une femme par son époux la laissait sans droits et sans recours. Conséquence de la condition féminine de l'époque, un homme épousait à sa guise et en même temps le nombre de femmes qu’il voulait, cela ne dépendait que de son bon droit et de sa richesse. Les femmes ne dépendaient souvent que de lui pour survivre. De la même manière, il pouvait aussi en répudier autant qu’il voulait, sans avoir d’obligations légales vitales vis-à-vis d’elles. Assez vite, ces femmes répudiées se retrouvaient dans la misère. Lorsqu’elles ne tombaient pas en esclavage dans le strict sens du mot, elles se livraient à la prostitution. Pour attirer l’attention, elles avaient souvent la poitrine nue, à l’image des prostituées sacrées, connues en Mésopotamie et en Inde, régions avec lesquelles la péninsule arabique commerçait et avait des échanges culturels et humains intenses. Les lieux où se pratiquait la prostitution étaient signalés par un drapeau rouge, d’où le nom des "femmes aux drapeaux". Lorsqu’une prostituée mettait au monde un enfant, une femme physionomiste qafah indiquait lequel des hommes ressemblaient à l’enfant et le lui attribuait. S’il s’agissait d’un enfant que l’on n’avait pas attribué, le propriétaire de la prostituée se l’attribuait et en faisait le commerce. Remarquons ici que, contrairement aux stéréotypes, les Arabes ne considéraient pas la virginité comme un critère de bonne moralité (Voir "la fiction de la virginité chez les Arabes").

L'Islam permet la prostitution

En plus de pouvoir user a son gré des esclaves, de se marier avec 4 femmes, l’Islam autorise et réglemente la prostitution. Voici la sourate 24 ( ")  النور verset 33 :
وَلاَ تُكْرِهُواْ فَتَيَاتِكُمْ عَلَى ٱلْبِغَآءِ إِنْ أَرَدْنَ تَحَصُّناً لِّتَبْتَغُواْ عَرَضَ ٱلْحَيَاةِ ٱلدُّنْيَا وَمَن يُكْرِههُنَّ فَإِنَّ ٱللَّهَ مِن بَعْدِ إِكْرَاهِهِنَّ غَفُورٌ رَّحِيمٌ
« N’astreignez point vos filles à la prostitution, pour en tirer quelque profit passager pour la vie ici-bas. Si on les y oblige, Dieu est, après qu’elles y ont été contraintes, plein de rémission et de miséricorde » .

Si le Coran n'interdit pas formellement la prostitution, il interdit le proxénétisme. Il n'interdit pas non plus l'esclavage.  C'est sur cette double "non interdiction" que les islamistes justifient leurs maltraitance des femmes. La carte ci-dessous montre qu'aucun pays musulman ne traite humainement ses femmes : les pires sont le Maroc, la Mauritanie, l'Egypte et le Soudan (Voir , sur ce blog, l'article : Pourquoi certains musulmans détestent-ils leurs femmes).

De l’influence de l’islamisme sur la prostitution

L’indignation morale contre la prostitution a toujours défini l’opinion publique tunisienne, stigmatisant souvent les femmes impliquées dans le commerce du sexe. Les femmes qui travaillent en tant que prostituées semblent être des cibles faciles des violences verbales et des regards de condamnation d’une société impitoyable d’«honneur». Cependant, contrairement aux apparences, la ferveur révolutionnaire qui a déferlé sur la Tunisie et mis au pouvoir les islamistes a contribué à la prospérité du travail du sexe.

