Israël serait prêt à rééditer le coup des attentats du 11/09 qui ont ouvert la voie à la destruction des nations arabes par des guerres directes (Irak, Syrie, Soudan, Libye, Liban) ou indirectes (Printemps arabe), en renforçant l'axe de la collaboration et de la soumission (USA - Israël - Arabie - Qatar - islamisme ). Voici maintenant que les Occidentaux découvrent qu'Israël les manipule afin de les amener à mener une guerre totale contre l'Iran et la Russie. Voici ce qu'écrivent leurs journaux bien informés.
Les forces américaines en état d’alerte en vue d’un éventuel attentat nucléaire
Les États-Unis sont en état d’alerte et ont déployé des moyens militaires pour défendre le littoral atlantique de New York à Charleston contre une attaque par un missile de croisière ou par un aéronef volant à basse altitude .
Ces mesures de sécurité accrues ont commencé avec l’augmentation des menaces d’Israël envers l’Iran , mais se sont accentuées depuis la disparition mystérieuse du vol 370 de la Malaisie Airlines.
Des sources au plus haut niveau de la
hiérarchie militaire et de la communauté du renseignement américain
citent la possibilité d’un attentat terroriste pouvant même voir l’emploi d’armes nucléaires susceptibles d’être lancées à partir d’un sous-marin.
Cependant, le plan dont nous avons été
informés inclue le détournement d’un avion de ligne qui serait
attribué à des Iraniens ainsi que l’a déclaré Joel Rosenberg lors d’un
entretien avec Greta van Susteren sur Fox News le 18 Mars. Selon lui,
les Iraniens détourneraient l’avion afin d’attaquer Israël .
Les États-Unis cependant, pensent que
quelqu’un d’autre que l’Iran envisage une attaque contre les Etats-Unis
et non contre Israël, dans l’intention de faire blâmer l’Iran .
Hier , le journaliste d’investigation Chris Bollyn a fait une découverte surprenante :
" Selon les rapports d’observateurs d’avions , Israël possède un Boeing identiques à celui de la Malaysia Airlines. Ce Boeing 777-200 est stationné à
Tel-Aviv depuis Novembre 2013. La seule différence visible entre l’ avion
disparu et celui de Tel-Aviv serait son numéro de série . Qu’est-ce que
les Israéliens ont prévu avec cet double jumeau de l’avion de la
Malaysia Airlines ?En utilisant le bimoteur qu’ils ont en stock, les cerveaux terroristes israéliens
peuvent avoir programmé un plan sinistre faisant réapparaitre l’avion
disparu dans le cadre d’un atroce attentat sous faux drapeau . Le fait
de sensibiliser le public à l’existence de l’avion jumeau de Tel
Aviv pourrait par conséquent empêcher ce plan diabolique d’aboutir ."
Après la publication de l’article
détaillé et argumenté de Bollyn, Tel-Aviv a lancé une contre-offensive
médiatique à grande échelle.
Néanmoins, des sources américaines affirment que cette opération planifiée s’est retournée contre les Israéliens : cela signifie que si leur rôle dans l’affaire de l’avion disparu n’avait jamais été évoqué auparavant, désormais c’est certainement le cas. Une source haut-placée a déclaré :
«À la lumière des efforts israéliens
pour obtenir la libération de Jonathan Pollard y compris le chantage
manifeste, la détérioration des relations entre Israël et
l’administration Obama crée une situation très dangereuse . Israël
pourrait bien faire n’importe quoi ».
La mise en garde d’Obama pendant le sommet sur le nucléaire
Le 25 Mars 2014, le président Obama a
assisté au sommet sur la sécurité nucléaire à La Haye aux Pays-Bas. 53
chefs d’état étaient présents. Le Premier ministre israélien Netanyahu n’y a pas assisté. C’est la 3e Sommet sur la sécurité nucléaire
qu’Israël a boycotté à ce jour.
Lors de la conférence de presse de
clôture, le Premier ministre néerlandais Mark Rutte avait fini par
féliciter l’Iran pour sa coopération, et loué les États-Unis pour leur
succès diplomatique. Rutte a fait l’annonce suivante en se tenant
debout à côté du président Obama :
» … Des progrès sont réalisés.
