Et voilà qu'une autre parlementaire israélienne bien connue a qualifié les Palestiniens dans leur ensemble de « terroristes »,
allant jusqu’à affirmer que les mères des Palestiniens devraient
également être tuées au cours de l’offensive israélienne dans la bande de Gaza assiégée. Ayelet Shaked, du parti
ultra-nationaliste Jewish Home, a appelé au meurtre de toutes les mères
palestiniennes qui donnent naissance à des « petits serpents ».
Elles doivent mourir, et leurs maisons doivent être détruites de telle sorte qu’elles ne puissent plus abriter de terroristes », a-t-elle affirmé, en ajoutant : « Elles sont toutes des ennemies, et leur sang devrait être sur nos mains. C’est aussi valable pour les mères des terroristes morts.Ces commentaires sont considérés comme un appel au génocide, étant donné qu’elle déclare que tous les Palestiniens sont des ennemis d’Israël et doivent être tués.
Pour Benjamin Netanyahu, les Attentats du 11 Septembre c’est tout bénef pour Israël
C’est probablement pour
cela que la police a arrêté, le 11 septembre 2001, au pied des tours en feu,
un groupe d’agents du Mossad entrain de faire la fête… En 1933 les Nazis montraient des caricatures du Juif
international se frottant les mains devant les montagnes de cadavres de la
guerre, aujourd’hui Netanyahu donne chair à cette caricature. Les
familles des victimes apprécieront…
Rappelons ici que, selon le
quotidien israélien Maariv, Benjamin Netanyahu, leader du parti d’extrême
droite israélien Likoud, allié du Shas, avait déclaré lors d’une conférence
à l’université de Bar Ilan, que les attentats du 11 septembre 2001 contre
les États-Unis ainsi que la guerre en Irak ont été une bonne chose pour Israël.
"Nous profitons d’une chose, ce sont les attaques contre les Twin
Towers et le Pentagone, ainsi que les combats américains en Irak. Selon Maariv,
l’ancien premier ministre israélien aurait déclaré que ces évènements ont
retourné l’opinion publique américaine en notre faveur"
Si Hitler n’avait pas existé, les Sionistes l’auraient créé.
Les chiffres (d’après le
livre The Transfer Agreement (1) d’Edwin Black) racontent l’histoire.
En 1927, environ 15.000
Juifs d’Allemagne sur 550.000 se considéraient Sionistes. C’est moins de 2%. La
grande majorité des Juifs d’Allemagne « rejetèrent violemment le Sionisme
en tant qu’ennemi de l’intérieur». Ils se considéraient comme des Allemands de
religion juive. 80.000 d’entre eux se sont battus, aux côtés des Allemands dans
les tranchées, et 12.000 sont morts. « Nulle part l’opposition des
Juifs [contre le Sionisme] n’était aussi répandue et acharnée qu’en Allemagne, »
raconte un historien Sioniste. (Page 168)
Grâce à Hitler, 60.000
Juifs Allemands ont émigré en Israël entre 1933 et 1941. Grâce à l’ "Accord de Transfert" entre les Nazis et les
Sionistes, des propriétés Juives évaluées à 100 millions de dollars (de
l’époque) ont été transférées en Israël sous la forme d’exportation
industrielle allemande utilisée pour construire l’infrastructure d’Israël. Le
salaire moyen d’un travailleur Juif en Palestine était alors d’un dollar par
jour. L’Accord de Transfert amena des outils, des matières premières, de
la mécanique lourde, des équipements pour les fermes aussi bien que du labeur,
et un capital pour financer l’expansion. Plusieurs industries majeures
d’Israël, comme les textiles et l’irrigation nationale, ont été ainsi
financées. (p.373, p.379.)
A cette période il n’y
avait que 200.000 Juifs en Palestine, dont plusieurs Juifs religieux anti-
Sionistes, et il y avait 800.000 Arabes Palestiniens.