En juillet 2012, le « philosophe » Abou Yaâreb El Marzouki, député d’Ennahdha à l’Assemblée Constituante tunisienne, a tenu des propos chocs à la tribune du congrès du mouvement, en déclarant que «le tourisme est en réalité de la prostitution clandestine». Ces propos ne démontrent pas beaucoup de respect pour l’un des secteurs les plus importants de notre économie, pesant plus de 6% du PIB, et constituant la principale source de devises pour le pays. Les quelques 400.000 Tunisiens qui vivent du tourisme risquent de ne pas apprécier les déclarations d’Abou Yaâreb. Mais ce député n’a pas tout à fait tort, sauf que les prostitué(e)s ne sont pas les touristes, mais ce sont :

1.     les jeunes Tunisiens, souvent des diplômés chômeurs, et qui cherchent à quitter le pays vers l’Europe, ont le choix entre l’immigration clandestine (boat people) dans laquelle ils risquent leur vie, et l’immigration légale. Afin d’essayer d’obtenir les papiers leur permettant d’émigrer vers l’Europe, ils essayent de draguer les touristes européennes beaucoup plus âgées qu’eux. Ils ne sont pas fascinés par leur beauté, mais par les papiers qu’ils espèrent obtenir en se mariant avec elles. Ce type de mariage est une forme de prostitution socialement acceptable dans notre société pudibonde et « mal dans sa peau ».

2.     les jeunes tunisiennes recrutées pour le « djihad » du sexe en Syrie, et les autres filles, souvent impubères, « mariées temporairement » à leurs maîtres qataris et saoudiens, ces vielles vipères lubriques du désert. De riches ressortissants des pays du Golfe se rendent en Tunisie et en Égypte, surtout l’été, pour y contracter « des mariages » à durée déterminée en échange d’une maigre somme d’argent, dont une partie va au courtier, un intermédiaire, souvent "un mac islamiste". Le reste va à la famille de la jeune femme, le plus souvent une vierge de moins de 18 ans, de sorte qu’un homme riche du même âge de son père ou son grand père peut avoir des relations sexuelles avec elle durant ses vacances tunisiennes ou égyptiennes.

Ce phénomène croissant du «tourisme nuptial» a été présenté dans le dernier rapport annuel du Département d’État américain sur la traite des personnes, qui a estimé le nombre de ces mariages à plusieurs centaines dans les deux pays. Selon le rapport, «ces mariages temporaires sont contractés en échange d’argent entre des jeunes filles mineures et des touristes arabes du Golfe au cours de l’été» ou avec « des jeunes filles mineures prises en esclavage sexuel et forcées de travailler comme domestiques. » Ces victimes du « tourisme nuptial » risquent de devoir abandonner leurs nouveau-nés dans un orphelinat ou une garderie d’enfants pour ne pas devenir paria au sein de leur propre famille, dont certains membres ont été à l’origine du commerce de leur corps. Nouhad Abu al-Qomsan, présidente du Centre égyptien pour les droits des femmes, a déclaré que certains islamistes veulent «transformer les filles pauvres en réservoirs d’abominations, bons à être échangées sur le marché du plaisir, avec des clients en quête de multiples épouses ou de mariage à la carte pour le plaisir. » 

Hannibal GENSERIC 

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Info le 28/8/2013
 منقبات يمارسن جهاد النكاح في جبل الشعانبي

ألقت فرقة مكافحة الإرهاب أمس الثلاثاء 27 اوت 2013 القبض على 3 منقبات في علاقة بإرهابيي جبل الشعانبي في ولاية القصرين، حسب ما اكده مصدر امني للصباح نيوز.

وافاد نفس المصدر انه تم القبض على المنقبات بتهمة تمويل المجموعات الإرهابية، حيث كن يزرن الإرهابيين بجبل السلوم لممارسة ما يسمى بجهاد النكاح.

كما ثبت خلال التحقيقات ان إحدى الفتيات زوجة نائب أمير المجموعات الإرهابية بالشعانبي مراد بن علالة الغرسلي واصيلة ولاية القصرين.

Voir la traduction
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Le 13/10/2014

Une tunisienne a exercé ‘’le djihad de fornication’’ avec 100 Daeshis

La police tunisienne a arrêté et présenté à la justice un mari et son épouse qui étaient parmi les éléments du groupe terroriste « Daesh » alors qu’ils tentaient de retourner en Tunisie par la frontière libyenne en revenant de Syrie.



