Voici comment les autorités (ou les lobbies
sionistes ou islamistes) parviennent à contrôler un forum, à repérer les fortes
têtes, à empêcher la publication d'articles sensibles ; à fausser les
débats, à décourager les lecteurs.
Il suffit d'infiltrer les forums et la
rédaction avec quelques individus aux méthodes précises et éprouvées, qui vont
utiliser plusieurs techniques décrites ci-après.
Connaître ces techniques peut vous rendre de grands
services.
Vous allez voir que ces méthodes sont efficaces, et
vous apprendrez à reconnaître ces techniques et ces techniciens (lesquels
disposent de plusieurs pseudos et adresses IP, et peuvent même poser les
questions et y répondre pour mieux enfumer les lecteurs, ou les déstabiliser,
ou provoquer leur colère).
Vous apprendrez ainsi le "forum
sliding", le "consensus cracking", le "topic
dilution", la "collecte d'information" (oui, vous êtes surveillés,
pistés), le "trolling énervé", le "total control",
ainsi que les 25 règles de la désinformation.
N'allez plus imaginer que les
discussions sont libres : elles sont encadrées, surveillées, au moins dès que les sujets
sont sensibles.
Par ailleurs, vous serez beaucoup moins étonnés de
voir comment des sujets sans intérêt sont facilement publiés, quand d'autres
autrement passionnants ne verront jamais le jour : c'est ce qu'on
appelle noyer le poisson.
Vous apprendrez aussi comment reconnaitre les huit
traits d'un désinformateur, comment reconnaître un espion, un provocateur,
un informateur, comment recruter ou vous faire recruter, ainsi que les
17 techniques pour enterrer la vérité.
Attention, c’est du lourd !
Le 12 juillet dernier, le site Cryptome,
sorte d’ancêtre à Wikileaks, a publié des documents que les
gouvernements et les sociétés de surveillance n’aimeraient pas voir sur le net.
Il a mis en ligne le témoignage et les explications techniques d’un ex-agent de Cointelpro. Cointelpro est une organisation
US liée au FBI dont la mission était de faire de la désinformation et de foutre
le bordel parmi les groupes d’activistes. Officiellement, Cointelpro a disparu
en 71, mais l’organisation a juste changé de nom. Maintenant en plus
d’infiltrer de manière classique des groupes d’activistes, cette ou ces
organisations gouvernementales officient sur Internet pour enterrer les bad
buzz et noyer le poisson sur les forums d’activistes.
Ce document met au jour toutes les techniques
employées par les gouvernements, les désinformateurs, les politiques, etc. sur
le net mais aussi dans la vraie vie pour décrédibiliser leurs adversaires et
enterrer les sujets sensibles. C’est très orienté US mais ce serait une erreur
de croire que ce genre de pratiques n’a pas lieu en France, en Tunisie et
ailleurs. C’est riche d’enseignement et au fur et à mesure que je lisais le
document, je me rendais compte que j’avais déjà été le témoin de ces
manipulations. À la télé dans les débats politiques, dans les interviews dans
les journaux, mais chose plus troublante dans les commentaires sur mon site ou
d’autres ou sur Twitter.
Sans tomber dans la parano, je
me demande maintenant si certaines personnes qui viennent poster et semer le
doute dans certains de mes articles un peu « sensibles » sont juste
des trolls qui s’emmerdent ou des agents désinformateurs.
Mais peu importe… Lisez ce document, certes un peu
long, mais passionnant, qui vous permettra de « détecter » à l’avenir
les tentatives de manipulation dont nous faisons tous l’objet, en tant que
personne ayant une opinion, ou en tant que simple spectateur.
Techniques pour manipuler les forums sur Internet
Il existe plusieurs techniques
dédiées au contrôle et à la manipulation d’un forum sur
internet, peu importe le contenu ou les personnes qui sont dessus. Nous allons
voir chaque technique et démontrer qu’un nombre minimum d’étapes suffit pour
prendre efficacement le contrôle d’un » forum incontrôlable.
·
Technique #1 –
FORUM SLIDING
Si un post très sensible, de nature critique a été
posté sur le forum, il peut être rapidement supprimé grâce au « forum
sliding » Dans cette technique, un nombre de posts (ou
« sujets » en français) sans rapport sont discrètement positionnés
sur le forum et « vieillissent » . Chacun de ces posts
sans rapport peut être appelé pour lancer un « forum slide »
(glissement de forum). Deuxièmement, cette technique a besoin de faux comptes.
Ils sont nécessaires pour permettre de dissimuler au public la manipulation.
Pour déclencher un « forum slide » et « purger »
les posts critiques, il suffit de se connecter sur chaque vrai ou faux compte
et de répondre aux vieux sujets avec un message de 1 ou 2 lignes. Grâce à cela,
ces vieux topics sont propulsés au sommet de la liste des topics, et les topics
sensibles glissent vers les autres pages, hors de la vue du public. Bien qu’il
soit difficile, voire impossible, de censurer le post sensible, il est
maintenant perdu dans une mare de posts inutiles et sans rapports. De ce fait,
il devient efficace et pratique de faire lire au public des posts sans rapport
et non-problématiques.
