Des images de la NASA prouvent, s'il y avait quelque doute, que l'explosion
récente de supers ouragans sur les Caraïbes et aux États-Unis est le résultat d'une manipulation
météorologique artificielle. Vidéo
Une autre
semaine, un autre ouragan !
Sans doute, WaPo (Washington Post) décrira celui-ci
comme un autre événement qui, comme Harvey, n'arrive «qu'une fois tous les mille
ans». La probabilité que deux tels événements se produisent dans une quinzaine
de jours n'est pas de un sur deux mille, messieurs les journaleux du WaPo, mais d'environ un sur un million (1/1000) x (1/1000) !!
Comment se
fait-il que deux supers ouragans se soient produits presque simultanément,
alors que, statistiquement et naturellement, ils n’avaient qu’une probabilité de 1
sur un million de se produire quasi simultanément ?
Les
chances de deux tempêtes de Catégorie 5 (Harvey était «seulement» de catégorie 4
quand il a traversé la côte du Texas) se produisent naturellement tout près et
frappent deux États américains clés, sont statistiquement infiniment basses, proches de 1 sur un milliard !!
Aucun
ouragan aussi puissant qu'Harvey ou Irma n'a jamais été observé sur l'Atlantique ouvert.
Vous
pouvez oublier le réchauffement climatique fait par l'homme - c'est un canular,
propagé principalement par des cabalistes mondialistes et des idiots
scientifiquement analphabètes, comme nous l'avons montré dans "Le changement climatique pour cause humaine : "c'est le pire scandale scientifique de notre génération"".
Chemin prévisionnel d'IRMA |
Patrick Roddie, expert en géoingénierie, a découvert
des images satellitaires de la NASA Worldview nouvellement publiées qui
montrent des anomalies étranges autour des ouragans Harvey et Irma et des
chemins qu'ils suivent.
Ses résultats correspondent aux allégations faites par
d'autres scientifiques qui affirment que HAARP (Voir :H.A.A.R.P : Un outil démoniaque pour créer des catastrophes climatiques) est responsable de la récente
explosion d'ouragans à travers le monde. Hier, le même site yournewswire.com a publié un
article dans lequel le physicien de renommée mondiale, le Dr Michio Kaku, a
affirmé que les ouragans fabriqués par l'homme sont le résultat d'un programme
gouvernemental américain de modification de la météo dans lequel on pulvérise
dans le ciel des nanoparticules, ensuite des orages sont "activés"
par l'utilisation de "lasers".
Dans cette vidéo, on peut voir les caractéristiques légères
comme des plumes, les brumes et les ondes apparaissant généralement dans un
chemtrail (trace blanche laissée par les avions dans
le ciel et qui contiendrait des produits chimiques répandus à l'insu des
populations) pulvérisé et un ciel chargé d’ondes électromagnétiques, apparaissant autour des
ouragans et de leurs chemins.
Les lignes d'aérosols pulvérisés et en mèches éparses,
facilement reconnaissables comme du matériel de géoingénierie, ont été repérées
autour des ouragans récents.
La nature anormale des ouragans Harvey et Irma, et
peut-être les nouveaux ouragans Jose et Katia, devraient inciter les gens à se
demander si la géo-ingénierie a joué un rôle positif pour l''Humanité. Les habitants, encore en vie, des petites îles des Caraïbes sont les mieux placés pour nous répondre.
Dr Michio Kaku : HAARP est à l’origine de l’Ouragan Irma »
Le physicien de
renommée mondiale, le Dr Michio Kaku, a fait une confession très particulière à
la télévision en DIRECT lorsqu’il a admis que HAARP est responsable des
Ouragans puissants et violents qui ont balayé la partie atlantique de Cuba et
une bonne portion des États-Unis.
