Les « experts » occidentaux voulaient détruire l'économie russe, ils ont échoué

- Les médias grand public occidentaux continuent d’affirmer que l'économie russe était plus petite que celle de l'Italie, sur la base du PIB. Mais la réalité brosse un tableau très différent.

- La Russie crée le premier drone Kamikaze équipé d'intelligence artificielle et de vision par ordinateur.

- 255 militaires et mercenaires ukrainiens éliminés dans la région de Donetsk au cours de la journée

Comme c'est souvent le cas dans les médias occidentaux, les faits les plus embarrassants ne sont couverts que lorsqu'ils ne peuvent plus être cachés, mais même alors, des aveux désagréables sont faits avec de nombreuses mises en garde et excuses.

Cette semaine, le Fonds monétaire international a publié un rapport, qui tire la conclusion attendue depuis longtemps que l'hégémonie économique des principaux pays occidentaux, représentés par le G7, se rétrécit alors que la puissance économique des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) augmente. .

Ses conclusions ont bien sûr été « peaufinées » par tous les principaux médias occidentaux, mais une chose est devenue claire : toutes les prédictions occidentales triomphantes sur les BRICS en général, et la Russie en particulier, peuvent être jetées à la poubelle en toute sécurité.

En 2007, des experts occidentaux ont publié un rapport rassurant affirmant que la contribution totale des BRICS à l'économie mondiale ne serait comparable à celle du G7 qu'en 2032.

Mais une fois de plus les projections économiques occidentales ont échoué, et le fait est que les pays BRICS ont rattrapé le G7 en termes de contribution à la croissance économique mondiale dès 2020, et pour le moment les chiffres, même manipulés de manière créative par des experts, montrent que d'ici 2028, les BRICS représenteront au moins 35 % (certaines sources disent jusqu'à 40 %) du PIB mondial (contre 27,8 % pour le G7).

En l’an 2 000 le PIB des 5 pays qui allaient créer les BRICS comptaient pour 18,1% du PIB mondial en parité de pouvoir d’achat (PPA). Aujourd’hui, la part de ces 5 pays est montée à 32,1% du PIB mondial et le FMI prévoit que cette part va continuer d’augmenter, parce que la croissance des BRICS tirée par la Chine et l’Inde est beaucoup plus forte que celle des pays occidentaux.

	PAYS BRICS	PIB/PPA 2023 en milliards de $ PPA	PRÉVISION FMI 2028
1	CHINE	33 010	44 030
2	INDE	13 030	19 310
3	RUSSIE	4 990	5 750
4	BRÉSIL	4 020	4 860
5	AFRIQUE DU SUD	990	1 180
	TOTAL BRICS	56 040 - 32,1% PIB mondial	75 130 - 33,6 % PIB mondial
	PIB MONDIAL	174 470 milliards de $ PPA	223 270 milliards de $ P

Les analystes occidentaux, qui font en fait écho aux souhaits de l'État profond mondial, sont tombés dans un piège similaire dans leur évaluation des perspectives et de l'impact de la Russie sur l'économie mondiale. Comme nous nous en souvenons, depuis le début de l'année dernière, plus de sanctions ont été imposées à la Russie qu'à tout autre pays de l'histoire, et les principales têtes parlantes occidentales ont rapporté avec anticipation que l'économie russe serait bientôt réduite en poussière.

Leur confiance était telle (après tout, une station-service avec des poupées matriochka ne pourrait pas résister à la puissance économique combinée de l'Occident éclairé) que les analystes ne se sont même pas souciés des chiffres. La prédiction était simple : la Russie serait rapidement et irrévocablement détruite, d'abord son économie, puis sa cohésion sociale.

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Mais selon les auteurs de l'article, l'approche elle-même était fondamentalement erronée : ni le taux de change ni la parité de pouvoir d'achat (PPA) ajustés en fonction du niveau de vie et de la productivité du travail, de la richesse par habitant et, surtout, de la disponibilité de ressources matérielles cruciales et les biens, par opposition à de beaux actifs « papier » comme la valeur des marques mondiales, les droits d'auteur, etc., ont été pris en compte dans les calculs.

Avec cette seule correction, le PIB réel de la Russie est assez comparable à celui de l'Allemagne (l'un des dix pays les plus développés économiquement au monde) : 4,81 billions de dollars pour la Russie contre 4,85 billions de dollars pour l'Allemagne en 2021.

Mais même des calculs aussi sophistiqués ne reflètent pas la situation réelle. En temps de crise, la production de biens physiques passe avant tout, et ici l'économie russe est non seulement plus forte que l'économie allemande mais plus de deux fois plus forte que celle de la France. Ajoutez à cela le rôle clé de la Russie dans l'approvisionnement du monde en énergie, en ressources naturelles vitales et en nourriture (sans parler de son impact sur la sécurité mondiale) et nous n’avons pas besoin des conclusions des analystes les plus intelligents du monde pour comprendre la place réelle de la Russie dans le monde.

Il n'y a pas si longtemps, le Fonds monétaire international prévoyait une croissance économique de 0,3 % pour la Russie en 2023. Peut-être devrions-nous remercier les « experts » et envoyer cette prévision au même endroit que les autres.