·
Technique #2 – CONSENSUS
CRACKING
Pour réussir à briser un consensus, la technique
suivante est utilisée. Grâce à un faux compte, un message est posté. Ce message
semble légitime et censé – mais le point sensible c’est que ce post possède une
HYPOTHÈSE TRÈS FRAGILE sans preuve pour appuyer ce qui est écrit. Une
fois cela fait et grâce à d’autres faux comptes, une réponse en votre faveur
est doucement introduite. Il est IMPÉRATIF que les deux partis soient
représentés, afin que le lecteur non informé ne puisse pas déterminer quel
parti détient la vérité. Au fur et à mesure des posts et des réponses, la
« preuve » forte ou désinformation est doucement établie en votre
faveur. Ainsi, les lecteurs non informés vont probablement prendre la même
position que vous et, si leur position est contre vous, leur opposition à vos
messages va probablement être laissée aux oubliettes. Cependant, dans certains
cas où les membres du forum sont hautement éduqués et peuvent contrer votre
désinformation avec des faits réels et des liens vers des sites, vous
pouvez « faire avorter » le cassage de consensus en démarrant un
Forum sliding.
·
Technique #3 – TOPIC
DILUTION
La dilution de topic n’est pas seulement efficace
lors d’un glissement de forum, elle est également très utile pour garder
l’attention des lecteurs braquée sur des problèmes sans rapport et non
productifs. Il s’agit d’une technique critique et très utile pour causer
une « CONSOMMATION DE RESSOURCE. ». En implémentant un flux
continu de posts sans rapport pour distraire et perturber (trolling), les
lecteurs du forum voient leur productivité stoppée. Si l’intensité de la
dilution graduelle est assez forte, les lecteurs vont arrêter de rechercher et
vont simplement passer en « mode commérage. » Dans ce mode, ils
peuvent plus simplement être éloignés des faits vers des conjectures et
opinions profanes. Moins ils sont informés, plus il est facile et efficace de
contrôler le groupe entier dans la direction que vous souhaitez. Il faut noter
qu’une étude des capacités psychologiques et des niveaux d’éducation doit être
effectuée pour déterminer à quel niveau il faut » pousser le bouchon
« . En allant trop rapidement trop loin hors sujet, cela peut déclencher
une censure de la part d’un modérateur du forum.
·
Technique #4 – COLLECTE
D’INFORMATION
La collecte d’information est très efficace pour
déterminer le niveau psychologique des membres du forum et pour rassembler tous
les renseignements qui peuvent être utilisés contre eux. Dans cette technique,
un sujet « je te montre le mien, montre-moi le tien » est posté dans
un environnement positif. Grâce au nombre de réponses fournies, il est possible
de compiler plus d’informations statistiques. Par exemple, on peut poster «
votre arme préférée » et encourager les autres membres du forum à montrer
ce qu’ils possèdent. De cette façon, il est possible de déterminer par
pourcentage inversé, quelle proportion du forum possède une arme à feu ou une
arme détenue de manière illégale. Cette même méthode peut être utilisée en
postant en tant que membre un sujet comme « Quelle est votre
technique préférée pour… ». Grâce
aux réponses, les diverses méthodes utilisées par le groupe peuvent être
étudiées et d’autres méthodes mises au point pour les arrêter.
·
Technique #5 – TROLLING ÉNERVÉ
Statistiquement, il y a toujours un pourcentage de
membres du forum plus enclins à la violence. Dans le but de déterminer qui sont
ces gens, il est nécessaire de poster une image sur le forum qui va
délibérément inciter à une forte réaction psychologique. Grâce à cela, le plus
violent du groupe peut être efficacement tracé grâce à son IP. Pour accomplir
cela, il suffit simplement de poster un lien vers une vidéo d’un officier de
police en train d’abuser de son pouvoir envers un individu innocent.
Statistiquement, sur le milliers de policiers sur le terrain, il y en a
toujours un ou deux pris en flagrant délit d’abus de pouvoir et leurs activités
peuvent ensuite être utilisées dans l’objectif de rassembler des renseignements –
sans avoir besoin de « simuler » une fausse vidéo. Cette
méthode est extrêmement efficace et, plus la vidéo est violente, plus la
méthode est efficace. Il est parfois utile de « influencer »
le forum en répondant à vos propres posts avec des intentions violentes et en
déclarant que vous vous « moquez de ce que les autorités pensent !! »
En faisant cela et en ne montrant aucune crainte, les autres membres du forum,
plus discrets et non violents, peuvent révéler leurs vraies intentions. Cela
peut ensuite être utilisé devant le tribunal lors d’une poursuite
judiciaire.
·
Technique #6 – ACQUÉRIR
LE CONTRÔLE TOTAL
Il est important de bien insister et de
continuellement manœuvrer pour obtenir un poste de modérateur sur le forum. Une
fois cette position obtenue, le forum peut être efficacement et discrètement
contrôlé en supprimant les posts non favorables – et on peut éventuellement
guider le forum vers un échec total et provoquer un manque d’intérêt de la part
du public. Il s’agit de la « victoire ultime » car le
forum n’est plus intéressant aux yeux du public et n’est plus utile pour
maintenir leurs libertés. En fonction du niveau de contrôle que vous possédez,
vous pouvez délibérément mener le forum vers la défaite en censurant les posts,
en supprimant les membres, en floodant ou en mettant accidentellement le
forum hors ligne. Grâce à cette méthode, le forum peut être rapidement tué.
Cependant, il n’est pas toujours intéressant de tuer un forum, car il peut être
converti en une sorte de « pot de miel » pour centraliser
et mal orienter les nouveaux et donc les utiliser pour vos besoins, sous votre
contrôle.
