Non seulement des réservoirs de pétrole ont été touchés à Bryansk (aucune preuve d’une attaque aérienne cette fois, mais un sabotage au sol est possible), mais aussi divers bombardements de villages et des tentatives de sabotage des systèmes ferroviaires russes, puisque des explosifs ont été trouvés :
https://i.postimg.cc/Y9qskhtC/FRPzb-S6-Vk-AAcy-U9.jpg
Toujours dans la région, deux nouveaux Bayraktar TB2 auraient été abattus. Photos de l’un d’entre eux :
- https://i.postimg.cc/9QCS1xs9/5420165349808126534.jpg
- https://i.postimg.cc/Dw6NNrKM/5420165349808126535.jpg
- https://i.postimg.cc/R00YxWSV/5420165349808126536.jpg
- https://i.postimg.cc/Jhd2rR03/5420165349808126537.jpg
Un nouvel avion-cargo turc a également atterri en Pologne hier, transportant probablement un nouveau lot de TB2. Plus de 40 ont déjà été abattus.
L’Ukraine est en train de remuer les choses en Transnistrie. De multiples attaques de sabotage ont eu lieu, dont une sur une installation militaire, détruisant deux tours de radio et en endommageant d’autres.
https://www.rt.com/russia/554556-transnistria-president-terror-attacks-ukraine/
La Transnistrie érige maintenant des barricades : https://twitter.com/AZmilitary1/status/1519045236617584640
Il y a beaucoup de discussions et de rumeurs comme celle-ci : « Maintenant, les comptes Télégram de Transnistrie affirment que des militaires ukrainiens se sont massés à leur frontière : « Selon les abonnés. A la frontière avec la Transnistrie, une grande concentration de troupes ukrainiennes a été remarquée, en particulier des chars et autres véhicules blindés ».
Et une grande partie de cette rumeur pourrait être écartée s’il n’y avait pas les attaques suspectes qui se produisent maintenant soudainement sur les terres de la Transnistrie, et les déclarations suivantes d’un éminent journaliste ukrainien et depuis l’année dernière ex-conseiller du chef du ministère ukrainien de la Défense, qui aurait déclaré aujourd’hui :
« L’Ukraine a le droit légal de démilitariser les installations militaires des troupes russes qui nous menacent », a écrit sur les réseaux sociaux le rédacteur en chef de l’odieuse publication Censor, maintenant conseiller du ministère ukrainien de la Défense, Yuriy Butusov.
Selon lui, cela permettrait de capturer des prisonniers russes à échanger, « d’éliminer la menace d’une percée des troupes russes », de saisir d’importants arsenaux de munitions, de libérer deux brigades ukrainiennes qui sont stationnées à la frontière entre l’Ukraine et la Moldavie.
« Il ne reste qu’une seule chance de sauver Marioupol, en frappant la Transnistrie » – Conseiller du ministre de la Défense de l’Ukraine.
https://news.obozrevatel.com/vojna-v-ukraine/putin-vyibral-put-totalnoj-vojnyi-butusov-obyasnil-pochemu-nuzhen-udar-po-pridnestrovyu-i-kak-eto-spaset-mariupol.htm (traduction automatique de cet article)
(La Russie, soit dit en passant, compte plus de 4000 prisonniers militaires ukrainiens, dont 300 officiers. Plus de prisonniers de guerre ont été faits dans la seule aciérie d’Illych que tous les prisonniers russes et du Donbass réunis aux mains des Ukrainiens).
Donc, non seulement il lance cette idée comme un moyen de saisir de grands arsenaux de munitions, comme nous l’avons déjà souligné plus haut, mais aussi comme un dernier coup pour sauver Marioupol en saisissant suffisamment de prisonniers russes qui pourraient être utilisés comme levier dans un échange. Il est intéressant de noter que ce commentaire coïncide avec les demandes d’hier d’Arestovych/Kiev pour :
- qu’il y ait une négociation avec la Russie directement au pied des murs de l’usine Azovstal et
- que les prisonniers de guerre russes soient échangés contre tous les militants d’Azov et les marines de la 36ème Brigade actuellement piégés dans l’usine.