Une tunisienne a exercé ‘’le djihad de fornication’’ avec 100 DaeshisSelon le site du «journal El Merssad»  a indiqué jeudi que le journal tunisien Echorouk avait reçu des confessions d’une tunisienne « Daeshi » âgée  de trente ans, et mère de deux enfants, le deuxième âgé de deux mois, qui avait voyagé avec son mari à la Syrie, « pour le jihad contre les mécréants » où elle avait commis des actes d'immoralité avec au moins 100 terroristes de Daesh en l’espace de 27 jours avant sa fuite de l'enfer des combats pour retourner à son pays. Le journal avait cité, suite aux  confessions de Nourhane , qu’elle est partie en Syrie avec son mari, à travers la Libye en direction de la Turquie, et de là, vers la ville « Aazaz » en Syrie, soulignant que son mari a rejoint à la demande de « Daesh » une région qui était sous le commandement d'autres chefs terroristes tunisiens, mettre sa femme au service des membres du groupe.


Nourhane a ajouté que son mari après des tentatives de refus, il n’a trouvé aucune autre solution que de se soumettre et accepter de répondre à la demande "Daesh" craignant pour leur vie, et devient ainsi seul responsable de la soumission de son épouse envers les exigences sadiques des éléments du groupe pour répondre à leurs demandes.Elle a souligné qu'elle avait exercé le « djihad de la fornication » avec 17 autres femmes de nationalités différentes, Egyptiennes, tchétchènes, marocaines, syriennes, françaises, allemandes, du Tadjik et autres, affirmant qu'elles obéissaient aux ordres d’une responsable somalienne, nommée « Oum Chouab ».


Nourhane, a confirmé qu’elle avait poursuivi, le  « Jihad de la fornication » pendant  environ un mois avant que son mari ne se blesse  dans l'un des raids, ce qui a nécessité de se déplacer vers la Turquie pour le traitement, et de là, ils se sont organisés pour fuir et retourner vers la Tunisie, via la Libye, avant d'être arrêtés à la frontière par les services de sécurité tunisiens. Cette affaire réédite le phénomène du « Jihad de la fornication » pour surgir de nouveau à la surface, malgré les dénégations et les démentis par les milieux islamistes dans le monde arabe et particulièrement en Tunisie.

Etat islamique: les jeunes djihadistes, enceintes, veulent rentrer

Sabina, 15 ans
Sabina, 15 ans
Les deux jeunes filles qui se sont enfuies en avril de chez leurs parents en Autriche pour rejoindre les rangs de l’Etat islamique et combattre au nom d’Allah ont téléphoné à leurs familles expliquant qu’elles souhaitent rentrer chez elles, mais ne savent pas comment s’y prendre. Samra Kesinovic (16 ans) et Sabina Selimovic (15 ans) auraient ajouté: «Nous avons fait une grosse erreur».

Samra, 17 ans
Samra, 17 ans

Les familles affirment avoir reçu deux coups de fil durant lesquels les deux jeunes filles auraient expliqué: « Nous sommes fatiguées de vivre ici, mais nous ne pouvons pas repartir ». Elles comprennent que, désormais, leurs noms seront toujours associés à l’Etat islamique. Le ministère autrichien de l’Intérieur, sachant qu’elles sont enceintes leur a effectivement donné peu d’espoir: « Une fois qu’ils (djihadistes, ndlr) choisissent de quitter notre pays, il est difficile d’y revenir ». Il n’y a que les djihadistes français qui rentrent. étonnant ? non, car Sarko puis Hollande sont du côté du Qatar, donc de l'EI…
 Selon les dernières infos, les deux adolescentes seraient maintenant dans la province nord-est de Al-Rakka (Syrie) et l’une serait décédée.
http://allainjules.com/2014/10/12/autriche-syrie-etat-islamique-les-jeunes-djihadistes-enceintes-veulent-rentrer/

Voir aussi  : 

http://numidia-liberum.blogspot.com/2013/10/frederic-mitterrand-tourisme-sexuel-et.html
http://numidia-liberum.blogspot.com/2013/07/le-djihad-sexuel-jusquau-bout-de.html