· CONCLUSION
Souvenez-vous bien que ces techniques ne sont
efficaces que si les participants du forum NE LES CONNAISSENT PAS. Une fois
qu’ils ont été mis au courant, l’opération peut complètement échouer et le
forum va devenir incontrôlable. À ce moment, d’autres alternatives doivent être
considérées, comme initier un faux problème juridique pour simplement faire
fermer le forum et le mettre hors ligne. Cela n’est pas désirable, car cela
empêche les agences du maintien de l’ordre de surveiller le pourcentage de la
population qui s’oppose toujours au contrôle. Bien d’autres techniques peuvent
être utilisées et développées et, au fur et à mesure que vous développez de
nouvelles techniques d’infiltration et de contrôle, il est impératif de les
partager avec le QG.
Les 25 règles de la désinformation
Note : La première règle et
les cinq dernières (ou les six, en fonction de la situation) ne sont
généralement pas directement applicables par le désinformateur traditionnel.
Ces règles sont généralement plus souvent directement utilisées par les
dirigeants, les acteurs clés ou au niveau de la planification stratégique de
conspirations criminelles.
- 1. Ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire. En dépit de ce que vous pourriez savoir, n’en parlez pas – surtout si vous êtes une figure publique, un journaliste, un politique, etc. Si ce n’est pas signalé, ce n’est pas arrivé et vous n’aurez pas à faire face à des problèmes.
- 2. Devenez incrédules et indignés. Évitez de parler des problèmes clés et concentrez-vous plutôt sur les problèmes secondaires qui peuvent être utilisés pour rendre le sujet comme étant critique de certains groupes ou thèmes sacro-saints. Cela est également connu comme le subterfuge « Comment oses-tu ! » .
- 3. Créez des commérages. Évitez de parler des problèmes en dépeignant toutes les charges, sans tenir compte des lieux ou des preuves, en pures rumeurs et accusations violentes. Cette méthode fonctionne surtout très bien avec une presse silencieuse, car le public ne peut connaitre les faits qu’à travers ces « rumeurs discutables » . Si vous pouvez établir une relation entre le document / le problème avec internet, utilisez ce fait pour le certifier en tant que « rumeur sauvage » émanant d’une « bande d’enfants sur internet » qui ne peut pas avoir de fondement dans la réalité.
- 4. Utilisez un argument épouvantail. Trouvez en un et créez un élément dans l’argumentation de votre adversaire que vous pouvez facilement contrer pour vous faire bien voir et pour ridiculiser l’adversaire. Soit vous créez un problème dont vous insinuez l’existence en vous appuyant sur l’interprétation de l’adversaire/sur l’argumentation de l’adversaire/sur la situation, ou sélectionnez l’aspect le plus faible des charges les plus faibles. Amplifiez leur impact et détruisez-les d’une façon discréditante toutes les charges, réelles et fabriquées, tout en évitant de parler des véritables problèmes.
- 5. Écartez vos adversaires en leur donnant des surnoms et en les ridiculisant. Cela est aussi connu comme étant le stratagème « attaquer le messager » , bien que d’autres méthodes soient des variantes de cette approche. Associez les adversaires avec des noms peu flatteurs comme « fou » , « partisan de droite » , « libéral » , « partisan de gauche » , « « terroriste » , « frère musulman, ou islamiste », « adorateurs de complots » , « racistes » , « fanatiques religieux » , « déviants sexuels », « sioniste », et bien d’autres. Cela permet d’empêcher les autres d’éventuellement s’associer à vos adversaires de peur de se faire traiter de la même façon et vous évitez donc de parler des vrais problèmes.
- 6. Frappez et courez. Dans n’importe quel forum public, attaquez brièvement votre adversaire ou la position de l’adversaire et fuyez avant qu’une réponse ne soit publiée ou ignorez tout simplement la réponse. Cela marche extrêmement bien sur internet dans les environnements de type courrier des lecteurs, dans lesquels un flux continu de nouvelles identités peuvent être utilisées pour éviter d’expliquer les critiques, d’argumenter – faites simplement une accusation ou une autre attaque, ne parlez jamais des problèmes et ne répondez jamais, car ceci donnerait du crédit au point de vue de l’adversaire.
- 7. Motifs d’interrogation. Amplifiez chaque fait qui pourrait laisser penser que l’adversaire opère selon un parti pris. Cela évite de parler des problèmes et oblige l’accusateur à se mettre sur la défensive.
- 8. Invoquez l’autorité. Prétendez que vous faites partie de l’autorité ou associez-vous avec celle-ci en utilisant assez de jargon et de termes pour illustrer que vous êtes « celui qui sait » et discréditez tous les propos sans parler des problèmes ni démontrer pourquoi ou citer des sources.
- 9. Jouez à l’abruti. Peu importe quels sont les arguments ou les preuves sur la table, évitez de parler des problèmes sauf pour les discréditer, dire que cela n’a aucun sens, ne contient aucune preuve, n’a aucun intérêt ou est illogique. Mélangez bien pour un effet maximal.
- 10. Associez les critiques de l’adversaire avec de vieilles actualités. Un dérivé de l’argument épouvantail qui est une sorte d’investissement pour le futur dans le cas où le problème ne peut pas être facilement contrôlé. On peut l’anticiper pour garder le contrôle. Pour cela, lancez un argument épouvantail et faites en sorte que l’on s’en occupe assez tôt dans le cadre du plan alternatif (ou plan B). Ainsi, les charges ou critiques suivantes, peu importe leur validité, pourront généralement être associées aux charges précédentes et être considérées comme étant simplement du réchauffé, sans avoir besoin de s’en occuper – encore mieux si l’adversaire qui en est à l’origine est ou était impliqué à l’origine.