Le problème avec cette demande est que l’Ukraine est loin d’avoir le nombre de prisonniers de guerre qui correspondrait au nombre de militants restants à Azovstal. L’Ukraine prétend avoir environ 500 prisonniers de guerre au total pour la Russie/DPR/LPR, et ce chiffre est probablement largement gonflé, du double ou plus. D’autre part, selon certains rapports, il reste plus de 2000 militants piégés dans l’Azovstal. Apparemment, certains à Kiev imaginent que la capture de soldats de la paix russes en Transnistrie pourrait égaliser ces échanges et permettre l’échange des Azovites piégés.
« L’#Ukraine et la #Roumanie prévoient une agression conjointe contre la #Transnistrie (République moldave de Pridnestrovie) fin avril-début mai. Des militaires roumains déguisés en militaires moldaves s’entraînent dans des camps en Roumanie et arrivent en #Moldavie en grand nombre. » Détails : https://t.me/ZradaXXII/1959
Selon la rumeur, un « grand nombre de soldats et d’officiers roumains » ont été déployés en Moldavie sous des uniformes moldaves, y compris des officiers et des commandants remplacés par des homologues roumains.
L’objectif semble être un énorme site de stockage militaire à Kolbasnaya, dont on dit de façon hyperbolique qu’il contient suffisamment d’obus d’artillerie pour une guerre de 10 ans. Il est compréhensible que l’Ukraine ait hâte d’acquérir ces munitions, car elle en manque cruellement. Des « rumeurs » indiquent qu’une attaque sur Tiraspol est déjà prévue pour la fin avril ou le début mai.
Cette information est troublante car elle s’ajoute à d’autres rapports faisant état de préparatifs clandestins en provenance de Pologne et d’autres pays.
Voici un rapport datant de l’époque de l’attaque du Moskva :
Il y a deux jours : Le service de surveillance secret de l’OTAN a commencé à travailler à Odessa et à suivre les navires de la marine russe. C’est ce que rapporte RIA Novosti en se référant à une source des forces de l’ordre russes et à son informateur ukrainien.
Selon l’interlocuteur de l’agence, le groupe de surveillance de l’OTAN opère dans l’une des banlieues d’Odessa. Les agents sont équipés d’un matériel qui permet de déterminer les coordonnées exactes de tout navire se trouvant en mer Noire dans un rayon de 200 kilomètres.
Les principaux spécialistes sont des employés de la société roumaine PMC Nordstarsupport Group.
L’interlocuteur a également noté que les tâches du groupe sont d’empêcher le débarquement de troupes russes dans la région d’Odessa et de déterminer l’emplacement des navires russes pour les cibler avec des missiles anti-navires ukrainiens « Neptune ».
La Russie a ensuite annoncé l’ouverture d’une enquête sur au moins deux groupes d’opérations spéciales des SAS britanniques à Lvov : https://www.rt.com/news/554380-ukraine-uk-sas-sabotage.
Et un rapport dit que : « Des sources françaises rapportent que des militaires du 13e régiment de dragons parachutistes, régiment faisant partie des forces d’opérations spéciales, ont été déployés en Ukraine. Le groupe comprend des instructeurs sur l’utilisation des systèmes antichars MILAN et des lance-grenades AT-4″.
Quant à la Pologne, on entend cette rumeur :
« ❗️La Pologne prépare secrètement une « campagne de libération » contre l’Ukraine. À cette fin, un ensemble de mesures est en cours d’exécution – la fourniture d’armes, d’équipements et de mercenaires à travers la frontière polono-ukrainienne. Plusieurs formations de l’armée polonaise, la 18e division de fusiliers motorisés et la 6e brigade aéroportée, se préparent à une « mission de maintien de la paix« .
L’armée polonaise a intensifié au maximum les mesures visant à préparer les unités à l’état de guerre. Le recrutement des « volontaires » s’effectue par le biais des sites Internet du ministère de la Défense de Pologne. »
Maintenant, beaucoup de ces éléments sont très spéculatifs, mais ils s’ajoutent à un concert croissant de preuves concernant les puissances occidentales / l’implication croissante de l’OTAN dans le flanc ouest de l’Ukraine. En fait, certaines de ces informations datent d’il y a quelques jours et je les avais mises de côté en raison de leur nature spéculative, mais en raison des attaques concrètes d’aujourd’hui en Transnistrie, ces choses commencent à sembler de plus en plus réelles.