En 1937, quand les
Britanniques ont proposé de diviser la Palestine en deux états, les chefs nazis
se sont demandés s’ils n’avaient pas commis une erreur en créant un
« Vatican Juif » dédié à la disparition de l’Allemagne. Mais Hitler
rejeta ces allégations et insista pour que continue l’Accord de Transfert
et qu’il soit étendu vers d’autres pays. L’Italie, la Roumanie, la Hongrie, et
d’autres pays sous l’influence nazie ont signé des accords similaires. (p.378)
La coopération sionisme-nazisme
Au moment où les Nazis prennent
le pouvoir en 1933, les Sionistes gagnèrent un statut politique protégé. Après
l’incendie du Reichstag, les Nazis écrasèrent virtuellement toute opposition
politique et fermèrent 600 journaux. Les Sionistes et leurs journaux n’ont pas
été touchés. La diffusion de leurs journaux a été multipliée par cinq. Le Sionisme était « la seule philosophie politique
séparée acceptée par le Troisième Reich. » (p.174)
L’uniforme et le drapeau sionistes
étaient les seuls non nazis autorisés en Allemagne. L’enseignement de la langue
hébraïque était autorisé dans les écoles juives. Cependant la grande majorité
des Juifs Allemands voulaient rester en Allemagne « même comme des
citoyens de seconde classe, persécutés et injuriés. » (p.175). Mais les
Sionistes méprisèrent ces Juifs Allemands disant qu’ils méritent d’être
persécutés pour vouloir être assimilés.
Des Sionistes aimaient à
comparer leurs idéologie raciale à celle des Nazis : « un destin et une
conscience tribale communs doivent être d’une importance décisive dans le
développement du style de vie des Juifs. »
La Diaspora Juive a
toujours eu peur du Sionisme : elle serait utilisée en tant que prétexte
moral et légal pour forcer les Juifs à se séparer des sociétés
Européennes. (p.177)
Quels bénéfices Hitler en a-t-il tiré?
Les Sionistes ont développé
l’économie nazie en devenant leurs agents commerciaux dans tout le Moyen
Orient. De même, ils ont commercialisé les produits israéliens en Allemagne (oranges
de Jaffa). Hitler s’est débarrassé de milliers de juifs. Il voulait encourager
tous les juifs allemands à gagner la Palestine. En contre partie, Hitler était
soutenu financièrement par la finance juive internationale, en particulier
celles des États-Unis et de la Grande
Bretagne, ce qui lui permis de développer l’industrie allemande et d’en faire
la plus puissante d’Europe.
Une opinion très répandue s'imagine qu'Hitler a redressé l’économie
allemande grâce à une nouvelle façon de faire de la politique. C’est faire
bon marché de la réduction drastique (50%) des salaires allemands durant cette
période d’avant guerre et de la militarisation de l'économie.
Voici un texte éclairant qui s’appuie sur des chiffres
incontestables. Ce texte donne la source du financement de la machine de guerre
nazie et explique son "miracle économique" !
Il y a plus de 70 ans a débuté le plus grand massacre dans
l'histoire, qui a été financé par la finance mondiale sioniste, au travers de la
réserve fédérale des États-Unis et la Banque d'Angleterre. Les
États-Unis et le Royaume-Uni ont, depuis les années 1920, joué un rôle majeur
dans le financement d'Hitler et ses acolytes, considérant
l'énergique Adolf comme un outil dans la destruction de l'URSS.
Le montant total des investissements étrangers dans l'industrie
allemande pendant les années 1924-1929 s'élevait à presque 63 milliards de
marks-or. 70 % des revenus proviennent des banquiers aux États-Unis, la
plupart de la banque JP Morgan (juifs sionistes). Résultat : en 1929
l’industrie allemande occupait la deuxième place dans le monde mais,
dans une large mesure, elle était entre les mains des principaux
groupes industriels et financiers des États-Unis.
Ainsi, « l’IG Farben », le principal fournisseur de
la machine de guerre allemande, a financé à 45 % la
campagne électorale d’Hitler en 1930 et était sous le contrôle de la
« Standard Oil » de Rockefeller. Morgan, à travers
la « General Electric », contrôlait l'industrie de
technologie de la radio allemande. En outre, ils possédaient 30 % des
actions de la compagnie aéronautique « Focke-Wulf. ».
