Alors que le FBI pénètre dans différents
bâtiments diplomatiques russes aux États-Unis pour procéder à des fouilles, la
diplomatie russe a dénoncé une violation du droit international et un acte
«insensé», les militaires russes déclenchent, à titre d’avertissement,
une série de tremblements de terre dans une zone américaine hautement stratégique,
en promettant que, en cas d'aggravation des provocations américaines, les prochaines secousses telluriques seraient dévastatrices.
La Russie a fermement condamné la fouille
conduite par le FBI dans plusieurs de ses bâtiments diplomatiques aux États-Unis.
La diplomatie russe a notamment publié plusieurs vidéos de ce qu'elle a
qualifié de «simulacre de justice».
«Je suis en train de regarder les vidéos des fouilles
conduites par le FBI dans nos missions, et je pense qu'il s'agit d'une
terrible farce, à la fois stupide, illégale et insensée», a
écrit Maria Zakharova, porte-parole de la diplomatie russe, sur son compte
Facebook. Selon elle, il ne s'agirait que d'une mise en scène destinée
à «démontrer la puissance des services spéciaux américains».
Qualifiant les fouilles réalisées à New
York, San Francisco et Washington d'«invasions», le ministère a
souligné qu'elles constituaient une violation du droit international et du
droit américain lui-même, les bâtiments diplomatiques étant «inviolables»,
d'après l'article 22 de la convention de Vienne sur les relations diplomatiques,
qui stipule :
1. Les locaux de la mission sont
inviolables. Il n'est pas permis aux agents de l'État accréditaire d'y
pénétrer, sauf avec le consentement du chef de la mission.
2. L'État accréditaire a l'obligation
spéciale de prendre toutes mesures appropriées afin d'empêcher que les locaux
de la mission ne soient envahis ou endommagés, la paix de la mission troublée
ou sa dignité amoindrie.
3. Les locaux de la mission, leur
ameublement et les autres objets qui s'y trouvent, ainsi que les moyens de
transport de la mission, ne peuvent faire l'objet d'aucune perquisition,
réquisition, saisie ou mesure d'exécution.
La violation flagrante par les États-Unis
de leurs obligations de "État accréditaire" pour protéger ce bâtiment
diplomatique et ses diplomates est, en fait, un «acte
de guerre», et le ministère russe des Affaires étrangères l'appelle «un acte d'hostilité brutale»
et «une occupation».
Riposte russe
Dans notre article du 2 septembre intitulé :
L'arme
météorologique russe pourrait mettre l'Amérique "sur les rotules", nous avons prévu, avec un certain degré de certitude, que
l'utilisation de nouvelles armes géophysiques "pourrait avoir lieu dans les
prochaines semaines". Et, effectivement, cela n’a pas
tardé.
Suite à la violation manifeste d’accords
internationaux par les États-Unis en envahissant une portion de terre russe ;
la Russie vient effectivement de riposter en utilisant sa redoutable arme de tremblements
de terre, dont le pouvoir terrifiant était déjà annoncé en 2011 par
le vice-président de la Douma d'État, Vladimir Zhirinovsky,
qui avait dit :
"La Russie détient beaucoup
de fonds et de ressources, des armes technologiques que personne ne
connaît... encore! Elles peuvent
DÉTRUIRE n'importe quelle partie du monde en 15 minutes. Pas
d'explosion, pas de radiation, pas de rayon laser ni d'éclair, une arme
tranquille qui endormira tous les continents pour toujours...
" Si vous
voulez de nous la moindre parcelle des îles, vous devrez creuser dans les
épaves et les débris de vos édifices et 120 MILLIONS PARMI VOUS ALLEZ
MOURIR."
Comme pour confirmer ces informations inquiétantes,
le Ministère de la Défense russe vient d’établir, ces 48 dernières heures, une
zone militaire d'exclusion de 237 km2 autour du bassin d’activités de Vasilsursk, situé dans
le district de Vorotynsky de l'oblast de Nizhny Novgorod, et
dont la protection par 7 batteries de la "super arme" S-500 fait de cette zone l'un des endroits les plus
protégés de notre planète.
Cette protection renforcée de Vasilsursk ne
peut s'expliquer que par le fait qu'il s'agit de l'installation d’un test
gigantesque sous le contrôle de l'Institut de recherche radiophysique, que l'on appelle l'installation de chauffage
ionosphérique SURA. On dit à son propos que c’est «le HAARP [1] russe qui pourrait détruire les États-Unis d’un seul coup ».