Bien que certaines de ces attaques puissent avoir pour but de libérer des militants d’Azov, il s’agit en grande partie d’une escalade visant à contrecarrer la destruction prochaine par la Russie du groupement militaire ukrainien dans le Donbass. De plus en plus de rapports en provenance du Donbass montrent à quel point la situation de l’Ukraine commence à se détériorer. Non seulement il y a des dizaines de redditions quotidiennes sur tous les fronts, mais il y a aussi des pertes énormes chaque jour et de plus en plus de militaires sont identifiés comme des réservistes envoyés de l’extrême ouest, avec peu d’entraînement.
Voici un rapport
#UKRAINE-Dans le cadre de la préparation de l’offensive de la #Russie et en raison d’un grave manque de personnel et d’un moral bas parmi les militaires, l’état-major de l’#UA prépare les brigades de défense territoriale suivantes pour un transfert immédiat au #Donbass : -101e #Uzhgorod -102e #IvanoFrankovsk -103e #Rovno ½
Ce sont des défenseurs du territoire peu entraînés qui se présentent maintenant sur le front de l’Est. Et à en juger par les récentes redditions, ils en ont l’air. Beaucoup d’entre eux sont vieux et hagards. Dernier sitrep : environ 20 se sont rendus près de Donetsk, aujourd’hui nous avons un autre lot de ~80 capturés à Yampil sur le front nord.
Video: https://twitter.com/AZmilitary1/status/1519013593324437505
Lien alternatif : https://www.bitchute.com/video/faCuHupYndeO/
Et les KIAs provenant des nouvelles poussées sont plus nombreux que jamais. Je me suis abstenu par le passé d’en poster trop, mais la récente recrudescence de la propagande ukrainienne/occidentale sur la « victoire » de l’Ukraine m’oblige à la compenser en montrant la dure réalité de ce qui se passe sur le terrain :
Avertissement graphique (18+). Ce sont les types de pertes massives que les FAUs ont subit rien qu’au cours des deux derniers jours :
Et pour ceux qui continuent à parler de la campagne fantôme des FAUs à Kherson. Voici ce qui s’est réellement passé à Kherson hier, la Russie a pris d’assaut les positions des FAUs à Oleksandrivka avec des pertes énormes du côté ukrainien. Destruction complète de leurs positions :
https://www.bitchute.com/video/XyhbW1JQ8ORM/ (18+)
Je ne pense que nous ne verrons plus d’« offensive » de leur part de sitôt.
La Russie a encore lancé des attaques massives contre les infrastructures la nuit dernière, détruisant de nombreux ponts et lignes ferroviaires clés.
Une carte montrant tous les passages ferroviaires stratégiques qui ont été touchés :
Et une autre carte : https://twitter.com/RWApodcast/status/1518587585664274432
Confirmations du ministère russe de la Défense : https://twitter.com/Levi_godman/status/1518636779720564736
https://www.rt.com/russia/554519-russia-hits-supply-ukraine/
Les lignes d’approvisionnement occidentales en Ukraine ont été détruites – Russie
On pense qu’il s’agit de la dernière phase d’assouplissement avant le début d’une offensive plus puissante dans le Donbass. Les armes occidentales auront désormais beaucoup plus de mal à atteindre la ligne de front, en particulier les armes lourdes telles que les chars et l’artillerie, qui devraient bientôt être fournies à l’Ukraine. Ces armes nécessitent des chemins de fer pour atteindre la ligne de front.
Et à propos des armes lourdes destinées à l’Ukraine, il est important de noter que de nombreux pays sont en train de dresser une liste fantaisiste d’armes lourdes « haut de gamme » à fournir. Des T-72 et des M-84 de Pologne et de Slovénie, des Marders, des Léopards et des PzH2000 d’Allemagne, des Howitzers Cesar de France, des véhicules Mastiffs, Wolfhound et Husky du Royaume-Uni, des systèmes d’artillerie Archer de Suède, des Humvees, des M113 APC des États-Unis et des M777 du Canada, et ainsi de suite.
