Le présent article, paru le 26/11/2012, n'a guère ni ému ni intéressé les autorités tunisiennes, ni en 2012, ni en 2013, ni en 2016. Cela veut dire que (1) soit que les autorités actuelles sont tout à fait complices et solidaires avec Ennahdha, (2) soit que la Tunisie est devenue, depuis la triste "révolution" pilotée par les USA, à l'instar de l'Arabie ou du Qatar, un émirat à la botte de l'Empire anglo-sioniste. La preuve en est que, malgré la sortie du président BCE affirmant que la Tunisie ne considère pas le Hezbollah comme une organisation terroriste, la Tunisie vient, au sein du Machin qui s'appelle "ligue arabe", de confirmer aujourd'hui qu'elle considère le Hezbollah comme une organisation terroriste. Seuls le Liban et l'Irak ont voté contre. Cela veut donc dire que BCE n'a aucun poids devant EnnahDaech et ses soutiens américano-sionistes et arabo-islamo-sionistes. H. GENSERIC
Tunisie : Rached Ghannouchi, en étroite
collaboration avec les Services britanniques et israéliens, enrôle de
jeunes tunisiens pour les envoyer tuer et se faire tuer en Syrie. En
contrepartie de ce Djihad, la promesse anglo-américaine de maintenir
Ennahda au pouvoir.
C’est Bachar Jaafari, l’ambassadeur de la
République arabe syrienne auprès de l’ONU, qui a communiqué, en mai
dernier, cette liste de 26 terroristes étrangers au Secrétaire général
des Nations Unies ainsi qu’au président du Conseil de sécurité. Sur les
26 criminels, 20 appartiennent à Al-Qaïda dont 19 sont de nationalité
tunisienne. Aux 17 Tunisiens cités à la fin de cet article, il manque
deux, qui ont pris les précautions de faire disparaitre leurs
passeports.
Depuis ces amnisties au nom des droits de l’homme, il y a en Tunisie entre 2 et 8 meurtres commis par semaine dont aucun media local ne parle. Le dernier en date (20 novembre) étant celui d’un père de famille dans la ville du Kram, trouvé égorgé et jeté sur les rails du TGM au niveau de la station L’aéroport. Le plus grand nombre de ces criminels ont été envoyés d’abord en Libye, ensuite en Syrie par les frontières turques et libanaises. En août 2012, sur les 107 mercenaires tués par l’armée nationale syrienne à Alep, 48 étaient de nationalité tunisienne. Selon Al-Manar infos du 31 août 2012, les autres nationalités sont libyenne, libanaise, palestinienne, saoudienne et yéménite. http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=77041&cid=18&fromval=1
Et sur les 63 terroristes éliminés par l’armée nationale syrienne en juillet 2012, 34 étaient des Tunisiens âgés entre 23 et 42 ans, dont Marwane le « chahid » (martyr) dont la mère est fière (vidéo ci-dessous). Une mère tunisienne fière de son fils de 25 ans, envoyé en terre arabe pour égorger des femmes et des enfants syriens au nom de l’islam !
La Tunisie, premier exportateur de terroristes
Tunisie-Secret a déjà révélé qu’à la bourse du terrorisme international, les Tunisiens étaient bien cotés, et pas seulement depuis la « révolution du jasmin » (voir l’article de Nebil B.Y, « Les Tunisiens classés en tête des peuples qui menaceraient la France »). Mais c’est après le coup d’Etat americano-qatari du 14 janvier 2011 que la Tunisie est devenue premier exportateur, non point d’huile d’olive, de dattes ou de matière grise, mais de djihadistes tout aussi fanatisés que les Talibans d’Afghanistan. La plupart de ces « guerriers de l’islam » sont des criminels successivement libérés par Farhat Rajhi, à la demande expresse de Sihem Ben Sédrine et Radhia Nasraoui, et par Moncef Marzouki, sous l’injonction de Rached Ghannouchi. Certains ont été enrôlés dans l’armée des mercenaires et les autres ont disparu dans la nature pour reprendre en toute impunité leurs activités criminelles.Depuis ces amnisties au nom des droits de l’homme, il y a en Tunisie entre 2 et 8 meurtres commis par semaine dont aucun media local ne parle. Le dernier en date (20 novembre) étant celui d’un père de famille dans la ville du Kram, trouvé égorgé et jeté sur les rails du TGM au niveau de la station L’aéroport. Le plus grand nombre de ces criminels ont été envoyés d’abord en Libye, ensuite en Syrie par les frontières turques et libanaises. En août 2012, sur les 107 mercenaires tués par l’armée nationale syrienne à Alep, 48 étaient de nationalité tunisienne. Selon Al-Manar infos du 31 août 2012, les autres nationalités sont libyenne, libanaise, palestinienne, saoudienne et yéménite. http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=77041&cid=18&fromval=1
Et sur les 63 terroristes éliminés par l’armée nationale syrienne en juillet 2012, 34 étaient des Tunisiens âgés entre 23 et 42 ans, dont Marwane le « chahid » (martyr) dont la mère est fière (vidéo ci-dessous). Une mère tunisienne fière de son fils de 25 ans, envoyé en terre arabe pour égorger des femmes et des enfants syriens au nom de l’islam !
