L’expression « Tête de nœud » (en Anglais "Dickhead", en Italien "Testa
di cazzo") signifie : imbécile. En argot, et depuis le début du XIXe siècle, 'nœud'
désigne le pénis. Reste à savoir pourquoi le gland ou la tête de nœud désignent un fieffé imbécile. Hélas, les
informations sur ce point semblent inexistantes. Mais on peut imaginer le
manque total d'intelligence de cette tête-là, même si, chez certains hommes,
c'est bien là que se situe leur 'cerveau' ou, du moins, ce qui les mène à agir
de façon souvent très peu réfléchie dès qu'une proie féminine potentielle passe
à proximité. Et à propos de nœud et de cerveau, n'oublions pas de méditer sur
cette citation du duc de la Rochefoucauld : "Le nœud est à la cravate ce que le cerveau est à
l'homme".
Les exciseuses sont des esthéticiennes pour embellir les femmes
Centre Ellouze d'esthétique féminine |
C’est Habib Ellouz, un homme politique tunisien, député du parti
islamiste Ennahdha à l’Assemblée nationale constituante, (les Tunisiens
l'appellent constitue-honte) qui
l’a dit (voir vidéo). Pour lui,
l’excision des filles est une affaire d’esthétique. L’homme s’appuyait sur les
salmigondis d’un prédicateur obscur du nom de Wajdi Ghanim. Je ne sais
pas, mais, avec ces « printemps arabe » préfabriqués, les pays arabes
ne sont pas sortis de l’auberge avec leurs nouveaux leaders politiques sortis
du fin fonds moyenâgeux. Au Moyen-Age, le clitoris était surnommé, dans
certaines régions d'Europe, le mépris de l'homme.
Plus
simplement, aux yeux de cet homme complexé, le clitoris est
l'objet de crainte parce qu'il est le symbole de l'autonomie de la femme, de sa
capacité à jouir seule. Il n'est pas le seul dans ce cas. Cette mâle peur se
traduit même dans certaines légendes indiennes par des clitoris capables de se
promener la nuit pour piquer les hommes !!
Attention, ce député "tête de noeud", n'est pas n'importe qui.
Au sein de la Choura, le conclave des cardinaux
d'Ennahda, il dispose d'une influence considérable. Lors de la crise politique
qui a divisé le parti, il a été le plus brûlant supporter de la tendance dure,
celle des ghannou-chiens contre l'ex-Premier ministre Hamadi Jebali qui
réclamait un nouveau gouvernement apolitique. C’est lui qui avait menacé
directement le leader du Front populaire Chokri Belaïd,
peu de temps avant son assassinat. Son nom surgit également dans le
dossier des escadrons de la mort, cette milice destinée à liquider des
opposants. Bref, cette « tête de nœud » qui fait l'apologie de
l'excision n'est ni un petit, ni un obscur, ni un sans-grade, c'est l'un des
chefs d'Ennahdha, le parti qui mène la Tunisie à la b(r)aguette. Il est
probable que, comme Ghannouchi, il considère que la Tunisie est une prov
Donc, pour ce savant en islam (pauvre islam), ce Habib
Ellouze, l'excision, c'est de la chirurgie esthétique, qui devrait, en toute
logique, être remboursée par la Sécurité Sociale. Les « œuvres
sociales » islamistes, celles qui fournissent du chocotom et des
casse-croûtes aux « militants » islamistes, vont maintenant
grassement payer les exciseuses, pour œuvre charitable. Bien plus, celles-ci se
verront proposer des contrats publicitaires par les fabricants de
rasoirs, comme pour les stars du ballon rond …Bientôt, on verra, sur les TV
islamiques et sur les devantures des banques islamiques, des sportives
"musulmanes" (celles qui compètent en tchador) vanter la lame Gillette
ou la lame Wilkinson. Je vous laisse imaginer les slogans, du genre :
« Gillette te veut du bien, fillette »,
ou bien
« Fillette, Habib le Tonton recommande Wilkinson »...