Pour toute personne versée dans les questions militaires, c’est absolument ridicule. Il n’y a aucune chance que l’Ukraine soit en mesure d’utiliser ces équipements de manière productive avant longtemps. Tout d’abord, la grande majorité de ce matériel n’atteindra jamais les lignes de front et sera détruit en cours de route. Mais juste pour se faire l’avocat du diable, même s’il devait effectivement atteindre les lignes de front, tout analyste militaire digne de ce nom sait qu’il est extrêmement préjudiciable d’utiliser de nombreux systèmes non interopérables sur les lignes de front en raison du cauchemar complet que cela crée en termes de manque de pièces et de capacité à entretenir ou réparer correctement cet équipement.
En fait, au début de l’Opération spéciale, la Russie a été fortement critiquée par certains blogs militaires parce qu’elle utilise simultanément un grand nombre de variantes différentes de chaque système, ce qui crée des problèmes de maintenance et de logistique, par exemple des T-72, T-72a, T-72b, T-72b3, T-72b3m, etc, etc. Mais bien sûr, la Russie dispose de l’infrastructure militaire nécessaire pour faire face à ce problème, ce qui n’est pas le cas de l’Ukraine.
Dans un précédent Sitrep, j’avais déjà signalé que l’Ukraine n’est même plus en mesure de réparer ses chars et qu’ils doivent être expédiés en République tchèque, qui se chargera désormais de la sous-traitance des réparations, car la Russie a détruit l’infrastructure de maintenance des FAUs. La guerre est une question de logistique, et ce gigantesque fouillis de Frankenstein composé de douzaines de systèmes différents utilisant tous différents types de munitions et de pièces qui ne peuvent être fournies de manière adéquate sur les lignes de front est une véritable farce. Cela ne fonctionnera jamais et s’enlisera rapidement dans un fouillis insoluble d’équipements rapidement abandonnés.
En bref, tout cet équipement n’est pas très inquiétant car les problèmes logistiques qu’il crée sont tout simplement insurmontables à long terme, même s’il parvient à atteindre les lignes de front en premier lieu. [Par contre cela fait le bonheur des industries de l’armement, sans oublier que ces armes sont payés par les contribuables européens, l’Ukraine n’en ayant pas les moyens, NdT] Je m’inquiéterais davantage de l’approvisionnement en munitions soviétiques pour les systèmes d’artillerie que l’Ukraine utilise encore.
Il y a des signes de désespoir de la part des commandants ukrainiens à cet égard :
« Le lieutenant Ivan Skuratovsky, qui sert dans la 25e brigade aéroportée d’Ukraine : « la situation est très mauvaise, [les Russes] détruisent tout simplement tout avec l’artillerie, en bombardant jour et nuit ».
« Les lance-grenades sont bien, mais contre les frappes aériennes et l’artillerie lourde, nous ne pourrons pas tenir longtemps ». Les troupes ukrainiennes m’ont dit qu’elles avaient besoin d’une aide militaire occidentale, en particulier de drones et d’artillerie, dès que possible. Ils craignent de finir comme ceux de Marioupol s’ils ne l’obtiennent pas. »
Sur les lignes de front, Izyum continue d’être renforcée par la 1ère armée de chars et des éléments de la 20ème armée d’armes combinées des gardes.
Quelques avancées ont été constatées. Le flanc ouest d’Izyum est en train d’être sécurisé :
Et puisque les prisonniers mentionnés ont été faits à Yampil, cette ville est susceptible de tomber dans un avenir proche, ouvrant la voie à Lyman.
Voici une bonne carte du courant : https://twitter.com/Denyo666/status/1519023312722137088/photo/1
Notez que Zavody, à l’extrémité ouest d’Izyum, est toujours contestée mais les forces russes l’attaquent activement en ce moment même. Et au sud de Kurul’ka (le saillant au sud d’Izyum), des unités d’éclaireurs russes avancent et ont attaqué autour de Pashkove, qui est seulement à quelques kilomètres d’une voie ferrée très importante qui passe par Barvinkove. Cette voie ferrée approvisionne Slavyansk depuis l’ouest et que la Russie ait frappé ses jonctions avec des frappes ou non, l’objectif ici est clairement d’avancer vers le sud de quelques kilomètres supplémentaires et de capturer la voie ferrée ainsi que Barvinkove, en isolant l’agglomération de Slavyansk.
