Dans
une référence au livre du socialiste américain John Reed “Ten Days That Shook The World” ("Dix
jours qui ont secoué le monde") sur la révolution d'Octobre
1917 en Russie, un rapport du Ministère russe des Affaires étrangères (MoFA) circulant dans le Kremlin
aujourd'hui 03/12, avertit : un "coup
d’état silencieux " est actuellement en cours aux États-Unis contre le
président élu Donald Trump. Ce coup peut mener cette nation au bord de l'abîme,
et il n’y plus que 10 jours pour que les Américains puissent y résister et pour
le déjouer. Les conséquences de ce coup, si jamais il réussissait, vont certainement
changer la face des États-Unis et du monde entier.
Selon
ce rapport, l'actuelle élection présidentielle des États-Unis progresse vers la
date limite du 13 décembre. Cette date est imposée par le Titre 3 du Code
américain, section 5, selon lequel chaque État américain doit avoir définitivement
conclu et fermé toutes les contestations liées au vote, et doit déléguer ses Grands
électeurs pour le vote du 19
Décembre qui doit installer le nouveau chef de l’État.
En
vertu de cette loi fédérale, la date du 13 décembre a été mise en évidence lors
de l'élection présidentielle américaine de 2000. Le 12
décembre 2000, la Cour suprême des États-Unis avait ordonné que le recompte des
voix de la course présidentielle entre George W. Bush et Al Gore soit immédiatement
interrompu afin que cette date limite du 13 décembre soit respectée.
Mais
la décision de la Cour suprême des États-Unis, rendue le 12 décembre 2000 dans cette
affaire de "GEORGE W. BUSH et
coll., PETITIONERS c. ALBERT GORE, Jr., et autres", ne semble s'appliquer
qu'à cette élection de l’an 2000.
Il
est essentiel de noter que, si l’élection actuelle atteint ce niveau juridique,
et comme la Haute Cour actuelle ne compte que 8 juges, il est possible qu'une
majorité ne puisse pas exister au sein de cette Cour pour faire appliquer le
Titre 3, Section 5, du Code américain.
Par
ailleurs, rappelons qu’en octobre 2013, Hillary
Clinton et la CIA ont tout fait pour que leur complice et allié, le
milliardaire Jeff Bezos,
propriétaire d’Amazon.com
puisse acheter, le
plus grand journal de propagande politique en Amérique, The Washington Post,
afin de conditionner les gens et de faciliter
l’accession de l’Hilarante à la présidence américaine en 2016.
Pour
voir jusqu’à quel point le Washington Post est important pour la CIA et pour les
factions néocons soutenant Hillary Clinton, rappelons-nous l’année 2003. Ce journal
avait
sorti d’incroyables histoires en première page et 27 éditoriaux (qui ont été
republiés des milliers de fois par d'autres grands médias) en faveur de
l'invasion illégale de l'Irak par l'Amérique. Cette invasion a laissé un Irak
complètement détruit et dévasté, sans parler du million de morts.
Même
aujourd'hui, sous
le contrôle de Bezos-Clinton-CIA, le Washington Post essaie de faire
taire toutes les news concernant leur «coup d’état silencieux» contre le
président élu Donald Trump. Ainsi, nous
avons vu que ce journal a publié, la semaine dernière, un article affirmant
faussement que 200
sites alternatifs de news américains travaillent pour la propagande russe.
Cette
publication a été rapidement et sournoisement suivie par le Congrès américain,
qui a, en catimini, pondu une nouvelle loi appelée «HR 6393, Loi sur
l'autorisation de renseignement pour l'année fiscale 2017 » dont
le but
réel est de détruire à jamais tous ces sites alternatifs d'information et
de jeter en prison leurs journalistes.
La
«mécanique» de ce «coup silencieux» contre le président élu Donald Trump par
les forces loyales à Hillary Clinton, implique la
falsification et la corruption de la certification -du 13 décembre- des
électeurs des États du Wisconsin, du Michigan et de la Pennsylvanie. D’ailleurs,
la Pennsylvanie
vient juste de publier, ce qui est choquant, les noms de ses Grands électeurs, afin de les empêcher de voter pour Trump le 19
décembre, en les terrorisant.
La
possibilité pour les des forces loyales à Hillary Clinton de faire annuler ces
élections présidentielles du 8 novembre est donc basée sur deux leviers :
-
l'événement probable que les États du
Wisconsin, du Michigan et de la Pennsylvanie ne « soient pas capables »
de respecter la date limite du 13 décembre.
Dans
un tel cas d’annulation, le Congrès américain décidera alors qui sera le
prochain président.
Si
le Congrès des États-Unis devait décider qui est le prochain président, le vote
électoral sera déterminé par le vote du 19 décembre par le collège électoral. Cependant,
s'il y a une «protestation» en faveur d’un troisième candidat, la possibilité
de nommer une troisième personne comme président existe.
Or,
Donald Trump ayant remporté le vote du Collège
électoral avec 306 contre 232 pour Hillary Clinton. Cependant, Hillary Clinton a remporté
par 48,2% contre 46,3% le vote populaire.
Compte
tenu de ce qui précède, et selon toute apparence, le Congrès des États-Unis
élira quelqu'un d'autre que Donald Trump et Hillary Clinton dans ce qu'il va appeler
un« vote par consensus». Il « choisira » un candidat supposé neutre,
qui ne serait, en réalité, rien d’autre qu’un partisan de la « main cachée » de
la triade Clinton-Bush-Obama qui craint que Trump ne découvre et dévoile aux
Américains leurs nombreux crimes.