- 11. Établissez un plan B et ayez confiance en celui-ci. Utilisez un problème mineur ou un élément basé sur des faits, prenez la « grande route » (face publique) et « confessez » avec vigueur qu’une erreur innocente a été faite – – mais que les adversaires ont saisi là l’opportunité de la mener hors de proportion et d’insinuer des choses malhonnêtes qui, bien entendu, « n’existent pas » . D’autres personnes peuvent vous renforcer plus tard et même demander publiquement de « mettre un point final à ce non-sens » car vous avez déjà fait « la chose juste » . Bien faite, cette technique peut vous permettre d’acquérir de la sympathie et du respect pour avoir « craché le morceau » et « confessé » vos erreurs sans aborder d’autres problèmes plus graves.
- 12. Les énigmes n’ont pas de solution. Prétendez que l’affaire est trop compliquée à résoudre, en s’appuyant sur la multitude de personnes impliquées et d’évènements. Cela permet de faire perdre tout intérêt au problème de la part des autres personnes.
- 13. Logique d’Alice au pays des merveilles. Évitez de parler des problèmes en raisonnant à l’envers ou avec une logique déductive qui s’interdit tout véritable fait important.
- 14. Demandez des solutions complètes. Évitez de parler des problèmes en demandant à vos adversaires de résoudre le crime ou le problème dans sa totalité. Il s’agit d’un stratagème qui marche mieux avec les problèmes relatifs à la règle 10.
- 15. Faites correspondre les faits à des conclusions alternatives. Cela requiert une pensée créative, sauf si le crime a été planifié avec un plan B.
- 16. Faites disparaitre les preuves et les témoins. Si cela n’existe pas, ce n’est pas un fait et vous n’avez pas à aborder le problème.
- 17. Changez de sujet. Généralement en lien avec l’un des autres stratagèmes listés ici, trouvez une façon de mettre la discussion sur le côté avec des commentaires mordants et controversés dans l’espoir de détourner l’attention sur un sujet plus gérable. Cela marche surtout très bien avec les gens qui peuvent « débattre » avec vous sur le nouveau sujet et polariser la discussion dans le but d’éviter de parler des problèmes clés.
- 18. Contrariez et provoquez les adversaires et donnez-leur une charge émotionnelle. Si vous pouvez ne rien faire d’autre, réprimandez et raillez vos adversaires et obligez-les à répondre de manière émotionnelle, ce qui va permettre de les faire passer pour des gens stupides et beaucoup trop émotifs. Non seulement vous éviterez de parler des problèmes, mais même si leur réponse émotionnelle aborde le problème, vous pouvez après éviter les problèmes en vous concentrant sur ô combien ils sont » trop sensibles pour critiquer. «
- 19. Ignorez les preuves présentées, demandez des preuves impossibles. Il s’agit peut-être ici d’une variante de la règle « jouer l’idiot » . En dépit des preuves qui peuvent être présentées par un adversaire sur un forum public, prétendez que la preuve n’est pas recevable et demandez une preuve qui est impossible à trouver pour l’adversaire (elle peut exister, mais elle n’est pas à sa disposition ou elle est connue comme étant quelque chose de facile à détruire ou falsifier, comme une arme de crime). Dans le but de complètement éviter de parler des problèmes, il peut être nécessaire de catégoriquement discréditer les médias ou les livres, reniez le fait que les témoins peuvent être acceptables et reniez même les déclarations faites par le gouvernement ou par d’autres autorités.
- 20. Fausses preuves. Dès que possible, introduisez de nouveaux faits ou indices conçus et fabriqués en conflit avec les présentations et les arguments de l’adversaire – un outil pratique pour neutraliser les problèmes sensibles ou entraver les résolutions. Cela marche encore mieux lors des crimes pour lesquels les faits ne peuvent pas être distingués des fausses preuves.
- 21. Faites appel à un jury d’accusation, un procureur spécial ou un autre corps habilité à l’investigation. Renversez le processus en votre faveur et neutralisez efficacement les problèmes sensibles sans ouvrir la discussion. Une fois réunis, la preuve et le témoignage doivent être secrets pour être bien gérés. Par exemple, si vous êtes de mèche avec le procureur, le jury d’accusation peut tout simplement refuser toutes les preuves utiles, les sceller et les rendre inutilisables pour des enquêtes ultérieures. Une fois qu’un verdict favorable est atteint, le problème peut être officiellement considéré comme fermé. Généralement, cette technique s’applique pour rendre le coupable innocent, mais elle peut aussi être utilisée pour obtenir des accusations lorsque l’on cherche à faire un coup monté contre la victime.
- 22. Fabriquez une nouvelle vérité. Créez vos propres experts, groupes, auteurs, meneurs ou influenceurs capables de créer quelque chose de nouveau et différent via des recherches scientifiques, d’investigation ou sociales ou des témoignages qui se terminent favorablement. Dans ce cas, si vous devez vraiment aborder les problèmes, vous pouvez le faire autoritairement.
- 23. Créez de plus grandes distractions. Si ce qui est cité ci-dessus ne fonctionne pas pour éloigner les gens des problèmes sensibles ou pour empêcher une couverture médiatique indésirable d’évènements comme des procès, créez de plus grosses histoires (ou traitez-les comme telles) pour éloigner les masses.
- 24. Le silence critique. Si les méthodes ci-dessus ne prévalent pas, pensez à supprimer vos adversaires de la circulation grâce à des solutions définitives afin que le besoin d’aborder les problèmes soit entièrement supprimé. Cela peut être fait par la mort, l’arrestation et la détention, le chantage, la destruction de leur personnalité grâce à la fuite d’informations ou encore en les détruisant financièrement, émotionnellement ou en leur infligeant des dommages sévères au niveau médical.
