Si, depuis toujours, les femmes arabes ont été refoulées dans la catégorie des moins que rien, aujourd’hui, à cause de la prostitution légalisée "halal" par les islamistes, elles sont déniées de leur droit à une vie digne. Il y a 14 siècles, l’Islam a essayé, non pas d’interdire la prostitution, mais de la réguler : ne pas forcer les femmes à se prostituer, et ne pas gagner de l’argent sur « leur dos » en devenant leur proxénète. Mais, apparemment, cela n'a pas servi à grand chose : au contraire. C'est au nom de l'islam qu'on force des filles et des femmes à se prostituer.
Scandale : 6 tunisiennes djihadistes du Nikah arrêtées par Hezbollah
Dans le quartier Est de la ville d’Al Kassir en Syrie, 6 tunisiennes ainsi qu’une syrienne ont été interpellées par les unités de l’armée de Hezbollah. Dans une déclaration au site Al Hadath News, un des leaders de Hezbollah avance « Elles ont toutes avoué pratiquer le ‘djihad du nikah’ », ajoutant que « les jeunes filles interpellées ont été livrées aux unités de l’armée syrienne » et indiquant à ce propos que plusieurs maisons abandonnées par leurs propriétaires ont été aménagées en "bordels" par les combattants de l’armée libre.L'avocat Badis Koubakji, président de l'Association de secours aux Tunisiens à l'étranger, a déclaré : «le nombre des Tunisien(ne)s et Somalien(ne)s envoyé(e)s en Syrie est impressionnant. La situation de ces jihadistes, filles ou garçons, est lamentable. Plusieurs combattant(e)s tunisien(ne)s en Syrie viennent de France, d'Allemagne et surtout de Belgique. Plusieurs ont été tué(e)s, d'autres sont encore dans les camps du mouvement terroriste Jebhat Ennosra (affilié à Al-Qaïda, Ndlr). Ceux d'entre eux (elles) qui demandent de rentrer au pays sont empêché(e)s et souvent même liquidé(e)s».
L'avocat, qui est sur plusieurs affaires du jihad en Syrie, semble très pessimiste à propos du sort de certaines épouses parties avec leurs maris dans les mêmes conditions. Leurs époux étant morts, elles vivent dans un véritable enfer et ne peuvent pas rentrer au pays.
Reste un autre problème : que va faire l'Etat tunisien des bébés nés sous X, en Syrie, de mère pratiquant le «jihad nikah»?
La réponse est venue (ce 23/9/2013) de l'un des chefs du parti islamiste Ennahdha, et du gouvernement islamiste tunisien.
Le dirigeant islamiste Habib Ellouze prêt à adopter les enfants du «jihad nikah»
Le président
de Jamyîet Addaâwa Wal-Islah, Habbib Ellouze, celui qui prônait l'excision des fillettes pour améliorer leur aspect esthétique, se dit prêt à donner son nom aux enfants nés sous
X de Tunisiennes, ayant pratiqué le «jihad nikah» (prostitution halal au nom de
la guerre sainte) en Syrie.
Après que la ministre des Affaires de la femme et
de la famille, Sihem Badi, ait pris la décision de prendre en charge les filles
rentrées enceintes du jihad nikah en Syrie, Habib Ellouze, qui a souvent appelé
les jeunes tunisiens au jihad en Syrie, a déclaré, lui aussi, aux médias qu’il
adopterait tous les enfants nés du jihad nikah.
Lors de son audition, le 19 septembre, par
l’Assemblée Nationale constitu-honte (ANC), le ministre de l’Intérieur Lotfi Ben
Jeddou a déclaré que les filles tunisiennes couchaient avec 20, 50 voire 100
jihadistes à la fois (par jour ?) et rentrent au pays avec le fruit de leurs relations sexuelles
hors mariage «hallalisées» par les Ellouze et compagnie.
Selon Jibhat Ennosra, la plus jeune fille à
pratiquer le jihad nikah est une Tunisienne de 13 ans à qui on a donné le nom
de «Om El-Bara’a» (mère de l’innocence).
Plusieurs de Tunisiennes
ont été "recrutées" (moyennant quelques pétrodollars) pour aller pratiquer ce nouveau type de prostitution en Syrie. Une centaine sont déjà rentrées au pays.
Un reporter d’Al Hadath News précise que des « Préservatifs, pilules de contraception et de stimulation sexuelle et lingeries ont été découverts dans l’une des maisons du quartier Est de la ville d’Al Kassir ».