SURA installation de
chauffage ionosphérique, Vasilsursk, Russie
Quelques heures après que le Ministère russe
de la Défense ait désigné la «zone d'exclusion militaire» autour de
l'installation massive de chauffage par ionosphère SURA, la zone du Laboratoire national
de l'Idaho (Idaho National Laboratory
(INL), qui produit les armes nucléaires secrètes
américaines, a été frappée par une série
de tremblements de terre [2] ; et cela s'est produit immédiatement
après l'invasion américaine des territoires russes (consulats). Est-ce un
hasard ?
Il est important de noter sur SURA qu'en
2010, les scientifiques russes ont signalé des perturbations de
la densité plasmatique créées lors du chauffage de la région ionosphérique F2
par des ondes radio HF de haute puissance. De leur côté, des
scientifiques occidentaux ont signalé,
en 2015, que les perturbations dans le
contenu d’électrons total (total electron content ou TEC) de l'ionosphère semble
être un précurseur à court terme des tremblements de terre dans certaines
régions, ce qui fut confirmé en
2015 et 2016, par le groupe d'étude Ionosphere
Precursor Study Group.
Dans la compréhension la plus fondamentale
de ce que SURA est en réalité, et en utilisant l'information agréée par les
Américains au sujet de leur installation de chauffage ionosphère HAARP
[1] en Alaska, l'atmosphère
maximale de notre Terre peut être ciblée par des faisceaux électriques
puissants et guidés, capables de causer des tremblements de terre. D’ailleurs,
en 2010, le président vénézuélien, Hugo Chavez, avait accusé les
États-Unis d'avoir utilisé ce procédé pour provoquer les tremblements de terre d'Haïti.
En émettant un "ordre de bataille"
pour la protection de l'installation de chauffage ionosphérique SURA à
Vasilsursk, la Russie envoie un signal clair et grave selon lequel l'attaque par tremblement de
terre contre le Laboratoire national de l'Idaho n'était qu'un "coup de
semonce". Car l'intention réelle de la Russie pourrait être
celle de viser le super volcan Yellowstone qui pourrait être facilement et
rapidement déstabilisé, en
provoquant le plus grand séisme de l'Histoire. Rien
qu’en 2107, Yellowstone a provoqué plus de 2.300 tremblements de terre, ce qui
montre qu’un petit coup de pouce pourrait le faire exploser et causer des
dégâts incommensurables [3]. Et cela donne un nouveau sens horrible aux mots,
prononcés en 2011 par Zhirinovsky et adressés
à l'Amérique: "si vous voulez de nous la
moindre parcelle, vous devrez creuser dans les épaves et les débris des
édifices et 120 MILLIONS PARMI VOUS ALLEZ MOURIR".
SRC
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Localisation
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Date de UTC / heure
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M
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INFO
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USGS
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Soda Springs, Idaho
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Septembre 04 07: 55
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3.9
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5
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CSEM
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Sud de l'Idaho
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Septembre 04 07: 55
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3.9
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5
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USGS
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Soda Springs, Idaho
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Septembre 04 06: 55
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3.4
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5
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CSEM
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Sud de l'Idaho
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Septembre 04 06: 55
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3.4
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5
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CSEM
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Sud de l'Idaho
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Septembre 04 06: 17
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4.3
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4
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USGS
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Soda Springs, Idaho
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Septembre 04 06: 17
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4.3
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3
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Ressorts de soda Secousse Lumière -
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USGS
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Soda Springs, Idaho
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Septembre 04 04: 35
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2.6
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5
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USGS
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Soda Springs, Idaho
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Septembre 04 03: 08
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2.7
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5
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USGS
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Soda Springs, Idaho
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Septembre 04 00: 36
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3.2
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5
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CSEM
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Sud de l'Idaho
|
Septembre 04 00: 36
|
3.2
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5
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USGS
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Soda Springs, Idaho
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Septembre 04 00: 05
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3.3
|
5
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CSEM
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Sud de l'Idaho
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Septembre 04 00: 05
|
3.3
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5
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USGS
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Soda Springs, Idaho
|
Septembre 04 00: 03
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2.7
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6
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