Le seul autre élément notable est l’information selon laquelle les forces russes combattent actuellement à Gulyaipole, une importante ville fortifiée des FAUs sur la ligne ouest de Donetsk, vers laquelle la Russie se rapproche progressivement depuis des semaines. Une fois que Gulyaipole et son bastion voisin de l’est, Velyka Novosilka, seront capturés, cela créera une voie presque libre vers la principale artère autoroutière qui approvisionne le groupement de Donetsk depuis Zaporizhzhia.
Quant à Marioupol, il y a plus d’images des blessés d’Azov :
Le chef de la RPD a également annoncé que l’usine Azovstal ne sera pas reconstruite, alors que les usines Azovmash et Illych, au nord de celle-ci, le seront. Cela pourrait être un avertissement de mauvais augure pour les restes d’Azov, car cela signifierait que la Russie n’aurait aucun scrupule à détruire complètement l’usine Azovstal. La seule chose qui semble les arrêter est la confirmation apparente qu’Azov retient en fait de nombreux civils (ils affirment qu’il y en a 1000) en otage dans le sous-sol, y compris de nombreux enfants, dont des vidéos ont été publiées.
Ils utilisent clairement les civils comme leur dernière monnaie d’échange et c’est une situation difficile à gérer pour la Russie, qui ne veut pas provoquer un massacre de femmes et d’enfants en bombardant les positions ni être responsable de leur famine en assiégeant l’usine indéfiniment. C’est la principale raison pour laquelle les négociations se poursuivent.
Selon certaines informations, Azov ne fait pas confiance à Kiev et souhaite être libéré dans un « pays tiers », qui serait la Turquie. Si cela est vrai, cela aurait un sens, car il y a quelques semaines, Kiev a même lancé des missiles Tochka sur Azov à Marioupol, ce qui montre clairement une sorte de friction secrète entre le bataillon nationaliste et les autorités ukrainiennes.
https://tass.com/world/1416593
Voici une carte actuelle de Marioupol, avec une localisation confirmée de l’endroit où les civils sont détenus dans l’abri anti-bombes :
Quelques autres nouvelles au hasard :
Le gouverneur Kim de Nikolayev a admis la création d’escadrons de la mort pour débusquer et tuer les « traîtres » de manière extrajudiciaire.
https://www.rt.com/russia/554475-ukraine-governor-traitors-extrajudicial-executions/
C’est une preuve supplémentaire de ce qui a été fait ailleurs en Ukraine, notamment à Bucha où il est maintenant prouvé que les escadrons de la mort du SBU ont liquidé des « traîtres » à la suite du retrait des troupes russes.
Par ailleurs, un commandant de la RPD nommé Eduard Pelishenko, dont l’indicatif d’appel est « Crimée », aurait été « gravement blessé » près de Donetsk par une « munition perdue ». Il pourrait s’agir du premier signe d’utilisation du Switchblade-300 sur le champ de bataille. Bien que l’on s’attende à ce qu’il survive, cela montre ce dont nous avons discuté il y a longtemps, que le Switchblade-300 en particulier sera utilisé pour des assassinats secrets de cibles VIP.
L’Ukraine veut 2 milliards de dollars par mois de l’administration Biden. https://www.rt.com/news/554520-ukraine-wants-2bn-dollars-month-from-us/
Enfin, Nikolai Patrushev, secrétaire du Conseil de sécurité russe, a déclaré ce que nous pensons tous :
L’Ukraine pourrait s’effondrer en plusieurs pays indépendants, selon le secrétaire du Conseil de sécurité russe
Il semble que ce soit la première confirmation verbale du côté du Kremlin de la direction probable que prend l’Ukraine.
Par Nightvision – Le 26 Avril 2022 – Source The Saker’s Blog
Via le Saker Francophone.
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