Dans une
interview accordée à CBS, le Dr Kaku a admis que les derniers ouragans sont le
résultat d’un programme de manipulation climatique où les nuages ont été
bombardés par des particules minuscules qui causent de fortes tempêtes. Ces
particules sont par la suite « activées » à l’aide d’ondes émises par
des antennes réparties partout sur la planète.
La base de la
transmission de HAARP est localisée à Gakona, en Alaska, où il existe un réseau
de 180 antennes installées braquées sur le ciel et qui agissent comme un
puissant émetteur à hautes fréquences capable de produire 10 mégawatts de
charge et de changer la composition de la ionosphère à 50 km au dessus de la
surface de la Terre.
En 1999, le
Parlement européen a publié un document de résolution indiquant que le projet
HAARP est appliqué pour manipuler l’environnement et à des fins purement
militaires. En 2002, le Parlement russe a présenté au président Vladimir
Poutine un rapport signé par 90 membres des commissions internationales et de
la défense, où il déclare que le projet HAARP est une nouvelle «arme
géophysique» capable de manipuler la basse atmosphère de la Terre. HAARP
pourrait créer des ouragans et des tornades, en plus de puissants orages
électromagnétiques.
Les « Frankenstein » de la géo-ingénierie, ou quand les
sciences de la vie propagent la mort
Il y a deux
cents ans, sur les bords du lac Léman où elle passait l’été, une jeune Anglaise
commençait l’écriture d’un roman appelé à devenir un véritable mythe moderne,
Frankenstein ou le Prométhée moderne. Ce bicentenaire vient d’être
fêté à Genève, par des expositions et des conférences qui ont rendu à Mary
Shelley l’hommage qu’elle méritait. C’est l’occasion de relire ce texte
classique, débarrassé des scories dont ses adaptations cinématographiques l’ont
surchargé.
Si Frankenstein
continue de nous fasciner aujourd’hui, c’est que son sujet entre en résonance
avec nos préoccupations actuelles ci-dessus : voulant provoquer des pluies
pour combattre la sècheresse, les scientifiques américains ont déclenché des
ouragans dévastateurs sur leur pays et sur les pays voisins, qui ne leur ont
rien demandé.
Le roman
raconte les catastrophes qui frappent un savant suisse, le docteur Victor
Frankenstein, parvenu, à partir d’organes prélevés sur des cadavres, à amener à
la vie un être monstrueux, la Créature.
Sa tentative forcenée pour créer la vie aboutit à
propager la mort.
Pourquoi ? Entre autres, parce que l’homme de science est, selon Mary
Shelley, coupé des affections des autres hommes.
Enfermé dans ses spéculations, il devient indifférent à la nature, aux
paysages, aux visages ; il néglige ses amis, sa famille ; « il perd son âme et sa sensibilité ». La
pratique intensive de la science fait le vide autour d’elle, atrophie l’amour
et l’amitié. Au début, Frankenstein est plein de ferveur créatrice, excité par
la passion du jeu intellectuel, enivré par sa toute-puissance. Mais, une fois
réalisé son but, sa ferveur se mue en dépression. Frankenstein sort de sa
plongée dans la science comme un mort-vivant. Il est épuisé, déconnecté de la
réalité. L’horreur que lui inspire sa Créature est en fait une horreur pour
lui-même. Dans le monde froid qu’il a créé, il découvre sa propre ruine
affective
Le symbole
est clair : la mort des proches de Frankenstein est actée quand il se met à
leur préférer ses propres élucubrations.
Par la reductio ad objectum
dans laquelle il s’est enfermé à force d’exercices scientifiques, il a traité la
vie et les vivants en objets.
Sa Créature achèvera le travail en les réduisant
à l’état de cadavres.
La mort des sentiments, prélude à la mort tout court,
étend son emprise sur le monde.
VOIR AUSSI :
- GUERRE MÉTÉO: Qui déclenche des super ouragans sur l'Amérique ?
- USA. Le super ouragan IRMA pourrait détruire New York City
Hannibal GENSERIC