«C’est le judaïsme à la
sauce BHL, crétin !»
Je ne peux penser à
aucun autre Juif qui aura tant œuvré pour l’antisémitisme ces dernières années
que Bernard-Henri Lévy. Il semble n’avoir aucune conscience, ni même de décence
quant à ce qu’il fait. Le dernier exemple en date concerne son
intervention sur les ondes françaises pour la promotion de son dernier livre,
«sur lequel [il] travaille depuis vingt ans», intitulé L’Esprit du judaïsme. En
règle générale, ses bouquins ne se vendent pas, et sont même tournés en
dérision dans les médias officiels anglo-saxons pour leur caractère narcissique
et leur stupidité. Malgré cela, L’Esprit du judaïsme jouit d’un placement en
couverture du magazine L’Express. De façon totalement accidentelle, ce magazine
qui tire à presque 500 000 exemplaires est également la propriété du
coreligionnaire sioniste de BHL, Patrick Drahi.
Jouissant d’une
publicité systématique dans les médias en dépit de son évidente nullité, BHL a,
depuis des années, été la partie émergée de l’iceberg dans la vie
politique française que représente l’influence des réseaux ethno-centristes
juifs. Pour beaucoup, il est celui par qui le citoyen lambda en vient un jour à
se demander s’il n’y a finalement pas réellement une question juive en
France.
BHL fut récemment
l’auteur d’une série de tweets surréalistes qui reprennent ses éléments de
langage favoris sur les ondes, un ramassis d’affirmations belliqueuses et
hypocritement tournées contre le nationalisme français, toujours ponctuées du
hashtag #Espritdujudaisme, pour promouvoir par la même occasion son
bouquin. Il sous-entendrait ainsi, de façon inconsciente et contre-productive,
que ses opinions néfastes viendraient de son idéologie judaïque.
Ainsi, sorti du chapeau
de BHL, le judaïsme serait synonyme d’anti-nationalisme [dans les
territoires non-juifs, s’entend, NdT] :
C’est l’universalisme que je défends aujourd’hui
dans ce livre. @franceculture
#EspritduJudaisme
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) February 3, 2016
Sur la guerre contre
les Arabes :
Je n’ai aucun regret. On n’a pas de regret quand
on sauve une population entière d’un massacre #Libye @franceculture
#EspritduJudaisme
— Bernard-Henri Lévy
(@BHL) February 3, 2016
De nouveau contre les
Arabes :
Le tort absolu de la communauté internationale,
cela a été la non-intervention en #Syrie. @franceculture #EspritduJudaisme
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) February 3, 2016
BHL a déclaré
par le passé que c’est «en tant que Juif», et par «fidélité au
sionisme et à Israël», qu’il avait poussé [le Président Sarkozy] à déclarer
la guerre à la Libye.
Au sujet de la doxa qui
veut que les nationalistes français soient éternellement exclus du pouvoir :
Le vieil antisémitisme français est toujours
vivant. Le FN n’a pas vraiment changé@franceculture #EspritduJudaisme
— Bernard-Henri Lévy
(@BHL) February 3, 2016
Mais à l’inverse, les
opposants à un ethno-nationalisme juif seraient des bellicistes :
Les gens qui prônent le boycott ne sont pas pour
la paix, mais pour la guerre #BDS #Israel @franceculture #EspritduJudaisme
— Bernard-Henri Lévy
(@BHL) February 3, 2016
Et enfin, il nous sert
sa sempiternelle dose d’absurdités contradictoires, dont le seul objectif est
de justifier les privilèges dont jouissent les Juifs :
La grande question juive, c’est la question de
l’altérité, soit le contraire du communautarisme @franceculture
#EspritduJudaisme
— Bernard-Henri Lévy
(@BHL) February 3, 2016
Le terme communautarisme
est l’expression consacrée en France pour décrire ethnocentrisme, une doctrine
universellement condamnée en France. Ici, BHL nous dit en un mot que
l’ethnocentrisme juif est le contraire de l’ethnocentrisme. Ainsi,
l’ethnocentrisme juif est empli de bonté, tandis que tout autre ethnocentrisme
est la quintessence du Mal.
Venant de n’importe qui
d’autre que BHL, ces déclarations dénuées de tout bon sens seraient considérées
comme les symptômes d’une déficience intellectuelle. L’ethnocentrisme est un
réflexe universel, et les doubles standards de nature ethnocentrique sont
monnaie courante dans le monde entier (ainsi, il n’est pas rare de considérer
que la violence envers une personne extérieure est de moindre importance qu’une
violence exprimée envers un membre de son propre groupe). Mais chez BHL, ce
mécanisme psychologique est hypertrophié à un niveau d’absurdité qui dépasse
l’entendement, la conscience de soi et le simple sens commun.
BHL divague dans une
dimension qui nous est étrangère. Qui de nous est équipé pour décrypter le
câblage alambiqué de ce cerveau [ou de cette cervelle, organe destiné à
être consommé, Note du Saker Fr] ?
Je ne plaisante qu’à
moitié lorsque j’affirme que BHL a peut-être fait plus pour mettre à mal
l’hypocrisie sioniste que quiconque dans le monde. Chacune de ses apparitions
télévisées est une leçon accélérée sur La culture de la critique [série
d’ouvrages de psychologie de Kevin MacDonald sur les stratégies évolutives de
groupe, NdT]. Sans BHL, Alain Soral et Dieudonné n’auraient jamais eu le
même succès dans leurs efforts pour diffuser leur rhétorique anti-sioniste à
travers le monde francophone. (Et par sionisme, il faut comprendre sionisme
international ou sionisme libéral.)
Dans tous les cas, je
ne lirai pas le dernier bouquin de BHL. Comme disait l’autre, «une fois que
tu as reçu l’illumination, pas la peine de continuer à écouter le prédicateur».
Par Guillaume
Durocher – Le 5 février 2016
Article
original paru sur The
Occidental Observer
Traduit par Laurent
Schiaparelli pour le Saker Francophone
Note du Saker
Francophone
Le titre
de ce texte fait allusion à un slogan de campagne électorale aux États-Unis, «It’s the
economy, stupid!», qui expliquait que lors d’élections se déroulant
dans un climat économique morose, l’électorat avait tendance à se détourner du
candidat sortant, quel que soit son programme.
Ce texte
initie le lectorat anglo-saxon à la malhonnêteté intellectuelle du parterre
géopolitico-philosophico-germano-pratin, représenté ici par Bernard-Henri Lévy,
aussi connu sous l’acronyme publicitaire plus accrocheur de BHL:
inventeur de la philosophie low-cost, nomade en chambre, glabre, éternellement
dépoitraillé, cinéaste raté, massacreur d‘États-nations, incubateur de guerres
confessionnelles, au nom d’un judaïsme incertain auquel il essaie d’insuffler,
de sa propre initiative, un sens nouveau, l’altérité, et dont il s’autoproclame
le représentant, en France tout au moins.
Tant que tous les médias de toutes colorations commenteront ses déjections, ce pauvre type s'exprimera, c'est sa façon d'exister.
RépondreSupprimerLe sionisme est un complot contre le monothéisme ; judaïsme compris
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