Ceci ne nous étonne guère. En effet, les Islamistes :
1. recrutent des filles crédules pour les besoins des
bordels militaires des djihadistes en Syrie ; et ils vendent les filles
« recrutées » en Tunisie et ailleurs, ainsi que les filles enlevées
en Syrie (considérées comme butin de razzia, et donc comme esclaves) aux lupanars
privés des riches émirs du pétrole et du gaz ;
2. légalisent « le mariage temporaire »,
pour les besoins sexuels des riches moyen-orientaux en goguette, à la recherche
de tourisme sexuel libellé, lui aussi, halal.
En 2010, les revenus annuels de la prostitution sont estimés à plus de 187 milliards de dollars. Devant cette manne financière colossale, les mafiosi islamistes sont attirés comme des rats par le gruyère. En pratiquant le proxénétisme libellé halal, les maquereaux islamistes touchent des commissions
confortables, qui permettent à leurs réseaux mafieux de
prospérer et de se développer.
Ce comportement est un mépris total de la condition humaine de la femme.
Ce passage du refoulement de la femme au déni montre la mutation d’une société arabo-musulmane
névrotique à une société arabo-islamiste psychotique et nihiliste.
En agissant ainsi, les islamistes sont, en fait, les
continuateurs des sociétés archaïques méditerranéennes, celles qui datent de plusieurs
millénaires avant l’Islam, époques appelées jahilya par les islamistes eux-mêmes.
Liste nominative des "mariages d'1 Heure" |
Aux premiers temps de la civilisation méditerranéenne, le point de départ de la prostitution semble à la fois
religieux et familial. Dans les cultes religieux, les rites reproduisent
l’action divine exemplaire. Les cultes de la déesse-amante, présents dans
toutes les sociétés anciennes, ont pour rite essentiel l’union sexuelle des
hommes avec des prostituées sacrées, qui sont des femmes (ou des hommes,
généralement castrés) au service de la déesse. Ces unions sont censées
ressourcer la force génitale des fidèles masculins et cette force étendre
ses effets positifs à la fertilité des troupeaux et des sols. Aux époques
historiques, dont on a conservé les écrits, ces comportements étaient monnayés : les sanctuaires s’enrichissent des sommes payées par les
fidèles désirant accomplir le rite, de même que les chefs de famille
rentabilisent le prêt des femmes qui sont leur propriété. Les islamistes d'aujourd'hui font exactement la même chose. Les responsables des
États, à Babylone comme dans tout le Moyen-Orient, ne laissent pas échapper
cette source de revenus, et se mettent à créer leurs propres maisons de
prostitution.
En Arabie
À l'époque antéislamique, la répudiation d’une femme par
son époux la laissait sans droits et sans recours. Conséquence de la condition
féminine de l'époque, un homme épousait à sa guise et en même temps le nombre
de femmes qu’il voulait, cela ne dépendait que de son bon droit et de sa richesse. Les femmes ne dépendaient souvent que de lui pour survivre. De la même manière, il pouvait aussi en répudier autant qu’il voulait, sans
avoir d’obligations légales vitales vis-à-vis d’elles. Assez vite, ces femmes
répudiées se retrouvaient dans la misère. Lorsqu’elles ne tombaient pas en
esclavage dans le strict sens du mot, elles se livraient à la prostitution.
Pour attirer l’attention, elles avaient souvent la poitrine nue, à l’image des
prostituées sacrées, connues en Mésopotamie et en Inde, régions avec lesquelles
la péninsule arabique commerçait et avait des échanges culturels et humains
intenses. Les lieux où se pratiquait la prostitution étaient signalés par un
drapeau rouge, d’où le nom des "femmes aux drapeaux". Lorsqu’une
prostituée mettait au monde un enfant, une femme physionomiste qafah
indiquait lequel des hommes ressemblaient à l’enfant et le lui attribuait. S’il
s’agissait d’un enfant que l’on n’avait pas attribué, le propriétaire de la
prostituée se l’attribuait et en faisait le commerce. Remarquons ici que, contrairement aux stéréotypes, les Arabes ne considéraient pas la virginité comme un critère de bonne moralité (Voir "la fiction de la virginité chez les Arabes").
L'Islam permet la prostitution
En plus
de pouvoir user a son gré des esclaves, de se marier avec 4 femmes, l’Islam
autorise et réglemente la prostitution. Voici la sourate 24 ( ") النور verset 33 :
وَلاَ تُكْرِهُواْ فَتَيَاتِكُمْ عَلَى ٱلْبِغَآءِ إِنْ أَرَدْنَ تَحَصُّناً لِّتَبْتَغُواْ عَرَضَ ٱلْحَيَاةِ ٱلدُّنْيَا وَمَن يُكْرِههُنَّ فَإِنَّ ٱللَّهَ مِن بَعْدِ إِكْرَاهِهِنَّ غَفُورٌ رَّحِيمٌ
« N’astreignez
point vos filles à la prostitution, pour en
tirer quelque profit passager pour la vie ici-bas. Si on les y oblige, Dieu est,
après qu’elles y ont été contraintes, plein de rémission et de miséricorde » .
