D’après wikipedia, , « la schizophrénie est une maladie psychiatrique se
développant généralement au début de la vie adulte. Elle est caractérisée par
des difficultés à partager une interprétation du réel avec les autres, ce qui
aboutit à des comportements et des discours bizarres, parfois délirants. Elle
se manifeste principalement, au départ, par un sentiment d’étrangeté,
d’implication extrême, voire un sentiment de persécution. Un délire se
construit alors, qualifié de « paranoïde ».
Si ce n’est pas là la description d’un islamiste, ça y ressemble fort ! Prenez n’importe quel ministre islamiste du gouvernement Jebali, observez son comportement à la télé, ou ailleurs, et concluez vous-mêmes.
En effet, quoique bien pourvus en argent (Qatar,
Arabie) et en moyens techniques, les islamistes souffrent d’une schizophrénie
caractérisée par :
- L’ambivalence à l’égard de l’occident, une relation amour-haine où la haine est verbalisée et l’amour refoulé.
- Leur autisme, c’est à dire un repli anormal sur soi accompagné d’une perte de contact avec les valeurs de son temps.
1- Les islamistes sont fascinés par la
civilisation occidentale, c’est l’objet de leur désir; comme Tartuffe, ils ne
peuvent s’empêcher de dire « couvrez-moi ce sein que je ne saurais voir». Leur
rage est décuplée de la conscience qu’ils ont de leur désir, c’est pourquoi ce
désir est soigneusement refoulé. On lui permet cependant de s’exprimer dans
certaines limites permises, et c’est pourquoi ils se lancent à corps perdu dans
certains domaines techniques, tel l’informatique, dont la maîtrise leur donne
l’impression de s’approprier la civilisation occidentale honnie. Une
caractéristique du bon islamiste est la dissimulation : fais ce que tu
veux, pourvu que les autres ne le voient pas. Ainsi, à titre d’exemple, la première
mesure que le gouvernement islamiste a voulu imposer, a été l’interdiction
d’accès aux sites X sur Internet. Or, les champions du monde de consommation de sites X sont justement les bons musulmans, là où se recrutent les
« bons » islamistes ! Ainsi, selon les derniers sondages
qui classent, par pays, les 100 sites les plus visités par les internautes, on
trouve que les pays musulmans, et surtout arabes, caracolent en tête. Ils appartiennent
à une zone où les internautes se gavent de sites X ! Le hit parade est le
suivant : Irak 7 (c'est-à-dire qu’en Irak, les sites les plus visités sont 1) FaceBook, 2) Google.iq, 3) YouTube, 4)Yahoo, 5) Google.com, 6)Koora et 7) Le site XNXX, le plus prisé des Arabes), Maroc 12, Palestine
13, Jordanie 14, Mauritanie, Algérie, Tunisie et Egypte 16, Libye 22. Les
surprises ne s’arrêtent pas là car, contrairement à ce que les islamistes
prétendent, en Occident et en Israël (chez les Croisés et les Juifs), on ne se
dope pas tant que ça de sites X. Ainsi En Allemagne, le premier site X le
plus visité arrive à la 88 e place ! Au Danemark 77 ! Aux USA
72 ! En France 58 ! En Italie 56 ! En Espagne 30! Et en Israël 54. Naturellement, comme dans la plupart des pays arabo-musulmans, il n'y a pas de citoyens, mais uniquement des sujets minorés et soumis (islam = soumission), la navigation sur Internet est strictement contrôlée. Mais les statistiques ci-dessus sont parlantes.
2- Vis-à-vis de l’Occident, les
islamistes éprouvent aussi un énorme complexe d’infériorité, qui cache mal une
envie pathologique. Le complexe d’infériorité fait appel à des mécanismes de
compensation. En voici un exemple. Alors que 80% des échanges commerciaux se
font avec l’Union Européenne, que plus de 10% de la population tunisienne vit
en Europe, et que la France
est notre premier partenaire dans tous les domaines (économique, commercial,
culturel, humain, etc.), les islamistes nomment comme ministre des Affaires Étrangères, une personne qui ne connaît
ni la géographie, ni la langue française. C’est comme si, pour colmater les
brèches d’une économie tunisienne en
déshérence, on faisait appel à un plombier comme premier ministre (on prétend que Jebali a été plombier).
Les islamistes disent « nous sommes arriérés
soit, mais nous avons l’islam qui est supérieur à toutes les autres religions»,
d’où le slogan des politiciens islamistes «l’islam est la solution», entendez
par là l’islam est la solution à nos sentiments d’infériorité et à notre sous
développement. L’envie (assaisonnée de haine), qui est le pendant du sentiment
d’impuissance, est un moteur tournant à vide. Il finit par caler ou exploser.
3- Les vrais malades sont ceux qui
tiennent absolument à leur maladie. Face à la civilisation occidentale, les
islamistes savent dans leur for intérieur qu’ils ne peuvent relever le défi. Le
monde islamique n’est pas prêt à franchir les étapes de l’humanisme et des
lumières. Pour franchir ces étapes, la religion doit être, comme chez les non
musulmans, reléguée à la sphère privée. Situation particulièrement dramatique
pour 20% de la population musulmane qui vote islamiste : ne pas rejeter
l’islamisme, c’est se mettre en dehors de la civilisation humaine, c’est
tourner le dos au mouvement irréversible et irrésistible de l’évolution de la civilisation.
