Selon http://www.whatdoesitmean.com/index2437.htm,
le président Poutine a ordonné aux forces militaires russes de se joindre immédiatement
à celles de la Chine afin de se préparer à répondre à des «frappes
de missiles balistiques nucléaires, accidentelles et / ou provocatrices»
après que le Service des Renseignements Extérieurs (SVR) ait présenté des «preuves
crédibles» au Conseil de sécurité (CS) russe montrant que le président
Donald Trump pourrait bientôt être renversé par un coup d'État
interne.
Donald Trump annonce, le 15 juillet 2016, qu'un coup
d'État sera lancé contre lui s'il est élu président |
En effet, l'audience du Congrès tenue la semaine dernière a donné
son acquiescement contre le président Trump en mettant
en vedette de nombreux experts militaires américains et anciens commandants de
haut niveau préconisant la désobéissance directe aux ordres de Trump. Cela
nous rappelle la tentative de putsch de 1934 “Business Plot” contre le président
Franklin Roosevelt, et qui avait, de même, tenté de renverser le gouvernement des
États-Unis.
À la tête de cette audition traîtresse du Congrès américain, il y
avait le sénateur Bob Corker, un «monstre
du marais» anti-Trump, aligné sur le «Deep
State», dont le niveau de corruption est si stupéfiant, qu’il y a
eu au
moins 3 enquêtes criminelles fédérales américaines contre lui. D’ailleurs,
le SVR l’a précédemment identifié comme étant membre du groupe "La
vengeance de Palpatine " du Web Sombre utilisant le nom "Dooku"
et qui planifie le coup d’état contre Trump.
"MF" est le général Michal Flynn et "limey" est l'agent du MI6 Michael Steele, qui a été le créateur du faux "dossier russe" |
Parmi les nombreuses déclarations de trahison qui prônent à l'armée
américaine de refuser d’obéir aux ordres du président Trump lors de cette
audition devant le Congrès américain, nous pouvons citer parmi les plus horribles:
Le sénateur Chris
Murphy a déclaré: “Nous sommes préoccupés par le fait que le président des États-Unis soit
si instable et si imprévisible et qu'il dispose d'un processus décisionnel si
étourdissant qu'il pourrait ordonner une frappe nucléaire qui serait
complètement décalée par rapport aux intérêts de sécurité des États-Unis.
"
L’ancien commandant du lancement nucléaire, Bruce Blair, a déclaré:
"Le pouvoir de détruire la civilisation humaine est exercé
unilatéralement par un homme, qui est un escroc de carrière et une star de la
téléréalité, connu pour sa pétulance
impulsive, son tempérament court et sa capacité d'attention encore plus courte."
-et-
L'ancien chef du commandement stratégique américain, le général Robert Kehler, a
déclaré: "S'il y a un ordre illégal présenté à l'armée, l'armée
est obligée de refuser de le suivre."
Moins de 48 heures après sa déclaration préconisant à l'armée
américaine de refuser de suivre les ordres du président Trump, le général Robert
Kehler a visité le Pentagone ; et dans les deux heures suivant son
arrivée, Le compte Twitter officiel du département de la Défense a
publié un re-tweet choquant
préconisant à Trump de démissionner, mais cela a été supprimé par la suite
par l'armée américaine qui a déclaré qu'un "utilisateur
autorisé" avait publié ces mots de trahison.
Après la publication de ce tweet de traitrise
appelant à la démission du président Trump, le 16 novembre, le général Robert
Kehler a quitté le Pentagone. Il a rejoint le sénateur Chris
Murphy, le sénateur Ed Markey et le représentant Ted Lieu (Markey
et Lieu ont émis un projet de loi qui interdirait à Trump l'autorisation de
lancer des armes nucléaires) sur un vol privé à destination de San Diego,
en Californie. À leur atterrissage, ils étaient pris en charge par la
société privée de haute sécurité de l'élite Omni La Costa Resort.
