Le président
Poutine a ordonné une nouvelle alerte
des forces militaires de la Fédération après que le Service des renseignements
étrangers (SVR) a confirmé qu'une bombe atomique d'origine inconnue est entrée
dans l'Union européenne (UE) et, peut-être en Bulgarie, ce qui signifierait que
la Crimée pourrait être l’objectif.
Devant la
gravité de cette menace ; le Ministère russe de la Défense a, selon http://www.whatdoesitmean.com/index2265.htm, mobilisé un
nombre massif de forces aériennes, de forces aérospatiales et de troupes de la
flotte de la mer Noire. Le commandant de la Force aérienne, le colonel-général Andrei Serdyukov, a déclaré: “Pour la première fois de l’histoire de
l'armée russe, les trois grandes unités des Forces Aéroportées ont été
simultanément alertées dans le cadre de ces exercices, et partiellement
redéployées en Crimée avec des armes et de l'équipement adéquats. ”
Le fait qui
a déclenché cette alerte est la découverte par le SVR d'un avion cargo venant d'Arménie,
qui a atterri à l'aéroport de Gomel en République de Biélorussie, puis est
parti pour la Bulgarie. Il contenait une substance radioactive dont la
"signature" l'identifiait comme étant une
matière radioactive "très dangereuse" appelée Ir-192 qui était
stockée dans une boîte de protection de la taille d'un ordinateur portable.
Cette matière radioactive a été volée dans une installation de stockage
appartenant aux États-Unis à Basra (Irak) en novembre 2015. [1]
Il est
essentiel de noter que le régime Obama a omis d'avertir quiconque lorsque ce
matériel radioactif a été volé. Pire encore : le Département
d'État des États-Unis a nié en avoir connaissance. Par contre, les
autorités irakiennes ont réagi en notifiant le vol à l'Agence
internationale de l'énergie atomique (AIEA). Devant le refus des Américains de
faire un effort pour retrouver cette matière radioactive, les
responsables irakiens ont diffusé cette information secrète à Reuters New
Service .
Une fois
informé du vol présumé de cette substance radioactive Ir-192 "extrêmement
dangereuse", le Service fédéral de sécurité des Frontières (Frontières /
gares / aéroports, etc.) a installé sa "signature nucléaire"
dans tous les détecteurs
de rayonnement dans tous les points critiques de la Fédération et de la
Communauté des États indépendants (CEI), dont, justement, l'aéroport de Gomel
en Biélorussie.
Donc, le 19 mars, le
détecteur de rayonnement à l'aéroport de Gomel en Biélorussie "a
alerté", grâce à sa signature, la présence de ces matières radioactives
Ir-192 à bord d'un cargo en provenance d'Arménie et se dirigeant vers la
Bulgarie, mais que les autorités n'avaient pas arrêté ni détenu. Comme justification,
le président de la Biélorussie, Alexandre Lukashenko, a déclaré que cela était
dû à un fonctionnaire frontalier qui a été corrompu pour fermer les yeux.
Bien que le
nom exact et le propriétaire de ce cargo soient connus par le SVR, la diffusion
de ces informations dans ce communiqué de presse du Kremlin est interdite en
raison de son classement top secret. Mais il nous laisse nous demander pourquoi
le SVR a demandé des informations supplémentaires aux États-Unis, à l'UE et à l'OTAN
pour expliquer pourquoi les plans de vol de cet avion cargo incluent des
voyages en Allemagne, à Londres, en Jordanie et à New York City dans la semaine
à venir. Il attend toujours la réponse, bien qu’il la connaisse d’avance :
c’est la « faute à Poutine ».
Nous prépare-t-on un attentat nucléaire sous faux drapeau ?
Hannibal GENSERIC