Prenez Iran. J’ai parlé avec le président Rouhani à Davos lors du Forum
économique mondial en Janvier. Nous avons maintenant des accords
intérimaires. Le fait que j’ai pu m’entretenir avec le président
Rouhani, je suis le premier dirigeant néerlandais depuis plus de 30 ou
40 ans à avoir pu discuter avec un dirigeant iranien. Cela n’a été possible
qu’en raison des accords intérimaires, et il semble qu’ils tiennent le
coup. «
Ensuite, le président Obama a déclaré :
«quand il s’agit de notre sécurité,
je continue à être beaucoup plus préoccupé par la perspective d’une arme
nucléaire explosant dans Manhattan ».
Normalement, un tel avertissement semblerait moins inquiétant mais nous ne vivons pas des temps normaux.
Mesures spéciales
Le dispositif comprend des avions AWAC (Airborne Warning and Control), des systemes navals de défense
antimissile AEGIS et des systèmes de défense de missiles de croisière JLENS montés sur aérostats .
Il n’est pas inhabituel pour les navires
équipés de l’AEGIS d’être déployés au large. C’est une procédure
standard d’utiliser les AEGIS pour défendre New York et Washington
depuis les "échecs de procédure" du NORAD lors du 9 /11. Toutefois,
les systèmes AEGIS qui avaient été assignés pour alimenter l’"Iron
Dome" , le fameux système de défense anti-missile d’Israël, ne sont plus
déployés.
Ce changement indique un ou plusieurs ajustements de la politique stratégique des États-Unis :
• La menace d’une attaque préventive contre Israël par l’Iran est considérée comme inexistante.
• Le retrait des systèmes de "Iron
Dome" offre aux États-Unis le levier nécessaire au renouvellement des
pourparlers avec les Palestiniens.
• Les États-Unis reconnaissent les
dangereuses relations existantes entre des factions extrémistes en
Israël et aux États-Unis et qui sont capables d’actions , comprenant le terrorisme nucléaire, au détriment des 2 nations.
Quelques thèses conspirationnistes à propos de la fermeture d’ambassades
En 2010 , l’historien israélien , Martin
van Creveld , a déclaré qu’Israël était prêt à utiliser des armes
nucléaires contre les capitales du monde entier , si "l’état juif"
était menacé .
Creveld qui milite pour le retrait
d’Israël aux frontières de 1967 est un enseignant respecté et
pragmatique, il ne délivrait pas une menace. Il peut très bien avoir
tenté, à sa manière d’informer le monde d’une telle possibilité.
Il y a quatre jours , le ministère
israélien des Affaires étrangères fermait toutes ses ambassades à
travers le monde sur la base d’un soit-disant conflit salarial avec un syndicat.
Bien que cela puisse être vrai ,
d’autres "moins confiants" citent la vielle rumeur qui veut
qu’Israël ait stocké des armes nucléaires sous toutes ses ambassades .
Les armes nucléaires dégagent entre
autres choses des photons de haute énergie, les SNM (matériel nucléaire
spécial ) sont détectables par les capteurs des satellites même s’ils
sont stockés dans un conteneur blindé .
Des sources indiquent que des "SNM"
ont été détectés dans les ambassades et les installations consulaires
israéliennes . Il s’agit en fait d’un plan de guerre qui comprend les attaques simultanées sur les ambassades et les installations consulaires dans le monde entier d’une nation désignée .
Bien qu’aucune mention spécifique
d’Israël n’est faite , l ‘ "option Samson(*)", cet infâme projet
israélien de «mettre à bas le monde» en cas de menace et les
déclarations énigmatiques de Creveld viennent à l’esprit .
Ainsi, avec la mystérieuse fermeture des ambassades israéliennes dans le monde entier , les
conspirationnistes pensent que ces installations peuvent contenir des
armes nucléaires » apocalyptiques « .
D’autres facteurs permettent de construire une mosaïque de menaces réalistes :
-Les accusations sauvages d’Israël sur le rôle de l’Iran dans le détournement du vol 370 de Malaysia Airlines (**).
-Les États-Unis viennent de relever les niveaux DEFCON à des niveaux jamais vus depuis la crise des missiles de Cuba
-L’augmentation des menaces israéliennes d’attaques préventives contre l’Iran
-Les appels de certains parlementaires en vue d’une attaque nucléaire sur l’Iran par les États-Unis
-La suppression de plus de 70 % du personnel de commandement des armes nucléaires des États-Unis pour « mauvaise conduite ».
Le silence est d’or
Assailli de toutes parts, Israël a eu
la possibilité d’exercer à la fois une retenue intelligente et la
diplomatie en réponse à une condamnation mondiale sans précédent .
