Le ministre saoudien de la
Guerre a expressément demandé au commandant de la garde frontière des
régions situées au sud de son pays de collaborer avec une société
israélienne pour pouvoir faire face aux attaques des Houthis.
[1] Le prince héritier saoudien reconnait la défaite saoudienne au Yémen
Cette opération sous faux drapeau était orchestrée par la plus grande « société de sécurité » privée au monde, G4S.
Tel-Aviv a alors envoyé la société israélienne pour qu’elle pose des bombes
sur les frontières avec le Yémen qui devraient se déclencher une fois
que les forces de la coalition saoudienne battront retraite.
Selon
un site yéménite, cette demande écrite intervient alors que l’Arabie,
qui a échoué dans sa guerre menée contre le Yémen [1] voit peu à peu ses
villes se détruire sous les obus de mortier et missiles balistiques des
forces légales yéménites et des Houthis.
Il s’agit de la société «
Almajal G4S »[2] qui a reçu 45 millions de dollars pour planter des mines
sur les frontières sud de l’Arabie.
La société « Almajal G4S »
est une filière de la société israélienne G4S et possède son siège à
Djeddah et plusieurs sites dans des villes saoudiennes. Elle a déjà été
chargée d’assurer la sécurité de la Mecque, sujet qui n'a déclenché aucun
tollé chez les musulmans et les oulémas de l’Islam, sauf en Syrie et en Irak...Les autres "musulmans", soumis au diktat saoudien (corruption) opinent honteusement.
Des dizaines de mercenaires tués et blessés par Ansarallah
Les
tirs de missile des combattants d’Ansarallah en direction du repaire
des mercenaires saoudiens dans la province d’al-Jawf, a tué et blessé
des dizaines d’entre eux.
La chaîne al-Massira a rapporté que le missile balistique d’Ansarallah avait touché la base du bataillon 115 à al-Jawf. Selon ce rapport, au moins 31 mercenaires ont été tués et 24 autres blessés.
Par ailleurs, l’agence de presse Saba Net a fait part de la mort d’un commandant des mercenaires dans l’attaque au missile d’Ansarallah dans la province de Maarib.
Cependant, les médias liés aux mercenaires saoudiens ont annoncé que seulement deux personnes avaient été blessées dans cette attaque.
La "coalition des traîtres et de la honte arabes", dirigée par l’Arabie saoudite (en réalité par Israël [3]), a affirmé qu’elle ne communiquerait pas le nombre de pertes saoudiennes avant la fin de la guerre au Yémen.
D’après certaines sources diplomatiques liées à la coalition de la honte arabe, pas moins de 400 Saoudiens ont été tués dans des attaques menées par les forces yéménites contre les soldats et les garde-frontières saoudiens.
La chaîne al-Massira a rapporté que le missile balistique d’Ansarallah avait touché la base du bataillon 115 à al-Jawf. Selon ce rapport, au moins 31 mercenaires ont été tués et 24 autres blessés.
Par ailleurs, l’agence de presse Saba Net a fait part de la mort d’un commandant des mercenaires dans l’attaque au missile d’Ansarallah dans la province de Maarib.
Cependant, les médias liés aux mercenaires saoudiens ont annoncé que seulement deux personnes avaient été blessées dans cette attaque.
La "coalition des traîtres et de la honte arabes", dirigée par l’Arabie saoudite (en réalité par Israël [3]), a affirmé qu’elle ne communiquerait pas le nombre de pertes saoudiennes avant la fin de la guerre au Yémen.
D’après certaines sources diplomatiques liées à la coalition de la honte arabe, pas moins de 400 Saoudiens ont été tués dans des attaques menées par les forces yéménites contre les soldats et les garde-frontières saoudiens.
Yémenopause
Les vieilles filles pétromonarchiques du Golfe ne voient toujours
pas le bout du tunnel au Yémen. Le fidèle lecteur ne sera pas surpris,
qui pouvait lire sur le blog il y a dix mois :
Toutefois, si les Houthis ont clairement reculé, la situation est loin d'être dramatique pour eux. Il suffit de regarder une carte pour s'en convaincre. Les chars saoudiens et émiratis ont avancé comme dans du beurre sur terrain plat mais, comme pour le Tour de France, c'est maintenant que les choses sérieuses commencent : la montagne. Les défilés seront autant d'embuscades pour les colonnes de chars ; dans les espaces confinés, la supériorité matérielle devient toute relative.
Eh bien, les petits amis wahhabites de l'Occident n'ont pas
beaucoup avancé depuis, au prix, qui plus est, d'humiliations
cinglantes, comme en septembre dernier :
Rien ne va plus sur le front yéménite pour la coalition pétromonarchique. Nous avions annoncé il y a un mois que la "croisade" sunnite (Arabie Saoudite, Emirats Arabes Unis, Bahreïn etc.) contre les rebelles houthis chiites serait loin d'être une partie de plaisir. Si les centaines de chars Leclerc des pétromonarques ont roulé comme dans du beurre sur le plat pays autour d'Aden, entrer dans les montagnes pour repousser les Houthis est une autre paire de manches.
A peine aperçues les premières collines, 50 morts ! 45 soldats émiratis tués à Marib, à la lisière des montagnes, quand un missile houthi a touché le dépôt de munitions de leur base et 5 soldats bahreïnis dans des combats près de la frontière saoudienne. Pour les Emirats Arabes Unis, c'est l'incident militaire le plus mortel de leur histoire. De quoi les faire réfléchir à deux fois avant de continuer la guerre ? Si la réaction immédiate a été, en bonne armée ayant peur du terrain, une intensification des bombardements aériens semant la panique dans la population civile, l'on peut se poser la question du devenir de l'opération après cette réaction pour sauver la face.
De guerre lasse et dans l'incapacité de prendre la capitale, les
pétromonarchiques ont lancé une série de vrais-faux cessez-le-feu ces
derniers mois, entrecoupés de crimes de guerre et d'ignominieuses manigances
pour les couvrir (oui, oui, c'est bien ce pays que vont visiter à plat
ventre les dirigeants occidentaux, la bouche pleine de grandes phrases
sur les "droits de l'homme"...)
Les Houthis sont toujours là et rien n'a été réglé. C'en est trop pour les Emirats Arabes Unis qui ont décidé de reprendre leurs billes et de quitter fissa le bourbier yéménite. Les grassouillets Seoud, eux, s'entêtent et ce n'est peut-être pas une bonne idée. Avant-hier, un missile houthi a dégommé trente de leurs soldats. La commère saoudienne, déjà bien mal en point par ailleurs, finira-t-elle par comprendre que cette croisade n'est plus de son âge ?
Les Houthis sont toujours là et rien n'a été réglé. C'en est trop pour les Emirats Arabes Unis qui ont décidé de reprendre leurs billes et de quitter fissa le bourbier yéménite. Les grassouillets Seoud, eux, s'entêtent et ce n'est peut-être pas une bonne idée. Avant-hier, un missile houthi a dégommé trente de leurs soldats. La commère saoudienne, déjà bien mal en point par ailleurs, finira-t-elle par comprendre que cette croisade n'est plus de son âge ?
Cette opération sous faux drapeau était orchestrée par la plus grande « société de sécurité » privée au monde, G4S.
9 juin 2015 L'Arabie saoudite a confié la sécurité des Lieux Saints et, bien
entendu, des pèlerins à une société israélienne, filiale de G4S.
[3] Origines de la connivence wahhabisme - Sionisme |
Hannibal GENSERIC