Pour
rendre ce président de la «main cachée» acceptable pour le peuple américain, toutes
les puissantes forces qui soutiennent la triade Clinton-Bush-Obama se sont
combinées pour abattre le président élu Trump avec ce «coup silencieux». A
titre d’exemple, Richard Painter, l’ancien avocat de l'éthique de la Maison
Blanche du président George W. Bush, a
appelé, hier soir, tous les grands électeurs à ne pas voter pour Trump.
De
même, tous les médias traditionnels tentent actuellement de remonter ces
électeurs contre Trump en leur disant que ce dernier est dangereux puisqu'il vient
de rapprocher
les États-Unis d'une guerre ouverte avec la Chine et que la preuve en
est que Trump avait eu une conversation
téléphonique avec le président taïwanais Tsai Ing-wen.
En
réalité, l'appel du président élu Trump au dirigeant de Taiwan était en fait un
simple «coup de menton» adressé aux dirigeants communistes de Chine qui n'ont rien
fait pour arrêter les ambitions nucléaires de leur état-client, la Corée du
Nord, que les principaux chefs militaires américains considèrent comme la
plus grande menace actuelle contre les États-Unis.
Et
comme ces principaux chefs militaires américains ont constamment vu leurs
avertissements ignorés par la clique Clinton-Bush-Obama, ils sont devenus les
soutiens les plus ardents du président élu Donald Trump contre ce
"coup silencieux". Ils se préparent donc à défendre non seulement leur
nouveau commandant en chef, Donald Trump, mais aussi la survie même des
États-Unis.
Il
reste seulement 9 jours à attendre pour la survie ou non de l'Amérique. Le
monde entier retient son souffle.
Pour en savoir plus, Cliquez
ICI pour lire cette lettre.Le Département d’État confirme !
Un nouveau rapport du ministère des Affaires
étrangères circulant au Kremlin le 04/12 indique que les diplomates de la
Fédération à Washington ont été stupéfiés hier après avoir reçu du bureau du Chef du Protocole du Département d'État
américain une invitation officielle à participer, le 20 janvier 2017, La 58e cérémonie
d'investiture présidentielle de Hillary Clinton
en tant que 45e président des États-Unis.
Les diplomates du MoFA ayant reçu ce document
d'invitation ont alors contacté l'ambassadeur américain
Peter Selfridge, qui dirige le Bureau du Chef du Protocole, lui demandant
une clarification immédiate. L’ambassadeur Selfridge a répondu que cela n'était
rien de plus qu'une «erreur involontaire».
Cette explication de l'ambassadeur n’a pas du tout
convaincu les diplomates russes, car tout le monde sait que l'ambassadeur Selfridge est
un partisan d’Hillary Clinton. Il fait partie de ceux qui ont blâmé
«propagande russe qui a fait perdre les élections à Hillary » Cet envoi à la Fédération de ce document
officiel d'inauguration indiquant qu'Hillary sera la prochaine présidente
américaine va delà
d'une «farce enfantine» et est, en fait, un avertissement inquiétant de ce qui se passe maintenant
et réellement aux États-Unis : "coup d’état silencieux"
contre le président élu Trump.
Ce « coup » s’est accéléré au cours
des 12 dernières heures, avec Jill Stein, une partisane de Clinton, affirmant qu'elle abandonnait son
procès devant le tribunal de l'État de Pennsylvanie qui demandait un nouveau
dépouillement. Au lieu de cela, elle a l'intention de déposer un autre procès, au
niveau fédéral, demain.
Les
partisans de Clinton continuent à verser
des millions de dollars dans cette «charade des recomptes» de Jill Stein.
Initialement, celle-ci avait
besoin de 2,5 $, puis de 7 millions de dollars, et aujourd'hui, 9,5 millions
de dollars. Elle a recueilli jusqu'à présent plus de 7 millions de dollars.
Elle a stupéfié la Cour d'État de Pennsylvanie hier en retirant son procès et
en disant " nous
sommes des citoyens ordinaires avec des moyens ordinaires " et nous ne pouvons pas nous engager auprès de
la Cour pour la somme de 1 million de dollars ! Car ce tribunal lui a ordonné
de verser 1 million $ lundi avant 17 heures.
Au 3 ème jour du dépouillement de Wisconsin , et selon des chiffres publiés par le site Web du Wisconsin Board of Elections, Trump a gagné une augmentation de 15.133 par rapport à Hillary, ce qui suscite de nouveaux doutes quant à son affirmation selon laquelle elle a remporté l'élection par le vote populaire.
En
prenant tous ces faits en considération, les diplomates russes concluent que l'envoi,
hier, par l'ambassadeur Selfridge des documents officiels d'inauguration
indiquant Hillary Clinton comme le prochain président américain n’est
certainement pas une "erreur involontaire", mais c’est un indice concluant sur
ce qui est en
train de se préparer en coulisses.
Les Américain seront choqués d’apprendre que leur élection présidentielle n’est rien d'autre qu'un spectacle télévisé sensationnel pour divertir leurs élites dirigeantes tous les quatre ans, tout en faisant croire au peuple américain qu'il peut effectuer un changement réel. |
Hannibal GENSERIC