- 25. Disparaissez. Si vous êtes le détenteur clé de secrets ou si vous êtes beaucoup trop sous pression et que vous sentez que cela commence à être dangereux, quittez les lieux.
Les 8 traits d’un désinformateur
- 1) L’évitement. Ils ne parlent jamais des problèmes de manière directe ni n’argumentent de manière constructive. Ils évitent généralement les citations ou les références. À la place, ils insinuent tout et son contraire. Virtuellement, tout à propos de leur présentation insinue que l’autorité et les experts en la matière ne possèdent aucune crédibilité.
- 2) Sélectivité. Ils tendent à choisir les adversaires prudemment, soit en appliquant l’approche » frappe et cours » contre de simples commentateurs supportant leurs adversaires ou en se concentrant plus fortement sur les opposants clés qui sont connus pour aborder directement les problèmes. Si un commentateur devient trop discutailleur sans aucun succès, la focalisation va changer pour également inclure le commentateur.
- 3) Coïncidence. Ils ont tendance à apparaitre subitement sur un sujet controversé avec pourtant aucun passé de participant sur une discussion générale dans l’arène publique concernée. Ils ont, de même, tendance à disparaitre une fois que le sujet n’est plus intéressant pour la masse. Ils étaient surement censés être ici pour une raison, et ont disparu avec cette raison.
- 4) Travail d’équipe. Ils ont tendance à opérer en groupes auto-satisfaits et complémentaires. Bien sûr, cela peut arriver naturellement sur n’importe quel forum public, mais il y aura surement une lignée d’échanges fréquents de cette sorte, là où les professionnels sont impliqués. Des fois, l’un des participants va infiltrer le camp opposé pour devenir une source pour un argument épouvantail ou d’autres techniques conçues pour diminuer la force de frappe de l’adversaire.
- 5) Anti-conspirateur. Ils expriment presque toujours un certain mépris envers les « théoriciens de la conspiration ». Demandez-vous pourquoi, s’ils possèdent un tel mépris pour les théoriciens de la conspiration, est-ce qu’ils se concentrent sur la défense d’un seul sujet discuté sur un newgroup abordant les conspirations ? Certains peuvent penser qu’ils sont là pour essayer de faire passer tout le monde pour des fous sur chaque sujet ou pour tout simplement ignorer le groupe pour lequel ils expriment un tel mépris. Ou, certains peuvent plus justement conclure qu’ils possèdent une raison cachée pour que leurs actions disparaissent de leur chemin.
- 6) Émotions artificielles. Un genre étrange de sentimentalisme « artificiel » et une peau inhabituellement dure – une capacité à persévérer et à persister même face à un flot accablant de critiques et d’intolérances. Cette technique provient d’un entrainement des services de renseignement qui, peu importe à quel point la preuve est accablante, réfute tout et qui empêche d’être émotionnellement réactif ou impliqué. Pour un expert de la désinformation, les émotions peuvent sembler artificielles. La plupart des personnes, si elles répondent avec colère, par exemple, vont exprimer leur animosité à travers leur rejet. Mais les professionnels de la désinformation vont généralement avoir des problèmes pour maintenir « leur image » et sont d’humeur changeante à l’égard de prétendues émotions et de leur style de communication plus calme et impassible. C’est juste un métier et ils semblent souvent incapables de « jouer leur rôle » . Vous pouvez piquer une colère absolue à un moment, exprimer un désintérêt ensuite et encore plus de colère plus tard – un yo-yo émotionnel. En ce qui concerne le fait d’avoir la peau dure, aucune quantité de critiques ne va les dissuader de faire leur travail et ils vont généralement continuer leurs vieilles techniques sans aucun ajustement aux critiques sur la mise au jour de leur petit jeu – alors qu’un individu plus rationnel va vraiment s’inquiéter de ce que les autres peuvent penser et va chercher à améliorer son style de communication ou tout simplement abandonner.
- 7) Incohérent. Ils ont aussi une tendance à faire des erreurs qui trahissent leurs vraies motivations. Cela peut éventuellement venir du fait qu’ils ne connaissent pas vraiment leur sujet ou qu’ils soient un petit peu « freudiens » . J’ai noté que, souvent, ils vont simplement citer des informations contradictoires qui vont se neutraliser elles-mêmes. Par exemple, un petit joueur déclarait être un pilote de l’armée de l’air, mais avait un style d’écriture très pauvre (orthographe, grammaire, style incohérent). Il ne devait pas avoir fait d’études supérieures. Je ne connais pas beaucoup de pilotes de l’armée de l’air qui n’ont pas un diplôme universitaire. Un autre a notamment déclaré ne rien savoir d’un certain sujet, mais s’est prétendu, par la suite, expert en la matière.
- 8) Constante de temps. On a récemment découvert, en ce qui concerne les Newsgroups, le facteur temps de réponse. Il y a trois façons de le voir fonctionner, surtout lorsque le gouvernement ou une autre personne avec un certain pouvoir est impliqué dans une opération de dissimulation.8.a) N’importe quel post sur un NG (Newsgroups) posté par un partisan de la vérité ciblée peut résulter en une réponse immédiate. Le gouvernement et les autres personnes habilitées peuvent se permettre de payer des gens pour s’asseoir devant et trouver une opportunité d’occasionner des dégâts. PUISQUE LA DÉSINFORMATION DANS UN NG NE MARCHE QUE SI LE LECTEUR LA VOIT – UNE RÉPONSE RAPIDE EST NÉCESSAIRE, ou le visiteur peut être aiguillé vers la vérité.8.b) Lorsque l’on a affaire à un désinformateur d’une manière plus directe, par email par exemple, LE DÉLAI EST NÉCESSAIRE – il y aura généralement un minimum de 48-72h de délai. Cela permet à une équipe de se concerter sur la réponse stratégique à adopter pour un meilleur effet et même « d’obtenir une permission » ou une instruction d’une voie hiérarchique.8.c) Dans l’exemple des NG ci-dessus, on aura ÉGALEMENT souvent le cas où de plus gros moyens sont mis en place après le délai de 48-72h. Cela est surtout vrai lorsque le chercheur de vérité et ses commentaires sont considérés comme plus importants et potentiellement révélateurs de la vérité. Ainsi, un révélateur de vérité sera attaqué deux fois pour le même péché.