Saïd Ferjani et Abdelhakim Belhadj, stratèges de l’islamo-sionisme
Après un mois d’endoctrinement idéologique et d’entrainement paramilitaire assurés par des cadres d’Ennahda et des émirs du « Groupe islamique combattant » libyen, ces criminels sont envoyés par avion en Turquie, où ils reçoivent le détail de leur mission djihadiste avant de pénétrer les territoires syriens par les frontières turques. Deux « guides » sont chargés du recrutement, de l’endoctrinement et de l’entrainement de ses terroristes : le tunisien Saïd Ferjani, ancien sous-officier de l’armée tunisienne impliqué dans le coup d’Etat raté du 9 novembre 1987, et ex-bras droit de Rached Ghannouchi à Londres, et le libyen Abdelhakim Belhadj, membre actif d’Al-Qaïda, impliqué dans l’attentat du 11 mars 2004 à Madrid et « libérateur » de Tripoli sous le commandement « philosophique » de Bernard-Henri Lévy ! Selon les interrogatoires de ces terroristes par la police syrienne, l’opération est financée par des fonds qataris et saoudiens en étroite collaboration avec les services anglais et américains. Le but de l’opération, semer la terreur parmi les populations civiles avec des crimes d’une extrême barbarie, que la chaîne de propagande Al-Jazeera attribue bien évidemment à l’armée nationale syrienne, et commettre des attentats contre les institutions étatiques syriennes pour impressionner le gouvernement et déprimer le peuple.Mohammad Walid Al-Assadi, un réfugié palestinien au Liban, arrêté en Syrie pour y avoir commis des actes terroristes a avoué avoir subi un entrainement dans des camps du courant salafistes takfiris à Saida, financé par l’Arabie saoudite et le Qatar : « le financement venait de l’Arabie saoudite et du Qatar et il était assez suffisant pour que n’ayons pas besoin de travailler et pour être à leur disposition quand ils nous le demandent ». Il signale avoir dans un premier moment combattu à Tripoli, contre le quartier alaouite de Bab Mohsen, avoir séjourné à Tozeur, avant d’être envoyé en Syrie, en compagnie de 15 autres jeunes hommes libanais et palestiniens et où on l’a sommé d’effectuer un attentat suicide dans la ville de Lattaquié.
Rached Ghannouchi, serviteur d’Allah…et de la British Armed Forces
Comme en Tunisie, en Libye, en Egypte et au Yémen, les événements en Syrie ont commencé par une offensive virtuelle sur le Web à laquelle les cyber-collabos tunisiens avaient activement pris part. Les mêmes techniques de désinformation et d’amplification acquises dans les multiples stages de formation américaines ont été utilisées avec l’assistance technique et médiatique d’Al-Jazeera.Comme la Syrie n’a pas été déstabilisée, grâce à la résistance de son peuple et à la maturité de sa jeunesse, les impérialo-sionistes ont décidé de confier la sous-traitance de cette conspiration à leurs valets islamistes. Le deal, on vous maintient au pouvoir et en contrepartie vous nous aidez à « libérer » la Syrie. Le premier à avoir répondu à cet appel du « devoir » est Rached Ghannouchi. Avec le Qatar, la Tunisie a été en effet le premier pays arabe à expulser l’ambassadeur de Syrie en Tunisie. Toujours avec le Qatar, elle a été le premier pays arabe à accueillir le fameux « Conseil national syrien » avec à sa tête Burhan Ghalioun. Mais le plus important n’est pas dans ce genre d’initiatives assumées et publiquement affichées, mais dans les missions secrètes que les services britanniques ont confiées au chef d’Ennahda, notamment la fusion entre l’ASL (Armée libre syrienne) et le MOL (Mouvement des officiers libres), le 23 septembre 2011, quelques jours après le kidnapping du lieutenant-colonel Hussein Harmouch, qui avait d’ailleurs refusé toute collaboration avec les Frères musulmans syriens.
