samedi 12 mars 2022

D'où vient la menace d'un "nouveau Tchernobyl" ?

Pour que chacun comprenne bien que c'est d'une guerre nucléaire dont nous parlons, voici le récit d'une nouvelle provocation «nucléaire» des pirates ukrainiens. Ce 9 mars un groupe de miliciens ukrainiens infiltré a attaqué la sous-station électrique qui alimente l’ancienne centrale nucléaire de Tchernobyl, protégée conjointement par une unité ukrainienne et une unité russe.

 Guerre en Ukraine : menace nucléaire, centrale bombardée... Poutine  poursuit sa stratégie de la peur - Le Parisien

L’entreprise ukrainienne d’électricité Ukrenergo a annoncé que la centrale nucléaire est totalement déconnectée du circuit électrique national et qu’il est impossible de la reconnecter en raison de « combats sur place ». Tandis que le ministre ukrainien de l’Énergie, Haluschenko, assure que la centrale peut produire toute l’électricité dont elle a besoin grâce à des diesels, le ministre des Affaires étrangères Kuleba avertit que le refroidissement des sites de stockage s’arrêtera bientôt et que des fuites radioactives sont imminentes. Au contraire l’Agence internationale de l’Énergie atomique dit que le volume d’eau de refroidissement par rapport à la chaleur des piscines de stockage de combustible utilisé permet de continuer le refroidissement même sans électricité.

Le vice-ministre russe de la Défense, Pankov, déclare que la partie ukrainienne fait tout son possible pour entraver les réparations, mais que des spécialistes russes ont opéré la transition vers le système diesel de la centrale. Plus tard le vice-ministre russe de l’Énergie, Sorokine, dit que les électrotechniciens biélorusses ont trouvé une solution durable en connectant la centrale au réseau électrique biélorusse voisin (la frontière est à 10 km), mais rappelle les autorités énergétiques ukrainiennes à leurs obligations contractuelles envers la centrale.

Le « responsable » européen des Affaires étrangères, Josep Borrell, a appelé le directeur de l’AIEA, Rafael Grossi, pour lui faire état de la « situation très inquiétante », celui-ci a répondu qu’il n’y a aucun risque et qu’il est prêt à venir personnellement sur place pour rassurer tout le monde.

Source (fiable) : Stratediplo

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En détruisant les laboratoires de la mort (biolabs), et en sécurisant les centrales nucléaires ukrainiennes (rappelez-vous le tintamarre assourdissant des Grands Médias Menteurs lorsque les Russes ont rapidement occupé des centrales nucléaires), les Russes essaient non seulement de sauver leur peau, mais ils rendent aussi un fier service aux Européens et au Monde entier.
En effet, les nuages nucléaires (type Tchernobyl), les oiseux migrateurs et les insectes porteurs de germes mortels cultivés dans les biolabs américano-ukrainiens,  ne respectent pas les frontières. Mais il est évident que ces nuages et ces animaux, partant d'Ukraine, et suivant les vents dominants d'Ouest vers l'Est (effet Coriolis) iront en très grande majorité, vers l'Est : la Russie.

H. Genséric

 

 

1 commentaire:

  1. J'en viens à admirer et respecter une orgue de bêtes sauvages que ces pirates Ukreniens.

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