« Opel » a été placée sous le contrôle de « General
Motors », appartenant à la famille Dupont. Henry Ford
contrôlait 100 % des actions du
trust « Volkswagen ». En 1926, avec la participation de la
Banque « Dillon Reed and Co » des Rockefeller, est née le plus
grand trust métallurgique d’Allemagne.
La coopération américaine avec le complexe militaro-industriel
allemand a été si intense et omniprésente qu'en 1933, tous les grands
secteurs de l'industrie allemande et les grandes banques étaient sous le
contrôle du capital financier des États-Unis. Wall Street avait alors établi un
contrôle total sur chaque trust en Allemagne.
En août 1934, la « Standard Oil » américaine en
Allemagne acquit 730.000 acres de terrain et construisit les plus
grandes raffineries de pétrole qui fournissaient le carburant pour les avions
et les tanks nazis. Puis, ont été livrés par les États-Unis
à Allemagne les équipements les plus modernes pour les usines
aéronautiques, qui commencèrent la production des avions allemands les
plus modernes. L’Allemagne a reçu des entreprises américaines « Pratt
et Whitney », « Douglas » « Bendix Avmeyshn » un grand
nombre de brevets militaires et a construit le « Ju-87 » basé
sur la technologie américaine. Dans les derniers modèles de chasseurs et
de bombardiers du troisième Reich on trouvait des moteurs
britanniques. En 1941, alors que la seconde guerre mondiale faisait rage, les
investissements américains dans l'économie allemande s'élevaient à 475
millions de dollars.
A titre de comparaison, Hitler a reçu
des Anglo-américains en 1933, en valeur actuelle 66,3 milliards de
dollars alors que l'Union soviétique n’en a reçu que 12 milliards, cinq fois
moins.
Où on constate que les financiers font du fric avec tout le monde,
ce qui avait conduit Lénine à déclarer que "les
capitalistes sont capables de vendre la corde avec laquelle on va les pendre" !
Le Shoah Business
Depuis qu'elle a démarré son programme d'indemnisation des victimes de l'Holocauste, l'Allemagne a déboursé l'équivalent de plus de 70 milliards de dollars à des survivants et dans des programmes d'aide aux survivants.
L'exploitation de la Shoah à des fins politiques doit se
comprendre de deux manières: en politique extérieure, et en politique intérieure.
La Shoah a servi de légitimation non seulement à la
fondation de l’État d’Israël, mais aussi à sa politique dans le conflit qui
l’oppose aux Arabes, lesquels sont sans cesse assimilés aux nazis.
La Shoah conduit l'Occident (responsable de la création d’Israël
et de la persécution des juifs allemands) à fermer les yeux sur les injustices
commises (aujourd'hui) par les juifs contre le peuple arabe au nom d’un droit hypothétique
(il faut être juif et croyant pour croire que c’est Dieu lui-même qui a donné
ce territoire aux Juifs, et que c’est Dieu lui-même qui a ordonné à ce « peuple
élu » d’en déloger les Arabes par tous les moyens, y compris un génocide
et un apartheid anti-arabes.
En politique intérieure
A : Cohésion du groupe
En politique intérieure (entendre par cela l'intérieur de
la communauté juive "mondiale", et pas seulement l'intérieur de la
communauté juive en Israël), la Shoah sert de ciment fédérateur, de cri de
ralliement ultime, de spectre agité à toute occasion et pour justifier
n'importe quoi.
Cette nouvelle religion séculière, la Shoah, a, comme
l'ancienne (le judaïsme) besoin d’exégèses, de livres, mémoires, témoignages, films,
colloques, et commémorations qui étoffent son contenu, lui donnent une assise (qui
serait légitime si elle n'était "partiale" et surtout
"partielle"). Dans une société laïque comme Israël, une société où le
ciment fédérateur de la foi commune se désagrège, les cérémonies collectives à
la mémoire de la Shoah se substituent aux cérémonies collectives religieuses
pour souder la nation. Le devoir de mémoire se substitue aux devoirs du culte.
B: Justification d'une ségrégation
"interne" au groupe.