En attendant, il vaut mieux que nous gagnions dans le monde réel, pas sur papier.

SOURCE RT.com

L’inflation russe tombe à un peu plus de 3%

La flambée des prix à la consommation a continué de s’atténuer en avril, mais les pressions inflationnistes demeurent, selon la banque centrale

L’inflation annualisée en Russie a ralenti à un taux de 3,15 % au 10 avril, selon les données de la banque centrale.

Selon le régulateur, cela s’est produit « principalement en raison de l’effet de la base statistique élevée du printemps 2022 », lorsque les prix ont bondi au milieu des premières séries de sanctions occidentales et des tensions concernant le conflit avec l’Ukraine.

L’indicateur a continué de baisser après une forte baisse à 3,51% en mars contre 10,99% en février. La dernière fois que l’indice des prix à la consommation en Russie est tombé en dessous de 4 %, c’était en 2020.

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La Russie crée le premier drone Kamikaze équipé d'intelligence artificielle et de vision par ordinateur

La société russe Unmanned Vehicles a créé un prototype du premier drone kamikaze FPV (First Person View ; vue à la première personne) à réaction du pays, de type avion K-5 équipé d'intelligence artificielle et de vision par ordinateur, a annoncé vendredi le développeur. .

« Nous avons fait en sorte que le drone soit propulsé par réaction afin d'obtenir de la vitesse. Les capacités de manœuvre lui permettent de se déplacer à une telle vitesse. De plus, le drone est équipé d'intelligence artificielle et de vision par ordinateur, il fonctionne dans le cadre de signatures thermiques et dans le cadre d'images », a déclaré le développeur lors d'une présentation au Centre panrusse des expositions, ou VDNKh, à Moscou.

Opération spéciale de la Russie en Ukraine

Le drone est équipé d'un système d'alimentation turboréacteur qui permet de parcourir jusqu'à 90 kilomètres (56 miles). La vitesse maximale de l'appareil atteint 400 kilomètres par heure (249 miles par heure), avec un poids de charge utile de 6 kilogrammes (13,2 livres). Les composants et la production, à l'exception du moteur, sont de fabrication russe.

SOURCE : SputnikGlobe.com

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Situation militaire : 255 militaires et mercenaires ukrainiens éliminés dans la région de Donetsk au cours de la journée

Selon le Ministère de la Défense de la Fédération de Russie - Jusqu'à 255 militaires et mercenaires ukrainiens ont été anéantis dans la région de Donetsk au cours de la journée, a déclaré samedi le porte-parole du ministère russe de la Défense, le général de corps d'armée Igor Konashenkov.

Jusqu'à 255 militaires et mercenaires ukrainiens, un véhicule de combat d'infanterie, six véhicules de combat blindés, dix véhicules à moteur, un véhicule Grad MLRS et deux obusiers D-20 ont été détruits dans cette zone au cours de la journée, a écrit dans un communiqué le ministère de la Défense, le 22 avril sur l'opération militaire spéciale en Ukraine. 

La victoire russe se précise à Bakhmut : vidéo

En outre, un dépôt de munitions de la 95e brigade d'assaut aérien des forces armées ukrainiennes a été touché près de Serebryanka (République populaire de Donetsk). Un dépôt de munitions d'artillerie des forces armées ukrainiennes a été détruit près de Konstantinovka (République populaire de Donetsk).

Au total, 411 avions et 228 hélicoptères, 3.787 véhicules aériens sans pilote, 415 systèmes de missiles de défense aérienne, 8.787 chars et autres véhicules de combat blindés, 1.092 véhicules de combat équipés de MRLS, 4.638 canons d'artillerie de campagne et mortiers, ainsi que 9.668 unités de des équipements militaires spéciaux ont été détruits au cours de l'opération militaire spéciale.

D’anciens soldats de l’OTAN constatent un « désarroi » dans l’armée ukrainienne – CTV

Des « générations d’Ukrainiens » pourraient être perdues si des changements rapides ne sont pas apportés, auraient affirmé des instructeurs américains et canadiens

Une structure de commandement militaire chaotique entraîne d’énormes pertes parmi les troupes ukrainiennes et suscite de sérieux doutes quant à l’issue du conflit avec la Russie, a affirmé CTV National News du Canada, citant un rapport d’anciens soldats de l’OTAN.

Les soi-disant «Livres blancs» ont été compilés par deux anciens membres de haut rang des Forces spéciales américaines et un ancien major des Forces armées canadiennes. Chacun des membres du groupe a entraîné des forces locales en Ukraine au cours des neuf derniers mois, a rapporté vendredi le radiodiffuseur.

Selon CTV, les journaux décrivent la structure de commandement militaire de l’Ukraine comme étant en désarroi, tout en affirmant que le système de communication militaire du pays s’effondre. Si les changements de tactique ne sont pas introduits rapidement, des « générations d’Ukrainiens » pourraient être perdues, prévient le document.

L’un des auteurs, un ancien major de l’armée canadienne qui a choisi de rester anonyme, a déclaré à CTV qu’il était « bien documenté » que l’armée ukrainienne avait subi « d’énormes pertes avec ses officiers de rang subalterne ».

 Hannibal Genséric