Liste des mercenaires du Qatar, d’Arabie Saoudite et d’Israël en Syrie
Souhaïl Sakasli, né en 1986 à Bizerte, électricien, entôlé dans Al-Qaïda
Majdi Ayar, né en 1985 à Mateur, chauffeur de camion, enrôlé dans Al-Qaïda
Mohamed Trabelsi, né en 1984 à Bizerte, boutiquier, condamné en Tunisie en 2006
Oussama Hedhili, né en 1986 à Menzel Bourguiba, étudiant, université Zaytouna
Walid Daffar, né en 1985 à Kairouan, étudiant ENIT
Sami Kamil, né en 1990 à Sousse, étudiant Beaux Arts
Bilel Ayari, né en 1989 à Tunis, sans diplômes et chômeur
Ridha Bey, né en 1988 à La Marsa, étudiant en communication
Mohamed Dhifallah, né en 1986 à Ben Guerdane, ouvrier
Wissem Hlima, né en 1992, profession libérale
Romdane Soltani, né en 1973 à Tunis, vendeur d’habits
Messaoud Ghouma, né en 1988 ( ?), profession libérale, condamné en Tunisie en 2007
Walid Fadhl, né en 1987, commercial, condamné en Tunisie en 2007-2009
Bilel Marzouki, né en 1980 à Tunis, ouvrier, condamné en Tunisie à trois ans
Haykel Touiti, né en 1986 à La Marsa, ouvrier, condamné en 2008
Okba Gasri, né en 1984 à Tunis, étudiant en technologie, condamné à 4 ans
Amine Necibi, né en 1983 à Sidi Bouzid, électronicien, condamné en 2008
Le gouvernement syrien estime le nombre de djihadistes-terroristes tunisiens présents sur les territoires syriens à plus 800 personnes en 2012. [en 2016, ils dépassent les 6000]. Le nombre de terroristes faits prisonniers à 164. Le nombre de terroristes tués par l’armée nationale syrienne à 98 personnes. Aucun média tunisien n’a jusqu’à présent parlé de ces « martyrs » du « printemps arabe » !
Majdi Ayar, né en 1985 à Mateur, chauffeur de camion, enrôlé dans Al-Qaïda
Mohamed Trabelsi, né en 1984 à Bizerte, boutiquier, condamné en Tunisie en 2006
Oussama Hedhili, né en 1986 à Menzel Bourguiba, étudiant, université Zaytouna
Walid Daffar, né en 1985 à Kairouan, étudiant ENIT
Sami Kamil, né en 1990 à Sousse, étudiant Beaux Arts
Bilel Ayari, né en 1989 à Tunis, sans diplômes et chômeur
Ridha Bey, né en 1988 à La Marsa, étudiant en communication
Mohamed Dhifallah, né en 1986 à Ben Guerdane, ouvrier
Wissem Hlima, né en 1992, profession libérale
Romdane Soltani, né en 1973 à Tunis, vendeur d’habits
Messaoud Ghouma, né en 1988 ( ?), profession libérale, condamné en Tunisie en 2007
Walid Fadhl, né en 1987, commercial, condamné en Tunisie en 2007-2009
Bilel Marzouki, né en 1980 à Tunis, ouvrier, condamné en Tunisie à trois ans
Haykel Touiti, né en 1986 à La Marsa, ouvrier, condamné en 2008
Okba Gasri, né en 1984 à Tunis, étudiant en technologie, condamné à 4 ans
Amine Necibi, né en 1983 à Sidi Bouzid, électronicien, condamné en 2008
Le gouvernement syrien estime le nombre de djihadistes-terroristes tunisiens présents sur les territoires syriens à plus 800 personnes en 2012. [en 2016, ils dépassent les 6000]. Le nombre de terroristes faits prisonniers à 164. Le nombre de terroristes tués par l’armée nationale syrienne à 98 personnes. Aucun média tunisien n’a jusqu’à présent parlé de ces « martyrs » du « printemps arabe » !
http://www.tunisie-secret.com
Karim Zemerli et Nabil B.Y
Karim Zemerli et Nabil B.Y
La Tunisie plie sous la pression de l’Arabie Saoudite et classe le Hezbollah en organisation terroriste
Le
conseil des ministres arabes des Affaires étrangères réunis ce vendredi
11 mars 2016 au siège de la Ligue arabe, ont voté pour classer le
mouvement de résistance libanais, le « Hezbollah », comme groupe
« terroriste ». C’est ce qu’a annoncé un diplomate du Bahreïn à l’issue
du conseil.
Le Liban et l’Irak ont émis « des réserves » sur cette décision, a « déploré » le diplomate bahreïni Wahid Moubarak Sayar.
A noter qu’au début du mois, le Conseil des Chameliers du Golfe (CCG) avait adopté une décision similaire.
La réunion du conseil a connu quelques
remous quand la délégation saoudienne s’est retirée des discussions pour
protester contre le discours du ministre irakien des Affaires
étrangères Ibrahim al-Jaafari, qui émettait des réserves sur la
qualification du Hezbollah de groupe « terroriste ».
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