Comment repérer un espion
Une façon de neutraliser de potentiels activistes
est de leur donner l’opportunité d’appartenir à un groupe qui ne fait que des
mauvaises choses. Pourquoi ?
- 1) Le message ne sort pas
- 2) Beaucoup de temps est gaspillé
- 3) L’activiste est frustré et découragé
- 4) Rien de bon n’est accompli
Les agents islamistes et les informateurs (généralement
très bien payés par la manne pétrolière saoudienne et qatarie) et les infiltrés
de la police vont envahir n’importe quel groupe et établiront des organisations
activistes bidons. Leur objectif est d’empêcher l’éclosion de vrais mouvements
pour la justice et pour la liberté. Les agents viennent en petits, moyens ou
grands groupes. Ils peuvent venir de différents milieux ethniques. Il peut
s’agir d’hommes ou de femmes.
La taille du groupe ou du mouvement infiltré n’est
pas importante. Le potentiel d’expansion du mouvement attire les espions et les
saboteurs. Ce carnet liste les techniques utilisées par les agents pour
ralentir les choses, faire rater les opérations, détruire le mouvement et
surveiller les activistes.
Le travail de l’agent est d’empêcher l’activiste de quitter un tel
groupe afin de le garder sous son contrôle.
Durant certaines situations, pour avoir le contrôle, l’agent va dire à
l’activiste :
« Tu divises le
mouvement. »
[Ici, j’ai inclus les raisons psychologiques qui
font que cette manœuvre fonctionne pour contrôler les gens]
Cela fait naitre un sentiment de culpabilité.
Beaucoup de gens peuvent être contrôlés par la culpabilité. Les agents
établissent des relations avec les activistes derrière un déguisement bien
conçu de « dévouement à la cause » . À cause de leur
dévouement souvent proclamé (et leurs actions faites pour le prouver),
lorsqu’ils critiquent les activistes, il ou elle – étant vraiment dédié au
mouvement – est convaincu que tous les problèmes sont de LEUR faute. Cela
s’explique par le fait qu’une personne vraiment dévouée tend à croire que tout
le monde a une conscience et que personne ne dissimulerait ni ne mentirait
comme ça « en le faisant exprès». Il est incroyable de voir à quel
point les agents peuvent aller loin dans la manipulation d’un activiste, car
l’activiste va constamment chercher des excuses en faveur de l’agent qui s’est régulièrement
déclaré fidèle à la cause. Même s’ils, occasionnellement, suspectent l’agent,
ils vont se mettre des œillères en rationalisant » ils ont fait ça
inconsciemment…ils ne l’ont pas vraiment fait exprès…je peux les aider en les
pardonnant et en acceptant » etc.
L’agent va dire à l’activiste :
» Tu es un meneur ! «
Cela permet à l’activiste d’améliorer sa confiance
en lui. Son admiration narcissique de ses propres intentions
altruistes/activistes vont augmenter tant qu’il ou elle admirera consciemment
les déclarations altruistes de l’agent, qui sont délibérément conçues pour
refléter celles de l’activiste.
Il s’agit
de » fausse identification malveillante « . C’est le processus grâce
auquel l’agent va consciemment imiter ou simuler un certain comportement pour
encourager l’activiste à s’identifier à lui, augmentant ainsi la vulnérabilité
de l’activiste par rapport à l’exploitation. L’agent va simuler les plus
subtils concepts de soi de l’activiste.
Les activistes et ceux qui ont des principes altruistes
sont plus vulnérables à la fausse identification malveillante, surtout durant
le travail avec l’agent, lorsque les interactions incluent des problèmes liés à
leurs compétences, autonomie ou connaissances.
Le but de l’agent est d’augmenter l’empathie générale
de l’activiste envers l’agent à travers un processus de fausse identification
avec les concepts de soi relatifs à l’activiste.
L’exemple le plus commun de ce processus est
l’agent qui va complimenter l’activiste pour ses compétences, ses connaissances
ou sa valeur pour le mouvement. À un niveau plus subtil, l’agent va simuler les
particularités et les manières de l’activiste. Cela va permettre de promouvoir
l’identification via mimétisme et les sentiments de » gémellité »
(jumeaux). Il n’est pas inconnu pour un activiste, amoureux de l’aide perçue et
des compétences d’un bon agent, de se retrouver à prendre en considération des
violations éthiques et, même, un comportement illégal, au service de leur
agent.
Le » sentiment de perfection » [concept
de soi] est amélioré et un lien puissant d’empathie est tissé avec l’agent à
travers ses imitations et simulations du propre investissement narcissique de
la victime. [Concept de soi] Il s’agit là, si l’activiste le sait, au fond de
lui, de leur propre dévouement à la cause, il va projeter cela sur l’agent qui
le leur » reflète « .