Pourtant, son choix a été d’exercer
toutes les options imaginables afin de, non seulement augmenter le mépris
et l’isolement, mais également de paraître aussi hostile et
irresponsable qu’il soit possible de l’être.
On peut se demander si cette politique
vise plus à unifier les juifs derrière les bévues de ces israéliens
suicidaires que de soutenir un «Etat juif ».
Gordon Duff
http://www.presstv.ir/detail/2014/03/28/356298/us-on-nuclear-false-flag-high-alert
Gordon Duff
http://www.presstv.ir/detail/2014/03/28/356298/us-on-nuclear-false-flag-high-alert
(*) l’option Samson
L'"option Samson" est un secret de Polichinelle : la volonté d'Israël à utiliser ses armes nucléaires, disséminées dans les ambassades et consulats israéliens. Dans la Bible, Samson fait s'écrouler les colonnes du temple philistin, dont le toit écrase ses ennemis et lui-même. Israël est prêt à détruire le Monde si nécessaire, conformément aux préceptes talmudiques.
Selon l'organisme réputé Arms Control Association, Israël disposerait aujourd'hui d'un arsenal nucléaire de plus de 200 bombes. Celles-ci, selon plusieurs experts, pourraient être utilisées avec trois autres vecteurs différents : les missiles balistiques israéliens Jéricho; des avions de combat à capacité nucléaire F16 et F15; enfin, des missiles tirés par les trois sous-marins de la classe Dolphin (de fabrication allemande) dont dispose l'Etat juif.(**) HM370, incroyable histoire d’un très noir complot
Les services secrets russes
avaient été avertis, par anticipation, que ce vol représenterait un sérieux
danger pour leur pays et pour la Chine parce qu’il était probablement porteur d’une charge de matériel radioactif ou d’armes biologiques. Ils menèrent leur enquête dont voici l'essentiel.
Selon l’enquête préliminaire du GRU (Renseignements militaires russes) et de la FSB (Anciennement KGB), la charge suspecte dont était porteur le HM370 fut transférée des EU via les Seychelles dans un bateau sous bannière étasunienne nommé MV Maersk
Alabama. De là elle fut envoyée en Malaisie, en quelques heures, sous
la protection de deux agents des renseignements de la Navy, Marco Daniel
Kennedy de 43 ans et Jeffrey Keith Reynolds de 44 ans, qui, après, furent
assassinés de manière suspecte.
Tous les deux étaient des spécialistes
des transports d’arsenaux biochimiques et nucléaires, et, en
particulier, la réalisation d’opérations sous fausses bannières.
Quand le GRU s’est rendu compte que la
charge avait été déposée dans le vol HM130 ayant pour destination la
Chine, il avisa immédiatement le Ministère de la Sécurité de l’Etat
Chinois (MSS) de la possibilité d’une dangereuse menace.
La Chine activa alors tous ses systèmes de défense et mobilisa ses systèmes
permettant de récolter l’information en temps réel. La mesure principale
adoptée par le MSS fut de dévier l’avion vers une autre destination,
non plus Bejing, mais un aéroport, Haikou Meilan International Airport
(HaK), situé sur l’île de Hainan. Dès lors, tout avait été préparé par la
Chine pour recevoir ce vol dangereux, mais il semble que des
informations aient filtré et ont mis les USA en état d’alerte. Ils décidèrent donc, à leur tour, de dévier le Boeing 777 vers Diego Garcia, distant de quelques 3 447 kilomètres.
Le reste était relativement facile parce
que les satellites nord-américains couvrent cette zone en détail et
disposaient d’information sur la déviation provoquée de l’avion jusqu’à
l’Atoll de Diego Garcia, qui est un atoll de corail, considéré comme
territoire du Royaume Uni mais utilisé par les EU qui la leur louent.
Il est considéré comme une des bases les plus secrètes parmi les près de
mille bases utilisées par le Pentagone et la CIA. Il a été employé de
manière réitérée comme base d’espionnage dans l’Océan Indien et comme
prisons pour ceux que le gouvernement étasunien voulait faire
« disparaître ». Ce fut également un plateforme pour développer les
guerres contre l’Irak, l’Afghanistan, la Libye, la Syrie et l’Iran.
Ce qui est
certain c’est que la charge était une menace contre la Chine. Le matériel biologique, a été transféré avec la
complicité de plusieurs nations et il avait pour objectif une attaque
contre un pays asiatique, la Corée du Nord ou le Vietnam.