Une autre utilisation de la Shoah, plus sournoise
celle-là, est la justification au sein même d'Israël de la place privilégiée
dont bénéficie la communauté juive "Ashkénaze" (la communauté juive
européenne qui aurait connu les camps), face à la communauté juive orientale, la
communauté "Séfarade" qui, elle, n'a pas connu les camps. Les
Séfarades sont considérés comme des juifs de seconde zone.
C: Justification d'un refus de
dialogue avec l’extérieur.
Enfin, utilisé avec la sauce adéquate, la Shoah peut très
bien servir à légitimer tout refus de conciliation avec l'adversaire politique
(les Arabes), taxés de Nazis à chaque fois qu’ils résistent, en oubliant, au
passage, la collaboration étroite entre les pères fondateurs Sionistes et les Nazis
allemands. De plus en plus
d’Israéliens et de Juifs réalisent que le Sionisme est une ruse et
que le comportement israélien vis-à-vis des Palestiniens ressemble étrangement
à celui de l’Allemagne Nazie. Par exemple, l’académicien Israélien Yeshayahu
Leibowitz a dit que tout ce qu’Israël a fait depuis 1967 est « soit
diaboliquement stupide ou stupidement diabolique. » Il se réfère à
l’Armée Israélienne en tant que « Judéo-Nazie. »
L’organisation dite "caritative"
israélienne Magen David Adom, société nationale du Mouvement de la
Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, a refusé, le mercredi 11 décembre
2013, le don de sang de la députée noire d’origine éthiopienne Pnina
Tamano-Shata. Une responsable de l’organisme, filmée et enregistrée par
une caméra vidéo, a expliqué que « selon les directives du ministère de la santé, il n’est pas possible d’accepter le sang spécial d’origine juive éthiopienne ».
Le sang des noirs n’est pas le bienvenu
Selon les médias israéliens, le ministère
de la santé estime en effet que le sang des juifs d’origine éthiopienne
qui ne sont pas nés en Israël est susceptible de propager des maladies,
notamment le sida. Comme si, après avoir reçu ce sang-là, il était
impossible de vérifier. Bref, du racisme pur et dur, au même titre que
ce que vivaient les noirs en Afrique du sud. Pnina Tamano-Shata a réagi
lors d’une interview sur la chaîne de télévision privée 10, dénonçant « cet affront fait à toute une communauté en raison de la couleur de sa peau ». « J’ai
32 ans, je suis arrivée à l’âge de trois ans en Israël, j’ai effectué
mon service militaire et j’ai deux enfants, il n’y aucune raison de
me traiter de la sorte », s’est-elle indignée.
La députée a rappelé qu’il y a seize ans
une grande manifestation de la communauté des juifs éthiopiens avait eu
lieu à Jérusalem lorsque les médias avaient révélé que les autorités
sanitaires se débarrassaient sans l’utiliser du sang donné par les
membres de cette communauté. « Depuis cette époque où j’ai moi-même manifesté, rien n’a changé », a-t-elle déploré.
Actuellement, plus de 120 000 juifs éthiopiens, dont 80 000 nés en Afrique, vivent en Israël, où ils sont victimes de discriminations abyssales.
Notes
(1)
("Le Contrat de Transfert" / "The Transfer Agreement" / "Heskem Haavara", par Edwin
Black; Channel 5 News/USA, 1984) : Adolf Hitler aurait été "le
principal sponsor économique de l'Etat d'Israël" selon l'auteur de "Le
Contrat de Transfert" (The Transfer Agreement) dès
1933. Edwin Black, Juif américain dont les parents sont des
"Survivants de l'Holocauste" et qui auraient émigré aux USA après la fin
de la guerre, raconte l'histoire d'un pacte secret conclu en
Août 1933 entre l'Etat nazi et les Juifs sionistes allemands et
internationaux pour rendre possible le transfert de capitaux, de Juifs
et de produits industriels en Palestine britannique entre
1933 et 1939.
Edwin Black est auteur de IBM ET L'HOLOCAUSTE, L'alliance stratégique entre l'Allemagne nazie et la plus puissante multinationale américaine.
Nom officiel du pacte: Heskem Haavara/הסכם העברה (HE); Ha'avara-Abkommen (DE); Haavara Agreement (EN); l' Accord Haavara (FR).
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSERIC