L’islamisme a un dossier chargé d’un passé
d’intolérance et de totalitarisme, qui, au lieu de s’atténuer au gré de
l’évolution globale de l’Humanité, ne fait que s’aggraver avec la soumission
quasi générale du monde arabe à l’islamisme. Même si ce totalitarisme n’a pas été
politique au sens strict du terme, il a été psychologique, et dans l’islamisme
cette tendance continue de façon souvent radicale. Selon des experts, ce
mélange détonnant de religion de politique et de superstitions d'origine païenne pourrait découler d’un grave dérèglement sexuel des hommes islamistes.
Quelques réalités biologiques
La testostérone, l’hormone mâle, est à la fois responsable
de l'accroissement de la masse, et donc de la force musculaire ainsi que de la
violence, qui elle-même voile le discernement de l'esprit : pour résumer cette
double action hormonale de façon imagée, nous pourrions dire que plus cette
hormone augmente le volume des muscles, plus elle « diminue » celui de la
matière grise...En effet, on a rarement rencontré des génies parmi les
catcheurs ou les piliers rugbyman.
Par ailleurs, que constate-t-on ?
Au niveau
mondial, 90% des gens en prison sont des hommes, et ce sont eux qui effectuent
95% des crimes violents, et 99% des agressions sexuelles. Les chiffres sont
éloquents en eux-mêmes. Ils montrent le lien entre sexualité et violence chez
l’homme. On ne sera pas étonné, dans ce contexte, que le monothéisme exclusif
qui a supprimé les déesses, soit, dès le départ, empreint de violence. Tout le monde sait que la pédophilie est très répandue au sein des clergés monothéistes (catholiques, juif ou musulman), ce qui prouve, à l'évidence, que ces clergés sont sexuellement dérangés.
On
pourrait raisonnablement suggérer que les sujets atteints de paranoïa
religieuse devraient bénéficier d'un traitement anti testostérone afin réduire
leur violence ; analogue au traitement recommandé pour les violeurs récidivistes.
Le rapport entre viol et violence, entre désir
sexuel et colère est bien reconnu par la psychologie traditionnelle comme par
la psychanalyse. Pour dire les choses comme elles sont et sans tabou, le droit
à tuer que s'arroge l'intégriste islamiste lui est aussi indispensable qu’un
pénis bien érigé l'est au violeur ordinaire.
Ainsi va la vie.
Dans les deux cas, viol et
violence, probablement, le cerveau islamiste est intoxiqué par les "neurotransmetteurs
de la toute-puissance", qu'on appelle dopamine ou PEA (Phényl-Ethyl-Amine,
une sorte d'amphétamine naturellement produite par les neurones) et il est
évidemment imbibé de testostérone. On peut rappeler à propos de cet effet
stimulant de la classe des amphétamines sur les sentiments de toute-puissance
le fait suivant : Hitler a développé une accoutumance à l’amphétamine de 1937
jusqu’à la fin de ses jours en 1945, c’est-à-dire durant toute cette période où
il a été particulièrement virulent et destructif. Qu’une substance de la même
classe soit aussi impliquée dans l’excitation sexuelle donne à réfléchir.
La fureur de vivre serait-elle proche de la fureur de tuer ?
Juergensmeyer, un des meilleurs spécialistes
américains de la violence religieuse, a été s'entretenir avec un des principaux
responsables du premier attentat contre les tours du World Trade Center. Il l'a
rencontré dans la prison où il purge une peine à perpétuité. Celui-ci lui a
affirmé : "En Occident, vous n'avez aucune idée de la vraie religion, vous
êtes comme des stylos sans encre". Sans pousser trop loin
l’interprétation, on peut discerner un archétype phallique sous cette image et
l'absence "d'encre" devient alors un signe d’anéjaculation lors de
l'orgasme, et donc d’impuissance. Les attentats sont donc là pour donner une « leçon
de puissance » à l'Occident, et lui "prouver" ainsi que l’islam
du terroriste est le plus fort et le plus viril : simple...et réellement
meurtrier.
Le symbole de l’épée islamiste
On constate d’ailleurs que l’emblème et l’arme
préférée de l'intégriste musulman est l’épée. L’épée lui permet de pénétrer le
corps de l’autre, de le tuer, de le violer. Elle lui permet
aussi d’émasculer, afin d’anéantir la virilité de l’autre.
En psychanalyse, épée peut avoir
plusieurs sens. En règle générale, l’épée est un symbole phallique. Elle
représente l’organe masculin de reproduction : pour
l’Islamiste, le pénis, c’est son instrument de travail.
Les plus célèbres épées de l’histoire ou de la mythologie
portent un nom: Balmung, Nagelring, Excalibur, etc. Ces noms expriment la
valeur symbolique et magique qu’elles reflètent. Leur nom et les actes qu’elles
ont accomplis leur procurent simultanément une particularité. Souvent, ces
épées uniques en leur genre ont une origine divine, ont été données à l’homme
par des dieux et reviennent souvent à ceux-ci en bout de course. Si un héros
possède l’une de ces épées, il possède en même temps puissance et salut.
Pour cette raison, l’épée, tenue en main, exprime la force et les capacités
masculines et phalliques, ce qui, par extrapolation, symbolise la puissance
dominante.
Quand j’étais gosse, je me rappelais les histoires extraordinaires
qu’on nous racontait sur les épées des conquérants arabes. L’émir, ou le calife, chef des
armées arabes, possédait une épée qui lui permettait de fendre les montagnes et de
conquérir facilement les pays. Cela nous expliquait comment une poignée de
bédouins incultes et barbares (la civilisation arabe n’existait pas alors),
avaient pu soumettre des millions de Berbères, de Persans, de Mésopotamiens, de Byzantins et d'autres peuples ayant tous des
civilisations brillantes et multiséculaires. Tout simplement miraculeux ! Nous y croyions, à ces miracles.
Conclusion
Au Jour du Jugement Dernier, les Islamistes iront au
Paradis
et les autres musulmans (en compagnie des infidèles) seront consignés aux flammes de l'Enfer. Nous avons vu,
dans l’article « Coran : vierges houris ou raisin blanc », comment certains commentateurs du Coran, des obsédés sexuels, font
des interprétations grossières du paradis, avec des houris éternellement
vierges et les "bons musulmans" en rut perpétuel.
Peut-être
comprendrez-vous alors comment ces innombrables jeunes mâles sans travail, sans
sexualité, autre que furtive et souvent homophile (autre déni du réel), sont
aisément manipulables et transformables en guerriers violeurs, kamikazes, cannibales, et en chair
à canon, par des pervers plus intelligents qu’eux, résidant à Tel-Aviv,
Paris, Londres ou Washington. Si ces jeunes terroristes
retrouvaient une sexualité normale, ils perdraient probablement leur fascination pour le
passage à l'acte violent.
Devant l’état actuel de déliquescence avancée des
régions dites "arabes" et des régions musulmanes, on a l’impression consternante que les
populations sont paralysées dans leurs croyances et préfèrent dériver dans la
violence, déclencher toute une série de guerres plutôt que d’oser remettre en
question le mélange de foi et de superstitions auxquelles elles s’identifient
complètement. C’est comme une anesthésie quasi générale, et il s’agit bien sûr
d’un problème psychologique autant que collectif et historique. On attend de la
psychologie qu’elle opère la synthèse humaine de problèmes complexes, qu’elle
éclaire les mécanismes de déviation en jeu quand surviennent des comportements
pathologiques, et qu’elle donne des pistes de thérapie. C’est ce travail en
substance humaniste que les spécialistes arabes ou musulmans devraient entamer.
Hannibal Genséric