Des méthodes sectaires
La confrérie islamiste a pour méthode des
discours méthodiques progressifs et manipulatoires qui ne vous font pas
seulement adhérer aux irréalités de leurs croyances, mais aussi rejeter le
concret, les sciences, les connaissances acquises, tout ce qui vous positionne
dans le réalisme de la vie. Vous ne lisez plus que leurs documentations,
lesquelles font votre nouvelle référence en laissant de côté toutes autres
informations. Cette manipulation à pour but de faire
la scission avec votre culture acquise, vos coutumes, de manière, un jour, à
vous mettre en totale opposition avec tout lien affectif et social,
principalement familial.
La notion du « temps » chez les islamistes
Bien plus qu’un simple rêve
éveillé, le temps vécu par l’islamiste schizophrène est dans tous les cas psychotisant
et devient rapidement insoutenable. En particulier la notion de durée se trouve
totalement pervertie. Du point de vue du malade, le retour vers le passé
apparaît comme un refuge, une issue pour sortir d’un présent dévastateur qu’il
subit tous les jours. Il peut être un retour vers un temps meilleur où
s’installer. Mais le schizophrène ne voit pas ce retour au passé comme une
solution pour retourner vers un présent plus serein, c’est une véritable fuite
qu’il effectue, dans une temporalité innocente dans laquelle il voudrait
rester, s’enfermer. Pour plus de détail, voir l’article « Temps islamiste,Temps moderniste ».
Le centre de contrôle
Le centre de contrôle est une expression
de psychologie qui décrit si les gens ont le sentiment que leur vie est
principalement sous l’influence de facteurs internes ou externes. D’un point de
vue psychologique, il est clair que, pour nous, « gens normaux »,
notre vie est principalement sous l’influence de forces internes : nous-mêmes.
Cela se traduit dans nos points de vue, notre manière de gérer nos émotions,
nos modes de pensée, nos relations avec notre entourage, nos motivations, nos
excès et notre manière de communiquer. Toutes les bibliothèques modernes ont plusieurs
mètres d’étagères pleines de livres sur les moyens de s’aider soi-même. Tous
les kiosques affichent des dizaines de magazines qui nous disent comment nous
construire une vie plus heureuse et plus réussie.
Tout cela n’existe pas dans la culture islamiste. Leur littérature est
extrêmement monotone et ne traite que d’un sujet : la charia. Les
islamistes y apprennent des règles externes strictes, des traditions et des
lois qui régissent le comportement humain du « bon musulman ».
«Inch’Allah» vient tout de suite après toute déclaration sur des plans pour
l’avenir. Ils ont de puissants « cheikhs » et des prédicateurs
patentés qui leur fixent chaque jour l’orientation à suivre. Ces religieux leur
disent ce qu’il faut penser en politique, comment il faut élever ses enfants, etc.
etc.etc. Cette attitude implique que ces gens n’ont que
rarement un sentiment de culpabilité, ils se sentent plus libres d’exiger que
l’environnement s’adapte à leurs propres souhaits et désirs, car ils sont
incapables de s’adapter eux-mêmes à l’environnement.
Cette différence de mentalité est
clairement affirmée par un vieux proverbe indien :
« On peut se promener partout en
douceur en mettant une paire de chaussures, ou en exigeant que la Terre entière soit
recouverte de cuir souple »
Un comportement agressif
Dans la
culture islamiste, les comportements agressifs, et en particulier les menaces
et les coups, sont le meilleur moyen de traiter les conflits et les tensions
sociales. Depuis la
prise du pouvoir par les islamistes, on constate que l’agressivité est devenue
la règle chez les Tunisiens, alors qu’ils étaient réputés pour leur calme et
leur gentillesse. Un proverbe populaire dit « seuls les petits chiens aboient,
les gros n'en ont pas besoin». Ce proverbe est l'un des principes de base d'un
comportement social civilisé. Pour nous tous, l'agressivité est un signe de
faiblesse. C'est le signe que la personne ne se contrôle pas et qu'elle est
incapable de gérer la situation. Nous percevons la capacité des gens à rester
calmes comme traduisant la confiance en soi et la capacité d'élaborer un
dialogue constructif.
La phobie des femmes
La psychologie des islamistes est marquée
par la phobie des femmes. La différence sexuelle est vécue comme une honte
inavouable. La femme doit se cacher afin de ne pas provoquer l’homme, ce qui
causerait en lui un sentiment de culpabilité religieuse. La femme n’est-elle
pas responsable du premier péché, commis par Adam ? Ce refus de l’altérité de
la femme se transforme en refus de toute altérité, c'est-à-dire de tout ce qui
est autre, distinct, différent.
La haine de la vie conduit au terrorisme
Mais si la femme est la source de la vie,
la haïr c’est haïr la vie, donc aimer la mort. Vidé de sa libido (énergie
vitale), le fanatique devient aisément manipulable. On voit ainsi se former le
terreau sur lequel peut se développer une vocation de terroriste et de
destructeur de la vie. Nous sommes en plein délire paranoïaque, délire qui se
développe à partir de personnalités rigides, susceptibles, rancunières,
vindicatives et cruelles. La conséquence en est un discours haineux non
seulement à l’égard des non-musulmans, mais aussi à l’égard des opposants
politiques, des laïques, des démocrates, des intellectuels, des minorités, des
femmes et des enfants. Le fanatisme amplifie cette tendance générale.
Hannibal Genséric