Le général Kehler et ces politiciens législateurs américains ont
alors été rejoints, chez Omni La Costa Resort, par le redoutable
milliardaire mondialiste George Soros, la membre du Congrès américain Nancy
Pelosi, et presque tous les titans de la high-tech en Amérique. Ils se sont rassemblés pour ce qu'on appelle
une «conférence massive d'argent sombre»
que ces comploteurs ont nommé «Au-delà de la
résistance» - et où les
participants ont été invités à ne pas partager les noms des membres avec la
presse ni à publier sur les réseaux sociaux. Si
"les médias ou un blogueur" les contactent, ils doivent contacter la Democracy Alliance et ils
doivent "s'abstenir de laisser des documents sensibles là où d'autres
peuvent les trouver".
Ce que prévoient les comploteurs du "Deep State" avec
leur " au-delà de la résistance ", c’est le renversement du président
Trump. Ceci a été confirmé par le président Xi au président Poutine
dans son rapport sur la sinistre
conversation qu'il venait de tenir avec le roi Salman d'Arabie Arabie,
dans laquelle ce dernier a révélé qu'il démissionnait
et livrerait tous les pouvoirs à son fils le prince Mohammed bin Salman.
Actuellement, le prince bin Salman, est également en train de lutter
contre les coups d'État manigancés par “Deep State” contre lui. Ainsi, il
est en train
d’arrêter les officiers militaires impliqués dans ce complot mondial.
Cela a conduit le président Xi à utiliser la puissance
militaire de la Chine pour défendre l'Arabie Saoudite.
Avec plus
de troupes hostiles à la frontière russe qu'à aucun moment depuis 1941,
alors que cette bataille entre les États-Unis et la Chine sur l'Arabie
Saoudite s'intensifie rapidement, très peu d'Occidentaux sont conscients
des graves dangers que représente le "Deep State" pour
le monde entier, avec son récent "appel" pour que la
"démocratie" prenne le contrôle de ce royaume. Mais le monde entier sait très bien que c'est
la
"dernière paille" que les Saoudiens vont tolérer, après quoi
ils vont imploser tout le système pétrodollar dont l'Amérique tire sa richesse.
Alors que les Saoudiens et les Chinois se préparent à
mettre définitivement fin au pétrodollar, modifiant ainsi l'histoire humaine,
les complots de «Deep State» pour entraîner la Russie dans ce
conflit ont eux aussi échoué.
Avec le Deep State, l’Amérique mérite, plus que jamais, son
qualificatif d’État voyou. Ceci est aussi scandaleusement illustré par
l'envoyée américaine aux Nations Unies, la virago Nikki Haley, qui déclara de façon
stupéfiante que les
Américains n'avaient pas besoin de l'autorisation de l'ONU pour envahir ou
occuper une autre nation.
L'autre déclaration choquante de l'ambassadrice Haley selon laquelle les
États-Unis sont capables de "se battre pour la justice" en
Syrie sans l'approbation de l'ONU, dément de manière grotesque le sens même
du mot "justice", car ce que les Américains font à la nation syrienne
s’apparente plus à un génocide qu'à une quelconque justice.
En se référant au reportage de la BBC démontrant que la pseudo guerre menée par les États-Unis contre
l'État islamique tue 31 fois plus de civils que ce qui est déclaré par les
Américains, et que les arsenaux stupéfiants d'armes utilisés par l'État islamique
démontrent presque que toutes ces armes ont été fournies par les États-Unis, ce
qui a conduit la Cour Pénale Internationale (ICC) à ouvrir une enquête pour crimes de guerre commis par les dirigeants de l'armée américaine et de la CIA aussi bien en Syrie qu'en Afghanistan.
Le comportement du "Deep State" est
tellement déstabilisant que :
(a) le Pakistan a renié son alliance avec les États-Unis pour se
tourner vers la Chine,
(b) l'Union européenne a créé un nouveau pacte de défense par
manque de confiance dans les États-Unis, et
(c) la Turquie, membre de l'OTAN, vient de retirer ses forces
militaires d'un exercice commun prévu, et les Américains qualifiant d '«ennemi» cet allié de
longue date .
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Hannibal GENSERIC