Témoignages de Mutilation Génitale Féminine
http://www.target-human-rights.de/HP-01_genitaleVerstuemmelung/u1-1_dasVerbrechen/index.php?lang=fr&
Chaque jour,
on vole à 8.000 filles leurs organes génitaux et leur dignité. Une fille toutes
les onze secondes. 150 millions de femmes sont concernées à travers le monde.
Ruth, 7 ans,
chrétienne. Elle est assise sur les genoux d'une tante. Elle lui écarte les
jambes et la maintient dans cette position comme dans un étau. Une autre femme
immobilise les bras. Ruth hurle. Sans aucune chance. La lame de rasoir lui
tranche le clitoris. Sans anesthésie. Vite fait. Le sang coule. Du jus de
citron pour la désinfection. Un chiffon pour stopper l'hémorragie. Ensuite une
fête.
Fatima doit
supporter la plus dure des souffrances. Elle est âgée de 8 ans, musulmane. Elle
vit dans le désert de Danakil, en Éthiopie. Elle doit subir la mutilation
pharaonique. Comme sa camarade de jeu. Laïla, par exemple, qui n'a plus
prononcé un seul mot depuis. Muette depuis 11 semaines. Un tiers
des fillettes ne parlera plus jamais. Elles meurent d'hémorragie,
selon l'ONU.
Quatre
adultes ont de la peine à immobiliser Fatima gigotant avec ses jambes pour
lutter pour sa vie. La lame de rasoir tranche le clitoris, les lèvres,
pratiquement la totalité des parties génitales, impitoyablement. Elle lui
dérobe aussi son âme. Sa confiance en la vie. Sa confiance en l'adulte - ses
cris sont étouffés par leurs mains. Fatima a perdu conscience. Le vagin est
cousu. Avec des épines d'acacia. Comme une fermeture à glissière. Sans pitié.
Les cuisses sont ligotées.
Les bords
des plaies sont complètement soudés après quatre semaines. Ce qui reste à
Fatima est une ouverture, petite comme un grain de riz. Dès ce jour,
l'évacuation de l'urine durera une demi-heure à chaque fois. Les menstruations
deux semaines. Si elle veut avoir des enfants, il faut ouvrir la couture. Puis
le couteau se remettra à l'œuvre après l'accouchement. Nouvelle couture. De la
torture toute sa vie.
Déclarations de femmes mutilées
« Tout le
monde se réjouit du mariage et de la nuit de noce. Pas les Afar (Djibouti) .
Pour ces femmes, c'est le début de l'enfer. »
« Mon
ouverture était aussi petite qu'un grain de riz. A chaque fois que je devais
uriner, cela durait 30 minutes, mes menstruations duraient 14 jours. »
« Je n'ai
pas pu mettre au monde mon enfant. Ils m'ont ouverte complètement. Sans
anesthésie, avec une épée. Comme toujours. Pour que je ne meure pas d'une
hémorragie, ils ont dû enlever mon enfant morceau par morceau. »
« Lorsque
j'ai eu mes règles, le sang n'a pas coulé. Je me suis roulé par terre comme un
mouton abattu pour libérer l'engorgement de sang. Mais cela n'a pas suffit,
j'ai dû faire sortir mon sang avec un petit bâton. Pendant deux semaines. ».
Conclusion
Il est réconfortant de
constater que les femmes tunisiennes, dans leur très grande majorité, ne vont
pas se laisser mutiler, ni physiquement, ni moralement par ces êtres immondes.
Le représentant légal de l’union nationale de la femme tunisienne, a déposé une
plainte auprès du Parquet du tribunal de première instance de Tunis, contre ce
Habib Ellouze, cette tête de nœud , à la suite de ses
déclarations ci-dessus, y voyant une « agression flagrante contre l’enfance et
le sexe féminin ». Mais existe-t-il une justice dans
la Tunisie (ou n'importe quel pays) islamiste ? Peu de gens y croient. Il vaudrait mieux porter plainte, contre ces "têtes
de noeuds" obscurantistes, auprès des instances internationales
Hannibal GENSERIC