Les activistes vont être leurrés en pensant que
l’agent partage ses sentiments d’identification et ses liens. Dans la
configuration d’un mouvement social/activiste, les rôles de confrontations
joués par les activistes vis-à-vis de la société/du gouvernement, encouragent
les processus continus de séparation intrapsychique afin que les »
alliances de gémellité » entre l’activiste et l’agent puissent rendre des
secteurs entiers ou la perception de la réalité indisponible à l’activiste.
Littéralement, ils » perdent contact avec la réalité. «
Les activistes qui renient leurs propres
investissements narcissiques [n’ont pas une très bonne idée de leurs propres
concepts de soi et qu’ils SONT les concepts] et qui se perçoivent eux-mêmes
consciemment comme des » aides » doté d’un certain altruisme sont
extrêmement vulnérables aux simulations affectives (émotionnelles) de l’agent
entraîné.
L’empathie est encouragée par l’activiste à travers
l’expression d’affections visibles. La présence de pleurs, de tristesse, de
désir, de remords, de culpabilité peut déclencher chez l’activiste orienté vers
l’aide un fort sens de la compassion, tout en améliorant inconsciemment
l’investissement narcissique de l’activiste en lui-même.
Les expressions de telles affections simulées
peuvent être assez irrésistibles pour l’observateur et difficile à distinguer
d’une profonde émotion.
Cela peut généralement être identifié par deux
évènements : Tout d’abord, l’activiste qui a analysé ses propres racines
narcissiques et est au courant de son propre potentiel pour devenir »
émotionnellement accro » va être capable de rester tranquille et
insensible à de telles effusions émotionnelles de la part de l’agent.
En conclusion de cette attitude tranquille et
insensible, le second évènement va se produire : l’agent va réagir bien
trop vite à une telle expression affective, laissant à l’activiste l’impression
que » le jeu est terminé, le rideau est tombé » et l’imposture, pour
le moment, a pris fin. L’agent va ensuite rapidement s’occuper d’une prochaine
victime/d’un prochain activiste.
Le fait est que le mouvement n’a pas besoin de
meneur, il a besoin de BOUGEURS (gens qui se bougent pour faire les
choses). » Suivre le meneur » est une perte de temps.
Un bon agent va vouloir rencontrer sa victime le
plus souvent possible. Il ou elle va beaucoup parler pour ne rien dire.
Certains peuvent s’attendre à un assaut de longues discussions
irrésolues.
Certains
agents prennent des manières insistantes, arrogantes ou défensives :
- 1) Perturber l’agenda
- 2) Mettre la discussion de côté
- 3) Interrompe de manière répétitive
- 4) Feindre l’ignorance
- 5) Lancer une accusation infondée contre une personne.
Traiter quelqu’un de raciste, par exemple. Cette
tactique est utilisée pour discréditer quelqu’un aux yeux des autres membres du
groupe.
Les saboteurs
Certains saboteurs prétendent être des activistes.
Elles ou ils vont…
- 1) Écrire des dépliants encyclopédiques (actuellement, des sites web)
- 2) Imprimer les dépliants seulement en anglais
- 3) Faire des manifestations dans des endroits qui n’intéressent personne
- 4) Solliciter un soutien financier de la part de personnes riches au lieu d’un soutien des gens de la classe moyenne
- 5) Afficher des pancartes avec beaucoup trop de mots déroutants
- 6) Embrouiller les problèmes
- 7) Faire les mauvaises demandes
- 8) Compromettre l’objectif
- 9) Avoir des discussions sans fin qui font perdre du temps à tout le monde. L’agent peut accompagner ces discussions sans fin de boissons, de consommation de stupéfiants ou d’autres distractions pour ralentir le travail de l’activiste.
Les Provocateurs
- 1) Veulent établir des » meneurs » pour les mettre en place lors d’une chute dans le but de stopper le mouvement
- 2) Suggèrent de faire des choses stupides, des choses illégales pour amener des problèmes aux activistes
- 3) Encouragent le militantisme
- 4) Vouloir railler l’autorité
- 5) Tenter de compromettre les valeurs des activistes
- 6) Tenter d’instiguer la violence. L’activisme veut toujours être non-violent.
- 7) Tenter de provoquer une révolte parmi les gens mal préparés à gérer la réaction des autorités.
Les Informateurs
- 1) Veut que tout le monde s’inscrive partout
- 2) Pose beaucoup de questions (collecte d’informations)
- 3) Veut savoir à quels évènements l’activiste prévoit d’assister
- 4) Essaye de faire en sorte que l’activiste se défende lui-même pour identifier ses croyances, buts et son niveau de dévouement.
Recrutement
Les activistes légitimes ne soumettent pas les gens
à des heures de dialogue persuasif. Leurs actions, croyances et buts parlent
pour eux.
Les groupes qui recrutent SONT
des missionnaires, militaires ou faux partis politiques ou mouvements créés par
des agents.
Surveillance
Supposez TOUJOURS que vous êtes sous surveillance.
À ce moment, si vous n’êtes PAS sous surveillance, vous n’êtes pas un très bon
activiste !
Tactiques d’intimidations
Ils les utilisent.
De telles tactiques incluent la diffamation, la
calomnie, les menaces, devenir proche d’activistes mécontents ou concernés un
minimum par la cause pour les persuader (via des tactiques psychologies
décrites ci-dessus) de se tourner contre le mouvement et de donner de faux
témoignages contre leurs anciens collègues. Ils vont planter des substances
illégales chez les activistes et monter une arrestation ; ils vont semer
de fausses informations et monter une » révélation « , ils vont
envoyer des lettres incriminantes [emails] au nom de l’activiste ; et bien
plus ; ils feront tout ce que la société permettra.