Si le Coran n'interdit pas formellement la prostitution, il interdit le proxénétisme. Il n'interdit pas non plus l'esclavage. C'est sur cette double "non interdiction" que les islamistes justifient leurs maltraitance des femmes. La carte ci-dessous montre qu'aucun pays musulman ne traite humainement ses femmes : les pires sont le Maroc, la Mauritanie, l'Egypte et le Soudan (Voir , sur ce blog, l'article : Pourquoi certains musulmans détestent-ils leurs femmes).
De l’influence de l’islamisme sur la prostitution
L’indignation morale contre la prostitution a toujours
défini l’opinion publique tunisienne, stigmatisant souvent les femmes
impliquées dans le commerce du sexe. Les femmes qui travaillent en tant que
prostituées semblent être des cibles faciles des violences verbales et des
regards de condamnation d’une société impitoyable d’«honneur». Cependant, contrairement
aux apparences, la ferveur révolutionnaire qui a déferlé sur la Tunisie et mis
au pouvoir les islamistes a contribué à la prospérité du travail du sexe.
En juillet 2012, le « philosophe » Abou Yaâreb
El Marzouki, député d’Ennahdha à l’Assemblée Constituante tunisienne, a tenu des propos
chocs à la tribune du congrès du mouvement, en déclarant que «le tourisme
est en réalité de la prostitution clandestine». Ces propos ne démontrent
pas beaucoup de respect pour l’un des secteurs les plus importants de notre
économie, pesant plus de 6% du PIB, et constituant la principale source de
devises pour le pays. Les quelques 400.000 Tunisiens qui vivent du tourisme
risquent de ne pas apprécier les déclarations d’Abou Yaâreb. Mais ce
député n’a pas tout à fait tort, sauf que les prostitué(e)s ne sont pas les
touristes, mais ce sont :
1. les jeunes Tunisiens, souvent des diplômés chômeurs, et qui cherchent à
quitter le pays vers l’Europe, ont le choix entre l’immigration clandestine (boat people)
dans laquelle ils risquent leur vie, et l’immigration légale. Afin d’essayer
d’obtenir les papiers leur permettant d’émigrer vers l’Europe, ils essayent de
draguer les touristes européennes beaucoup plus âgées qu’eux. Ils ne sont pas
fascinés par leur beauté, mais par les papiers qu’ils espèrent obtenir en se
mariant avec elles. Ce type de mariage est une forme de prostitution
socialement acceptable dans notre société pudibonde et « mal dans sa
peau ».
2.
les jeunes tunisiennes recrutées
pour le « djihad » du sexe en Syrie, et les autres filles, souvent impubères,
« mariées temporairement » à leurs maîtres qataris et saoudiens, ces vielles
vipères lubriques du désert. De riches ressortissants des pays du Golfe se
rendent en Tunisie et en Égypte, surtout l’été, pour y contracter « des
mariages » à durée déterminée en échange d’une maigre somme d’argent, dont
une partie va au courtier, un intermédiaire, souvent "un mac islamiste". Le reste
va à la famille de la jeune femme, le plus souvent une vierge de moins de 18
ans, de sorte qu’un homme riche du même âge de son père ou son grand père peut
avoir des relations sexuelles avec elle durant ses vacances tunisiennes
ou égyptiennes.
Ce phénomène croissant du «tourisme nuptial» a été présenté dans
le dernier rapport annuel du Département d’État américain sur la traite des personnes,
qui a estimé le nombre de ces mariages à plusieurs centaines dans les deux pays.
Selon le rapport, «ces mariages temporaires sont contractés en échange d’argent
entre des jeunes filles mineures et des touristes arabes du Golfe au cours de
l’été» ou avec « des jeunes filles mineures prises en esclavage sexuel et
forcées de travailler comme domestiques. » Ces victimes du « tourisme
nuptial » risquent de devoir abandonner leurs nouveau-nés dans un orphelinat ou
une garderie d’enfants pour ne pas devenir paria au sein de leur propre
famille, dont certains membres ont été à l’origine du commerce de leur corps. Nouhad
Abu al-Qomsan, présidente du Centre égyptien pour les droits des femmes, a
déclaré que certains islamistes veulent «transformer les filles pauvres en
réservoirs d’abominations, bons à être échangées sur le marché du plaisir, avec
des clients en quête de multiples épouses ou de mariage à la carte pour le
plaisir. »
Hannibal GENSERIC
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Info le 28/8/2013
Info le 28/8/2013
منقبات يمارسن جهاد النكاح في جبل الشعانبي
http://numidia-liberum.blogspot.com/2013/07/le-djihad-sexuel-jusquau-bout-de.html