Des sources anonymes russes ont proposé
au quotidien Komsomólskaya Pravda quelques hypothèses qui ont été
utilisées par le GRU et le FSB de même que par le MSS. L’une d’elles se
rapporte à la composition des passagers de l’avion. Sans certitude et de
manière spéculative, le journal russe suggère ce qui suit : « On reste
avec la sensation que l’ensemble des personnes qui voyageaient à bord de
l’avion avait quelque chose d’étrange, le pilote faisait partie de
l’opposition malaise, il y avait deux iraniens munis de faux passeports,
trop de passagers chinois ayant le même patronyme, et un passager
australien avant d’embarquer confia à sa femme son alliance et sa
montre, et lui demanda de les remettre au premier de ses fils qui se
marierait, comme s’il savait qu’il ne reviendrait pas ».
Ce qui est certain, c’est que parmi les
passagers se trouvaient près d’une vingtaine d’employés étasuniens de
l’entreprise Freescale Semi Conductor, dont le siège est à Austin,
Texas, et qui appartient à la multinationale Blackstone, propriété du
fameux multimillionnaire et ultra sioniste Jacob Rothschild, une entreprise qui se
consacre à mettre au point un avion invisible pour les moyens actuels de
détection, ce qui a une grande importance militaire. D’après
certaines sources, parmi ce groupe, il y avait 4 espions chinois qui
transportaient de sensibles informations secrètes qui affecteraient les
USA et qui devaient être éliminés avant qu’ils aient pu transmettre ces
secrets.
La Russie et la Chine, malgré qu’elles
aient reçu l’information en temps réel, se voient frustrées de leur
intention de doubler la CIA et le Pentagone en capturant la dangereuse
charge qui arrivait dans le Boeing 777-200. Ils ont néanmoins obtenu une
importante victoire en empêchant que le vol parvienne à sa destination
initiale.
Autre hypothèse : Le vol MH370 aurait été abattu par l’armée américaine
Un
écrivain et journaliste australien sort un livre intitulé «Flight MH370: The
Mystery», qui traite de la disparition de l’avion de la Malaysian
Airlines et évoque une erreur de l’US Navy.
Plus
de 70 jours après la disparition du vol MH370 de la Malaysian Airlines,
le premier livre sur le sujet sort ce lundi et promet de faire des
vagues. Dans «Flight MH370: The Mystery», l’Australien Nigel Cawthorne
ne prétend pas détenir la vérité sur ce qui s’est réellement passé. Mais
il soutient la théorie qui veut que l’avion, disparu le 8 mars dernier,
a été accidentellement abattu pendant un exercice militaire mené
conjointement par la Thaïlande et les États-Unis, en mer de Chine
méridionale.
Le livre, que le Sydney Morning Herald a
pu se procurer, suppose également que les enquêteurs ont ensuite été
orientés dans la mauvaise direction pour que l’erreur ne soit jamais
révélée. Dans son introduction, Cawthorne écrit que les familles de
victimes ne sauront «très certainement» jamais ce qui est arrivé à leurs
proches. «Sont-ils morts sans souffrance, inconscients de leur sort? Ou
sont-ils morts dans la terreur dans une épave en feu, s’écrasant depuis
le ciel dans les mains d’un homme fou?», s’interroge-t-il.
Le
livre relève le fait que Mike McKay, un Néo-Zélandais qui travaillait
sur une plateforme pétrolière dans le golfe de Thaïlande, au moment où
le transpondeur de l’avion s’est éteint, a vu un appareil en flammes.
L’écrivain fait le lien avec un exercice militaire mené conjointement
par la Thaïlande et les États-Unis en mer de Chine méridionale au même
moment.
«Un
participant a peut-être accidentellement abattu le vol MH370. Des
choses pareilles arrivent. Personne ne veut un autre Lockerbie (NDLR: en
1988, le vol 103 de la Pan Am aurait été détruit par des terroristes en
représailles d’une frappe accidentelle de l’US Navy contre un vol
commercial iranien), donc ceux qui étaient impliqués auraient toutes les
raisons de se taire», écrit Cawthorne, qui suggère que les enquêteurs
ont été délibérément lancés sur de fausses pistes. «Après tout, aucun
débris n’a été retrouvé dans le sud de l’océan Indien, ce qui en soi est
suspect», estime l’auteur.