Ce carnet ne couvre pas du tout toutes les
techniques utilisées par les agents pour saboter la vie des sincères et dévoués
activistes.
Si un agent est » exposé « , il ou elle
sera transféré(e) ou remplacé(e).
COINTELPRO est toujours en opération de nos jours
sous un nom de code différent. Il n’est désormais plus mis sur papier pour
éviter d’être découvert suite à loi pour la liberté de l’information.
Le but du programme de contre-espionnage du FBI :
exposer, déranger, dévier, discréditer et neutraliser les individus que le FBI
considère comme étant opposés aux intérêts nationaux. La » sécurité
nationale » concerne la sécurité mise en place par le FBI pour empêcher
les gens d’être mis au courant des choses vicieuses réalisées par celui-ci, en
violation avec les libertés civiles du peuple.
En résumé : 17 techniques pour enterrer la vérité
Des allégations d’activités
criminelles fortes et crédibles peuvent faire tomber un gouvernement. Quand le
gouvernement n’a pas une défense efficace et basée sur les faits, d’autres
techniques doivent être employées. La réussite de ces techniques dépend
grandement d’une presse coopérative et complaisante ainsi que d’un simple parti
d’opposition symbolique.
- 1. Gardez le silence. Si ce n’est pas reporté, ce n’est pas une actualité, ce n’est pas arrivé.
- 2. Indigné de cire. Également connu sous le nom du stratagème » Comment oses-tu ? « .
- 3. Qualifiez toutes les charges comme étant des » rumeurs » ou, mieux, des » rumeurs folles « . Si en dépit de l’absence d’informations, le public est toujours mis au courant des faits suspicieux, ce n’est que par l’intermédiaire de » rumeurs. » (S’ils tendent à croire aux » rumeurs « , c’est probablement parce qu’ils sont simplement » paranoïaques » ou » hystériques. « )
- 4. Démolissez l’argument épouvantail. Ne vous occupez que de l’aspect le plus faible des charges les plus faibles. Encore mieux, créez votre propre argument épouvantail. Inventez des fausses folles rumeurs (ou créez des fausses histoires) et faites les entrer en action lorsque vous semblez discréditer toutes les charges, réelles et fantaisistes à la fois.
- 5. Utilisez des mots comme » théoricien de la conspiration « , » barjot « , » râleur « , » fou « , » cinglé » et, bien sûr, » commères » pour qualifier les sceptiques. Soyez bien certains d’utiliser des verbes et des adjectifs forts lorsque vous caractérisez les accusations et défendez le gouvernement » plus raisonnable » et ses défenseurs. Vous devez faire bien attention à éviter les débats ouverts avec toutes les personnes que vous avez ainsi calomniés.
- 6. Contestez les motivations. Essayez de marginaliser les personnes critiques en suggérant fortement qu’elles ne sont pas vraiment intéressées par la vérité, mais qu’elles poursuivent simplement un but politique ou qu’elles veulent simplement gagner de l’argent.
- 7. Invoquez l’autorité. Ici, la presse contrôlée et la fausse opposition peuvent être très utiles.
- 8. Écartez les charges comme étant des « vieilles nouvelles. »
- 9. Crachez une moitié du morceau. Cela est également connu sous le nom de » confession et évitement. » De cette façon, vous pouvez donner une impression de franchise et d’honnêteté tandis que vous n’admettez que des » erreurs » sans conséquences et pas du tout criminelles. Ce stratagème requiert souvent l’existence d’un plan B, différent de celui d’origine.
- 10. Décrivez les crimes comme étant incroyablement complexes et la vérité introuvable.
- 11. Raisonnez à l’envers, utilisez la méthode déductive avec vengeance. Avec une déduction rigoureuse, les preuves pénibles perdent toute crédibilité. Exemple : Nous avons une presse totalement libre. Si les preuves existent comme quoi la lettre de » suicide » de Vince Foster a été falsifiée, ils l’auraient reporté. Ils ne l’ont pas reporté donc il n’y a pas de telles preuves.
- 12. Demandez aux sceptiques de résoudre totalement le crime. Exemple : si Foster a été tué, qui l’a tué et pourquoi ?
- 13. Changez de sujet. Cette technique inclut la création et/ou la publication de distractions.
- 14. Signalez légèrement les faits incriminés, mais n’en faites rien. Cela est souvent assimilé au signalement « touche et cours » .
- 15. Mentir effrontément sans détour. L’une des façons les plus efficaces de faire ceci est d’attribuer les « faits » fournis aux publics à une source au nom plausible, mais anonyme.
- 16. Pour développer un petit peu plus les points 4 et 5, faites que vos propres compères « exposent » leurs scandales et défendent des causes populaires. Leur travail est de contrecarrer les vrais adversaires et de jouer au football sur 99 yards. Une alternative est de payer les gens riches pour ce travail. Ils vont prétendre dépenser leur propre argent.
- 17. Inondez internet d’agents. C’est la réponse à la question, « qu’est-ce qui pourrait pousser quelqu’un à passer des heures sur les newsgroups d’internet pour défendre le gouvernement et/ou la presse et discréditer les critiques authentiques ? » Est-ce que les autorités n’ont pas assez de défenseurs avec tous les journaux, magazines, radios et télévisions ? Certains peuvent penser que refuser d’imprimer des lettres critiques et écarter les appels sérieux ou les interdire des talkshows à la radio est suffisant comme contrôle, mais, apparemment, ce n’est pas le cas.
J’espère que vous aurez appris des trucs et que
maintenant, vous saurez un peu mieux lire entre les lignes de ce qui se passe
sur le net et les forums.